Bonjour, Je voudrais d`abord remercier chaque critique de leurs

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Bonjour,
Je voudrais d’abord remercier chaque critique de leurs commentaires. Ils furent tous constructifs
et m’a permis d’apporter de grandes améliorations à ma première ébauche. Vous trouverez en
rouge les indications et explications de chacune des modifications que j’ai effectué suite à vos
commentaires.
Au plaisir,
Commentaires de la critique A
Commentaires positifs (forces): L'écriture est excellente - les idées sont clairement présentées et
articulées. J'ai quelques petites suggestions pour l'améliorer.
Commentaires majeurs: Aucun.
Commentaires mineurs: 1) Ligne 58, svp terminez la phrase avec un «.». 2) Lorsque vous dites que la
bigorexie est pas mal nouveau dans notre société, est-ce que vous pensez que c'est quelque chose
causée par la société? Est-ce qu'on peut avoir une approche vers ces patients qui est similaire de
l'approche qu'on prend pour les personnes avec l'anorexie?
En ajustant mon texte, j’explique à plusieurs endroits que je crois que la dysmorphie musculaire est en
effet quelque chose de provoquée par notre société. Puisque le texte est soumis dans la section
commentaire, il y a un nombre de mot limite que je devais respecter et une comparaison avec l’anorexie
aurait malheureusement fait dépasser ce maximum. Également, je n’ai pas poussé mon analyse sur la
comparaison avec l’anorexie, car pour bien faire un parallèle, je crois qu’il aurait été essentiel de bien
expliquer et définir l’anorexie et je voulais que le sujet de mon article se concentre uniquement sur la
dysmorphie musculaire.
Commentaires de la critique B
Commentaires positifs (forces): Un langage très clair et un sujet intéressant. Une bonne balance entre
opinion et faits.
Commentaire original: «Very clear language and an interesting topic. A nice balance between opinion
and facts.»
Commentaires majeurs: Malgré que le message soit clair, l’article pourrait bénéficier d’une meilleure
utilisation de références. Les références 2 et 5, par exemple, ne sont pas citées dans l’article.
Je suis d’accord. J’ai d’ailleurs ajouté des sources scientifiques et apporter des corrections à plusieurs
références dans mon article.
Commentaire original: «Although the message is clear, the article could benefit from better use of
references. References 2 and 5, for example, are not cited in text.»
Commentaires mineurs: Y’ a-t-il une façon quelconque d’adapter et de traduire les figures 1 et 2?
Commentaire original: «Is there any way to adapt and translate figures 1 and 2? »
La figure 2 a été retirée puisque je ne la considérais plus utile ni essentielle au texte. J’ai traduit en
résumant la figure 1 dans la section «causes»
Commentaires de la critique C
Commentaires positifs (forces): Le sujet du texte est intéressant et définitivement pertinent dans la
société d'aujourd'hui. Le texte est bien structuré et les phrases se suivent bien. L'article est facile à lire
et à comprendre, et est d'une longueur approprié pour garder l'intérêt du lecteur.
Commentaires majeurs : Il manque une introduction et une conclusion au texte qui, d'après moi,
seraient un bon ajout à l'article. Sans ces composantes, le texte manque un peu de structure dans le
sens où il ne semble pas avoir un vrai début ou fin.
L’introduction est principalement la section «Beauté, perceptions et exigences» dans laquelle j’explique
de façon subjective ce qui m’a poussé à explorer et comprendre la dysmorphie musculaire suite à des
expériences personnelles. Enfin, j’ai ajouté une conclusion au texte en reformulant la majeure partie de
mon dernier paragraphe. La section «seulement les hommes ?» était à l’origine le dernier paragraphe du
texte. Je les déplacer afin d’avoir une meilleure structure et pouvoir y mettre une conclusion.
Commentaires mineurs : Quelques fautes d'orthographe et de syntaxe.
Toutes les erreurs ont été corrigées.
Commentaires de la critique D
Positive comments (strengths)::
La bigorexie est une maladie qui affecte la population actuellement. Cette revue présente une
perspective sur l’étiologie, les manifestations pathologiques et des modes d’intervention prospectifs
pour la bigorexie.
Major comments::
1. Ton subjectif et non-professionnel employé, concepts simplistes reflètent une évaluation inexperte
du sujet :
- La section « Beauté, perceptions & exigences » est un rendement personnel qui manque de
perspective experte.
J’ai écrit cet article dans le but de le soumettre dans la catégorie commentaire du journal. Puisque l’idée
principale derrière cette catégorie semble d’être que l’auteur donne son opinion sur une maladie
chronique, j’ai crut bon y ajouter cette petite introductive qui amenait le sujet d’une façon plutôt
subjective en montrant aux lecteurs d’où m’est venu l’idée de connaître et d’explorer la bigorexie. Je
considère que ce paragraphe reste pertinent au texte. Je ne l’ai donc pas supprimé. Cependant, je suis
ouverte aux suggestions si vous croyiez qu’on peut y apporter des modifications qui le rendront plus
expert. J’ai cependant ajouter les segments de phrase suivants : «Suite à ces expériences personnelles»
et «Mes impressions me mènent à me demander…» afin de faire comprendre que ce paragraphe est
basé uniquement sur des expériences vécue par moi-même.
-
La phrase « Les personnes atteintes de ce trouble ne se trouvent jamais assez musclées, jamais
au meilleur d’eux-mêmes et de leurs compétences. » (lns. 34-36), « […] une crainte mortelle de
la prise de poids » (lns. 60-61) sont des simplifications inappropriées pour ce journal médical.
Cette phrase avait pour but de vulgariser le sujet afin d’avoir un aperçu général et simple de la
dysmorphie musculaire. Je l’ai reformulé afin de la rendre plus professionnelle.
-
L’auteur(e) indique qu’«à [son] propre avis », l’étiologie de la bigorexie ne repose pas qu’en un
seul facteur (lns. 90-93). C’est plutôt un avis logique sans doute accepté par tous les
professionnels de santé mentale. Par contre, il ou elle partage le conseil suivant : « Être en
mesure de bien comprendre les capacités du corps humain et ses véritables fonctions
permettrait assurément d’éviter des cas de bigorexie et ainsi sauver des jeunes de défis
importants ». Ce conseil peu instruit représente bien la philosophie finale de l’article : que
savoir, c’est faire. L’auteur(e) conclue avec « un conseil personnel : pratiquez des sports au lieu
d’aller simplement au gymnase et assurez-vous de le faire pour le plaisir et pour une bonne
santé physique plutôt que par exigence et par désir de répondre à des critères sociaux. ». Ce
conseil prétend que la bigorexie en tant que maladie est facilement évitable et illustre
effectivement l’ignorance de l’auteur(e) au sujet des maladies mentales, la dysmorphie
musculaire incluse. Ce serait l’équivalent de conseiller qu’on ne doit pas participer aux activités
qui nous font triste pour éviter la dépression. De ce fait, le message générale de l’article est en
contravention avec les avis professionnelles en ce qui a trait aux maladies mentales : l’auteur(e)
dit ressentir les pressions sociales au début du texte et offre comme pensée finale ce conseil
simpliste pour surmonter ces pressions, en autres mots, « si moi je peux le faire, n’importe qui le
peut ». Ce point de vue promeut le stigmate social des maladies mentales et ni la réalité de ces
maladies.
Ces conseils sont d’abord posés en se basant sur la philosophie de la thérapie cognitvocomportementale, méthode grandement utilisée et appréciée en psychologie moderne. L’idéologie
derrière cette thérapie croit que la patient peut changer son comportement s’il est informé et s’il se
libère des ses pensées ravageuses. Le dernier conseil porte principalement sur la prévention en santé
mentale et ne présente pas une solution pour guérir ceux qui souffrent et présentent déjà les
symptômes de la dysmorphie musculaire. D’aucune façon je tente de montrer que la maladie mentale
est un phénomène simple et facile et je ne veux en aucun promouvoir les étiquettes associées. Après
relecture de mon texte, je suis d’avis que la formulation peut porter à confusion et que le message peut
être mal interprété. J’ai donc modifier l’écriture afin de mieux faire comprendre mes idées derrières ces
conseils.
De plus, je suis d’accord lorsque vous dites que mon avis sur l’étiologie de la maladie est logique et
probablement accepter par la majorité des professionnels de la santé. Cependant, l’article étant un
commentaire voulant donner mon opinion en même temps que de l’information sur une maladie
chronique, je crois que cette partie a raison d’être. Cependant, j’ai ajouté des détails au paragraphe.
2. Concepts datés :
- Analyse des causes (lns. 48-64) tire son information d’un seul article publié en 2005.
- Auteur(e) dit que c’est un concept récent qui manque d’étude (ln 106), mais ceci est faux. Alors qu’il
n’y ait que quatre articles qui apparaissent quand on recherche le terme « bigorexie » dans PubMed,
plus de 100 articles étudient la dysmorphie musculaire.
Les articles explorent principalement les symptômes, signes, et conséquences de la dysmorphie
musculaire ainsi que les différences de cette maladie par rapport à d’autres. Relativement peu d’articles
examinaient les véritables causes de la maladie. J’ai apporté plus de précision à ce niveau dans l’article.
J’ai également été lire plus d’article sur le sujet et je les ai ajouter à mon texte.
3. Manque de citations, section de références incomplète, risque de plagiat :
- Première phrase du résumé (ln 2) est une observation subjective (citation requise).
- Dès la première mention de « bigorexie » (ln 6), une citation est requise pour confirmer (1) que c’est
un terme accepté et (2) que c’est classifié comme maladie, tel qu’écrit (ln 7).
- Ref. #1 manque le nom du journal (Journal of Athletic Training); image réimprimée sans permission
Modification apportée
Je croyais qu’en citant l’article, nous pouvions y retirer toutes informations présentées ?
- Ref. #2 n’a pas de référence dans le texte ; d’ailleurs celui-ci ne s’agit pas de source crédible
Référence seulement utilisée pour l’image. Je l’ai retiré, je ne la considérais plus nécessaire.
- Ref. #3 manque le nom du journal (British Journal of Sports Medicine); image réimprimée sans
permission
J’ai apporté la modification. Aucune image n’a été retirée de ce texte.
- Ref. #4 manque le nom du journal (Journal of Behavioral Addictions)
J’ai apporté la modification
- Ref. #5 n’a pas de référence dans le texte
C’est un site (littérature grise) que j’ai consulté afin de mieux m’informer de façon générale sur les
maladies mentales. Je n’ai pas utilisé d’information directement de cette source dans mon texte. Je
croyais qu’elle serait tout de même pertinente dans les références, mais je l’ai retirée.
Minor comments::
4. Terme à préciser :
- « Entrainement » : Dans le résumé, on cite que le (seul) résultat de l’entrainement est
l’apparence corporelle. Ceci s’applique surtout aux exercices de musculation (« weight training
») et non aux autres formes d’entrainement, p. ex. l’entrainement sportive. Une précision sur ce
terme (au minimum dans le paragraphe récapitulatif) est recommandée.
Une précision a été ajoutée.
5. Erreurs grammaticales :
- « et…sport » : points de suspense non-nécessaires
- ln 58 : manque de point à la fin de la phrase
- ln 59 : « critères de diagnostique » (au lieu de « diagnostics »)
- lns. 82-83 : ce passage devrait être reformulé comme suit : « Dans le monde occidental, l’obésité et ses
complications, notamment la diabète, les maladies cardiovasculaires, l’hypertension, sont des maladies
chroniques qui persistent au sein de la population. »
Les erreurs ont été corrigées.
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