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Il est souhaitable, dans la mesure où ce contrôle est indispensable, qu’il
ne soit effectué que par le médecin-conseil, seul détenteur de
l’information
6. Responsabilisation du prescripteur
Un traitement initié par un tiers médecin est considéré comme rentrant dans
le cadre de la réglementation, sauf avis contraire.
Proposition :
C’est le médecin qui initie le traitement qui doit s’assurer de la
conformité à la réglementation de remboursement.
7. Méfiance envers les prescripteurs
Les éléments de preuve à conserver au dossier peuvent être considérés
comme un manque de confiance vis-à-vis des généralistes surtout l’exigence
de protocoles originaux.
Proposition :
La mention d’une donnée doit pouvoir suffire.
8. Echelonnement à l’envers
L’obligation de passage par le spécialiste pour le remboursement de certaines
molécules incite le patient à se rendre directement chez le spécialiste pour
obtenir le remboursement du médicament.
De plus, dans les régions peu médicalisées, cela oblige parfois le patient à
parcourir des distances importantes… équité ?
Proposition :
Hormis les cas où un examen spécialisé est indispensable, le recours au
spécialiste pour obtenir le remboursement d’un médicament ne devrait
pas être imposé
9. Conflits d’intérêts
Même si, les recommandations de la CRM sont basées sur des données
scientifiques, elles tiennent compte de données économiques.
Ces considérations, parfaitement défendables sur un plan Santé Publique sont
parfois difficilement acceptables par le médecin généraliste qui se doit d’être
le défenseur de son patient.
Problème de la relation médecin-malade
Problèmes éthiques : choix d’échelle, niveau de risque…
Problème d’actualisation trop lente des recommandations (le
médecin se doit de soigner son patient suivant les données
actuelles de la science.