Les Églises Chrétiennes de Dieu
[B7_7]
Le Mysticisme Chapitre 7
Le Bouddhisme [B7_7]
(Édition 2.0 19900910-20001215-20071010)
Ce chapitre prend le système bouddhiste depuis sa naissance en Inde jusqu’à la propagation
du système Theravada et des développements des systèmes Mahayana et Hinayana
subséquents.
Christian Churches of God
PO Box 369, WODEN ACT 2606, AUSTRALIA
Courriel : secretary@ccg.org
(Copyright 1990, 2000, 2007 Wade Cox)
(Tr. 2013)
Cette étude peut être copiée et distribuée librement à la condition qu'elle le soit en son entier, sans
modifications ni rayures. On doit y inclure le nom, l'adresse de l’éditeur et l'avis des droits d'auteur. Aucun
montant ne peut être exigé des récipiendaires des copies distribuées. De brèves citations peuvent être
insérées dans des articles et des revues critiques sans contrevenir aux droits d'auteur.
Cette étude est disponible sur les pages du World Wide Web :
http://www.logon.org/french/ et http://www.ccg.org/french/
Page 2 Le Mysticisme Chapitre 7 Le Bouddhisme [B7_7]
Le Mysticisme Chapitre 7 Le Bouddhisme [B7_7]
La Théologie de la Libération
Le point de vue de la libération des Upanishad
ou le chemin à la Moksha est devenu le but
ultime de la méditation védantique. Le point de
vue des Upanishad a finalement été négatif et a
été compliqué davantage par la croyance
maintenant entièrement développée qu'il y avait
un cycle sans fin de l'existence (Samsara), "de
renaissance, remort et renaissance" (Wolpert, p.
47). "Le désir, les actes, 'l’action' (Karma) de
toute sorte sont maintenant venus à être
considérés comme des obstacles, des pièges,
des traquenards illusoires dans la recherche de
l'âme pour moksha. La Loi du Karma émerge,
liée au concept de Samsara comme un axiome
distinctif de la civilisation indienne" (ibid.). La
loi avançait que chaque action, bonne ou
mauvaise, avait des répercussions ou des
conséquences de nature semblable à une date
ultérieure. Selon Horner :
Le bon Karma et le mauvais Karma, qui sont à la
fois le résultat d'actions précédentes et les causes des
nouveaux effets, travaillent de manière indépendante
l’un de l’autre et ne doivent pas être équilibrés l'un
contre l'autre dans n'importe quel type d'échelles"
(I.B. Horner, Buddhism: The Theravada in The
Concise Encyclopedia of Living Faiths éd. R.C.
Zaehner, Hutchinson, Londres, 1959, p. 283).
En raison du Karma le monde tourne et les créatures
circulent, il les maintient liés à la roue du Samsara
comme l'essieu soutient une roue de char qui roule "
(Suttanipata 654, ibid.) ... S'il n'y avait pas de
Karma, il n'y aurait pas de Samsara : Dans un sens,
c’est la vie, car il ne fonctionne que lorsqu'il y a une
volonté (ibid.).
Par l'exercice de son propre Karma, un homme
peut exercer un contrôle, écrasant la convoitise,
la malveillance et la nocivité menant à la
renaissance.
D'une certaine manière le Sat aryen (réel ou
vrai) a été déplacé dans les bois de Bihar par
une vision pessimiste ou la foi dans le "chaos
pré-aryen de ténèbres, ou le non-être, l'asat du
Vritra démoniaque qui ressemblait maintenant
davantage à l'objectif ultime de la réalité
indienne que ne l’a fait le monde des mortels
ou les Dieux" (Wolpert, p. 48).
Ainsi, le point de vue des Upanishad conduit
logiquement et inexorablement à celui du
Bouddhiste.
Le Bouddha
Le Sakyamuni, ou le sage des Sakya, Sidhartha
Gautama le Bouddha ou ‘l’éveillé’, est vers
563 AEC à Kapilavastu dans la tribu des
collines des Sakya, qui étaient centrés à l’est de
Sravasti, capitale de la région de Kosala près
des contreforts de l'Himalaya. Magadha, dans la
plaine orientale du Gange, et Kosala, à l'ouest
de Magadha et au nord de l'artère du grand
fleuve de la colonisation aryenne, étaient les
plus puissants des mahajanapadas, ou de
grandes régions tribales.
Les Sakya ont été introduits dans les confins
des Aryens Kosala et devinrent tributaires
d'eux. Siddhartha était un prince de tribu qui a
mené une vie relativement facile de richesse
raisonnable au sein de ce système aryen
‘civilisé’, étant établi dans la classe Kshatriya,
mais politiquement, il était confronté au même
problème que les enseignants des Upanishad
qui ont précédé et, sans aucun doute, influencé
la transformation philosophique qu’il a créée et
dirigée. Le souverain de Magadha, Bimbisara
(ca. 540-490 avant notre ère), est devenu le
patron du Bouddha. La richesse relative de la
région a sans doute incité l'acceptation de la
position bouddhiste plus rationnelle et logique.
Le Bouddha a été impliqué dans la lutte des
Upanishad pour la suprématie Varna.
Logiquement, la seule façon d'immobiliser ce
système oppressif était d'attaquer la notion de
l'héritage de la piété et de la prêtrise. Cela, en
soi, a une difficulté dans le concept de la loi du
Karma. Le Bouddha a enseigque "seule une
personne qui s'est comportée comme un
Brahmane devrait’ mériter d'être traitée comme
tel" (Wolpert, p. 50). Les Brahmanes ont exercé
un monopole sacerdotal de richesse et
revendiqué l'exercice de la magie, dans la
tradition similaire au chamanique. Le Bouddha
avait pour but de substituer une foi basée
autour d'un ordre monastique exerçant la
Le Mysticisme Chapitre 7 Le Bouddhisme [B7_7] Page 3
conduite vertueuse, la non-violence et la
pauvreté. En soutenant les attentes Kshatriya et
Vaishya, il a lancé une révolution pacifique.
Le Dharma
Le concept du Dharma, ou la roue de la loi, a
été introduit dans son premier sermon environ
vers l’année 527 avant notre ère après avoir
reçu l'illumination dans un parc aux cerfs de
Sarnath. Ce sermon sur les quatre nobles
vérités est devenu le noyau philosophique du
Bouddhisme Theravada (Enseignement des
Aînés). Ce fut plus tard nommé Hinayana, ou
le Petit Véhicule, par les Bouddhistes
Mahayana (Grand Véhicule) de l’ère post-
chrétienne. Les deux premières des quatre
nobles vérités sont les suivantes :
La souffrance (dukkha), qui est liée à tout
ce qui existe.
L'ignorance (avidya), qui est la cause
fondamentale de toutes les souffrances et
implique une ignorance de la nature
fondamentale de la réalité.
À la différence des sages fondamentaux des
Upanishad, il avance un monde triste,
transitoire (anicca) et sans âme (anatta). C'est
le monde sans âme qui différencie le
Bouddhisme Theravada du Brahmanisme
idéaliste des Upanishad ou du Jaïnisme. Ces
formes peuvent être liées à d'autres écoles
matérialistes, comme les écoles Ajivikas (Sans
Âme) et Charvaka ou Lokayata (Peuples).
Comme nous n'avons pratiquement aucun
enseignement qui a survécu de celles-ci, la
comparaison est impossible.
Probablement découlant de la pensée
médicale indienne de l'époque, qui était
avancée, il y avait la promesse que tout
"malade" qui était compris pouvait en fait
être guéri.
La quatrième vérité noble était le sentier
octuple vers l'élimination de la souffrance
en soutenant, pratiquant et suivant :
des vues justes
des aspirations justes
une parole juste
une bonne conduite
des moyens d'existence justes
un effort juste
une attention juste et
une bonne méditation
Par une interprétation correcte de la bonne
fonction, en suivant attentivement cette voie,
on pourrait atteindre le nirvana, ce qui signifie,
"le soufflage" comme la flamme d'une bougie.
La douleur et la souffrance finiraient par être
surmontées. Ainsi le Nirvana était l'équivalent
de Moksha, "un paradis d'évasion, plutôt que de
plaisir" (Wolpert, p. 51).
Le Monachisme dans le Bouddhisme
En raison du nombre de disciples que le
Bouddha attirait, il a établi un ordre monastique
(Sangha) qui opérait dans le monde entier après
sa mort. Le premier Sangha, composé que
d’hommes, avait trois vœux : la chasteté
(brahmacarya), la non-violence (ahimsa) et la
pauvreté (aparigrapha). Ces vœux sont
devenus partie intégrante des concepts hindous
de la piété. Les religieuses ont été admises au
Sangha peu de temps avant la mort du
Bouddha.
L'attitude du Bouddha envers les femmes a été
résumée dans son conseil à son disciple,
Ananada. Il lui a conseillé "de ne pas les voir"
et, si cela est inévitable, "de ne pas leur parler".
Anada a posé la question : "mais supposons
qu'il soit impossible d'éviter de parler avec elles
?"
“Alors reste vigilant, ô Ananda ! mit en garde
le Bouddha.
Grâce à Sila, ou la bonne discipline, la
concentration yogique et l’étude réfléchie, on
aspirait au nirvana.
La renonciation de la famille et des biens et la
mendicité pour la nourriture quotidienne
accordaient le mérite, changeant ainsi un
symbole de honte en un symbole de vertu.
Selon Wolpert, l'idée du monachisme a atteint
une telle popularité qu'il a attiré des chefs
religieux dans d'autres parties du monde,
s’étendant à l'ouest du Proche-Orient et de
vers l'Europe, errant au nord et à l'est de la
Chine et du Japon. Les ordres monastiques en
Page 4 Le Mysticisme Chapitre 7 Le Bouddhisme [B7_7]
Chine et au Japon ont atteint la puissance
martiale et la richesse. En Inde, ils sont devenus
une force redoutable idéologique et politique
contre le Brahmanisme.
L'expérimentation initiale du Bouddha dans
l'établissement du chemin noble jusqu’au
Nirvana impliquait une forme d'auto-négation
rigoureuse, qui a été expérimentée par d'autres
ascètes. Que le Bouddhisme était un produit de
son temps a été attesté par un autre prince
Kshatriya de la tribu Jnatrika, Vardhamana
Mahavira (ca. 540-468 AEC (avant notre ère)),
qui a établi les Jaïns, prônant l'ascèse extrême,
y compris l'auto-torture et la mort par la famine
comme les chemins les plus sûrs vers le salut.
Le Bouddha a rejeté cela comme dépourvu de
valeur, après quelques années dans
l'expérimentation, bien que le suicide ne soit
pas refusé au Bouddhiste s'il est correctement
motivé. Une position similaire a été développée
dans le I Ching et commentée par Confucius,
comme étant dépourvue de valeur conduisant
au malheur. Les Jaïns enseignaient que chaque
individu a une âme immatérielle et immortelle
appelée jiva.
Le disciple aryen reconnaît que, grâce au
Karma, les actes ne restent pas avec celui qui
les fait. Dans une nouvelle naissance, la
personne qui agit n'est pas sensiblement la
même qu'elle était, ni tout à fait différente, et
pourtant il n'y a pas de discontinuité entre la
mort et la renaissance. Le disciple ne
transmigre ou ne renaît pas lui-même. Les
conditions dépendantes existent, lesquelles
déterminent que les personnalités contingentes
s’éveillent et cessent d'être.
Le Déni de l'Existence Indépendante
Le Bouddha a développé le concept
d'interdépendance comme Dharma. C’était "une
loi abstraite de contingence niant l'existence
indépendante aux choses finies mais ne niant
pas leur réalité totale. Une telle réalité, comme
ils l'ont, est subordonnée à la survenance de
quelque chose d'autre qui a déjà eu lieu et est
conditionnée par elle. Il y a donc de l'ordre dans
ce monde de relations et pas de l'anarchie"
(Horner, ibid., p. 285).
C'est ce que nous avons vu comme Karma et
Samsara, dans le passé, le présent et l'avenir.
Dans le passé, de l'ignorance naissent les
formations karmiques et, par conséquent, la
conscience. De la conscience dans le présent,
nous avons le nom et la forme conditionnant les
six domaines des sens, partageant l'impact sur
les sens et, par conséquent, le sentiment. Du
sentiment découle le désir ardent puis la
préhension, ce qui entraîne le devenir continu.
L'avenir devient alors la naissance et de la
vieillesse, la mort, le chagrin, la tristesse, la
souffrance, la limitation et le désespoir et
l'angoisse. Les quatre vérités aryennes sont
obtenues par la sagesse, ce qui empêche
l'apparition de formations karmiques et donc
l’existence continue.
Pour qu’il y ait l’existence, il y a cinq Khandha
ou agrégats. Le corps (rupa) est composé des
quatre primaires, symboliquement représentés
comme la terre, l'eau, la chaleur et le vent. Les
parties non matérielles (ou nama) d'être sont la
sensation, la perception, les activités volitives
ou tendances habituelles, et la conscience.
Ainsi l'existence du nama rupa.
Ces cinq Khandha forment un groupe, qui est la
recherche de soi et du plaisir, la préhension et
la spéculation, le rite et le symbolisme, et la
théorie d’un soi persistant. Ceux-ci agissent
comme des chaînes confinant l'être à la roue de
la naissance, résultant au fil du temps comme
des personnalités variables et contingentes.
Certains éléments, tels que ceux dans le
Puggalavadin, tels que les Vajjiputtakas et les
Sammitiyas, "soutenaient, à la différence des
Theravadins, qu’une personne (puggala) était
un fait réel et ultime sans posant qui, si elle
n'était ni la même comme le Khandha ni
différente d'eux, la renaissance était
incompréhensible." (Horner, ibid., p. 287). Les
Sautrântika ont jugé que la puggala est un
Khandha subtile parmi les cinq Khandhas et
c'est ce qui renaît. "Le fait de renaissance après
la mort a été accepté par toutes les sectes
bouddhistes. Elles ne différaient que par leur
attitude quant à la façon qu'elle avait lieu"
(ibid.).
Le Mysticisme Chapitre 7 Le Bouddhisme [B7_7] Page 5
La libération de la roue récurrente de la
naissance et de la mort est atteinte en atteignant
la dernière étape du nirvana ou de la liberté.
Cette connaissance profonde (l’atteinte du
Dharma c’est-à-dire la marque de l’état
d’Arhat) est effectuée uniquement par un
processus progressif de discipline. "Il n'y a pas
d'atteinte soudaine à l'exception de quelques
cas isolés, qui, comme enregistrés dans le
Canon Pali, dénotent sans aucun doute la
résolution soutenue et l'énergie dans les
naissances antérieures" (ibid., p. 289).
Il y a cinq vertus cardinales dans le
Bouddhisme : la foi, l'énergie, l'attention, la
concentration et l’équi. Celles-ci forment les
cinq puissances afin que la vertu devienne
puissance. Dans ce concept, le Bouddhisme
diffère du Christianisme seulement en ce que
l'esprit confère le pouvoir par la foi.
Bhakti comme la Foi et l'Infaillibilité
Le concept de la foi est d'abord dans la relation
Gourou-cela, ou maître-élève, et à cet égard
n’est que le prolongement de la première
pensée aryenne. Cependant, il est dit que ceci
n'est pas la bhakti (ou dévotion à une
personne). En entendant le Dharma, ou la vérité
de son maître, il doit le tester et le prouver, puis
par la résolution personnelle dans les procédés
énumérés ci-dessus, il peut réaliser le Dharma.
L'idée de tester et de prouver est sans doute un
processus d'entente plutôt que de réellement
prouver toutes choses, et c'est trop commun
dans la mentalité religieuse. Dans le
Bouddhisme, le concept de la foi (Suaddha) est
vraiment une conception que les enseignements
du Bouddha sont vrais, avant que le croyant ait
eu l’opportunité de les tester lui-même. Le
concept de l'enseignement comme un
endoctrinement a été développé dans un
système formel au sein des Indo-Aryens et,
comme examiné ailleurs, il a été constaté au
cours des cultes brahmaniques et Bhakti. Il est
également endémique dans le raisonnement
moderne relatif au culte. Le concept de foi ou
de croyance aveugle dans la relation gourou-
cela et développé à l'idée que les
enseignements du Bouddha sont vrais avant
même que l'adhérent a eu l'occasion de les
tester lui-même a été examiné par B.G.
Gokhale dans 'Bhakti in Early Buddhism' dans
Lele, J. (éd.) Tradition and Modernity in Bhakti
Movements.
Il est difficile de voir comment les savants
modernes peuvent récupérer le concept de
Bhakti dans le Bouddhisme de l'identification
de la fusion syncrétique avec le Chamanisme
animiste primitif. En effet, les tentatives qui ont
été faites pour isoler les concepts semblent
fonctionner à l'école compartimentaliste
(identifiée par Terwiel et mentionnée ailleurs,
qui comprend Wales, Amyyot Rabibhadana et
Bunnag) et bénéficient d'un soutien très agressif
et singulier dans certaines universités
australiennes. On peut soutenir que la relation
gourou-cela, que ce soit dans l'Hindouisme, le
Bouddhisme, les sectes chrétiennes, le
Soufisme islamique ultérieur, ou les formes
primaires ou syncrétique du Chamanisme, est
en soi un exercice d’esclavage et de limitation.
La conception que les enseignements du
Bouddha sont vrais, avant que le croyant a eu la
chance de les tester lui-même : développer à
partir de la prémisse que le Bouddha ou
Tathâgata a éliminé toute confusion et illusion,
d'où la réalisation de la vérité comme, "la vérité
est le Dharma" (Samyutta - Nikaya 1:169) et "la
vérité est une, il n'y en a pas une seconde"
(Suttanipatas 884). Le Tathâgata, entièrement
auto-réalisé à la puissance de son nirvana para
dans l'élément du nirvana, dans lequel aucun
des groupes pour l'existence ne reste, devient
vérité "dans cet intervalle tout ce qu'il a parlé,
déclaré et expliqué est exactement ainsi et pas
autrement". (Dighe - Nikaya iii 135) (I.B.
Horner, 'Buddhism: the Theravade' dans The
Concise Encyclopedia of Living Faiths, éd.
R.C. Zaehner, Hutchinson, London, p 283).
Par conséquent, l'infaillibilité est un attribut du
Bouddha. L'incohérence est simplement une
inadéquation de la part de l'étudiant, et non pas
du Gourou, Tathagata ou Bouddha pleinement
éveillé. Le caractère absolu de la relation
gourou-cela s’est développé parce que la
Bhakti, ou l'adoration, est essentielle pour
surmonter l'incohérence du système.
Les Arhats et l'Ascension Mystique
Il y a 37 constituants de l’état d’Arhat (ou 31 si
la voie octuple est comptée comme une seule et
1 / 11 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !