immobilité. On fait un autre mesure avec un tachymètre (émetteur et récepteur laser (l’envoyer
sur la partie réfléchissante=pastille))
Nstobo = 1199 flashs/mn =19,98tr/s Ntachy = 1194 flashs/mn=19,9 tr/s (on divise par 60)
=N/2π stobo = 3,18 rad/s tachy = 3,17 rad/s
1.2.2. Corde de Melde (ondes stationnaires)
(Duffait p.245 – Quaranta I p.257)
Le vibreur est alimenté par un GBF
(donc de fréquence variable) et un
amplificateur.
Principe : une corde est tendue par
l’intermédiaire d’une masselotte. On fait
vibrer la corde au moyen d’un
excitateur. On fait varier la fréquence de
GBF jusqu’à observer un phénomène de résonance
(amplitude maximale des ventres)
Rq : si on a un vibreur à fréquence fixe, il faut jouer sur la longueur de la corde pour obtenir la résonance.
On a une impression de mobilité : on voit des fuseaux avec des nœuds et des ventres : on ne
voit plus l’onde la propagation longitudinale de l’onde (on ne voit plus l’onde se propager de
gauche à droite et de droite à gauche).
Mesure : avec le stroboscope, on cherche la fréquence de vibration de la corde. On démarrer
toujours des + hautes fréquences et on diminue ensuite jusqu’à obtenir une corde immobile dans
l’espace (travailler dans l’obscurité).
On mesure Nstobo = 2250 flashs/mn = 2250/60 = 37,5 flashs/s = 37,5 Hz
Comparaison avec le calcul :
Fréqu. propre de la corde : fk=
avec c=
(T=mg : tension du fil – m=100g ; : masse
linéique : mesurer la longueur et la masse de la corde avant de la fixer sur le montage)
L = 2290 ± 5 mm longueur de la corde
Si on a 5 ventres, k=5. La longueur d’un ventre est égale à λ/2 : λ/2=L/k=L/5=458 mm
donc λ=916 ± 1 mm
λ=cT donc fcalc=c/λ=
=
=38,0 Hz
f/f=λ/λ + ½ (T/T + /) / = mfil/mfil + lfil/lfil on prend λ=1mm ; T =0 car
masse calibrée ; mfil=0,1 g ; mfil=5mm
Comparaison avec la fréquence du GBF : fGBF = 37,58 Hz
Transition : On utilise le stroboscope pour l’étude des mouvements périodiques. Pour les mouvements non
périodiques, on utilise une autre technique.
II. Chronophotographie
L’invention de la chronophotographie remonte à la fin du 19ème siècle. Cette technique a été
inspirée des travaux d’un américain (Muybridge – cheval au galop) et mise au point par le
français Etienne-Jules Marey. Il s’agissait à l’époque, d’enregistrer, à intervalles de temps
réguliers et sur une même plaque photographique, des images d’un être en mouvement devant
l’objectif de l’appareil photo (principe du stroboscope : disque tournant muni d’une fenêtre)
(chambre noire, personne habillée en blanc).
Cette technique n’est plus utilisée en l’état aujourd’hui dans les sciences : l’appareil photo a
laissé la place au caméscope et au magnétoscope, puis à la webcam et aux logiciels de
traitements d’images.
II.1 Principe de l’acquisition d’images
La technologie de l’imagerie impose certaines contraintes :
Un film est composé d’une succession d’images fixes. C’est notre persistance rétinienne qui
donne l’illusion du mouvement.
La technologie de la télévision (c’est un peu différent au cinéma : 24 images par seconde) impose
l’acquisition d’une nouvelle image toutes les 40 ms, soit une fréquence de 25 images par seconde.