Recherches du TPE Axe 1

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Recherches du TPE
Axe 1 : Quelles sont les causes sociales du stress (exemple coréen)
Depuis 1960, la Corée de Sud a connu un développement économique très
impressionnant. D’un pays ruine par la guerre, elle se convertit en la quinzième puissance
économique mondiale en 2010. En effet, elle dispose d’élèves qui sont des champions de la
réussite scolaire dans les concours internationaux (notamment en maths et sciences). La
contribution à la croissance économique de ses élevés (qui plus tard deviennent de véritables
élites dans le domaine professionnel) ne peut pas être négligé. Cependant, leur réussite n’est
pas de tout un coup de chance. Les élèves et professionnels coréens sont pousses à l’extrême
pour obtenir des résultats maximaux. Pourquoi vont-ils si loin ? Tout simplement, à cause de
la concurrence ; que ça soit au niveau scolaire ou dans le domaine professionnel, la
concurrence est omniprésente.
Par exemple, la routine typique d’un lycéen coréen est de se lever tôt le matin pour
aller à l’école jusqu’à 8h. Puis suite à la fin des cours, il reste à l’école pour réviser jusqu’à 11h
ou il peut aller dans des “Hagwon”, endroits où il reçoit des cours supplémentaires. Dans tous
les cas, l’élève ne rentre que vers minuit, et encore le travail n’est pas fini pour lui. Il passe
encore deux heures pour faire tous ses devoirs ainsi que faire quelques dernières révisions.
En effet, un sondage révèle que 87,9 % des lycéens se disent angoissés, dont 72,6 % à cause
des études. Ces chiffres sont bien plus élevés que les américains (54 %) ou même japonais
(44,7 %) et chinois (59,2 %). Les élèves de primaire et collège aussi connaissent cette scolarité
extrême : par exemple, un élève de CP qui ne connait pas ses tables de multiplications et
considère comme “en retard” compare à ses camarades de classe. Naturellement ses élèves
ressentent un très grand stress, suite à la recherche de la
perfection.00000000000000000ikiiiiiiiiiiiiii00000000000000000000000000000000000
Pour illustrer les conséquences de ce stress, on va s’appuyer sur un film français :
“Mon Oncle d’Amérique”. C’est un film réalisé par Alain Resnais dans lequel le
professeur Henri Laborit intervient au cours de trois récits entremêlés pour expliquer ce que
nous savons aujourd'hui du comportement humain. Durant un moment du film, ce dernier
explique les réactions de l’Homme face au stress en présentant une expérience réalise sur
des souris. D’après lui, dans un premier temps l’individu stresse cherche à éviter ce stress.
Cependant, dans la société coréenne, les élèves subissent une pression familiale
extrêmement oppressante, rendant ces études extrêmes inévitables. Dans le cas où on ne
peut pas éviter ce stress, le professeur explique qu’on adapte un comportement violent :
dans un premier temps envers les autres. En Corée, un jeune lycéen s’est fait arrête le 24
novembre, en raison du meurtre de sa propre mère. Le jeune homme de 18 ans a admis avoir
frappé à mort sa mère car il ne supportait plus la pression qu'elle lui imposait en vue de son
classement au baccalauréat. Elle l’a frappé à coups de batte de baseball estimant insuffisant
son classement de 62e meilleur étudiant du pays. Pour revenir au film, le dernier cas explique
et celui dans lequel on ne peut pas infliger de la violence sur les autres. Dans ce cas, il est
expliqué que l’individu lui-même subit sa propre violence. En effet, les adolescents sudcoréens sont les plus malheureux de tous ceux des pays de l’OCDE. Pas moins d’un sur cinq
dit d’ailleurs avoir déjà songé au suicide, qui, depuis 2011, est la principale cause de décès
chez les jeunes. Ce stress extrême chez les élèves coréens est une cruelle réalité.
Les professionnels eux aussi connaissent et subissent la même concurrence et stress
dont les élèves souffrent. D’une certaine manière, ce n’est qu’un prolongement des années
d’études. L’embauche est extrêmement difficile en Corée de Sud, en raison de la concurrence.
On observe souvent des situations ou des centaines d’individus très compétant se retrouvent
à lutter pour une même place. Un grand problème est qu’on n’est pas toujours satisfait du
métier qu’on exerce : seulement 69% des professionnels sont satisfaits de leur travail, un
pourcentage beaucoup plus inférieur à celui de la moyenne parmi les pays de l’OCDE (81%).
De plus 87% des professionnels ont admis lors d’un sondage qu’ils se sentent stresses au
bureau (un pourcentage plus élève que la moyenne des pays de l’OCDE qui est de 78%). Au
bureau, le stress provient en général d’un excès de travail demande, ainsi que des supérieurs
oppressants (beaucoup ne laissent pas rentrer les employés a l’heure), et bien sûr, pour ceux
qui ont une famille, pourvoir remplir ses responsabilités (car en effet, l’éducation est très
chère en conséquence de tous les cours supplémentaires des enfants).
Axe 2 : Qu’est-ce que le stress d’un point de vue biologique
Arguments pour la partie : Stress dans notre organisme
-idée perçue du stress : négative.
-Mais : stress  surtout un mécanisme d’adaptation, c’est une réponse du corps a une menace. Il
donne la force de fuir, de combattre.
Avant, le stress était actionné face à une violence inattendue (hommes de la préhistoire).
Aujourd’hui, face à une oppression psychologique.
Le stress au sein de notre organisme
-Le stress a des effets sur notre corps : accélération du rythme cardiaque, rougissement, respiration
plus rapide, transpiration, pause de la digestion.
-L’organisme dispose d’un mécanisme biologique spécifique lui permettant de se mobiliser pour se
défendre.
-Cas durant la conduite (tronc d’arbre devant soi) :
-analyse de la situation par le cortex préfrontal (qui collabore avec l’hippocampe, site de
gestion de la mémoire, et l’amygdale, site de gestion des émotions).
-Le thalamus, a l’ordre du cortex, largue dans le sang de l’adrénaline, hormone qui accélère
le rythme cardiaque/respiratoire, et des glucocorticoïdes, hormones qui favorisent la
production d’énergie via d’autres organes.
Conséquences : Le corps réagit, les muscles se tendent, le frein est actionné.
Une fois le stress passé, il y a un retour à la normale. Les glucocorticoïdes vont servir de
frein, et vont ralentir le largage stimulé par le thalamus.
Attention ! Dans certains cas, le retour à la normale prend plus de temps, ou est à des moments
inexistant : L’explication est claire, tout le monde la connait. C’est à cause du souvenir trop récurent
d’un événement (examen). Dans ce cas-là, la situation est particulière dans notre organisme.
 Se souvenir d’un événement stressant (même futur) se traduit par la même opération
effectuée lors de la conduite. Le thalamus largue dans le sang de l’adrénaline et des
glucocorticoïdes. Se souvenir de manière récurrente revient à larguer de manière
excessive ces deux hormones dans le sang. Or des expériences scientifiques ont prouvé
que des liens puissants étaient établis entre les glucocorticoïdes en excès dans
l’organisme et la dépression/comportements mauvais/troubles de sommeil. Il y a une
accumulation de cette hormone, qui devient alors néfaste, et qui ne peux plus freiner le
largage.
Le stress varie selon les personnes :
- Le comportement des personnes est très important. Chaque individu va interpréter une
situation de manière totalement différente, et donc ils vont stresser plus ou moins en
fonction de la mentalité.
- Le stress est aussi transmissible génétiquement. Certains individus d’une même famille
vont stresser beaucoup plus rapidement que d’autres. Le gène 5HTT gère la production
d’une protéine transportant la sérotonine, régulatrice de l’humeur.
- Un caractéristique du stress aujourd’hui est celui lié à la mémoire post-traumatique. Les victimes
d’un stress post-traumatique sont celles ayant vécu au cœur d’un événement traumatisant,
dépassant l’au-delà de l’imaginable. Evénements rares dans la vie humaine. Pas aussi fort que la
mort d’un proche. Ici, survivants de guerre. Ces personnes présentent une hypermnésie pour un
détail de l’événement, mais une amnésie de l’idée, du contexte. Un survivant de guerre ne va rien
ressentir s’il se retrouvait à refaire la guerre sur le même champ de bataille sur lequel il a vu mourir
son meilleur ami, mais sombrera dans une folie incontrôlable en voyant l’arme qu’utilisait son ami.
Conclusion de cet axe : Le stress en Corée s’expliquerait donc par différents facteurs : Un souvenir
trop récurent de facteurs stressants dans leur vie (examens, concurrence,), des personnalités
sensibles trop récurrentes aux mentalités fragiles (qui ne pensent qu’au travail), la génétique, ou la
mémoire post-traumatique.
Transition : Néanmoins, il ne faut surtout pas oublier que le stress est avant tout un atout de
l’homme (comme chez l’animal). Aujourd’hui, beaucoup de scientifiques se consacrent a trouver les
points positifs du stress, et à les développer. On combat contre le stress, et c’est dans ce troisième
axe que nous allons voir qu’est-ce que le bon stress, et comment parvenir à lutter contre le stress
néfaste.
Axe 3 : Quelques solutions pour remédier au stress
Méthodes pour « déstresser »
Les médicaments « anti-stress »
Les médicaments anti-stress sont des médicaments qui sont considérés essentiels
lors d’un besoin très grand. Donc il est très déconseillé de prendre ces
médicaments pour des « petits » stress mais sont majoritairement utilisés pour des
patients ayant du stress qui peuvent se lier à un danger sur la vie du patient. Il
existe plusieurs types de familles de médicaments contre le stress : les
bétabloquants, les anxiolytiques etc...
Les bétabloquants
 les médicaments agissent sur les récepteurs « béta ».
(Définitions ?)
Il existe encore des catégories différentes de bétabloquants  les cardio-sélectifs
qui agissent que sur le béta 1
 Les autres qui agissent sur tous les autres récepteurs bêtas.
Le problème d’utilisé ce genre de médicaments  risque que les médicaments
atteignent d’autres parties ayant pas avoir avec le stress comme les bronches et
pourrait être lié à une crise d’asthme De plus, des patients asthmatiques sont très
déconseiller de prendre ce genre de médicaments et les personnes ayant des
problèmes de cœur car ce médicament agit dans la conduction cardiaque donc
dans les flux nerveux du cœur donc entre les ventricules et les oreillettes.
Les anxiolytiques  Médicaments agissant sur les récepteurs « gaba » (joue le
rôle d’apaiser l’excitation des neurones chez les adultes donc joue le rôle de
« relaxer » le cerveau) Ces médicaments donc vont renforcer ces récepteurs. Le
récepteur « gaba » est aussi renforcer grâce à l’alcool donc il est très dangereux
de consommer ce médicament après une consommation de boissons alcoolisés car
les effets se manifesteront aussi sur d’autres parties du corps ayant ces récepteurs.
 Risques : L’individu sera de moins en moins susceptible aux actions de
ces récepteurs qui sont censé nous faire « relaxer ». C’est pourquoi il faut
consommer une dose de médicaments exactes pour ne pas causer cette
effet. Donc ces médicaments doivent être consommer par l’avis médical.
Connectez-vous
Certes, les écrans peuvent être source de stress. Mais il faut l’utilisé de la bonne
manière, il n’y a pas de raison pour ne pas d’aller sur Internet pour soulager un
peu votre stress.
D’après le journal Healthy Living Internet peut être une source de déstresse. En
effet, une étude clinique de Cleveland a constaté que des programmes de
gestion de stress en ligne, comme la méditation guidée, diminuaient les niveaux
de stress dans un groupe de 300 personnes.
Dans l’organisme :
Le bon stress
Le stress a aujourd’hui les personnes le visualisent comme une chose qui donne
QUE des effets négatifs sur le corps. Cependant cela n’est pas le cas en petite
quantité et peut même être essentiel dans certains cas. (Challenges, concours et
autres défis de la vie.) et peut aussi devenir une source inattendue de motivation.
Le stress se manifeste pour s’adapter naturellement face à une situation. Le stress
est donc le signe que donne l’organisme lors d’un changement d’environnement.
Aujourd'hui, lorsqu’on parle de stress cela est toujours négatif. En effet, tous les
maux ne peuvent pas s'expliquer que par le stress. Si la situation que doit subir
l’individu est trop intense, l'organisme se laisse submerger par le stress et il devient
difficile de le gérer. En revanche, à petite dose, le stress peut améliorer les capacités
de s’adapter aux situations agressives.
Contexte scientifique : (D’après les recherches de Kelly Mcgonigal et de son speech
de TED)
Lors du stress une hormone se déclenche, elle s’appelle l’ocytocine. Cette hormone
mène l’Homme à être « gentil » et renforce l’envi d’aider les autres personnes.
Cependant, malgré ces bons aspects, cette hormone est une hormone de stress et
est émis lorsque l’individu ressent du stress. Cette hormone nous pousse à chercher
de l’aide en cas de stress. Cette hormone ne s’inflige pas que dans le cerveau mais
dans le corps entier. Elle permet de réparer les damages causés par les effets
négatifs du stress et renforcent le cœur en nous faisant renforçant le cœur de
problèmes cardio vasculaire. Cette hormone nous fait donc des bénéfices car elle
nous permet de mieux réagir devant le stress et nous habitue beaucoup plus.
Le mot « eustress » signifie le bon stress. (Le préfixe « eu » vient du grec signifiant
bon). L’Homme a pu survivre grâce à cette effet dans notre corps. En effet, ce bon
stress se manifeste lors d’une situation qui parait potentiellement possible à
surmonter. Ce eustress est une des causes du bien-être et nous pousses à faire de
nouveaux « challenges ».
Dans une recherche dans les Etat Unis, on a suivi 30 000 personnes pendant 8 ans
et en posant 2 questions différentes : « Quelles quantités de stress aviez-vous eut
cette année ? » et « Pensez-vous que le stress peut être positif ? » 43 pourcent
des personnes qui ont répondu qu’ils avaient beaucoup de stress mais qu’ils le
considéraient mauvais sont morts de cause divers. Tandis que les gens qui se
considéraient ayant beaucoup de stress mais qui croient que le stress est mélioratif
n’ont pas ce taux de mortalité aussi haut. Cette étude prouve que la perception du
stress peut aussi changer ses actions dans l’organisme.
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