Chapitre 1. Les activités économiques. 1. Dans les « trois temps de

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Première ES2. Révisions générales du programme de l’année.
Partie I : Le QCM de sciences économiques
Chapitre 1. Les activités économiques.
1. Dans les « trois temps de la valse économique », on distingue :
 La consommation, l’investissement et les exportations.
 La production, la répartition et la dépense des richesses.
 Les revenus primaires, secondaire et tertiaire.
 La dépense, la production et l’emploi.
2. Dans la comptabilité nationale, on parle de :
 Secteurs institutionnels.
 Secteurs de l’appareil productif.
 Secteurs moteurs.
 Secteurs officiels.
3. Dans la comptabilité nationale, les échanges extérieurs sont comptabilisés dans le secteur :
 Reste à payer.
 Restant dû.
 Restaus du cœur.
 Reste du monde.
4. Les institutions financières ont un but :
 Non lucratif.
 Lucratif.
 Philanthropique.
 D’intérêt général.
5. Les administrations publiques sont financées par :
 Les impôts.
 La TVA (taxe sur la valeur ajoutée).
 Les cotisations sociales uniquement.
 Les prélèvements obligatoires.
6. Dans la comptabilité nationale, la formation brute de capital fixe (FBCF) correspond à :
 La consommation des ménages.
 L’investissement.
 La production.
 Les exportations.
7. La valeur ajoutée mesure :
 La richesse réellement créée par une entreprise.
 La mesure de l’efficacité de la production.
 La mesure de la richesse réelle des ménages.
 La mesure de la valeur créée pour les actionnaires.
8. La productivité c’est :
 La richesse réellement créée par une entreprise.
 La mesure de l’efficacité de la production.
 La mesure de la richesse réelle des ménages.
 La mesure des inégalités économiques.
9. Pour obtenir la valeur ajoutée, il faut retirer de la production :
 Les coûts.
 Le capital fixe.
 Les salaires.
 Les consommations intermédiaires.
10. Le produit intérieur brut (PIB) mesure :
 La somme des richesses des ménages durant une année.
 La somme des valeurs ajoutées des entreprises durant une année.
 La valeur totale de la production marchande durant une année.
 La valeur totale de la production non-marchande durant une année.
11. En 2007, la croissance du PIB en France a été de :
 9,1%.
 4,7%.
 0,6%.
 2,2%.
12. Les revenus générés par la production et le marché s’appellent :
 Les revenus initiaux.
 Les revenus primaires.
 Les revenus totaux.
 Les revenus de transfert.
13. Les revenus liés aux opérations de redistribution s’appellent :
 Les revenus de reversement.
 Les revenus de transfert.
 Les revenus intermédiaires.
 Les revenus sociaux.
14. Lorsqu’on retire des revenus primaires les prélèvements obligatoires, et qu’on ajoute les revenus
de transfert, on obtient :
 Les revenus fictifs.
 Les revenus illégaux.
 Le revenu disponible.
 Le revenu indisponible.
15. Les deux formes d’utilisation du revenu sont :
 Les importations et les exportations.
 La consommation et l’épargne.
 Les salaires et les profits.
 Les achats et les ventes.
16 Le taux d’épargne s’obtient en faisant :
 Le rapport entre l’épargne et la FBCF (x100).
 La différence entre la consommation et le revenu disponible (x100).
 Le rapport entre l’excédent brut d’exploitation et le revenu disponible.
 Le rapport entre l’épargne et le revenu disponible des ménages.
17. Le taux de marge s’obtient en faisant le rapport (x100) entre :
 Les bénéfices et les coûts.
 La production et les profits.
 L’excédent brut d’exploitation (EBE) et la valeur ajoutée (VA).
 Le capital et les bénéfices.
18. Le taux de marge mesure :
 La part des profits dans la valeur ajoutée.
 La part des bénéfices dans la production.
 La part des salaires dans la richesse nationale.
 La part des coûts dans la production.
19. Le solde de la balance commerciale s’obtient en faisant :
 La différence entre les importations et les exportations.
 La différence entre les ventes et les achats des touristes à l’étranger.
 La différence entre les activités illégales et la fraude fiscale.
 La différence entre les exportations et les importations.
20. En ce moment, la France est en situation :
 D’excédent commercial.
 De déficit commercial.
 De faillite.
 D’équilibre commercial.
21. Le rapport entre les exportations et les importations (x100) mesure :
 Le taux de pénétration commerciale.
 Le taux de fermeture.
 Le taux de couverture.
 Le taux d’ouverture.
22. Le taux d’ouverture rapporte :
 Les importations au PIB (x100).
 Les exportations à la FBCF (x100).
 Le solde de la balance commerciale au PIB (x100).
 Les exportations au PIB (x100).
23. Les grands indicateurs comptables de l’économie nationale s’appellent :
 Les agrégés.
 Les agrégats.
 Les conglomérats.
 Les magmas.
24. La bonne équation de l’équilibre emploi- ressources est :
 P + X = C+I+M.
 P= C+X.
 P+C = I+X.
 P+M = C+I+X + vS
25. La macroéconomie est surtout liée aux travaux de l’économie :
 Néoclassique.
 Keynésienne.
 Marxiste.
 Classique.
Chapitre 2. Analyse monétaire et financement de l’économie.
26. A long terme, on peut parler pour la monnaie d’un processus de :
 Déconcentration.
 Dématérialisation.
 Déflagration.
 Déconnexion.
27. Les chèques, cartes bleues sont les supports de la :
 Monnaie scripturale.
 Monnaie électronique.
 Monnaie de singe.
 Monnaie divisionnaire.
28. La monnaie scripturale vient du fait que :
 Les opérations bancaires sont consignées dans les livres de compte des banques.
 Les opérations bancaires sont toujours écrites à la plume.
 Les opérations bancaires sont toujours liées à des chèques.
 Les opérations bancaires doivent toujours garder une trace écrite sur du papier.
29. Le troc nécessite :
 La double coïncidence des revenus.
 La double coïncidence des nationalités.
 La double coïncidence des besoins.
 La double coïncidence des opinions politiques et religieuses.
30. Selon Adam Smith, les individus ont :
 Un penchant naturel à la magouille.
 Un penchant naturel à l’échange.
 Un penchant naturel à la dissimulation.
 Un penchant naturel à l’avarice.
31. Dans la conception libérale, la monnaie et l’échange permettent :
 De favoriser la cohésion sociale.
 De déliter le lien social.
 De générer des conflits sociaux.
 De réduire les inégalités sociales.
32. L’Union économique et monétaire (UEM) a réellement débuté en :
 1969.
 1979.
 2002.
 1999.
33. A l’heure actuelle, il y a dans la zone euro :
 12 pays.
 9 pays.
 27 pays.
 15 pays.
34. Dans l’Union européenne, on compte :
 15 Etats membres.
 12 Etats membres.
 30 Etats membres.
 27 Etats membres.
35. Dans la conception classique et néoclassique, la monnaie a surtout une fonction :
 De réserve de valeur.
 D’unité de compte.
 D’évasion fiscale.
 D’intermédiaire des échanges.
36. La loi des débouchés affirme que :
 L’offre et la demande sont toujours en déséquilibre.
 Les entreprises anticipent la demande.
 L’offre est toujours supérieure à la demande sur les marchés.
 L’offre globale est toujours égale à la demande globale.
37. La loi des débouchés est due à :
 Jean-Baptiste Say.
 Adam Smith.
 John Maynard Keynes.
 Karl Marx.
38. Le pouvoir d’achat est lié à :
 La variation des revenus et la variation des prix.
 La variation des revenus seulement.
 La variation des prix seulement.
 La variation des revenus et des prix des matières premières.
39. La création monétaire « ex nihilo » signifie que :
 Les banques commerciales ont le pouvoir de création monétaire (crédits).
 La banque centrale seule crée de la monnaie à partir de rien.
 La création monétaire ne provient que des devises obtenues de l’étranger.
 Les banques commerciales n’ont aucun compte à rendre aux autorités bancaires.
40. La formule « les crédits font les dépôts » est liée :
 A la création monétaire par les banques commerciales.
 Aux crédits accordés par la banque centrale.
 Aux crédits accordés par l’Etat ensuite déposés sur des comptes chèques postaux (NMS).
 Aux crédits du fonds monétaire international (FMI) à la France.
41. La banque centrale dirige le marché monétaire en utilisant surtout :
 Le taux d’intérêt correcteur.
 Le taux d’intérêt catalyseur.
 Le taux d’intérêt directeur.
 Le taux d’intérêt diviseur.
42. La Banque Centrale européenne (BCE) se situe :
 A Nice.
 A Francfort.
 A Copa Cabana.
 A Berlin.
43. Par rapport aux Etats membres, la BCE est :
 Relativement indépendante (elle peut aider les Etats membres de temps à autre).
 Strictement indépendante des Etats membres.
 Totalement dépendante des Etats de la zone euro.
 Absolument déconnectée de toute institution politique.
44. L’objectif prioritaire de la BCE est :
 La stabilité des prix.
 Le plein emploi.
 L’excédent de la balance commerciale.
 La croissance du PIB.
45. La BCE est actuellement dirigée par :
 Nicolas Sarkozy.
 Darth Vader.
 Angela Merkel.
 Jean-Claude Trichet.
46. La banque centrale américaine est :
 La banque cérébrale.
 Fort Knox.
 Le Pentagone.
 La Réserve fédérale (FED).
47. Dans ses statuts, la banque centrale américaine a comme objectif :
 Uniquement la stabilité des prix.
 Le plein emploi, la stabilité des prix et des taux d’intérêt modérés.
 Le plein emploi uniquement.
 Une consommation des ménages la plus dynamique possible.
48. La théorie quantitative de la monnaie signifie que :
 Une variation de la masse monétaire implique une accélération de la vitesse de circulation de
la monnaie.
 Une variation de la masse monétaire implique une augmentation des échanges de biens et
services.
 Une croissance de la masse monétaire implique une croissance proportionnelle du niveau
général des prix (vitesse de circulation de la monnaie et quantité de biens et services stables).
 Une croissance de la masse monétaire entraîne une décroissance proportionnelle du niveau
général des prix.
49. La théorie monétaire keynésienne implique que la politique monétaire :
 Favorise l’activité économique en abaissant le coût du crédit (stimulation de la consommation
et de l’investissement).
 Favorise l’inflation en augmentant trop fortement la masse monétaire.
 Favorise la déflation en réduisant les taux d’intérêt.
 Crée des externalités négatives comme la pollution par exemple.
50. Dans la théorie keynésienne, pour atteindre le plein emploi, il faut en priorité stimuler :
 La demande effective (anticipée par les consommateurs).
 La demande anticipée par les entrepreneurs.
 La demande prévue par la banque centrale.
 La demande anticipée par l’Etat central.
51. L’Etat et les entreprises sont des agents qui sont structurellement :
 En situation de capacité de financement.
 En situation de découvert bancaire.
 En situation de faillite frauduleuse.
 En situation de besoins de financement.
52. Les ménages sont des agents économiques qui sont structurellement :
 En situation de capacité de financement.
 En situation de découvert bancaire.
 En situation de faillite frauduleuse.
 En situation de besoins de financement.
52. La finance de marché correspond à :
 La finance directe.
 La finance indirecte (intermédiée).
 La finance place du Vieux Marché.
 La finance uniquement dans une économie de marché.
53. Le crédit bancaire correspond à :
 La finance directe.
 La finance indirecte (intermédiée).
 La finance bancaire.
 La finance uniquement dans une économie de marché.
54. A partir des années 80, on assiste à un essor de la :
 La finance directe.
 La finance indirecte (intermédiée).
 Les flux financiers liés aux trafics illégaux.
 La finance anglo-saxonne.
55. Le processus de libéralisation des flux de capitaux porte le nom de :
 Mondialisation commerciale.
 Mondialisation de la production.
 Mondialisation financière.
 Mondialisation du capital.
Chapitre 6. Economie de marché ou société de marché ?
56. Quelle serait la bonne définition du marché ?
 Le marché est un lieu d’échanges réels.
 Le marché est un lieu de confrontation de l’offre et de la demande.
 Le marché est un lieu fictif où se fixent des prix.
 Le marché est un lieu (réel ou fictif) de confrontation de l’offre et de la demande et où se fixe
un prix.
57. Quel est l’auteur qui a montré que la logique marchande s’était progressivement séparée du lien
social et politique :




Emile Durkheim.
Karl Marx.
Karl Polanyi.
Adam Smith.
58. Que signifie la métaphore de la « main invisible » d’Adam Smith ?
 Que l’intérêt général est toujours supérieur à l’intérêt personnel.
 Que les intérêts particuliers sont toujours supérieurs au bonheur collectif.
 Que l’intérêt général n’a aucun intérêt.
 Que la recherche de l’intérêt individuel permet d’atteindre l’intérêt général.
59. A qui est due la formule « laissez- faire, laissez passer » ?
 Vincent de Gournay.
 Adam Smith.
 Karl Marx.
 John Maynard Keynes.
60. Comment peut-on définir une « société de marché » ?
 Une société où l’Etat centralise la gestion des ressources.
 Une société où le marché est régulé par l’intervention de l’Etat.
 Une société où tous les rapports sociaux sont déterminés par des mécanismes de marché.
 Une société où le marché ne se situe que dans des lieux réels.
61. Quelles sont les deux institutions fondamentales du marché (vues en cours) ?
 Les droits sociaux et politiques.
 Les règles sociales et le don.
 Le respect des libertés politiques et des libertés de tout acheter et de tout vendre.
 Les règles juridiques et la monnaie.
62. Qu’est-ce que le potlatch ?
 Un plat mexicain très épicé.
 Un nouveau jeu de société.
 Une cérémonie qui montre l’importance du don et des échanges hors- marché.
 Une règle de politesse d’origine slave.
63. Sur un marché, on peut dire que :
 L’offre est une fonction décroissante du prix de vente.
 L’offre est une fonction croissante du prix de vente.
 L’offre est une fonction égale au prix.
 L’offre est une fonction strictement supérieure au prix.
64. Sur un marché, on peut dire que :
 La demande est une fonction décroissante du prix de vente.
 La demande est une fonction croissante du prix de vente.
 La demande est une fonction égale au prix.
 La demande est une fonction strictement supérieure au prix.
65. Pour un fonctionnement optimal du marché, deux hypothèses doivent être réunies (vues en
cours) :
 La rigidité des prix et les conditions de la concurrence imparfaite.
 Des prix administrés par l’Etat et la nationalisation des entreprises privées.
 La flexibilité des prix et les conditions de la concurrence pure et parfaite (CPP).
 La flexibilité des prix et le contrôle de la demande par l’Etat.
66. L’économiste qui a démontré l’existence d’un équilibre général des marchés (travail, capital, biens
et services) est :
 Adam Smith.
 Jean-Baptiste Say.
 Karl Marx.
 Léon Walras.
67. La loi de l’offre et de la demande entraîne :
 Une aggravation des déséquilibres dans l’économie (crises cumulatives).
 Un retour instantané à l’équilibre sur le marché (marché autorégulateur).
 Un retour à un niveau de prix qui satisfait les consommateurs les plus aisés.
 Un retour à un équilibre parfait entre la part des salaires et celle des profits dans le PIB.
68. Un monopole se définit comme :
 Une situation de marché où un consommateur fait face à de multiples producteurs.
 Une situation de marché où un producteur fait face à quelques acheteurs.
 Une situation de marché où un producteur fait face à un seul acheteur.
 Une situation de marché où un producteur fait face à de multiples acheteurs.
69. Un monopole implique que :
 Le prix de vente est supérieur au prix d’équilibre.
 Le prix de vente est inférieur au prix d’équilibre.
 Le prix de vente est égal au prix de marché.
 Le prix de vente permet l’optimum du producteur et du consommateur.
70. Un oligopole se définit comme :
 Une situation de marché où un consommateur fait face à de multiples producteurs.
 Une situation de marché où quelques producteurs font face à de multiples acheteurs.
 Une situation de marché où un producteur fait face à un seul acheteur.
 Une situation de marché où un producteur fait face à de multiples acheteurs.
71. Les principales limites théoriques du marché sont :
 Les externalités et la fourniture des biens collectifs.
 Les externalités et les inégalités sociales.
 L’indépendance de la banque centrale et le pacte de stabilité et de croissance.
 Le marché n’a pas de limites.
72. Une entreprise se définit comme :
 Une organisation à but non lucratif.
 Une organisation dont le seul but est la recherche du profit.
 Un lieu de conflit fondé sur l’exploitation et la confiscation de la plus-value.
 Une organisation qui combine des facteurs de production pour produire des biens et des
services et les vendre sur un marché.
73. En économie, on distingue traditionnellement :
 Les innovations technologiques organisationnelles.
 Les innovations de méthode et les inventions.
 Les innovations pédagogiques et méthodologiques.
 Les innovations théoriques et cartésiennes.
74. La différence entre une invention et une innovation est que :
 L’invention est toujours et partout un phénomène monétaire.
 L’innovation permet au capitalisme d’intensifier l’exploitation des travailleurs.
 L’innovation est produite et commercialisée.
 L’invention est liée à la recherche appliquée.
75. L’économiste qui a montré que l’innovation constitue le moteur du capitalisme est :
 Joseph Stiglitz.
 Joseph Staline.
 Joseph Schumpeter.
 Vladimir Illich Oulianov dit « Lénine ».
Chapitre 7. Le rôle économique et social de l’Etat.
76. Les administrations publiques sont composées :
 Des administrations publiques centrales et locales.
 Des administrations publiques centrales et de sécurité sociale.
 Des administrations publiques centrales, locales et supranationales.
 Des administrations publiques centrales, locales et de sécurité sociale.
77. Les trois fonctions de l’Etat au sens de R. Musgrave sont :
 Les fonctions de répression, de délation et d’extermination des opposants.
 Les fonctions d’allocation, de stabilisation et de redistribution.
 Les fonctions de déréglementation, de décloisonnement et de désintermédiation.
 Une seule fonction : la libéralisation de l’économie.
78. Les prélèvements obligatoires comprennent :
 La TVA et les cotisations sociales.
 La taille et la gabelle.
 L’impôt révolutionnaire et la dîme royale.
 Les impôts et les cotisations sociales.
79. La politique conjoncturelle correspond surtout à la fonction :
 De stabilisation.
 De redistribution.
 D’allocation.
 De détermination.
80. La politique conjoncturelle comprend :
 La politique centrale et locale.
 La politique budgétaire et fiscale.
 La politique monétaire et budgétaire.
 La politique sociale et la politique de l’emploi.
81. La politique conjoncturelle cherche à :
 Augmenter la productivité des facteurs de production.
 Réguler la demande à court terme.
 Réduire les inégalités sociales.
 Baisser la fiscalité sur les facteurs de production.
82. La politique structurelle cherche à :
 Réduire le poids de l’Etat dans l’économie.
 Stimuler la consommation et l’investissement.
 Baisser les impôts et les taxes.
 Stimuler l’efficacité de l’appareil productif et celle des marchés.
83. Le budget de l’Etat voté au Parlement s’appelle :
 La loi de rectification.
 Le besoin de financement
 L’impasse budgétaire.
 La Loi de Finances.
84. Le Pacte de stabilité et de croissance impose des déficits publics inférieurs à :
 3% du budget de l’Etat.
 3% du PIB.
 6% du PIB.
 1% du PIB.
85. Dans l’Union européenne, la déréglementation des monopoles publics s’accompagne de
l’impératif :
 De supprimer tous les services publics.
 D’appliquer les textes sacrés des religions du Livre.
 D’imposer une logique de marché dans tous les rapports sociaux.
 De mettre en œuvre le service universel.
Première ES2. Révisions générales du programme de l’année.
Partie II : Le QCM de sociologie et de science politique.
Chapitre 3 et 4 : L’organisation sociale.
Question 86. En sociologie, la structure sociale est décrite dans :
 Le marc de café.
 Les astres et la cartomancie.
 La nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles (PCS).
 Le Capital de Karl Marx.
Question 87. Alexis de Tocqueville est un auteur du :
 XVIII ème siècle.
 XIX ème siècle.
 XXème siècle.
 XVI ème siècle.
Question 88. Pour Tocqueville, la démocratie est caractérisée par :
 La soif de liberté.
 Le péril révolutionnaire.
 La passion pour l’égalité.
 Le besoin d’autorité.
Question 89. La loi de la bipolarisation explique que la société capitaliste va se diviser en :
 Sept classes sociales.
 Deux classes sociales, les cadres et les ouvriers.
 Deux couches sociales, les chefs d’entreprise et les chômeurs.
 Deux classes sociales, aux intérêts irréductiblement opposés, la bourgeoisie et le prolétariat.
Question 90. Le 1er tome du Capital de Marx a été publié en :
 1818.
 1889.
 1867.
 1864.
Question 91. Quelles sont les dates de Karl Marx ?
 1864-1920.
 1858-1817.
 1883-1946.
 1818-1883.
Question 92. En plus de la position dans les rapports de production, quel aspect doit-on ajouter pour
définir une classe sociale au sens de Marx ?
 La prise de la Bastille.
 La prise de conscience du sens de l’existence.
 La prise de conscience de l’existence de traîtres à la cause.
 La prise de conscience des intérêts communs et la mobilisation pour les défendre.
Question 93. La distinction entre classes sociales, groupes de statuts et partis politiques est due à :
 Ernest Renan.
 Emile Durkheim.
 Max Weber.
 Louis Chauvel.
Question 94. Parmi cette liste, quelle est la PCS dont la part a fortement augmenté au cours de
l’après-guerre ?
 Les ouvriers.
 Les agriculteurs.
 Les cadres et professions intellectuelles supérieures.
 Les professions indépendantes.
Question 95. A partir de quand constate-t-on une baisse importante de la part des ouvriers dans la
structure sociale ?
 Dans la première moitié des années 90.
 A la fin des années 80.
 Dans la seconde moitié des années 70.
 Dès les années 60.
Question 96. Comment appelle-t-on le phénomène de la montée de la part des emplois de services
dans l’emploi total ?
 La désindustrialisation.
 L’internationalisation.
 La terminaison.
 La tertiarisation.
Question 97. Combien représentent aujourd’hui les emplois de services dans l’emploi total ?
 50%.
 25%.
 75%.
 95%.
Question 98. En sociologie, qu’appelle-t-on la « moyennisation » de la société française ?
 La pertinence de la loi de la bipolarisation marxiste à long terme.
 L’émergence puis la montée des classes moyennes dans la structure sociale.
 La croissance des effectifs de la PCS Cadres et professions intellectuelles supérieures.
 La croissance des effectifs de la PCS ouvriers.
Question 99. La fourchette de salaire net mensuel pour se situer dans les classes moyennes va
environ de :
 1050 euros à 1250 euros.
 450 euros à 1000 euros.
 4000 euros à 9000 euros.
 1500 euros à 3000 euros.
Question 100. Le seuil de pauvreté situé à 50% du revenu médian est calculé par :
 EUROSTAT.
 L’INSEE.
 Le Bureau international du travail.
 L’ANPE.
Question 101. Au seuil de 60% du revenu médian, on compte environ en France :
 2 millions de pauvres.
 15 millions de pauvres.
 7 millions de pauvres.
 25 000 pauvres environ qui ont choisi un mode de vie en marge de la société.
Question 102. La société de « l’entre- soi » et les travaux relatifs à la ségrégation sociale étudiés en
cours sont dus à :
 Louis Chauvel.
 Henri Mendras.
 Eric Maurin.
 Emile Durkheim.
Question 103. A propos des inégalités salariales, l’écart entre les cadres et les ouvriers va de :
 1 à 3.
 1 à 5.
 1 à 10.
 1 à 7.
Question 104. A propos des inégalités de patrimoine, les écarts aujourd’hui en France vont de :
 1 à 5.
 1 à 1000.
 1 à 25.
 1 à 70.
Question 105. Les classes populaires en France représentent aujourd’hui :
 20% de la structure sociale.
 80% de la structure sociale.
 60% de la structure sociale.
 10% de la structure sociale.
Question 106. La distinction entre nature et culture vue en cours est due à :
 Claude Lévi- Strauss.
 Emile Durkheim.
 Karl Marx.
 Max Weber.
Question 107. La règle qui fonde le lien social et la règle d’exogamie est :
 La prohibition de l’alcool.
 La prohibition de l’inceste.
 La recherche du bonheur privé.
 Le goût du lucre.
Question 108. Le processus d’intériorisation des normes et des valeurs est :
 Le processus de dématérialisation.
 Le processus de sociabilité.
 Le processus de socialisation.
 Le processus d’intégration.
Question 109. La famille joue un grand rôle dans la :
 Socialisation primaire.
 Socialisation secondaire.
 Sociabilité primaire.
 Société primitive.
Question 110. Les valeurs sont des :
 Erreurs qui masque les vrais rapports sociaux de production.
 Mensonges.
 Artefacts.
 Idéaux.
Question 111. La définition de la culture vue en cours est due à :
 Taylor.
 Tylor.
 Lévi-Strauss.
 Max Weber.
Question 112. Dans sa sociologie de l’école, Pierre Bourdieu insiste surtout sur la notion de :
 Capital social.
 Capital financier.
 Capital économique.
 Capital culturel.
Question 113. Les travaux de Pinçon et Pinçon- Charlot portent sur :
 La nouvelle classe ouvrière.
 La grande bourgeoisie.
 La classe moyenne.
 La noblesse d’Etat.
Chapitre 5. L’organisation politique.
Question 114. La science politique est la discipline qui étudie :
 Les relations entre l’Etat et les citoyens.
 Les régimes démocratiques.
 Les phénomènes de pouvoir et les institutions dans les sociétés.
 Les institutions sociales.
Question 115. Le pouvoir d’injonction est un pouvoir basé sur :
 Seulement l’usage de la force.
 La contrainte.
 La corruption.
 Les relations sociales.
Question 116. Quel est le sociologue qui s’est illustré par sa définition du pouvoir :
 Max Weber.
 Ernest Renan.
 Robert Dahl.
 Carl Schmitt.
Question 117. Pour Max Weber, l’Etat a la particularité de :
 Disposer de l’autorité religieuse.
 Disposer de la capacité de monopoliser les forces militaires.
 Disposer du monopole de la contrainte physique légitime.
 De pouvoir contrôler les libertés publiques.
Question 118. Pour Max Weber, la forme de la légitimité qui tend à s’imposer dans les sociétés :
 La légitimité légale- rationnelle.
 La légitimité traditionnelle.
 La légitimité charismatique.
 La légitimité religieuse.
Question 119. L’Etat de droit est caractérisé par :
 Le fait que l’Etat se soumet lui-même à des règles de respect des citoyens.
 Une intervention minimum de l’Etat dans l’économie.
 Un Etat qui intervient dans le domaine social.
 Le fait de garantir la souveraineté du territoire.
Question 120. Le fait de donner davantage de pouvoir à des institutions internationales s’appelle :
 Un processus de désinstitutionnalisation.
 Un processus de nationalisation.
 Un transfert de souveraineté.
 Un abandon de pouvoir.
Question 121. Les partis qui prônent le retour à l’autonomie de la France en Europe s’appellent :
 Les partis extrémistes.
 Les partis centristes.
 Les partis fédéralistes.
 Les partis souverainistes.
Question 122. Les premières lois de décentralisation en France datent de :
 1986.
 1982.
 1995.
 2002.
Question 123. La France devient officiellement un Etat unitaire décentralisé en :
 1958.
 1974.
 2003.
 1998.
Question 124. Les premières lois de décentralisation restent attachées au nom de :
 Edouard Balladur.
 Jean Lecanuet.
 Gaston Defferre.
 Jacques Chirac.
Question 125. Le fait de nommer des représentants de l’Etat comme les préfets s’appelle :
 La décentralisation.
 La déconcentration.
 La délégalisation.
 La nationalisation.
Question 126. Selon les critiques de la reconnaissance du droit des minorités, celle-ci pourrait
présenter un risque de :
 Communisme.
 Communautarisme.
 Désocialisation.
 Républicanisme.
Question 127. Le traité de Maastricht de 1992 crée :
 L’espace Schengen.
 La Communauté économique européenne (CEE).
 L’Union européenne (UE).
 La communauté du charbon et de l’acier (CECA).
Question 128. Le traité d’Amsterdam est connu en matière économique car il instaure.
 La Monnaie unique.
 Le Pacte de stabilité et de croissance.
 L’OTAN.
 Le pouvoir de la Banque Centrale européenne.
Question 129. La conception française de la nation a été définie notamment par :
 Max Weber.
 Jean Jaurès.
 Ernest Renan.
 Charles Maurras.
Question 130. La conception française de la nation :
 Reconnaît officiellement tous les particularismes.
 Reconnaît un citoyen abstrait détaché de toute appartenance particulière.
 Reconnaît un citoyen abstrait mais n’accepte pas la pratique des cultes religieux.
 Reconnaît les appartenances régionales mais pas les appartenances religieuses.
Question 131. La conception allemande de la Nation :
 Est liée aux travaux de Goethe.
 Reste associée aux écrits de Herder et Fichte.
 Rejette toute forme d’immigration.
 Est fondée sur le droit du sol.
Question 132. Traditionnellement on distingue deux types de démocratie :
 La démocratie plébiscitaire et la démocratie libérale.
 La démocratie formelle et la démocratie réelle.
 La démocratie directe et la démocratie représentative.
 La démocratie oligarchique et la démocratie pluraliste.
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