même une politique structurelle de grands travaux…pour cela, il faut emprunter, et faire du
déficit public..
Or, non seulement le PSC et les critères de Maastricht ne le permettent pas, mais en plu, la crise
des Subprime qui s’est répercuté sur les dettes souveraines des pays de la zone…font que les
Etats de la zone décridibilisés, d’autant plus que appartenir à la zone euro ne les a pas aidé, ont
fait que les préteurs, s’ils nous prêtent, le font à des taux d’intérêts élevés…ce qui accroit
encore plus la charge de la dette…
Les pays de la zone sont donc bien « contraints », et notamment lorsqu’ils ont besoin de
croissance éco….
Pourtant, il faut noter que sur ce point les débats vont bon train !
Le texte présenté est « Néo-Keynésien » : pour sortir de la crise, il faut relancer
l’activité par la consommation finale et les investissements….il faut relancer la « demande
effective »…quitte à faire de la dette.
Or, des approches plus « libérales », pensent que c’est en assainissant les finances
publiques que les Etats pourront relancer la croissance…
3) Plan possible :
I) Une politique monétaire et une monnaie unique donc qui « contraignent »
explicitement les pays de la zone euro qui ont des situations économiques
distinctes
1) partie sur politique monétaire (doc 1 ligne 2 à 12)
2) partie sur euro
II) ..mais aussi implicitement sur la politique budgétaire voire structurelle, via les
critères de Maastricht renforcés par le PSC
1) critères de maastricht et PSC ne permettent pas une politique de relance
2) D’autant plus dans une période de crise…dettes souveraines
4) Eléments possibles pour l’Intro :
UEM une intégration dynamique, pas à pas, originale car la plus aboutie (donc résumé
partie 1 du cours). Il y a donc une partie des Européens qui ont constitué une « zone euro »,
avec politique monétaire commune, même monnaie mais politique budgétaires autonomes, et
ont énoncés des critères de convergence montrant explicitement que les situations des pays de
la zone dont diverses. Ces pays sont donc « contraints » de mener une même politique
monétaire et des taux de change, alors même qu’ils sont différents économiquement. De plus,
via maastrich et PSC, les politiques budgétaires sont-elles si autonomes ?
Dès lors, en quoi Les pays appartenant à la zone euro sont-ils contraints seulement pas
leur politique monétaire ?
Annonce de la démarche
5) Eléments possibles pour la Conclusion :
Par bien des aspects appartenir à la zone euro contraint les pays car ils doivent mener
une politique monétaire et des taux de change unique, alors même que les pays ont des besoins
différents, différences exacerbées dans un contexte de crise. De plus, les politiques budgétaires
de la zones ne sont pas si autonomes que cela, du fait de l’existence des critères de
convergences renforcés par le PSC.
Idée 1 ouverture. Les pays de la zone euro appartiennent de fait à l’intégration
économique des 28. Dès lors, ne subissent-ils pas une double contrainte ?
Idée 2 d’ouverture. Nous avons appréhendé la notion de « contrainte » au sens marges
de manœuvres limitées, pourtant la contrainte ne peut-elle pas être positive ? Cette
« contrainte » a bien été construite pour ses avantages : facilité commerce entre pays zone euro,
crédibilité internationale..dans quelle mesure, appartenir à la zone euro est-il une
« contrainte » ?