Economie générale

publicité
Economie générale
Partie I.
Fondement de la connaissance économique
Chapitre 1 L’économie et son fondement
1 - Introduction à la science économique
A)
Qu’est ce que l’économie
1) Les besoins humains
Pour comprendre l’activité économique, il faut la relier à la notion de besoin. Les êtres vivants ne
trouvent pas en eux-même la totalité des biens nécessaires à leur existence et à leur développement.
C’est donc dans le milieu extérieur, dans la nature que les êtres doivent rechercher ces éléments
indispensable.
En s’inspirant des idées d’un théoricien qui fait référence dans le domaine des besoins (Maslow,
Abraham), on peut distinguer les besoins physiologiques (manger, boire, se loger), des besoins
psychologique et sociaux qui apparaissent au contact de la collectivité. Chaque besoin nouveau
provoquera le désir d’obtenir des produits qui assureront sa satisfaction.
Par besoin psychologique et sociaux, nous pouvons distinguer :
 Le besoin de plaisir et d’accomplissement personnel, l’hédonisme,
 Le besoin de revendication d’un niveau de vie, d’un certain statut social, c’est la fonction
ostentatoire,
 Le besoin de valorisation, de mise en situation valorisante appelé congruence des rôles.
2) La quantité de bien disponible
Tous les produits et tous les services désirés n’existent pas en quantité illimité, certains sont très rare.
Ors pour chaque individu, le problème est de satisfaire ses désirs économique malgré la rareté des
produits dont il peut disposer. Son objectif est alors de travailler pour ce procurer les biens ou les
services qu’il désire.
B)
Quel est l’objectif de la science économique
1) La loi de la rareté selon Samuelson, Paul
Toute société doit résoudre trois problèmes économiques fondamentaux et interdépendant :
 Quels biens faut il produire et en quelle quantité ?
 Comment doivent ils être produits ?
 Pour qui ces biens doivent ils être produit ?
Samuelson remarque que la rareté est la base de la construction économique. En effet, si les
ressources étaient illimité ces questions ne constitueraient pas des problèmes. Il n’existerait pas de bien
relativement rare : les biens seraient dit libre.
2) Les rôles de la science économique
La science économique analyse et mesure les faits pour découvrir des lois, proposer des théories et
éclairer l’action.

Analyse descriptive ou étude des faits
Elle analyse les actes économiques dans le temps et dans l’espace au travers des comportement
d‘individu ou de groupes

Analyse statistique.
Elle donne des mesures chiffrées soit en quantité soit en valeur des actes des agents économiques.
Par agent économique, on comprend les particuliers et les ménages, l’état et les administrations, les
entreprises et les instituts financiers.

Analyse psychologique
Elle met à jour des lois qui gouvernent le comportement des agents.
Exemple : A. Smith : Homo œconomicus est guidé par la recherche permanente de l’intérêt personnel,
mais une autre lois, la main invisible, permet la vie en société, car poursuivant son intérêt propre
chaque être contribue à l’intérêt général.

Analyse mécanique
Elle décrit les mécanismes selon lesquels se développe l’activité.
Ex : Helmut Schmidt : « Les investissement d’aujourd’hui sont les revenus de demain » (qui
permettrons à nouveau d’investir pour générer de nouveau revenus)

Analyse théorique
Elle propose des explications relatives aux phénomènes économiques.
Keynes : théorie de la relance de l ‘économie par la demande par une politique d’augmentation des
salaires et d’allègement des charges.

Analyse politique
Elle indique des solutions pour assurer le progrès de la condition humaine et favoriser la vie en société.
2 - Les principaux courants de la pensée économique
Trois courants de pensée économique ont marqué l’histoire et structuré les politiques au niveau des
états. Ces 3 courants s’inscrivent dans des contextes historiques particuliers et correspondent à des
ruptures sociales importantes.
Ainsi le libéralisme naît au 18ème siècle avec la révolution industrielle en angleterre. Le marxisme
émerge à la fin du 19ème avec l’apparition d’importantes contradictions généré par le libéralisme et le
capitalisme. Enfin le courant keynésien va devenir la pensée dominante à partir de la crise de 1929
(jeudi noir, krach boursier).
Chacun de ces courants va dominer son époque en raison de la justesse des réponses qu’il apporte
aux grandes questions de son temps.
A)
Le courant libéral
1) Le courant libéral classique

Adam Smith
L’individu naturel recherche exclusivement son intérêt personnel, et le somme des intérêt particuliers
contribue à l’intérêt général (Homo œconomicus et main invisible). Adam Smith en 1976 écrit un
ouvrage intitulé “An Inquiry into the Nature and Causes of the Wealth of Nations”.
Il y prône la théorie des avantages absolus qui stipule qu’un pays se spécialise dans la production dans
laquelle il a les coûts les plus faibles.
Retenons de manière moderne l’intérêt pour un pays à abaisser ses coûts de production.

Ricardo, David
Ricardo a lui élaboré la théorie des avantages comparatifs qui stipule qu’un pays va se spécialiser dans
la production dans laquelle il a le + grand avantage ou le plus petit désavantage.
Exemple : production de drap GB et Portugal :
En homme par ans :
Angleterre
Portugal
Drap
100
90
Vin
120
80
Dans le domaine du vin l’efficacité des viticulteur britannique est égal à 66% de l’efficacité des viticulteur
portugais
Pour Smith, le Portugal ayant les meilleur production dans les deux produits fabriquerait tout. Pour
Ricardo, le Portugal va se spécialiser dans le vin car c’est le domaine dans laquelle il a le plus grand
avantage et l’Angleterre dans les draps car c’est la production dans laquelle elle a le plus petit
désavantage.
De manière moderne, il faut noter que certains critères sont absent de la pensée de David Ricardo. En
effet, il faut ajouter aux critères de sélection les notions de qualité de fabrication, mais également les
conditions de travail (horaires, rémunération, équipement industriel).

Malthus, Thomas Robert
A l’instar de Smith, Malthus fait ressortir l’aspect naturel de la société et de la gestion des populations.
En effet, il affirme que les épidémies, les famines et les guerres viennent naturellement géré la condition
humaine et contribuent dans le m^me temps à l’intérêt général. Il est partisan de l’applications de lois
eugéniques (limitation du nombre d’enfants par famille).

Say, Jean-Baptiste
Père fondateur de la libre circulation des hommes, des capitaux et des marchandises à travers sa
citation : « laisser faire, laisser passer »
Conclusion
De manières moderne, il faut noter que certains critères sont absent de la réflexion de RICARDO. En
effet, il faut rajouter aux critères de sélection les notions de qualité de production mais également les
conditions de travail (horaire, rémunération, équipement industriel)
Ils ont élaboré un modèle de pensée économique appelé la pensée libéral classique. Elle repose sur
trois points essentiels :
 Individualisme, car selon eux l’être humain est guidé par son intérêt personnel et par la recherche
d’une satisfaction maximum.
 Affirmation de la liberté économique : ils considèrent que le marché constitue le régulateur le plus
efficace de l’activité économique. L’intervention de l’état est donc rejetée sauf lorsqu’elle a pour
mission de supprimer les obstacle à la liberté au libre jeu du marché.
 Permanence de l’équilibre économique : selon les classiques, un système économique est conduit
par le principe de liberté individuel et tend donc naturellement vers l’équilibre (s’il est guidé par ce
principe). Lorsque cet équilibre n’est pas spontanément atteint les prix s’ajustent à la hausse ou à
la baisse pour réguler le marché et favoriser une situation d’équilibre
2) Le courant libéral néoclassique
C’est une pensée de source libérale fondée par Marshall, Alfred, Pareto, Vilfredo et
Walras, Léon. Cette pensée se distingue de la pensée classique sur deux point :
 Le principe d’utilité marginal : on définit ici la valeur d’un bien non seulement en fonction de son
coût de production mais aussi par rapport à la satisfaction que le consommateur peut ressentir par
son utilisation. Il s’agit d’une vision micro économique qui complète la définition de l’homo
œconomicus, qui à l’intérêt pécuniaire associe la maximisation de la satisfaction.
 La notion d’équilibre général : comme chez les auteurs classiques la notion d’équilibre général
constitue un postulat, mais ici cet équilibre existe à un double niveau général et par marché.
Cette école a encore aujourd’hui une actualité car elle s’est incarné dans certains mouvements de
pensée moderne. A ce titre, l’école de Chicago, et ses père fondateurs Friedman, Milton, Laffer,
Arthur reprennent les théories libérales prônant la non-intervention de l’état notamment en terme
d’imposition. Ils montrent ainsi le caractère dissuasif d’un niveau d’imposition trop élevé sur le travail,
l’épargne l’investissement.
B)
La pensée Marxisme
Au XIXe siècle le capitalisme industriel est devenu la structure économique dominant. On
s'accompagne de distorsion sociale énorme. En effet, une très faible minorité détient la majorité des
moyens de production alors que la majorité de la population connaît la pauvreté et la précarité.
C'est dans ce contexte historique que Marx, Karl va poser ces fondamentaux à travers une oeuvre
intitulée : « Le CAPITAL ».
La pensée de Marx va s’articuler entre 3 notions :
- La notion de plus-value. : Pour Marx la seule source de profit capitalisme repose sur l'exploitation des
travailleurs. Ainsi la plus-value correspond à la différence entre le salaire versé à l'ouvrier et la valeur de
son travail permet d'ajouter aux produits. Le réflexe de capitaliste consiste donc à réduire la valeur du
salarié versé pour ainsi maximiser la plus-value. Cette différence matérialise exploitation capitaliste et
elle est pour Marx la source de l'enrichissement capitaliste à travers exploitation.
- Les contradictions du capitalisme : En recherchant toujours plus de plus-values, notamment par le
maintien du salarié à un bas niveau, les capitalistes c'est-à-dire les détenteurs de moyens de production
provoquant la paupérisation croissante de la classe ouvrière et bloque donc à terme la consommation et
donc le système économique.
- La propriété collective des moyens de production : Marx se prononcent pour l'abolition intégrale des
moyens privés de production, il souhaite que l'état se réapproprie les différentes structures productives.
C)
Le courant Keynésien
A l’origine de la pensée keynésienne se situe la crise économique(krach boursier, jeudi noir). Keynes va
écrire un ouvrage intitulé la théorie générale de l’emploi, de la monnaie et de l’intérêt, ouvrage publié en
1936. Certains points essentielles ressortent de son travail :
 Keynes met au point une analyse macroéconomique. En effet, à la différence des libéraux,
s’intéressent plus particulièrement aux comportements individuels des agents économiques,
Keynes va analysé les décision collectives de ces même agents (ménages, entreprises, Etat).
 Keynes relève l’existence possible d’une situation durable d’équilibre de sous emploi. Ainsi, selon
lui, une économie peut évoluer durablement en situation d’équilibre malgré un sous emploi des
facteurs de production. Keynes appelle ce sous emploi le volant de chômeurs, qui correspond à un
effectif minimum constant et ce quelque soit les périodes traversées. Sur le plan économique sont
hypothèse est recevable mais insupportable sur le plan social.
 Keynes considère comme nécessaire l’intervention de l’état. Ainsi en cas de dépression
économique durable l’état doit se substituer aux entreprises défaillantes en matière
d’investissement et d’embauche. Pour Keynes l’état doit donc mener des politiques d’ordre
économique. Le point principal de ces politiques consiste dans le soutien à la demande
particulièrement par une hausse des salaires. Une période de crise peut selon Keynes être résolu
en relançant la consommation.
 Pour lui, la demande est fondamentale, et plus particulièrement la demande effective, c’est à dire la
demande anticipée par les producteurs. Cette notion est le concept fondamental de la pensée
Keynésienne. Ainsi les entrepreneurs anticipent à la fois ce que les consommateurs vont consacrer
à leur consommation et ce que les entreprises et l’état vont décider d’investir. De la sorte les biens
de consommation et les biens de productions constitue la demande effective, c'est à dire la
demande anticipée par les entrepreneurs. Donc les producteurs vont fabriquer ce qu’ils espèrent
vendre : l’offre réelle correspondant aux besoins immédiat des consommateurs et aux besoins
avenir (ce qui comporte un certain risque).
Remarque : c’est le rôle du service marketing que d’anticiper la demande en qualité et en quantité.
3 - Les principaux modèles d’organisation économique de l’état
A)
Le système capitaliste
Il repose sur :
 La propriété privé des moyens de production
 La non intervention doctrinale
 Le marché est l’instrument de régulation de l’économie
 Le moteur de l’économie est le profit
 La concurrence est supposé pure et parfaite (cpp) : pas de favorisation étatique, pas de cartel
 Le marché doit être atomisé : atomicité du marché, de l’offre (exclue les situation de monopole,
l’oligopole).
Le système capitaliste est un système qui prône et favorise la libre entreprise.
B)
Le système socialiste (économie marxiste)
Il repose sur :
 Collectivisation des moyens de production
 Intervention de l’état : interventionnisme, l’état est le régulateur de l’économie à travers le plan
(planification) et budgétisation des différents secteurs de l’économie et de l’administration par l’état
(hérésie : exemple des chandelier)
 Egalité sociale entre les individus
C)
Le système mixte
Par définition une économie mixte repose sur un système capitaliste avec des notions de marché et de
libre entreprise. Cependant pour corriger les fluctuations du marché l’état intervient par l’intermédiaire
de politiques économiques ou de mesures protectionnistes supposé favorisé l’intérêt général.
Chapitre 2 Le Circuit économique
A)
La représentation de l’économie mondiale par le circuit
1) Le flux qui caractérisent l’activité économique
On distingue deux types de flux, à savoir le flux monétaire et le flux réel.
Les flux réel portent sur les échanges de marchandise et la circulation de produit. Les flux monétaire
désigne les mouvement de capitaux. C'est-à-dire les revenues et les dépenses relative aux échange de
marchandises. A chaque flux réel correspond un flux monétaire.
2) La représentation des flux sans formes de circuit économique.
Il est possible de représenter l’activité économique selon n fonctions : le financement, la production, la
répartition et la consommation.
La production conduit à la réalisation de biens et de services à destination des agents économiques. La
production nécessite un financement, C'est-à-dire un investissement. Elle entraîne également un
création de revenue qui sont ensuite répartie entre les différents agents économique. Cela permet donc
a ces derniers de consommer où d’épargner.
Remarque : L’épargne de certain agents économique permet à d’autre de financer leur
investissement.
3) Les grandes catégories des agents économique.
 Les ménages, dont la fonctions essentiel est de consommer.
 Les entreprises, dont la fonction essentiel est de produire des biens et des services.
 L’état à travers les administrations, dont la fonction et de rendre des services non marchant.
 Les institutions financière dont la caractéristique et d’utiliser l’épargne de certains agent afin de
prêter a d’autre.
B)
Les opérations économiques et l’équilibre des circuits
1) Les trois sortes d’opérations réalisé par les agents économique.
La rencontre entre les agents économique s’effectue sur un endroit fictif appelé le marché. A ce titre,
nous pouvons distinguer trois types d’opération.
 Les opérations sur biens et services : Les agents se répartisse entre offre et demande (le
commerce B to C ou B to B). Ici, la rencontre se fera sur un marché, et on peut dire qu’il existe
autant de marché qu’il y a de biens et de services différents.
 Les opération de répartition : Cette répartition prend différentes formes, à savoir la
rémunération du travail, de capitaux. Ici, la rencontre entre les agents peut s’opérer sur le marché du
travail, ou celui des capitaux par la spéculation.
La rémunération de l’état échappe à la notion de marché et prend deux formes : taxe permanente par
TVA et les cotisations sociales, et les impositions ponctuelle que l’on pourra régler mensuellement ou
se semestriellement.
 Les opérations financières : Elle concernent les créances et la dette entre les différents agents
économique. On retrouve ces opérations sur le marché des capitaux et illustre deux mécanismes
complémentaire. Tout d’abord elle relie les agents ayant besoin de financement on recouvert ce
besoin et de manière symétrique, les agents a capacité de financement on utilisé set excédent.
2) L’ouverture du circuit et la mondialisation de l’économie.
Les économies national sont de plus en plus ouvertes a l’environnement international. Dorénavant les
agents économiques résonnent a l’économie a l’échelle mondial.
Les multinationales, par la diversités de leurs activité et implantation et délocalisation, illustre parfait
cette mondialisation. Elles ont ainsi une part importante de leurs effectif, leurs chiffre d’affaire et de leurs
actifs.
En outre les entreprises, élaborent leur stratégie en considérant le monde comme un vaste marché.
Cette conception implique deux conditions. Un fondement idéologique idéale. La libre circulation des
marchandises, des hommes et des capitaux.
La modernisation de l’économie de repère par un certain nombre d’indicateurs, tel que le taux de
pénétration ([valeur des importation / valeur des exportations] *100). Egalement, il est utile de comparer
l produit national brute du produit intérieur brute. Cette évolution vers l’international conduit à une
interdépendance des économies.
3) L’équilibre des opérations entre les différents agent économique.
Les quantités disponible sur le marché ne peuvent provenir que de la production et des importations.
Ces ressources vont donner lieu à des ressources, à des produits,, qui vont être utiliser de différentes
manières.
 La consommations qui correspond à une commercialisation ou un investissement (soustraitance international) de la part des entreprises.
 La variations des stocks, dans la mesure où le produit peut être disponible sur un marché
national et par un autre. Ce phénomène est la conséquence direct du commerce international et la
gestion en flux tendu.
Partie II.
Les fonctions économiques
Chapitre 1 Production marchande et non marchande
1 - Les définitions de la production
La production peut être définie comme l’activité humaine qui crée des biens et des services destiné à
satisfaire les besoins individuel et collectif. On considère qu’une production est socialement organisé
lorsqu’elle est obtenue a partir d’un travail rémunéré. Cette définition de la production est établie par la
comptabilité national et plus précisément par le système élargie de la comptabilité national ou SECM.
La comptabilité national distingue deux éléments qui constitue la production national. A savoir la
production marchande et la production non marchande.
 La production marchande et celle qui est celle sui s’échange habituellement sur un marché.
 La production non marchande est celle qui est obtenue a partir des facteurs de production elle
désigne principalement la notion de travail mais également la production à but non lucratif. Par
convention, tout les biens sont supposé marchand alors que concernant les services, nous pouvons
distinguer les services commercialisé par les entreprise de ceux délivré par l’état et les
administrations.
 On en déduit donc que la production non marchande est exclusivement composé de services
non marchand c'est-à-dire de services vendu en dessous de leurs prix de production.
2 - La mesure de la production.
A)
La mesure des productions marchande et non marchande
La production des entreprises est mesuré par la valeur ajouté, c'est-à-dire la différence la valeur des
bien et services produit par l’entreprise et la valeur des biens et services concerner par l’entreprise. Le
critère permet de mesurer la valeur de la production marchande, cependant la valeur ajouté ne permet
pas de mesurer la production non marchande. On retient donc le coût de production pour mesurer les
services non marchand, c'est-à-dire principalement les salaires et le budget necessaire au fonctionnent
des administration.
B)
Les agrégats de production
Téléchargement