URL source du document
http://www.medvet.umontreal.ca/histologie/epitheliums/cadres2.htm
Document
Les épithéliums
Épithélium simple pavimenteux : vue à vol d’oiseau qui permet d’observer la forme de la
cellule, l’étendue de son cytoplasme et la position du noyau.
Épithélium simple pavimenteux en coupe transversale provenant du segment grêle de
l’anse du néphron. Les noyaux bossellent la lumière et le cytoplasme est très mince et semble
même absent quelques fois. Cet épithélium serait le siège d’importants mouvements d’eau et
d’électrolytes. Il jouerait un rôle dans la concentration de l’urine.
×200
Épithélium simple cubique en coupe transversale : Il s’agit d’un tubule collecteur. Les
cellules sont, à peu près, aussi larges que hautes. Il est possible de suivre le contour de chaque
cellule (pourquoi?).
×200
Épithélium simple cylindrique en coupe transversale : Il s’agit d’un gros canal collecteur
(canal papillaire). Les cellules sont beaucoup plus hautes que larges. Les limites cellulaires
sont faciles à observer.
Épithélium simple cylindrique avec cellules ciliées et cellules sécrétrices.
Nous sommes au niveau de l’ampoule de l’oviducte. La majorité des cils battent en direction
de l’utérus. Les sécrétions nourrissent l’ovule et permettent la capacitation (le pouvoir de
féconder) des spermatozoïdes.
Cellules ciliées : chacune se caractérise par une ligne foncée. (1)
Cellule sécrétrice : son cytoplasme fait saillie dans la lumière. (2)
×1000
Épithélium simple cylindrique avec cellules munies d’un plateau strié et cellules
caliciformes.
Les plus circulaires multiplient la surface du petit intestin par 3.
Les villosités intestinales par 10.
Les microvillosités des plateaux striés par 20.
Les cellules caliciformes produisent des glycoprotéines qui protègent et lubrifient le
revêtement interne de l’intestin. La durée de vie de ces cellules se situe entre 2 à 4 jours.
×400
Épithélium pseudostratifié cylindrique cilié avec cellules caliciformes.
Les cils de l’épithélium trachéo-bronchique (de 200 à 300 cils par cellule) sont recouverts par
un film de mucus (usiné en partie par les cellules caliciformes) continuellement propulsé
vers l’oropharynx permettant ainsi la déglutition ou l’expectoration des particules piégées
(environ 50 millions de particules par jour) dans ce film. Cette propulsion (± 20mm/mn) est le
fait des battements ciliaires (± 25 battements/sec.) perpétuels et coordonnés.
Les cellules caliciformes usinent un mucus (eau + glycoprotéines) qui s’étale en une mince
pellicule continue sur toute la surface de l’épithélium.
Les cellules basales caractérisent tous les épithéliums pseudostratifiés. Les cellules basales se
divisent et assument le renouvellement des autres populations cellulaires.
×400
Épithélium pseudonstratifié cylindrique avec stéréocils.
Nous sommes au niveau de l’épididyme. Les stéréocils sont impliqués dans la réabsorption.
Environ 90% du fluide testiculaire est réabsorbé au niveau des canalicules efférents et de la
portion proximale de l’épididyme. En outre, les cellules cylindriques avec stéréocils sécrètent
diverses substances (ex. des glycoprotéines). Le pointeur vous indique le noyau d’une cellule
basale (responsable du renouvellement cellulaire).
×400
Épithélium stratifié pavimenteux.
1 / 8 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !