Tissu sanguin Tissu sanguin ................................................................................... 1 I. Généralité ............................................................................... 2 A. Aspect quantitatif ................................................................ 2 1) Généralité ....................................................................... 2 2) Formule leucocytaire ........................................................ 2 B. Aspect qualitatif .................................................................. 3 C. Les différentes lignés cellulaire ............................................. 3 1) Origine des cellules sanguines ........................................... 3 2) Technique ayant permis la découverte de l’origine des cellules sanguines ................................................................................ 3 3) Cellules souches totipotentes ............................................. 3 4) Cellules multipotentes....................................................... 4 II. Les érythrocytes .................................................................... 6 A. Erythropoïèse ..................................................................... 7 1) De la cellule progénitrice myéloïde au proérythroblaste ......... 7 2) Du proérythroblaste à l’érythrocyte .................................... 7 (a) Evolution ...................................................................... 7 (b) Aspect des différentes lignées ......................................... 7 3) Contrôle de l’érythropoïèse ................................................ 9 B. Morphologie et caractéristiques des érythrocytes .................... 9 1) Au microscope optique ...................................................... 9 2) Au microscope électronique ............................................... 9 3) Aspect quantitatif ............................................................. 9 4) Membrane du globule rouge ............................................ 10 C. Anomalie de l’érythrocyte .................................................. 10 III. Les thrombocytes ................................................................ 11 A. Morphologie ..................................................................... 11 1) Au microscope optique .................................................... 11 2) Au microscope électronique ............................................. 11 3) Aspect qualitatif ............................................................. 12 B. Rôle ................................................................................ 12 C. Maturation des thrombocytes ............................................. 13 IV. Les polynucléaires neutrophiles ............................................. 15 A. Morphologie ..................................................................... 15 B. Genèse du polynucléaire .................................................... 16 C. Rôles ............................................................................... 16 V. Polynucléaire éosinophile ...................................................... 17 A. Morphologie ..................................................................... 18 B. Genèse ............................................................................ 18 C. Rôles ............................................................................... 19 VI. Polynucléaire basophile ........................................................ 19 A. Morphologie ..................................................................... 19 B. Rôles ............................................................................... 20 VII. Mastocytes ......................................................................... 20 A. Morphologie ..................................................................... 20 VIII. Monocytes ....................................................................... 21 A. Rôles ............................................................................... 21 IX. Lymphocytes ....................................................................... 22 A. Généralité ........................................................................ 22 B. Les lymphocytes B ............................................................ 22 C. Les lymphocyte T .............................................................. 23 D. Lymphopoïèse .................................................................. 23 X. Les organes lymphoïdes ....................................................... 24 A. La moelle osseuse ............................................................. 24 B. Le ganglion lymphatique .................................................... 24 C. La rate ............................................................................ 28 D. Le thymus ........................................................................ 30 E. Les formations lymphoïdes.................................................... 32 1) Les amygdales ............................................................... 33 2) L’appendice ................................................................... 33 3) Plaque de Payer ............................................................. 33 I. Généralité Le sang est constitué de cellule en suspension dans du plasma. Les cellules sanguines représentent 40% du volume total, c'est l’hématocrite. La formule sanguine détermine la proportion des différentes variétés de globule blanc. Pour étudier, on fait un frottie sanguin coloré au MGG qui permet de distinguer les différentes variétés de globule blanc. L’hémogramme varie en fonction de l’age. A. Aspect quantitatif 1) Généralité Il y a environ 4 à 5 millions de globule rouge par ml. La concentration en globule rouge est supérieure chez les hommes que chez les femmes. Dans la circulation sanguine, il y a des réticulocyte qui sont des globule rouge immature et représentent 0,5%, c'est-à-dire 25000 cellules par ml. Les globule blanc ou leucocytes représentent 4000 à 10000 cellules par ml. Les plaquettes représentent 150 à 400000 cellules par ml. 2) Formule leucocytaire La formule leucocytaire va être exprimé soit en % ou en nombre de cellules. Les granulocyte ou polynucléaire vont être distinguer en trois variété par le MGG qui mettra en évidence les granulations. Ces granulations peuvent être neutrophiles, ce type représente 2000 à 7500 cellules. Elles peuvent être aussi basophile représentant 0 à 200 cellules et éosinophile regroupant 40 à 700 cellules. Les lymphocytes représentent 1000 à 4000 cellules. Les monocytes représentent de 200 à 1000 cellules. B. Aspect qualitatif La taille des globule rouge est d’environ 7 µm. Les lymphocyte ont une taille de 12µm. Les polynucléaires seront plus volumineux avec leur aspect particulier du noyaux. Les cellules les plus grandes sont les monocytes. C. Les différentes lignés cellulaire 1) Origine des cellules sanguines L’origine des cellules sanguines est la moelle osseuse où vont se situer les cellules souches. La production des ces cellules sanguines se fait au cours de l’hématopoïèse à partir de la moelle hématogène. Cette moelle hématogène comporte trois compartiments. On a des cellules souches qui sont dites totipotentes. Elles ont deux propriétés, elles sont capables d’autorenouvelement et elles vont donner également des cellules qui entrent en différenciation. Le deuxièmement compartiment va être constituer par des cellules souches multipotentes ou des progéniteur. Le troisième compartiment, c'est celui des cellules déterminées, c'est-à-dire des cellules qui vont entrer en différenciation terminale. Ces précurseurs ne sont pas capables de autorenouvelement. 2) Technique ayant permis la découverte de l’origine des cellules sanguines Cette cellule souche a été découverte en 1961 sur la souris. Les rongeurs ont une hématopoïèse médullaire et splénique. Ils ont irradiés des souris ce qui entraînent une aplasie médullaire, c'est-à-dire une disparition des cellules hématopoiétique. Si a ce moment on injecte à l’animal des cellules de moelles osseuse d’une autre sourie syngénique apparaît au sein de la rate des colonie cellulaires qui étaient des colonies mixtes avec les différentes cellules des différentes lignés. On a appelé ces cellules formant ces colonies les CFU - S. Une autre manière de le montrer est l’étude de certaine pathologie. Chez les patient qui présent un déficit des enzymes qui existent sous deux isoforme exprimé chez les femme. Si il y a une pathologie sanguine les cellules anormales exprimeront toutes le même isoformes, il y a donc une cellule dont dérive toutes les autres. 3) Cellules souches totipotentes Ces cellules souche totipotente n’ont pas de caractéristique particulière et ressemble beaucoup à des lymphocytes. On peut les identifier par des clusters de différenciation qui varie en fonction de l’évolution de la cellule. On sait que la cellule souche totipotente exprime le CD34 qui progressivement va être associé à d’autre marqueur et premier la CD34 lorsque elles devient totipotente. Cellule dendritique T auxiliaire Pro-T Pré-T T cytotoxique Pro-B Pré-B Lymphocyte B CLP Cellule dendritique Cellules souches Pro-Monocyte GMP CMP neutrophile Progéniteur éosinophile éosinophile Progéniteur basophile basophile Macrophage Mastocyte Plaquettes Mégacaryocyte EMP BFU-E CSH Monocyte Progéniteur neutrophile BFU-MK Moelle osseuse Plasmocyte NK Pro-NK Progéniteurs Érythroblaste Érythrocyte sang Cellules matures Représentation schématique des différents compartiments du système hématopoïétique 4) Cellules multipotentes Les cellules multipotentes sont au nombre de deux. Il y a les progéniteurs myéloïdes et les progénitures lymphoïdes. Les progéniteurs lymphoïdes vont être à l’origine des lymphocytes et les progéniteurs myéloïdes vont être à l’origine de toute l’autre cellule. (Globule rouge, polynucléaire, monocytes, plaquettes). II. Les érythrocytes L’érythropoïèse va être la fonction de l’organisme permettant le renouvellement des globules rouges permettant la production de 2,5 millions de globule rouge. Cette érythropœise va compenser l’hémolyse physiologique. A. Erythropoïèse 1) De la cellule progénitrice myéloïde au proérythroblaste A partir de progéniteur myéloïde, il va avoir un premier cellule déterminé qui va être déterminer pour la ligné érythrocytaire qu’on appelle la BFU-E qui sera à l’origine de la CFU-E non reconnaissable toutes les deux. Ces CFU-E sont à l’origine des pro-érythroblastes. Ce sont des cellules qui vont se diviser de manière dichotomique entrant dans le programme de différenciation pour aboutir à la maturation des globules rouges. 2) Du proérythroblaste à l’érythrocyte (a) Evolution On va observer une diminution de la taille cellulaire. Le globule rouge va être remplie d’hémoglobine ce qui entraîne les modification des affinité teintoriales des différentes cellules. Le proérythroblaste va être une cellule d’une taille d’environ 20 µm avec un cytoplasme basophile et nucléée. On aboutie au globule rouge qui est anucléée avec un contenu éosinophile et homogène. Les proérythroblastes vont être à l’origine des érythroblastes basophiles 1 et 2. Cet érythroblaste basophile donnera ensuite des érythroblastes dits polychromatiques. Les érythroblastes polychromatiques donneront des érythroblastes acidophiles. Ces érythroblastes acidophiles ne se diviseront plus et évolueront vers le réticulocyte qui donnera la cellule mature, le globule rouge. (b) Aspect des différentes lignées Les érythroblastes basophiles vont avoir un cytoplasme important, un noyau actif et ils sont basophiles car on trouve une quantité importante de ribosome libre. La taille au fur et à mesure va diminuer. On aboutie à ce cytoplasme polychromatique avec des plages basophiles mélangé à des plage éosinophile. L’aspect est inhomogène pour évoluer jusqu’au la cellules qui aura un cytoplasme uniquement acidophile et qui sera une cellule nucléée mais dont le noyau sera remplie d’hétérochromatine. L’érythroblaste acidophile va expulser son noyau pour donner un réticulocyte au niveau duquel on va pouvoir mettre en évidence de petite plage d’ARN et ce réticulocyte va ensuite donner des globules rouges qui seront caractérisé par un cytoplasme homogène. Un proérythroblaste va être à l’origine de 16 globule rouge et la duré de érythropoïèse va être de 6 jours. Le réticulocyte va se transformer en globule rouge dans la moelle osseuse en l’espace de 24 à 48 heures. Ce sont essentiellement des globules rouges qui passent dans la circulation sanguine avec quelques réticulocytes Dans la circulation sanguine, il a une duré de vie de 120 jours. La destruction se faisant au niveau de la moelle osseuse et au niveau de la rate et au niveau du foie et des vaisseaux eux même. 3) Contrôle de l’érythropoïèse LE contrôle de érythropoïèse va se faire par un contrôle des cellules souches et progénitrices qui constituent un contrôle global. Il y a également des facteurs spécifiques qui régulent hématopoïèse. Un des facteurs est érythropoïétine qui va être synthétisé au niveau du rein et qui va venir agir au niveau de la moelle osseuse. Les cibles de cette hormone vont être les CFU-E entraînant la prolifération et la différenciation des cellules, il y a une accélération de érythropoïèse donc une diminution du temps de transite entre les différente étapes cellulaires et cela va favoriser la sortie des cellules mature. On aura donc une insuffisance en érythropoïétine lors d’une atteinte rénale. On augmente la synthèse d’érythropoïétine lorsque on est en altitude ou lorsque ces pressions d’O2 diminuent. Il y a aussi des facteurs alimentaires comme la vitamine B12 qui intervient dans la synthèse de l’ADN. On aura alors un retard dans la maturation nucléaire et une persistance des noyaux en cas d’insuffisance. Les androgènes sont des stimulant de l’érythropoïèse de même que certaines hormones hypophysaires comme l’hormone de croissance. B. Morphologie et caractéristiques des érythrocytes 1) Au microscope optique Quand on regarde les globule rouge étalé, on voie au microscope optique que la périphérie du cytoplasme des ces cellules apparais plus dense que dans la partie centrale. Dans les petits capillaires on remarque que ces globules rouges sont empilés. 2) Au microscope électronique En microscope électronique, un globule rouge coupé transversalement présente une cellule biconcave ce qui explique la densité en microscope optique en périphérie. Le cytoplasme de cette cellule anucléée est un cytoplasmique homogène finement granuleux dans laquelle on ne trouve aucun élément cellulaire. 3) Aspect quantitatif Ce que contient ce globule rouge s’est essentiellement de l’hémoglobines que l’on peut doser dans la circulation sanguine avec environ 13g par ml et une concentration plus élevé chez l’hommes que chez la femme. Pour ce globule rouge on a un certain nombre de caractéristique Le volume du globule rouge est d’environ 80 à 100 µm et d’autre par on va pouvoir détermine la concentration en hémoglobine. On détermine la ceci par la teneur corpusculaire moyenne en hémoglobine qui va être le rapport entre la concentration d’hémoglobine et le nombre de globule rouge. Donc une quantité par nombre de globule rouge ce qui représente environ 30 picogramme par globule rouge. On va détermine un autre facteur qui est la concentration corpusculaire moyen qui est le rapport entre la quantité de hémoglobine et le volume du globule rouge ce qui représente 30 à 35%. 4) Membrane du globule rouge La membrane du globule rouge va porter les antigènes du système ABO. La membrane cytoplasmique est liée au cytosquelette intracellulaire par l’intermédiaire des interactions spectrine et actine. Par l’intermédiaire de la spectrine, le globule rouge va pouvoir présente une déformabilité important. Ce qui lui permet de passer au travers de petit capillaire de 2 à 3 µm. Plus le globule rouge avance en age moins il va pouvoir se déformer. On peut entraîne une hémolyse en placent le globule rouge dans un milieu hypotonique. Au niveau de la membrane des globule rouge on va trouver des pompe qui ont pour rôle d’expulser le sodium et d’empêcher l’eau de rester au niveau du cytoplasme pour maintenir une pression élevé Les modification de concentration vont avoir un impacte important. C. Anomalie de l’érythrocyte La diminution des globules rouges est une anémie. Si on n’a pas assez de globule rouge, cela peut être une anomalie de la production des globules rouges. C'est l’insuffisance en vitamine B12 qui aboutie à une anémie. On peut avoir également une anomalie de la synthèse de l’hémoglobine. Si on a pas suffisamment de fer on aura une diminution de globule rouge. Si on est en présence d’une maladie rénal on aura insuffisamment de production de globule rouge. A l’opposé les globule rouge sont détruis normalement au niveau de la moelle osseuse et de la rate par l’intermédiaire de macrophage. On peut donc avoir une destruction excessive qui constitut une hémolyse lorsque le globule rouge est normale. La membrane peut également être attaque. Les globules rouges peuvent rencontrer des obstacles qui les détruisent notamment lors de pose de valve cardiaque. Il y a des parasites qui peuvent infecté les globules rouges comme le paludisme. Il y a des antigène en surface de ‘organisme qui peuvent produire une réaction contre le système ABO ce qui entraîne des immunisation par transfusion. III. Les thrombocytes A. Morphologie 1) Au microscope optique Les plaquette sanguines ou thrombocyte sont de petit élément cytoplasmique d’une taille de deux à cinq µm. En microscope optique, ce sont des petits élément anucléée qui vont présente une partie centrale qui apparais granuleuse et coloré avec une partie périphérique dépourvue de granulation qui apparaît homogène. La partie centrale constitue la granulomère et la partie périphérique constitue le hyalomère. 2) Au microscope électronique En microscope électronique, ce sont des plaquettes sanguines non actives que l’on regarde. Elles ne sont pas en homéostase. Ce sont des disques aplatis. Si on regarde une coupe qui passe au centre du disque, on observe que la partie centrale va comporte des éléments cytoplasmiques et des granules qui vont être de deux forme. Il y aura des granules qui apparaissent denses et des granules qui apparaissent inhomogène, ce sont les granules α. On a en plus des lysosomes. La périphérie va être occupé par le cytosquelette représenter par des microtubules présents tout autour de ces plaquettes dans le hyalomère. Si on fait une coupe longitudinal on voie qu’il y a des invaginations de la membrane au centre et la périphérie comporte les coupes transversales qui maintiennent la forme de ces plaquettes. Les granules α et denses contiennent des facteur qui interviennent dans la physionomie. Les granules α contiennent le facteur Von Wild Brand secrété aussi par les cellules endothéliales. Des autres facteurs interviennent dans la coagulation comme le fibrinogène ou des facteur de croissance comme le DGF qui a un rôle mitogène sur les cellules endothéliales Les granules denses vont sécréter de la sérotonine de l’ADP et des ions calciums. 3) Aspect qualitatif Ces plaquettes vont avoir une durée de vie de 10 jours. Ils vont être dégradé au niveau du foie et de la rate où il sera phagocyte par des macrophages. B. Rôle Les plaquettes vont intervenir dans le mécanisme de l’hémostaseprimaire. L’hémostase est l’ensemble des phénomènes qui interviennent lors de l’arrêt d’une hémorragie lorsqu’il y a une plaie vasculaire. L’homéostase va passer par deux stades. L’hémostase primaire et suivie d’une hémostase secondaire. L’hémostase primaire aboutie très rapidement après la plaie du vaisseau sanguin. -> formation d’un clou plaquettaire ou XXXXXXblanc, suivant à la secondaire, aboutisse au trobus rouge \o/ A l’état normal, l’endothélium ne permet par la formation d’un clou plaquettaire. Il y a des facteurs inhibant cette formation. C'est seulement si il y a un démasquage du sous endothélium qu’il y a de l’homéostase primaire. Lors de l’hémostase il y a d’abord une vasoconstriction du vaisseau qui est un réflexe, essaye de limiter l’hémorragie. La première étape va être une adhérence plaquettaire mais particulière cette adhésion, lorsque l’endothélium est intact il n’y a pas d’adhésion plaquettaire, elle se fait uniquement lorsqu’il y a eu une plaie, c'est-à-dire lorsque les cellules endothéliales ont disparu et que le sous endothélium a été dénudé. Cette adhérence plaquettaire va se faire par l’intermédiaire du facteur Von Wild Brand qui circule dans le plasma. Il est produit par les cellules endothéliales et également les plaquettes. Ceci va activer les plaquette c'est-à-dire une activation plaquettaire. Cette activation plaquettaire entraîne une réorganisation de la plaquette. On a une modification du cytosquelette, des microtubules, une augmentation de adhérence des plaquettes entre elles et au sous endothélium ainsi que l’exocytose du contenu des granules activant d’autre et entretenant ce phénomène de vasoconstriction. Il y a également exocytose des facteurs des grains α intervenant dans l’hémostase. Ces plaquettes activé vont pouvoir s’agrégé, c'est ce qu’on appelle l’agrégation plaquettaire qui fait intervenir des intégrine apporter à la surface des plaquettes. Ces plaquettes s’agrégent par des liens grâce à des protéines dont le fibrinogène. C. Maturation des thrombocytes Les plaquettes vont être formées dans le cadre de la ligne mégacaryocytaire. Ils vont dévier du progéniteur myéloïde. Les cellules de cette ligné vont comporter les mégacaryoblaste qui va se caractériser par des mitoses particulières car il y a synthèse d’ADN sans division cellulaire. On va passer à un noyau complexe polylobé. On aboutie souvent à 16n. Ceci va donner le mégacaryocyte. On va voir apparaître en même temps des granulations ce qui aboutira à un mégacaryocyte thrombocytogêne, c'est-à-dire formant des plaquettes. Cette cellule émet des prolongements qui passent entre les interstices des cellules endothéliales à partir desquelles vont se détacher des fragments cytoplasmiques qui sont les plaquettes. Cette cellule va produire 2000 à 4000 thrombocytes. IV. Les polynucléaires neutrophiles Les globule blanc ont leur activité localise dans le tissu conjonctif banal ou spécialisé au niveau des organes lymphoïdes. A. Morphologie Le polynucléaire neutrophile joue un rôle fondamental dans la défense de l’hote contre les microorganismes et joue un rôle dans les réponses inflammatoires lorsque elles sont exagérées ou inappropriés. C'est une cellule qui mesure 12µm qui est caractérisée par un noyau lobé (3 lobes généralement). En microscope optique on a des granulations qui apparaissent très peu colorées. Les lobes apparaissent avec la maturation de ce polynucléaire. Lorsque il sort de la moelle osseuse son noyau apparaît d’abord comme une bande. Quand on regarde au microscope électronique, on n’arrive pas à distinguer différents types de granulations. ON voie des granulations entourées par une membrane. Le noyau a une hétérochromatine importante, la zone golgienne est localisée au centre avec le diplosome de la cellule. Les granulations neutrophiles sont les granules spécifiques de ce polynucléaire. Elles vont contenir des produits antibactériens comme le lysosomes ou des défensines. On peut trouver quelques granulations qui sont azurophiles. Ces granulation azurophiles ou primaire correspondent à des lysosomes contenant des enzymes lysosomiales. Le polynucléaire neutrophile va circuler dans le sang pendant 1 jours environ. Il passe ensuite dans le tissu conjonctif où il passe quelques jours. Il va exercer son rôle ou entrer en apoptose. Il ne retournera pas dans la circulation sanguine. B. Genèse du polynucléaire Les polynucléaires neutrophiles sont formés au niveau de la moelle. A partir de la cellule souche granulocyte monocyte (CSF-GM). A partir des ces cellules va se former la ligné des monocyte et des polynucléaire neutrophiles. Le myéloblaste va être une grande cellule de l’ordre d’environ 25µm avec un rapport nucléoplasmique élevé et un nucléoplasme basophiles. On voie apparaître dans ces cellules des granulations primaires. L’évolution va être la synthèse des granules puis la diminution de la taille du noyau et de la cellule. Le myéloblaste se divise en promyélocyte qui donne le myélocyte puis le métamyélocyte et enfin le polynucléaire neutrophile. On passe d’une taille de 25µm à 12µM et on a synthèse de granulation primaire puis secondaire. La maturation cellulaire dure quelques jours. Le polynucléaire va ensuite passer dans la circulation sanguine. Dans la moelle on va avoir un pouls de stockage de polynucléaire neutrophile qui peut être mobilisé à la demande. Ce pouls correspond à 10 à 20 fois la quantité circulante. C. Rôles Dans la circulation, on a deux pouls de polynucléaire, ceux qui circulent et qu’on aura dans l’homéogramme et ceux qui adhèrent à l’endothélium notamment au niveau des pole veineux des capillaires. Ce sont des cellules qui interviennent dans la défense contre les infections bactériennes et fongiques. Il faut que le polynucléaire passe les vaisseaux, c'est la diapédèse et ensuite il faut que ce polynucléaire puisse s’attaquer au microorganisme. Dans la diapédèse, beaucoup de molécules d’adhérences interviennent. Le polynucléaire va adhérer en deux phases à l’endothélium vasculaire. La première phase est une adhérence qui fait intervenir des sélectines reconnues par certain motif sucré porté par le globule blanc. A ce stade ce sont des interactions mobiles qui font que le polynucléaire va rouler sur l’endothélium. A une phase ultérieure, il va y avoir une adhérence plus stable par intermédiaire de CAM et d’intégrine qui va immobiliser le polynucléaire sur endothélium. C'est à cette phase que le polynucléaire va traverser dans l’interstice qu’il a provoqué entre des cellules endothéliales et passer dans le tissu conjonctif. Il va rejoindre dans le tissu conjonctif le foyer d’infection par lequel il va être attire par un mécanisme qu’on appelle le chimiotactisme. Il y a un gradient de facteur chimiotactique produis par les cellules de défense qui s’y trouvaient déjà et par les microorganismes eux-mêmes. Le polynucléaire va avoir pour rôle de détruire le microorganisme. Cette destruction fait intervenir deux types de phénomène. Le premier type est la microphagocytose qui nécessite un mécanisme d’opsonisation. Il se forme alors un phagosome où les enzymes lysosomiales vont être déversé. Certain microorganisme peuvent empêcher leur destruction dans le phagosome. Le deuxième type de mécanisme utilise l’O2. En effet à la surface du polynucléaire vont se former des dérivés réactifs de l’O2 qui sont des précurseurs de l’eau oxygénée. Cela se forme à la surface de la membrane cytoplasmique. Cela va se trouver dans le phagosome ensuite. Soit la phagocytose n’est pas importante et le microorganisme meurt. Soit, tout les mécanisme utilisés pour détruire le microorganisme vont détruire le polynucléaire par nécrose déversant son contenu dans la matrice extracellulaire entraînant la formation du pu. La polynucléaire intervient également dans les réaction immunitaire et l’inflammation car il libère des facteur lipidique qui entraînent avec d’autre facteur des systèmes inflammatoires. V. Polynucléaire éosinophile A. Morphologie Les polynucléaires éosinophiles sont des cellules qui font 12 à 16 µm. Ils sont caractérisés par un noyau bilobé. Elles ont des granulations éosinophiles très brillantes. En microscope électronique, ce sont des grandes granulations qui apparaissent ovalaire avec une structure cristalloïde au centre. Cet aspect correspond à un éosinophile qui n’a pas été activé. B. Genèse Dans ces granulations on trouve des granulations spécifiques. Le polynucléaire éosinophile à des récepteurs pour les IgE. Ce polynucléaire éosinophile va dériver de la cellule myéloïde qui donnera la cellule déterminée spécifique qui est la CFU-éosinophiles à l’origine du premier précurseur identifiable. On aura le myéloblaste éosinophiles puis tout les intermédiaires comme pour les autres polynucléaire jusqu’au polynucléaire éosinophiles C. Rôles Les polynucléaire éosinophiles lorsque il est formé va passer dans la circulation sanguine ou ‘il séjourne une journée et va passer dans les tissu conjonctif. Ces polynucléaire éosinophiles ont des préférence pour les tissu conjonctif qui ont un contacte avec le milieu extérieur. Les polynucléaires éosinophiles ont un rôle contre les infections parasitaires. La cellule va passer par diapédèse comme pour le polynucléaire neutrophile. Ces polynucléaires éosinophiles ne sont pas capables de phagocytose. Il faut donc que ces éosinophiles déversent à l’extérieur, au contacte des parasites, les facteurs destiné à détruire les parasites. Le polynucléaire va mourir par apoptose et être phagocyté par les macrophages. La protéine majeure basique (MBP) est toxique pour les parasites et va stimuler d’autres cellules dont les polynucléaire basophiles et entraînent la libération de facteur comme l’histamine. Ce polynucléaire éosinophiles va aussi excréter des facteur pour attire les plaquettes. Le rôle de l’éosinophile a une implication dans la destruction des parasites et va intervenir dans les mécanismes d’hypersensibilité (avec les polynucléaire basophile et le monocyte) et enfin dans la résistance aux tumeurs. VI. Polynucléaire basophile A. Morphologie Les polynucléaire basophiles vont correspondre à une population cellulaire qui se rapproche des mastocyte et qui est mal connu. Ce sont des cellules qui présentent un noyau bilobé. Des granules présentent une métachromasie au bleu de toluidine. Parfois ces granules recouvrent entièrement le noyau. B. Rôles Ces granules vont contenir de l’héparine avec du chondroïtine sulfate. On va retrouver des récepteurs au IgE et des récepteurs pour les IgG. Ces cellules sont produites comme les autres au niveau de la moelle osseuse à partir du précurseur myéloïde selon une ligné spécifique au basophile. Les précurseurs passant au même stade que les autres polynucléaire. Le basophile va rester quelques jours dans la circulation sanguin et va passer dans le tissu conjonctif par diapédèse. L’action est similaire à celle du mastocyte lorsque le polynucléaire est activé, il va libère des facteur chimiotactiques pour les polynucléaire éosinophiles et neutrophile. Il va aussi avoir une réponse inadéquate à des antigènes qu’on appelle des allergènes. Il y a des IgE produis par des plasmocytes qui viennent se fixer sur la membrane des mastocyte et des polynucléaire par des récepteur au IgE. Si la personne est en présence de antigène spécifique celui-ci va être reconnue par des immunoglobuline et on va avoir un activation des basophiles et des mastocytes entraînant la libération des facteur contenu dans les granules avec la libération d’histamine ou encor la libération d'héparine. L’histamine entraîne la contraction des muscles lisses des voies respiratoires et muscles lisses des voies intestinales et une vasodilatation. L’héparine est lui un facteur anticoagulant. Il y d’autre facteur qui entraînent des agrégation plaquettaires. Il y également des enzymes qui actives la collagénase et qui induisent la sécrétion de mucus. VII. Mastocytes A. Morphologie Les mastocytes sont vraisemblablement différents des polynucléaire basophiles. Ce sont une population cellulaire qui a pour départ la cellule souche hématopoïétique. Ils vont se loger dans les tissu conjonctif et notamment autour des vaisseaux pour y rester contrairement au polynucléaire basophile qui reste quelques jours avant de mourir. VIII. Monocytes Les cellules mononuclée comme les monocytes ont leur origine à partir de la cellule myéloïde qui donne le précurseur CFU-GM. Le monoblaste se divise pour donner le pro monocyte à l’origine du monocyte qui quittera la moelle osseuse. En l’espace de 1 à 2 jours les monocytes sont produits. Ils passent dans la circulation. Ils sont très peu différenciés avec un noyau parfois réniforme. C'est une grande cellule de l’ordre de 20 µm. A. Rôles Ce monocyte va à nouveaux passer dans le tissus conjonctif et c'est la que la cellule va se différencier de manier définitive et donner des macrophages. Le rôle des ces monocytes est la phagocytose, l’autre rôle, c'est un rôle dans la défense immunitaire. Cette cellule va avoir différente action, l’une va être la présentation de antigène aux lymphocytes, l’autre va être la production de cytokine qui agissent sur d’autre cellule du système immunitaire. Notamment des interleukines qui entraînent les activations des lymphocytes T, la fièvre, l’hématopoïèse ou encor la production de facteur chimiotactiques. Le macrophage à également un rôle important dans la défense antitumorale entraînant une nécrose. Ce sont également des cellules capables de phagocyter des cellules tumorales qui ont été opsonisé. IX. Lymphocytes A. Généralité Les lymphocytes constituent dans la circulation sanguine une population hétérogène. Au deux extrémité on aura d’une part de petit lymphocyte ou la taille de lymphocyte est à peine plus grande qu’un globule rouge avec un cytoplasme qui est peu abondant et basophile. On parle de petit lymphocyte qui représente la grande majorité des lymphocytes. D’autre part de grand lymphocyte qui est une taille de 12µm avec un cytoplasme plus développé existent. Ces grands lymphocytes ont un noyau excentré. Il y a deux types de lymphocyte circulant. Il y a les lymphocytes qui viennent d’être produit par les organes centraux pour aller dans des organes lymphoïdes secondaire ou le tissu conjonctif et il y a des lymphocytes venant des organes lymphoïdes Tout ces lymphocyte correspond à trois catégories qui sont les lymphocytes B, lymphocyte T et les lymphocytes nK. Les LNK sont très mal connu. B. Les lymphocytes B Les lymphocytes B circulant vont correspondre à une petite proportion des lymphocytes (10 à 15%). Pour les reconnaître, il faut utiliser des marqueurs spécifiques. On a la présence d’immunoglobuline à la surface de la cellule. Ces immunoglobulines réceptrices sont essentiellement des IgM et IgE. On trouve très peu de lymphocyte qui exprime des IgA et IgG dans la circulation sanguine. Ces lymphocytes vont exprimer à leur surface des antigènes du complexe majeur d’histocompatibilité II. Il y a des récepteurs pour le fragment constant des IgG. Le terme B vient de bursodépendant par rapport à la bourse des oiseaux. C. Les lymphocyte T Les lymphocytes T vont être caractérisé par un récepteur qui sera le TCR constitué de deux chaînes. Il y a deux variétés de TCR, les δ/Δ et la α/β. Les lymphocyte T auxiliaire ou helper auront un cluster CD4+ qui vont reconnaître des antigènes. Il y a deux sous catégories, les Lymphocyte qui interagissent avec les Lymphocyte B pour les aider à ce multiplier et d’autres qui agissent avec les macrophage pour les aider à détruire les agents pathogènes. Les lymphocytes T cytotoxiques sont CD8+. Ils vont reconnaître des antigènes qui se trouvent dans la cellule et qui seront présenté par le complexe majeur d'histocompatibilité I. D. Lymphopoïèse LA lymphopoïèse va présenter différentes étapes, c'est-à-dire la multiplication des lymphocyte T, l’activation de gènes des récepteur T ou B, l’expression des récepteur à la surface cellulaire, l’élimination des B ayant des récepteur reconnaissant les antigène du soi et pour les T la différenciation CD8+. La lymphopoïèse va se faire dans les organes lymphoïdes centraux ou primaires. Les organes lymphoïdes primaires sont représentés par le thymus et la moelle osseuse. Le départ de la lymphopoïèse se fait dans la moelle osseuse à partir de précurseur lymphoïde Les Lymphocyte B vont être formé entièrement au niveau de la moelle osseuse et sorte comme des Lymphocyte B ayant acquit leur différenciation et vont aller dans les organes lymphoïdes secondaires. Les lymphocytes T vont quitter la moelle osseuse sous forme de Lymphocyte pré T et vont aller coloniser le thymus. C'est dans le thymus que les lymphocytes T vont acquérir leurs caractéristiques. Ils sortiront du thymus sous forme de lymphocyte T immature pour les organes lymphoïdes secondaires. Les organes lymphoïdes secondaire sont la rate, les ganglions lymphatiques et des zones associées à la muqueuse. Tout c'est organe vont avoir un charpente de tissus réticulé sauf au niveau du thymus ou nous auront une charpente épithélial. Il s’agit de fibroblaste qui va synthétiser de fine fibre de collagène que l’on appelle fibre réticulée qui a la caractéristique de former un réseau que l’on voie bien en imprégnation argentique. Les cellules vont se plaquer sur les fibres de réticuline. X. Les organes lymphoïdes A. La moelle osseuse La moelle osseuse hématopoïétique va être responsable de l’ensemble de la formation des lignés cellulaire sanguins. Elle va être localisé au niveau des tissus osseux spongieux. On la trouve au niveau du sternum, dans la voûte du crâne au niveau du diploé, on trouve également à la crête iliaque et au niveau des épiphyses. La moelle osseuse comporte différents secteurs. On a un secteur vasculaire, un secteur extracellulaire qui contient le stroma et les lignés hématopoïétique. Le secteur vasculaire va être constitué par des sinus veineux c'est-à-dire des vaisseaux de type capillaire irrégulier porter par un endothélium qui ne porte pas de lame basal contenu autour des ces cellules endothéliale. On a des cellules de type contractile que l’on appelle des cellules adventitielles. Avec le secteur extravasculaire, on va trouver le stroma, il y a un fond constitué par le tissu réticulé. On va y trouver des adipocytes qui sont des éléments important pour l’hématopoïèse. On trouve également des cellules immatures que l’on appelle des cellules stromales qui sont des précurseurs des cellules du stroma. C'est la dedans que vont être logé les ligné cellulaire. B. Le ganglion lymphatique Les ganglions lymphatiques sont des organes lymphoïdes secondaire donc effecteurs. Ils vont être placé sur la circulation de la lymphe en direction du système veineux. ON aura trois région, une cortical, une paracortical et une médullaire séparer par des travée conjonctives. Entre ce qui est conjonctif et lymphoïdes circule la lymphe jusqu’au hile. Le ganglion a souvent un aspect réniforme. L’ensemble est entouré par une capsule conjonctive. Elle envoie des travers conjonctifs à l’intérieur du ganglion. La capsule s’épaissi dans la région du hile. Cette capsule va être perforé au niveau de la face convexe par l’arriver des vaisseaux lymphatiques afférents et au niveau du hile vont sortir les vaisseaux efférents. A intérieur du ganglion vient se fixer le tissu réticulaire. Sur ce tissu réticulaire se rajoute les autres éléments notamment lymphoïdes. Entre les vaisseaux afférents et efférents on aura les chemins de la lymphe. Il comporte un sinus sous capsulaire, des sinus corticaux le long des travées et enfin un réseau de sinus médullaire. La lymphe va s’écouler de la partie périphérique au lymphatique efférente. Dans ces sinus on a également des charpentes réticulaires. Les vaisseaux lymphatiques afférents possèdent des valvules qui empêchent les retours de la lymphe. Ce sont des expansion de l’intima conjonctive bordé par des cellule endothéliales. Les formations lymphoïdes découpent le ganglion en zone cortical, paracortical et médullaire. A ces trois niveaux on aura une organisation différente. Au niveau cortical, on aura des follicules, au niveau paracortical des nappes et au niveau médullaire des cordons. Au niveau cortical on aura des follicule lymphoïdes primaire qui apparaissent homogène constitué de petit lymphocyte. On aura aussi des follicules secondaires contenant essentiellement des Lymphocyte B, elles sont appelées B dépendante. Le follicule secondaire va comporte deux région, une région périphérique qui apparaît très dense en regarde de la zone capsulaire qui constitue une coiffe de petit lymphocyte. La région centrale constitue le centre germinatif lui-même subdivisé en zone sombre ou on a une densité en cellule importante et où l’on observe des mitoses et une zone claire ou il y a beaucoup moins de lymphocyte. La région paracortical est formé par les nappes lymphoïdes apparaissant relativement dense. Elle comporte des lymphocytes T, c'est donc une zone T dépendante. On y trouve des cellules interdigitées présentatrices antigène. On va également y trouver des veinules particulières qui sont post capillaire à endothélium long (cubique). Pour mettre en présence ces autres cellules il faut faire de l’immuno marquage. Les cordons médullaires sont plus hétérogènes. A coté des Lymphocyte B, on trouve des macrophages et des plasmocytes entre autres. Les artérioles vont aborder le ganglion au niveau du hile remontant en direction de la zone cortical ou ces artérioles vont se résoudre en capillaire. Sur le retour veineux, dans la zone paracortical, il y a une différenciation particulière qui constitue des veinules post-capillaires. Les veines sortiront parallèlement aux artérioles au niveau du hile. Le ganglion lymphatique va constituer un filtre sur la circulation sanguine. Les cellules tumorales peuvent être arrêté au niveau du ganglion et prolifère provoquant des métastases ganglionnaires. Le ganglion va constituer une barrière biologique. Le deuxième rôle est un siège de réponse immunitaire avec des rôles spécifiques pour les deux grandes régions, la zone T dépendante et la zone B dépendante. En dépletant en lymphocyte T par thymectomie le ganglion apparaîtra avec seulement une zone corticale. Il y a deux types de réponses immunitaires, la réponse cellulaire et humérale. Dans la réponse cellulaire, on va avoir deux phase, une d’activation où une cellule présentatrice d’antigène va présenter au lymphocyte T cytotoxique un antigène modifié associé à la complexe majeur d'histocompatibilité I. ceci permettant la prolifération des lymphocyte T cytotoxique. Ceci est suivi de la destruction de la cellule infectée. Ces complexes majeurs d'histocompatibilité vont présenter des peptides à la surface de la membrane pour les présenter au Lymphocyte notamment au lymphocyte T qui ne sont capable de reconnaître antigène que dans ce cas. Parmi les deux classes de complexe majeur d'histocompatibilité, complexe majeur d'histocompatibilité I est une glycoprotéines quasiment ubiquitaire, s’unissant dans la cellule avec des peptides endogène. Le complexe majeur d'histocompatibilité II se présentent surtout sur les cellules présentatrices antigène (dendritique…). Ces deux classes vont suivre des voies différentes dans le cas de la complexe majeur d'histocompatibilité I, la protéine va fixer un peptide qui proviens de la dégradation de peptide qui est trouver à intérieur de la cellule, dans des endo protéines. Et ces fragments vont être pris en charge par le complexe majeur d'histocompatibilité I pour aller à la membrane cytoplasmique. L’exemple est celui des virus. Les complexes majeurs d'histocompatibilité II sont des peptides issus de la dégradation des protéines exogène qui sont entré dans la cellule par endocytoses. Dans ce cas, antigène et le complexe majeur d'histocompatibilité II vont se rencontrer dans le compartiment endosomique pour retourner à la membrane cytoplasmique. La réponse humorale aboutie à la production d’anticorps par les Lymphocyte B différencier. C'est un réponse à des antigène dit thymodépendant. Il y a des antigène qui sont dis thymo indépendant et qui vont directement sans passer par des lymphocyte T activer la production des anticorps par les Lymphocyte B. C'est le cas des parois bactériennes (glyco saccharides). Ce sont des Lymphocyte B à sécrétion d’anticorps IgM et qui n’aboutissent pas à une trace mnésique pour évoluer vers les Lymphocyte mémoires. Les antigènes T dépendant présente une participation des lymphocytes T auxiliaire dans le cadre d’une coordination B/T. Dans ce cas les Lymphocyte B vont être les cellules effectrices d’anticorps mais également des cellules présentatrices antigène au lymphocyte T. Les lymphocytes à leurs tours vont s’associer au Lymphocyte B aboutissant à la multiplication de lymphocyte T et la différenciation de ceux-ci. La première réaction se localise au niveau de la zone paracortical T dépendante. Ces lymphocytes T sont activés par les cellules dendritiques interdigitées qui sont des cellules présentatrice d’antigène. Ces cellules dendritiques proviennent des tissus périphérique qui empruntent les vaisseaux lymphatique pour arriver dans le ganglion par les vaisseau afférent qui aborde la face convexe et qui vont se loger au niveau des zones paracorticales. La cellule de Langerhans est localise au niveau de l’épiderme de la peau. Cette cellule doit rejoindre le ganglion lymphatique. Cette cellule provient de la même cellule hématopoïétique. Cette cellule va sortir de la moelle osseuse et rejoindre la peau. C'est une cellule mobile qui balaye la zone moyenne de l’épiderme à la recherche antigène. Dans l’épiderme elle va se trouver sous la forme d’une cellule immature. Si elle rencontre un antigène, elle va traiter l’antigène. A ce moment elle va passer dans le chorion (derme) pour passer dans les vaisseaux lymphatiques et elle suivra le lymphatique pour aboutir à la zone paracorticale. Les Lymphocyte B de la zone paracortical on capté antigène et c'est Lymphocyte B vont être activé au contracte de lymphocyte T axillaire A ce moment les Lymphocyte B stimulés vont passer dans le follicule lymphoïde ou ils vont se multiplier et acquérir la capacité de produire des immunoglobulines spécifiques de l’antigène. Dans la zone sombre du follicule on va observer multiplication des Lymphocyte B activé qui vont constitue les centro blaste qui évolue en centrocyte. Au niveau des centrocyte il va y avoir une solution des clones lymphocytaire pour que seul soit produit des Lymphocyte B ayant des immunoglobulines à forte affinité. Les autres clones sont détruis. On a au niveau de centre clair, la cellule dendritique folliculaire. C'est une cellule capable de maintenir à la surface des antigène de tel sort qu’il sois au contacte suffisamment longtemps avec les centrocytes pour qu’il passe un teste. Si il n’y a pas de signal de survie activé, ces cellules vont entrer en apoptose et être phagocyté par des macrophages. Les cellules Lymphocyte B vont partir par les canaux efférents. Il y a deux types de Lymphocyte B, ceux totalement différencié qui vont aller vers le tissu conjonctif et devenir des plasmocytes et des Lymphocytes B mémoires. Les cellules interdigitées dégénère ensuite sur place et entre en apoptose. Par les vaisseaux lymphatiques afférents arrivent des cellules interdigitées et des lymphocytes. Il y a une autre d’entrer représenter par des veinules post-capillaire à endothélium haut qui comporte des molécules d’adhérences spécifique et notamment des Lymphocyte « naïfs » qui n’on pas été en contacte avec antigène .La sortie se fait toujours pas les canaux efférents. C. La rate On voie sur la rate deux zones différentes au niveau du parenchyme splanchniques. Une partie très rouges d’où du sang se dégage et une partie parenchymateuse. On parle de pulpe rouge et blanche. Si on regarde une coupe, on voie que la rate est entourée d’une capsule que l’on retrouve dans le parenchyme. Ce parenchyme comporte deux régions. Des régions apparaissant très dense parce que elles contiennent de nombreux lymphocyte et d’autre part un réseau complexe qui occupe le reste du parenchyme. Les régions denses en lymphocytes constituent la pulpe blanche et les régions formées par ces cordons, la pulpe rouge. En ce qui concerne la travée conjonctive on a deux éléments, ces éléments sont constitués par des fibres de collagène associé à des fibres élastiques. Ils vont jouer un rôle dans la capacité de distorsion. On retrouve également quelques cellules musculaires lisses. Au niveau du parenchyme, la trame réticulaire est constituée de fibres de réticulines. Sur cette trame réticulaire il va avoir le tissu lymphoïde qui se divise en pulpe rouge et blanche. La pulpe blanche sera centrée par une artériole. On distingue que les gaines lymphoïdes péri artériolaires et des zones plus volumineuses qui constituent les capsules de Malpighi. Au niveau de artériole, on aura l’intima, autour une à deux couche de cellule musculaire lisse qui constitue la média et l’adventis va être complément infiltré de lymphocyte constituant cette gaines lymphoïde péri artériel. Ce sont principalement des lymphocytes T et des cellules interdigitées que l’on trouve. Le corpuscule de Malpighi va être constitué par des amas de Lymphocyte qui se placent en dérivation des gaines. Ils correspondent souvent à un follicule lymphoïde secondaire. On voie le centre germinatif avec la zone sombre et claire et le manchon de lymphocyte. Ce sont ces corpuscules de Malpighi que l’on voie sur une coupe au microscope optique. On y retrouve les mêmes éléments que dans le follicule des ganglions lymphatiques. On trouve donc essentiellement des Lymphocyte B associé à des lymphocyte T et des macrophages et une cellule spécifique que l’on appelle la cellule dendritique folliculaire. La pulpe rouge va occuper la plus grande partie du parenchyme et va comporter deux éléments. Des cordons cellulaires de Billroth et des vaisseaux sanguins qui sont des capillaires sinusoïde. Les capillaires sinusoïdes sont larges et irréguliers. Les cordons de Billroth sont constitués par la trame de réticulines sur laquelle se rajoute des cellules. On retrouve toutes les cellules sanguines telles qu’on les trouve dans la circulation. On va avoir des globules rouges, les différentes variantes des globules blancs, les cellules monocytaires et des Lymphocyte. A ces cellules sanguines s’ajoutes des plasmocytes avec leur noyaux en roue de charrette et leur cytoplasme basophile. On trouve également en plus de nombreux macrophage. Ils contiennent des dépôts qui apparaissent jaune brunâtre à l’éosine ce qui correspond à des dépôts d’hémosidérines. Ces dépôts correspondent à la présence de fer. Ces capillaires sinusoïde vont être caractérisé par une lame basale qui est discontinue et la présence de fibres de réticulines qui forme une sorte d’annaux autour du capillaire sinusoïde coupé transversalement. Les cellules endothéliales ne constituent pas un revêtement pavimenteux mais vont être constitué par des cellule allongé dans le grand axe du capillaire sinusoïde avec un noyaux ovalaire ou arrondie et avec la présence dans la partie basale de fibres de stresse comme pour les fibroblastes. Ces cellules sont disjointes, elles ne présentent que quelques zones de jonctions laissant des interstices qui ont de deux à trois µm. Cette structure s’explique par la vascularisation de la rate. Au niveau du hile, l’artère splanchnique se subdivise et donne des artérioles qui cheminent dans les cloisons conjonctives. Ces artérioles travéculaire vont quitter les travée et entrer dans le parenchyme splanchniques C'est la ou elles vont se charger en lymphocyte pour constitué les gaines lymphoïdes péri artérielles avec de place en place la présence des corpuscule de Malpighi. A leur extrémité les artérioles sont entrées dans la pulpe rouge après s’être subdivisé en artère péricilé qui présente à leur extrémité de petits renforcements qui correspondent à un manchon de macrophage. On a ensuite une différences, ces artérioles sont se jeter à plein canal dans les cordons de Billroth. C'est à partir des cordons que ces cellules vont traverser la paroi des capillaire sinusoïde pour entre dans la lumière des sinusoïde et suivre le chemin habituel, c’est-à-dire les vaisseaux veineux en direction des travée et du hile. On appelle le tout, la circulation ouverte. A cotes il y a quelques capillaires qui se terminent par des sinusoïdes L’autre rôle est l’épuration sanguine permanente. Ceci vis-à-vis des globules rouges vieillis mais également vis-à-vis des plaquettes et d’autres éléments sanguins. La destruction des globules rouges qui se fait aussi au niveau de la fois se fait par des macrophages. Le globule rouge va stagner plus facilement au niveau des cordons à cause de sa moindre plasticité. Il va y avoir libérations de l’hémoglobine et donc de hème .L’hème va être dégradé en bilberdine, en CO et en fer ferreux. Ce Fer ferreux peut être relargué par les macrophages passer dans la circulation sanguines mais il peut également être stocké dans le macrophage sous forme de ferritine où alors sous la forme de complexe plus volumineux à l’origine des dépôts d’hémisidérines vu au microscope optique. Ces macrophages vont également capturer l’hémoglobine qui circulent et qui provient de la destruction intravasculaire des globules rouges. Au niveau des macrophages, il y a des récepteurs qui captent l’hémoglobine. D. Le thymus Le thymus est l’organe lymphoïde central à l’origine de la production des lymphocyte T. cette production se poursuite tout le long de la vie. Le développement maximal du thymus est atteint au cours de l’enfance. C'est un organe localisé à l’arrière du sternum. C'est un organe qui va avoir une trame épithéliale. Ceci se comprend si on regarde le développement de l’organe. Il va se développer à partir de poche bordée par l’entoblaste. Un épithélium qui va prolifère et s’isole à l’intérieur du mésenchyme. Cet épithélium repose sur une lame basale et lorsque il s’est invaginé et formé en masse pleine, l’ensemble de l’invagination est entouré par une lame basale. Sur cette trame épithéliale vont venir les premiers lymphocytes qui vont se loger dans les espaces entre les membranes des cellules épithéliales. Le nombre de Lymphocyte augmentant au fur et à mesure. Les prelymphocytes vont être de plus en plus nombreux et la vascularisation s’installe. Des travées conjonctives vont se former amarrant les vaisseaux qui entrent dans le parenchyme thymique. La masse de départ va rester dans cette dispositions, lorsque l’organe se développe, l’épithélium va rester d’un seul bloque. Le thymus donne l’impression d’être un organe lobulé car des cloisons conjonctive viennent coupé partiellement le thymus. Le parenchyme va présente deux zone qui apparaissent bien distincte des zones périphériques. C'est une zone remplie de thymocyte. Cette zone constitue le cortex. La zone central qui apparaît plus éosinophile est la médullaire. Au niveau de la médullaire on trouve des enroulements cellulaires qui constituent les corpuscules de Hassell. Les corpuscules sont présents à la cours du développement mais au fur et à mesure ces corpuscules deviennent de plus en plus volumineux. Ce shema de base se retrouve à l’age adulte mais le volume global du parenchyme va s’entourer de tissus adipeux. Le thymus est un organe lympho-épithéliale. La trame épithéliale va être constitué par des cellules jointives. La partie périphérique repose sur la lame basale. Au niveau du cortex nous auront de très nombreuses cellules lymphoïdes localisé dans les espaces laissé libres par les cellules épithéliales Les thymocytes ne sont pas en contacte avec la lame basal. On va trouver entre des macrophages ainsi que des cellules interdigité ou interdigitante. Quand on se rapproche de la médullaire, on va trouver des cellules épithéliales plus nombreuses et qui vont former la caractéristique de ceux parenchymes thymiques pour le corpuscule de Hassal qui va corresponde à une portion kératinisée. Entre les cellules ont trouve quelques thymocytes, des macrophages et des cellules interdigités. Au niveau de la jonction corticale médullaire on va avoir des vaisseaux qui sont des artérioles et des veinules. Les capillaires remontent vers le cortex et vont aller vers la médullaire. L’ensemble se draine dans des veinules post-capillaire qui sont localisé à la jonction cortico médulaire avant d’aller rejoindre les travée. Ce sont ces veinules qui sont importante pour le trafic. C'est par la que viennent les pré lymphocytes T qui viennent de la moelle osseuse et ou sorte les lymphocyte T après maturations. Au niveau du cortex on a une barrière hémato-thymique qui est représenté par l’endothélium capillaire fait de cellules jointive reposant sur leur lame basal et d’autre par le manchon de cellules épithéliales jointive qui repose elle-même sur leur propre lame basal. Le but du thymus est de former des lymphocytes T à partir des pré lymphocyte T. Ces Lymphocyte lorsque il sont dans le parenchymes thymique vont se diriger vers le cortex et la région la plus périphérique, c'est-à-dire la zone sous capsulaire pour ensuite évoluer en direction de la région médullaire C'est durant cette migration que ce fait les différenciations successives. Ces lymphocytes vont commencer à exprimer à la surface un CD3 associé au récepteur au T les TCR. Les thymocytes vont également commencer à réarranger les gènes des chaînes β de telle sorte que le Lymphocyte puisse exprimer un TCR spécifique. Tout les thymocytes qui ne sont pas capable de se réarrangement vont mourir par apoptose. Les interactions épithélium/Lymphocyte vont être importante car les cellules épithéliales vont sécréter les facteurs nécessaires aux différentes étapes de la maturation. Mais la maturation des lymphocytes T est importante pour la maturation des cellules épithéliales. Ces thymocytes vont ensuite commencer à exprimer le pré chaîne α. Ils sont appelés double négative car ils ont à la fois CD4- et CD8-. Lorsque ils ont pu exprimer la récepteur TCR, ceci va induire l’expression à leur surface des deux cluster de différenciation CD4+ et CD8+, il passe au stade de double positive. C'est à ce moment qu’ils vont être sélectionner pour devenir sois des Lymphocyte CD4+ ou CD8+. Ceci va se faire par interaction avec les complexes formés par le CMHI et II et des peptides exprimés au niveau des cellules épithéliales et interdigités. Ces Lymphocyte double positifs bougent en permanence et s’immobilise au contacte des complexe majeur d'histocompatibilité et vont subir une sélection quand le TCR est reconnu. Si l’interaction est de faible avidité, le lymphocyte T pourra poursuivre sa maturation, c'est la sélection positive. Par contre si l’avidité est trop forte ou si il n’y a pas de reconnaissance entre le TCR et le complexe majeur d'histocompatibilité le lymphocyte T rentre en apoptose. Si il y a une forte avidité, les lymphocyte T entrent en apoptose, on a la sélection négative ayant pour but d’empêcher la production de lymphocyte T réagissent trop fortement avec des antigène du soi. Ceci se produit lors de l’évolution du thymocytes vers la zone médullaire. La maturation se poursuit au niveau de la région médullaire car certain thymocyte ont échappée à la sélection négative, on va encor aboutir à l’élimination de certain thymocytes. Les cellules épithéliales vont exprimer un très grand nombre antigène. C'est corpuscule de Hassal vont produire la lymphopoïéctine qui ellemême va agir sur les cellules interdigité qui vont facilité la production des lymphocyte T régulateur qui ont pour rôles de neutralisé l’actions des lymphocyte T autoréactif, c'est-à-dire qui aurai échappé quand même à la sélection négative. Un peu près 2 à 5% des thymocytes quittent le thymus, les 95% autres restant sont éliminé. E. Les formations lymphoïdes Les formations lymphoïdes sont les amygdales, les plaques de Payé et l’appendice. On trouve des follicules lymphoïdes dans ces formations lymphoïdes A cote de cela on a des follicules lymphoïdes isolé associé à des petites nappes de lymphocyte T. 1) Les amygdales Les amygdales sont des structures lympho-épithéliales car elles sont constituées par des follicules lymphoïdes dans le chorion sous épithélium qui est ici un épithélium multi stratifié pavimenteux non kératinisé. Cet épithélium va former des invaginations que l’on appelle des cryptes. Dans le chorion on a du tissu lymphoïde qui ne laisse libère qu’une toute petite partie au centre où l’on retrouve des tissus conjonctifs lâches. Ces tissus lymphoïdes sous l’épithélium sont constitués par des follicules lymphoïdes qui deviennent rapidement des follicules secondaires. Entre la zone B dépendante on des nappes diffuses de T dépendante. Dans ces deux régions on retrouve les mêmes types cellulaires qu’au niveau du ganglion lymphatique. L’infiltration lymphoïdes va gagne l’épithélium. Cette infiltration sera d’autant plus importante qu’on est profondément au fond des cryptes. Ces lymphocytes vont desquamer dans la lumière 2) L’appendice L’appendice va également être formé par des follicules lymphoïdes qui vont occuper une partie de la paroi de l’appendice. C'est un épithélium simple qui forme des invaginations formant des glandes tubuleuses droites. 3) Plaque de Payer Les plaques de Payer sont localisées au niveau de l’intestin grêle à la partie terminal. On a la présence au niveau de l’épithélium de l’intestin de follicules lymphoïde dans le chorion. On a un épithélium simple et les villosités intestinales sont rejetées en périphérie. Ces plaques de Payer comportent de nombreux follicules qui sont aminés. Entre les follicules lymphoïdes, on a une nappe lymphoïde. L’infiltration lymphocytaire diffuse où l’on trouve des sinus post capillaire à endothélium haut qui sont dit thymodépendant. Au niveau du dôme on trouve une cellule spécifique qui s’appelle la cellule M et qui va être intercalée entre les autres cellules épithéliales. Ces cellules M vont avoir un cytoplasme qui ménage une cavité ou l'on trouve des cellules de type macrophage, des cellules dendritiques ou des Lymphocyte. La plaque de payer va avoir pour rôle de détecter les antigènes qui vont se trouver dans la cavité intestinal et initié la réaction immunitaire. Cette cellule M va capter l’antigène, l’endocyter et le transférer en direction du milieu intérieur. Cet antigène va être capté par les cellules présentatrices d’antigène qui vont avoir pour rôle de présenter l’antigène associé au complexe majeur d'histocompatibilité. A ce moment au niveau de la plaque de payer par des phénomènes d’interaction, on va avoir une première activation des lymphocytes T. L’intestin va être drainé par des vaisseaux lymphatiques. Ces Lymphocyte B et lymphocyte T vont donc dans des ganglions lymphatique pour se multiplier et se différencié et formé des immuno blaste. Ces immuno blaste passent dans la circulation générale et pourrant rejoindre les organes d’où vient les Lymphocyte B. Les immuno blaste vont aller rejoindre le chorion intestinal de manière général car ils portent des molécules d’adhérences particulières. Ceci constitué le Homings. Ils vont ensuite de manière définitive se transformé en plasmocyte qui vont produire des IgA, donc des immunoglobuline sécrétoire. Ces immunoglobulines sécrétoires vont pouvoir traverser l’épithélium intestinal. Au niveau de la membrane cytoplasmique des cellules de l’épithélium se trouvent des récepteurs au dimères qui vont être internaliser et transporter en direction du pole apical ou elles seront exocyter dans la cavité intestinal. Ces immunoglobulines sécrétoires vont être sécrété avec une portion du récepteur pour les protéger contre les protéolyses. Les lymphocytes T seront à la fois CD4+ et CD8+ et vont plutôt se localiser dans l’épithélium.