Préparation de dictée pour le mardi 24 mai 2016 Pour me préparer : - Attention à bien écrire le nom : Isengrin. - Un piège à loups : mettez un s à loups car c’est un piège pour capturer les loups. - Apprenez à écrire les mots invariables : tard, trop, assez. Pour ne pas oublier le d à la fin de tard, pensez à l’adjectif tardif. - Prenez garde aux doubles consonnes : emmener, un cellier, grossir, ressortir, attraper, battre. - Cherchez dans le dictionnaire ce qu’est un cellier. - Le villageois n’est pas facile à écrire : on prononce « l » mais on écrit ll. Et il ne faut pas oublier le e après le g. Ce mot s’écrit avec un s au singulier (pensez qu’il fait villageoise au féminin). Il ne change donc pas au pluriel. - L’hiver commence par un h muet. - Le verbe s’asseoir a une orthographe un peu difficile, faites attention. - Le mot étang se termine par un g qu’il ne faut pas oublier. - Pour raconter tout ce que j’ai fait : nous avons déjà vu que, quand il y a un verbe derrière à, de, sans, pour, ce verbe est toujours à l’infinitif (la forme qu’il a quand il n’est pas conjugué, dans le dictionnaire par exemple. Je comprends : Le passé composé, deuxième groupe • Les verbes du deuxième groupe font leur participe passé en i. Exemple du verbe saisir J’ai saisi Nous avons saisi Tu as saisi Vous avez saisi Il/elle a saisi Ils/elles ont saisi • Conjuguez les verbes finir et grossir à voix haute. Le passé composé, troisième groupe - Il faut faire attention au participe passé des verbes du troisième groupe : certains se terminent par une consonne muette. Pour ne pas l’oublier, pensez au féminin. Exemple : j’ai fait (féminin faite). - Complétez en mettant au passé composé les verbes indiqués : - Emile à (écrire) ........................................ une lettre à la directrice. - Les ministres ont (dire) ........................................ que la guerre était finie. - J’ai (ouvrir) ........................................ la porte aux policiers. Je réfléchis: Le texte que vous aurez est tiré du Roman de Renart, avec un t. En fait, à l’origine, Renart était un prénom ! Autrefois, on ne disait pas un renard mais un goupil. Et c’est parce que le goupil de ce roman était très célèbre au Moyen Âge que son prénom est devenu un nom commun, celui qu’on emploie aujourd’hui : le renard. Seule la dernière lettre a changé, parce qu’on a eu besoin de former le féminin renarde.