Bioch.cours
Bioénergétique. – Neel.
Grâce à la nucléotide diphosphate kinase d’autres nucléotides peuvent jouer le même rôle que
l’ATP comme donneur d’énergie :
Uridine : ATP + UDP ↔ ADP + UTP.
Guanine : ATP + GDP ↔ ADP + GTP.
Cystidine : ATP + CDP ↔ ADP + CTP.
Les principales sources d’ATP proviennent de catabolismes. C’est le catabolisme du glucose
et des acides gras qui vont permettre ce cycle. On va donc obtenir de l’énergie en dégradant du
glucose et des lipides. Que ce soit d’origine primaire (végétaux) ou secondaire (animaux), l’origine
est liée aux photons solaires (photosynthèse) qui aident à synthétiser les glucoses primaires (amidon
par exemple) et les acides gras.
Si quelques ATP peuvent directement être formés du substrat, la majorité des ATP sont
formés par l’oxydation de groupements H2 avec NAD et FAD comme coenzymes au niveau de la
mitochondrie.
La partie du métabolisme commune aux lipides, glucides et partie carbonée des acides
aminés est le cycle de Krebs (tricarboxylique ou de l’acide citrique).
Le produit d’entrée dans le cycle de Krebs est l’acétyl-CoA, qui provient de la β-oxydation des
acides gras et de la décarboxylation de l’acide pyruvique (intramitochondrial du glucose). Cette
décarboxylation est irréversible.
Une fois en acétyl-CoA, on ne pourra plus atteindre une néosynthèse des acides gras (et
jamais de sucres avec des graisses néoglucogenèse).
PEP (phosphoénol pyruvate).
Donneur de P « riche » en énergie.
Phosphocréatine
(réservoir).
Glucose-6-P
Accepteur de P « pauvre » en énergie.
Servent fabriquer
de l’ATP.
Utilise l’ATP par
couplage.
5 coenzymes : CoA-SH,
NAD, FAD, TPP, acide
lipoique.
3 enzymes : Dihydrolipoiltransacétylase.
Dihydrolipoildéshydrogénase.
Pyruvate déshydrogénase.