Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen

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Ein Praxishandbuch der COHEP
Kostenrechnung
für Pädagogische
Hochschulen
Un manuel pratique de la COHEP
Comptabilité analytique
dans les hautes écoles
pédagogiques
November 2013
Verabschiedet durch die Mitgliederversammlung
der COHEP
Novembre 2013
Adopté par l’Assemblée plénière de la COHEP
Ein Praxishandbuch der COHEP
Kostenrechnung
für Pädagogische
Hochschulen
Un manuel pratique de la COHEP
Comptabilité analytique
dans les hautes écoles
pédagogiques
November 2013
Verabschiedet durch die Mitgliederversammlung
der COHEP
Novembre 2013
Adopté par l’Assemblée plénière de la COHEP
Sommaire
Avant-propos Inhaltsverzeichnis
6
Vorwort7
Principes13
1
Situation initiale et objectifs visés par le calcul des coûts
dans une école
14
1.1 Situation initiale
14
1.2 Objectifs, délimitations et structure du manuel
16
1.3 Comparabilité des résultats du calcul des coûts 18
Grundlagen13
1
Ausgangslage und Ziel einer schulischen Kostenrechnung
15
1.1Ausgangslage
15
1.2 Ziele, Abgrenzungen, Aufbau des Leitfadens
17
1.3 Vergleichbarkeit der Kostenrechnungsergebnisse 19
2
2.1
2.2
Modèle de calcul des coûts et des contributions à la couverture
Calcul des coûts
Calcul des contributions à la couverture
20
20
24
3
3.1
3.2
3.3
3.4
3.5
3.6
Calcul des coûts
Objectif visé par le calcul des coûts: coûts et produits
par filière d’études
Calcul échelonné des contributions à la couverture Destinataires des calculs CC?
Structure des calculs CC
Comparaison entre les calculs CC pour l’école,
les autorités responsables de la formation et la Confédération
Vue d’ensemble des calculs des contributions à la
couverture devant être établis
26
26
28
30
30
34
41
5
5.1
5.2
5.3
5.4
5.5
5.6
48
48
48
2 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
21
21
25
3Kostenrechnung
3.1 Ziel der Kostenrechnung: Kosten und Erträge pro Studiengang
3.2 Gestufte Deckungsbeitragsrechnung
3.3 Für wen werden die DB-Rechnungen erstellt?
3.4 Aufbau der DB-Rechnungen
3.5 Vergleichbarkeit der DB-Rechnungen für Schule,
Schulträger und Bund
3.6 Überblick über die zu erstellenden Deckungsbeitragsrechnungen
27
27
29
31
31
Leitfaden zur Erstellung der Kostenrechnung
4
Kostenarten und Kontenplan
4.1 Erfassung von Kostenarten im Kontenplan
4.2 Der NRM- und der KMU-Kontenrahmen
41
5
5.1
5.2
5.3
5.4
5.5
5.6
49
49
49
51
33
35
32
Manuel d’établissement du calcul des coûts
4
Coûts par nature et plan comptable
4.1 Saisie des coûts par nature dans le plan comptable
4.2 Plans comptables généraux NMC et PME
Centres de coûts et répartition des centres de coûts
Centres de coûts d’une école
Centres de coûts obligatoires
Centres de coûts recommandés et répartition des centres
de coûts recommandés
Définition des coûts directs et des coûts indirects ainsi que
des coûts individuels et des coûts généraux
Définition des produits directs et indirects
Utilisation des clés de répartition et assurance qualité lors
de répartitions
2
Modell einer Kosten- und Deckungsbeitragsrechnung
2.1Kostenrechnung
2.2Deckungsbeitragsrechnung
42
42
44
50
Kostenstellen und ihre Überwälzung
Kostenstellen einer Schule
Obligatorisch zu führende Kostenstellen
Empfohlene Kostenstellen und ihre Überwälzung
Definition von direkten und indirekten Kosten bzw.
Einzel- und Gemeinkosten
Definition von direkten und indirekten Erträgen
Vorgehensprinzipien und Qualitätssicherung bei Umlagen
52
54
54
3 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
43
43
45
53
55
55
6
Calcul des objets de coûts: coûts par prestation fournie
par une école
6.1Modularisation
7Infrastructure
7.1 Coûts d’infrastructure «immobilier» et coûts d’infrastructure
«exploitation»
8
Gestion des installations
9
Calcul détaillé des contributions à la couverture 9.1Récapitulatif
9.2 Directives sur le calcul détaillé des contributions à la couverture
10
10.1
10.2
10.3
Principes comptables complémentaires
Coûts bruts et coûts nets
Coûts effectifs et coûts estimés
Comptabilisations internes
Annexes
Annexe
Annexe
Annexe
Annexe
Annexe
1: Classification officielle des filières d'études
2: Définition des prestations
3: Délimitations
4: Définition des variables relatives aux étudiants
5: Structure des rapports sur les comptes 4 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
56
58
60
6
Kostenträgerrechnung: Die Kosten pro Leistung einer Schule
6.1Modularisierung
57
59
7Infrastruktur
7.1 Bauliche und betriebliche Infrastrukturkosten
61
61
8Anlagenbewirtschaftung
67
9
Die detaillierte Deckungsbeitragsrechnung
9.1Überblick
9.2 Wegleitung durch die detaillierte Deckungsbeitragsrechnung
71
71
75
10Verrechnungsprinzipien
10.1 Brutto- vs. Nettoprinzip
10.2 Tatsächliche Kosten vs. kalkulatorische Kosten
10.3 Interne Verrechnungen
89
89
91
93
Anhänge
95
60
66
70
70
74
88
88
90
92
95
96
98
112
120
126
Anhang
Anhang
Anhang
Anhang
Anhang
1:Offizielle Klassierung der Studiengänge
2:Definition der Leistungen
3: Abgrenzungen
4:Definition der Studierendenmerkmale
5:Struktur Berichtswesen/Reporting
5 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
97
99
113
121
127
Avant-propos
Groupe de travail «Reporting CDIP»
La formation des enseignants ne relève pas de la compétence réglementaire de
la Confédération. Le 7 avril 2005, le Conseil suisse des HES a décidé de l’introduction et de l’application, dans les hautes écoles pédagogiques (HEP), du modèle
comptable du SEFRI (anciennement OFFT) à partir de l’année 2005. S’appuyant
sur cette décision, la Commission Administration et finances de la Conférence
suisse des rectrices et recteurs des hautes écoles pédagogiques (COHEP) a édicté, le 9 février 2006 déjà, des directives complémentaires relatives à la livraison
de données comptables analytiques concernant les comptes 2005.
Projet SKORE
Après plusieurs exercices, il est apparu que les données comptables relevées
étaient très différentes les unes des autres et qu’elles ne permettaient pas de
comparer les comptabilités analytiques. Le projet «Standardisation de la présentation des comptes et de la comptabilité analytique des hautes écoles pédagogiques» a donc été lancé pour fournir des informations financières de qualité
aptes à aider les hautes écoles dans leurs tâches de conduite et les organes
politiques dans leur tâche de pilotage.
Le projet avait pour double objectif, d’une part l’analyse des pratiques en cours
dans les HEP en matière de comptabilité analytique, et d’autre part la définition
des bases permettant l’harmonisation des comptabilités analytiques des HEP.
Le présent manuel pratique, qui présente les aspects propres aux HEP, en est
l’aboutissement.
Adaptation du manuel du SEFRI pour les hautes écoles spécialisées
Le présent manuel pratique se base sur la dernière version validée du manuel du
SEFRI, datée de décembre 2006. La version la plus récente étant en cours de
révision sous la houlette du SEFRI, il a en effet été décidé d’opter pour la version
validée comme base du présent manuel. Toute référence utile sera intégrée dans
des versions ultérieures.
Le présent manuel pratique a été rédigé par le bureau de la Commission Administration et finances de la COHEP, composé des membres suivants:
– – Erich Schmid, directeur des services centraux de la PHBern et responsable du
projet SKORE
– – Adrian Kuoni, directeur administratif PH Luzern
– – Alexandre Gygax, responsable des finances HEP BEJUNE
– – Aude Besseau, responsable financière HEP Vaud
– – Peter Geissberger, contrôleur de gestion PH FHNW
– – Roger Meier, directeur administratif PH Zürich
– – Gabor Bende, collaborateur scientifique à l’Office fédéral de la statistique
– – Loïc Lang, collaborateur scientifique PHBern et coordinateur du projet SKORE
Le présent manuel pratique a été adopté le 20 novembre 2013 par l’Assemblée
plénière de la COHEP.
Vorwort
Arbeitsgruppe Reporting EDK
Der Fachbereich Lehrkräfteausbildung fällt nicht in die Regelungskompetenz des
Bundes. Am 7. April 2005 beschloss der Schweizerische Fachhochschulrat unter
anderem, dass die Pädagogischen Hochschulen ab dem Jahr 2005 das Rechnungsmodell des SBFI (ehemaliges BBT) einzuführen und anzuwenden haben.
Gestützt auf den Beschluss des Schweizerischen Fachhochschulrates erliess die
Kommission Administration und Finanzen der Schweizerischen Konferenz der
Rektorinnen und Rektoren der Pädagogischen Hochschulen (COHEP) bereits am
9. Februar 2006 ergänzende Richtlinien zur Lieferung der Kostendaten für das
Rechnungsjahr 2005.
Projekt SKORE
Nach mehreren jährlichen Kostenerhebungen wurde festgestellt, dass die Daten
sehr unterschiedlich waren und die Vergleichbarkeit der Kostenrechnungen
nicht gewährleistet war. Um qualitative finanzrelevante Informationen z.H. der
Hochschulen für ihre Führung und der politischen Gremien für die Steuerung zur
Verfügung zu stellen, wurde 2009 das Projekt «Standardisierung der Rechnungslegung und der Kostenträgerrechnung der Pädagogischen Hochschulen» lanciert.
Ziel war es, einerseits eine Analyse der bestehenden Praxis im Bereich der Kostenrechnung durchzuführen, andererseits die Basis für die Harmonisierung der
Kostenrechnungen der Pädagogischen Hochschulen zu schaffen. Das vorliegende
Praxishandbuch der COHEP bildet das Ergebnis des Projekts. Die für die
Pädagogischen Hochschulen spezifischen Aspekte der Kostenrechnung werden
in diesem Praxishandbuch behandelt.
Anpassung des SBFI-Leitfadens für die Fachhochschulen
Das vorliegende Praxishandbuch der COHEP basiert auf der aktuellen verabschiedeten Version des SBFI-Leitfadens (Stand Dezember 2006). Derzeit befasst
sich das SBFI mit der Optimierung des Leitfadens für die Kostenrechnung der
Fachhochschulen. Die aktualisierte Version konnte deshalb bei der Erstellung des
Praxishandbuchs der COHEP nicht berücksichtigt werden. Die Erarbeitung weiterer
Grundlagen wird in die Folgeversionen des Praxishandbuchs integriert.
Das Büro der Kommission Administration und Finanzen hat das vorliegende
Praxishandbuch erarbeitet:
– – Erich Schmid, Leiter Zentrale Dienste PHBern und Projektleiter SKORE
– – Adrian Kuoni, Verwaltungsdirektor PH Luzern
– – Alexandre Gygax, Leiter Finanzen HEP BEJUNE
– – Aude Besseau, Leiterin Finanzen HEP Vaud
– – Peter Geissberger, Controller PH FHNW
– – Roger Meier, Verwaltungsdirektor PH Zürich
– – Gabor Bende, wissenschaftlicher Mitarbeiter beim Bundesamt für Statistik
– – Loïc Lang, wissenschaftlicher Mitarbeiter PHBern und Projektkoordinator
SKORE
Das vorliegende Praxishandbuch wurde am 20. November 2013 von der Mitgliederversammlung der COHEP verabschiedet.
6 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
7 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Structure du présent manuel
Chaque chapitre et sous-chapitre est structuré comme suit:
1. Commentaire général au début de certains chapitres ou sous-chapitres, sur fond grisé
2. Texte original du manuel du SEFRI, daté de décembre 2006
3. Précisions qui concernent les hautes écoles pédagogiques, sur fond vert clair
Application des directives du SEFRI
Les directives du SEFRI s’appliquent en règle générale aux hautes écoles pédagogiques. Le cas échéant, elles ont été complétées par des précisions qui
concernent les hautes écoles pédagogiques.
Les directives du manuel pratique de la COHEP ont été définies de sorte qu’elles
correspondent le plus possible aux règles en vigueur dans les cantons responsables des HEP. Le présent manuel pratique vise toutefois la comparabilité des
comptabilités analytiques entre les HEP et le reflet de la vérité des coûts. En cas
de divergences entre les directives cantonales et celles du présent manuel, deux
versions sont présentées. Celle de la COHEP doit respecter les directives de la
COHEP.
8 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Struktur des Dokuments
Jedes Kapitel und Subkapitel des Dokuments ist folgendermassen strukturiert:
1. Allgemeiner Kommentar am Anfang bestimmter Kapitel bzw. Subkapitel,
in grauem Kasten
2. Originaler Text des SBFI-Leitfadens, Stand Dezember 2006
3. Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen, in hellgrünem Kasten
Anwendung der Richtlinien des SBFI
Grundsätzlich gelten die Richtlinien des SBFI für die Pädagogischen Hochschulen.
Wo nötig wurden sie für die Pädagogischen Hochschulen ergänzt.
Die Richtlinien des Praxishandbuchs der COHEP werden so definiert, dass sie
soweit möglich mit den Vorschriften der Trägerkantone vereinbar sind. Ziele bleiben
jedoch die Vergleichbarkeit der Kostenrechnungen der PHs und das Wiedergeben der Kostenwahrheit. Bei Abweichungen zwischen den kantonalen Vorgaben und denjenigen vom Praxishandbuch der COHEP werden zwei Varianten
erstellt. Die Variante der COHEP hat den Vorgaben des Praxishandbuchs zu entsprechen.
9 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
L'OFFT (ex-OFIAMT), de concert avec un groupe de travail composé de spécialistes de divers cantons et écoles, a établi un manuel «Calcul des coûts dans les
hautes écoles spécialisées». À titre d’appui, la maison B,S,S. sise à Bâle, nous
a appuyé dans notre travail vu qu’elle avait élaboré le manuel de 1997.
Dans l’entretemps, les hautes écoles spécialisées (HES) appliquent le calcul des
coûts, lequel sert en premier lieu aux établissements partenaires et aux HES
d’instrument de gestion, de pilotage et d’information. Les informations tirées du
calcul des coûts servent aussi à la Confédération de base au calcul et à la détermination des montants des subventions sous la forme de forfait par étudiant, afin
d’établir des comparaisons horizontales (benchmarking); elles lui servent aussi
de base décisionnelle en vue du développement du domaine des HES en Suisse.
Les expériences faites depuis la publication du manuel de 1997 ont été prises en
compte dans le manuel d’avril 2002.
La révision partielle de la loi sur les hautes écoles spécialisées (LHES), entrée
en vigueur le 5 octobre 2005 a été caractérisée notamment par le transfert dans
la sphère de compétences de la Confédération de domaines jusqu’ici régis par
les cantons: santé, social, musique, théâtre et autres branches artistiques, psychologie appliquée et linguistique appliquée. La Déclaration de Bologne et le communiqué de Prague (principe de la formation en deux cycles bachelor et master)
ont en outre été mis en œuvre. Le présent manuel tient compte de ces conditionscadre et des expériences accumulées depuis 2002.
La commission «Finances, indicateurs et données HES» (KFID FH, Kommission
Finanzen/Indikatoren/Daten), institué par le SEFRI, s’est chargé de la mise à jour
du présent manuel.
Liste des membres du KFID FH (état: novembre 2006):
– – Urs Dietrich, Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie
(SEFRI), président
– – Wolfgang Annighöfer, Zürcher Fachhochschule (ZFH)
– – Thierry Bregnard, Haute Ecole Spécialisée de Suisse Occidentale (HES-SO)
– – Hans Peter Egli, HSR Hochschule für Technik Rapperswil
– – Andreas Kallmann, Berner Fachhochschule (BFH)
– – Petra Koller, Office fédéral de la statistique (OFS)
– – Aris Mozzini, Scuola Universitaria Professionale della Svizzera Italiana (SUPSI)
– – Diego Nell, Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie
(SEFRI)
– – Ruedi Patt, Fachhochschule Ostschweiz (FHO)
– – Reto Schnellmann, Fachhochschule Zentralschweiz (FHZ)
– – Ingrid Selb, Fachhochschule Nordwestschweiz (FHNW)
– – Fritz Wüthrich, Conférence suisse des directeurs cantonaux de l’instruction publique (CDIP)
10 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Das BBT (damals noch BIGA) hat 1997 zusammen mit einer Arbeitsgruppe,
zusammengesetzt aus Spezialisten der einzelnen Kantone und Schulen, den Leitfaden Kostenrechnung für Fachhochschulen erarbeitet. Zur Unterstützung wurde
die Beratungsfirma B,S,S. in Basel beigezogen, welche den Leitfaden von 1997
verfasst hat.
In der Zwischenzeit haben die Fachhochschulen die Kostenrechnung umgesetzt.
Sie dient in erster Linie den Teilschulen und der Fachhochschule als Führungs-,
Steuerungs- und Informationsinstrument. Zudem bilden die daraus gewonnenen
Informationen für den Bund die Grundlage zur Berechnung und Festlegung der
Subventionsbeiträge in Form von Pauschalen pro Studierende, zur Durchführung
von Quervergleichen (Benchmarking) und dienen ihm als Entscheidungshilfe für
die Entwicklung der Fachhochschullandschaft Schweiz.
Die mit der Umsetzung gewonnenen Erfahrungen wurden im überarbeiteten Leitfaden (Version April 2002) berücksichtigt.
Mit der Teilrevision des Fachhochschulgesetzes, welche am 5. Oktober 2005
in Kraft gesetzt wurde, sind unter anderem die bis anhin kantonalen Fachbereiche
Gesundheit, soziale Arbeit, Musik, Theater und andere Künste, angewandte
Psychologie sowie angewandte Linguistik in die Regelungskompetenz des Bundes
überführt worden (Erweiterung des Geltungsbereichs) und die Erklärung von
Bologna und des Prager Kommuniqués umgesetzt worden (Grundsatz der zweistufigen Ausbildung Bachelor und Master). Der vorliegende Leitfaden berücksichtigt
einerseits diese Rahmenbedingungen und andererseits die seit 2002 dazu
gewonnenen Erkenntnisse.
Die vom SBFI eingesetzte Kommission Finanzen/Indikatoren/Daten KFID FH hat
den vorliegenden Leitfaden erarbeitet.
Kommission Finanzen/Indikatoren/Daten Fachhochschulen (KFID FH):
– – Urs Dietrich, Bundesamt für Berufsbildung und Technologie (SBFI), Vorsitz
– – Wolfgang Annighöfer, Zürcher Fachhochschule (ZFH)
– – Thierry Bregnard, Haute Ecole Spécialisée de Suisse Occidentale (HES-SO)
– – Hans Peter Egli, HSR Hochschule für Technik Rapperswil
– – Andreas Kallmann, Berner Fachhochschule (BFH)
– – Petra Koller, Bundesamt für Statistik (BFS)
– – Aris Mozzini, Scuola Universitaria Professionale della Svizzera Italiana (SUPSI)
– – Diego Nell, Bundesamt für Berufsbildung und Technologie (SBFI)
– – Ruedi Patt, Fachhochschule Ostschweiz (FHO)
– – Reto Schnellmann, Fachhochschule Zentralschweiz (FHZ)
– – Ingrid Selb, Fachhochschule Nordwestschweiz (FHNW)
– – Fritz Wüthrich, Schweizerische Konferenz der kantonalen Erziehungsdirektoren
(EDK)
11 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Grundlagen
Principes
12 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
13 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
1.Situation initiale et objectifs
visés par le calcul des coûts dans une école
1.1 Situation initiale
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
La loi sur les hautes écoles spécialisées règle notamment les tâches des HES
(art. 3 LHES):
–– Les hautes écoles spécialisées dispensent un enseignement axé sur la pratique,
sanctionné par un diplôme et préparant à l’exercice d’activités professionnelles
qui requièrent l’application de connaissances et de méthodes scientifiques,
ainsi que, selon le domaine, d’aptitudes créatrices et artistiques.
– – En complément aux études sanctionnées par le diplôme, elles proposent des
mesures de perfectionnement professionnel.
– – Dans leur domaine d’activité, elles se chargent de travaux de recherche-développement et fournissent des prestations à des tiers.
– – Les hautes écoles spécialisées collaborent avec d’autres institutions de formation et de recherche en Suisse ou à l’étranger.
Les exigences auxquelles sont soumises les nouvelles hautes écoles spécialisées
concernent également les aspects financiers et les subventions versées par la
Confédération. La loi sur les hautes écoles spécialisées règle les questions financières principalement aux articles 18 et 19. Ces dispositions statuent entre autres
que la Confédération assume un tiers des coûts effectivement nécessaires des
hautes écoles spécialisées. L’ordonnance sur les hautes écoles spécialisées précise
encore ces articles (OHES). L’art. 14 OHES statue que des subventions ne seront
versées que pour les filières d’études conduisant au diplôme, les études postgrades
et les domaines de recherche reconnus.
Ces dispositions exigent la présentation des coûts séparés pour chaque filière
d’études. L’établissement de ces coûts constitue un des fondements du financement forfaitaire (= basé sur les coûts moyens par étudiant des filières d’études
comparables) ou de la fixation des coûts standards pour les filières d’études reconnues par la Confédération. Ainsi, l’école doit introduire un calcul des coûts
qui permette de présenter les coûts des diverses prestations.
14 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
1.Ausgangslage und Ziel einer schulischen Kostenrechnung
1.1 Ausgangslage
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Das Bundesgesetz über die Fachhochschulen (FHSG) regelt unter anderem die
Aufgaben der Fachhochschulen (Art. 3 FHSG):
–– Die Fachhochschulen bereiten durch praxisorientierte Diplomstudien auf berufliche
Tätigkeiten vor, welche die Anwendung wissenschaftlicher Erkenntnisse und
Methoden sowie, je nach Fachbereich, gestalterische und künstlerische Fähigkeiten erfordern.
– – Sie ergänzen die Diplomstudien durch ein Angebot an Weiterbildungsveranstaltungen.
– – In ihrem Tätigkeitsbereich führen sie anwendungsorientierte Forschungs- und
Entwicklungsarbeiten durch und erbringen Dienstleistungen für Dritte.
– – Die Fachhochschulen arbeiten mit anderen in- und ausländischen Ausbildungs
und Forschungseinrichtungen zusammen.
Die Anforderungen, die auf die Fachhochschulen zukommen, betreffen auch die
finanziellen Aspekte bzw. die Subventionierung durch den Bund. Das Fachhochschulgesetz regelt die finanziellen Aspekte primär in den Artikeln 18 und 19.
Diese Artikel legen unter anderem fest, dass der Bund einen Drittel der effektiv
notwendigen Aufwendungen der Fachhochschulen übernimmt. Die Fachhochschulverordnung präzisiert diese Artikel weiter. Subventionen werden für anerkannte Diplomstudiengänge und Forschungsbereiche ausgerichtet.
Diese Bestimmung verlangt den Ausweis der Kosten eines einzelnen Diplomstudienganges. Der Ausweis dieser Kosten ist eine der Grundlagen für eine pauschale
(= auf den Durchschnittskosten gleichartiger Diplomstudiengänge je Studierender
beruhende) Finanzierung oder zur Festlegung von Standardkosten der vom Bund
anerkannten Studiengänge. Damit wird für die Schule die Einführung einer Kostenrechnung notwendig, die erlaubt, die Kosten der einzelnen Leistungen auszuweisen.
15 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
1.2 Objectifs, délimitations et structure du manuel
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
La présente étude débouche sur la rédaction d’un manuel servant à établir le
calcul des coûts d’une école. Le présent manuel poursuit les objectifs suivants:
– – servir aux hautes écoles spécialisées d’instrument interne de gestion et de
controlling ainsi que d’instrument d’information des organes scolaires responsables et de la Confédération;
– – présenter les exigences minimales du SEFRI en matière de calcul des coûts
et d’établissement unifié des coûts dans les domaines d’activités d’une école;
– – créer une base de comparaison des coûts entre les diverses filières conduisant au diplôme (benchmarking).
Le manuel s’adresse à toutes les écoles qui offrent des filières d’études ou des
domaines de recherche qui sont reconnus par le SEFRI. Il est conçu prioritairement en fonction des besoins du SEFRI. Il peut aussi être utilisé par les hautes
écoles pédagogiques (HEP). Les cantons responsables sont toutefois libres d’organiser ou non le calcul des coûts dans toutes les hautes écoles spécialisées
qui leur sont subordonnées selon les principes présentés dans cet ouvrage.
Le manuel se divise en deux parties
La première partie est une introduction au calcul des coûts dans une école.
Le chapitre 2 donne une vue d’ensemble des principes du calcul des coûts et du
calcul des contributions à la couverture. Le chapitre 3 présente la structure du
calcul des coûts d’une école et donne un aperçu des exigences spécifiques posées
à ce calcul par les autorités qui assurent le financement.
La deuxième partie représente le manuel proprement dit et sert à l’établissement
du calcul des coûts et des contributions à la couverture d’une école. Au chapitre 4
sont présentés les coûts par nature et le plan comptable qu’il faut utiliser, au
chapitre 5 les centres de coûts, au chapitre 6 les objets de coûts, au chapitre 7
l’infrastructure et au chapitre 8 le calcul des contributions à la couverture. Enfin,
le chapitre 9 donne la structure détaillée du calcul des contributions à la couverture,
soit les différents coûts par nature et de centres de coûts et leurs positions par
rapport aux niveaux de contributions à la couverture.
Le modèle de calcul des coûts est structuré de façon simple et claire. Le présent
manuel devrait fournir à chaque haute école spécialisée les données recherchées
sur les coûts.
16 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
1.2 Ziele, Abgrenzungen, Aufbau des Leitfadens
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Die vorliegende Studie präsentiert einen Leitfaden für die Erstellung einer schulischen Kostenrechnung. Dieser Leitfaden hat folgende Ziele:
– – er dient den Fachhochschulen als internes Führungs- und Controllinginstrument
sowie als Informationsinstrument zuhanden der schulischen Träger und des
Bundes
– – er soll die Mindestanforderungen zeigen, die das SBFI an die Kostenrechnung
und die einheitliche Ermittlung der Kosten der schulischen Aufgabenbereiche
stellt.
– – er bildet die Grundlage für Kostenvergleiche zwischen den einzelnen Diplomstudiengängen (Benchmarking).
Der Leitfaden richtet sich an alle Schulen, die vom SBFI anerkannte Studiengänge
oder Forschungsbereiche führen. Er ist primär auf die Bedürfnisse des SBFI
ausgerichtet. Der Leitfaden ist auch für die Pädagogischen Hochschulen (PH)
anwendbar. Es liegt jedoch im freien Ermessen der Träger, die Kostenrechnungen
aller ihnen unterstellten Fachhochschulen nach den hier vorgestellten Grundsätzen
zu führen.
Der Leitfaden ist in zwei Teile aufgeteilt
Teil I führt in die schulische Kostenrechnung ein. Kapitel 2 gibt einen Abriss über
die Grundlagen der Kosten- und Deckungsbeitragsrechnung, Kapitel 3 zeigt
den Aufbau einer schulischen Kostenrechnung und gibt einen Überblick darüber,
welche spezifischen Anforderungen an diese Rechnung gestellt werden.
Teil II ist der eigentliche Leitfaden für die Erstellung einer schulischen Kostenund Deckungsbeitragsrechnung. Kapitel 4 stellt die zu verwendenden Kostenarten
bzw. den Kontenrahmen vor, Kapitel 5 die Kostenstellen, Kapitel 6 die Kostenträger,
Kapitel 7 die Infrastruktur und Kapitel 8 die Anlagenbewirtschaftung. Kapitel 9
zeigt detailliert, wie die Deckungsbeitragsrechnung aufzubauen ist, d.h. welche
Kostenarten und stellen auf welcher Deckungsbeitragsstufe aufzuführen sind.
Das Kostenrechnungsmodell ist einfach und verständlich aufgebaut. Mit Hilfe
des vorliegenden Leitfadens sollte jede Fachhochschule in der Lage sein, die
gewünschten Kostendaten zur Verfügung zu stellen.
17 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
1.3 Comparabilité des résultats du calcul des coûts
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Le but du modèle de calcul des coûts utilisé par les HES est d’atteindre un
niveau qualitatif élevé des données sur les coûts et de la comptabilité analytique.
Il s’agit de la sorte d’atteindre une comparabilité des résultats du calcul des
coûts reconnue par toutes les personnes impliquées. Afin d’atteindre ce double
objectif, chaque HES doit répondre aux critères suivants:
– – justificatif des coûts de chaque filière d’études conduisant au diplôme;
– – justificatif des coûts par prestation: études conduisant au diplôme, formation
continue, recherche appliquée et développement, prestations de services.
Un justificatif par domaine d’étude suffit pour le mandat de prestations élargi;
– – justificatif des activités relevant du domaine HES et ne relevant pas du domaine
HES au niveau de la haute école (établissement partenaire);
– – coûts administratifs (cf. section 5.2);
– – coûts globaux, y c. coûts d’infrastructure, des HES;
1.3 Vergleichbarkeit der Kostenrechnungsergebnisse
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Damit die Kostenrechnungen der einzelnen Schulen für gesamtschweizerische
Vergleiche (Benchmarking) herangezogen werden können, sind die folgenden
Kriterien einzuhalten:
–– Ausweis der Deckungsbeitragsstufen 1 und 5 gemäss dem vorliegenden Leitfaden.
– – Die Umlageschlüssel sind so zu wählen, dass die Kosten verursachergerecht
auf die 4 Leistungen Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte F&E und
Dienstleistungen umgelegt werden (siehe Abschnitt 5.6.).
– – Es ist sicherzustellen, dass in der DB-Rechnung die Kosten und Erträge nicht
doppelt ausgewiesen werden (z.B. interne Verrechnungen) und keine FH-fremden Kosten und Erträge (z.B. Informatikleistungen an Externe, Privatbezüge von
Material, Mensa etc.) einfliessen. Die Kostentransparenz muss gewährleistet
sein.
– – Abschreibungen Betriebsmittel/Ausstattung: Anschaffungen ab 50'000 Franken
sind zwingend zu aktivieren und abzuschreiben (siehe Seite 69, Abbildung 9).
– – Die Einzelkosten (Personalkosten) der DB-Stufe 1 sind gemäss Schweizerischem
Hochschulinformationssystem (SHIS) auf die 3 Personalkategorien aufzuteilen
(Professoren und übrige Dozierende, Kategorien 10 und 20, werden
zusammengefasst).
Afin de rendre possible la comparaison, au niveau suisse, des calculs des coûts
de toutes les écoles (benchmarking), il faut impérativement prendre en compte les
critères suivants:
–– justificatif des niveaux de contributions à la couverture (CC) 1 et 5 conformément
au présent manuel;
– – choix des clés de répartition de manière que les coûts soient attribués entre les
4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche
appliquée et développement, prestations de services) (voir section 5.6.);
– – non redondance des coûts et des produits dans le calcul des contributions à
la couverture (par ex. facturation interne), non prise en compte de coûts et de
produits externes aux HES (par ex. prestations informatiques pour des externes,
utilisation par des tiers de matériel, de mensa, etc.) et transparence des coûts;
–– obligation d’activer et d’amortir les moyens d’exploitation et l’équipement lorsque
les montants sont égaux ou supérieurs à 50'000 francs (voir figure 68 page 33);
– – répartition des coûts individuels (coûts de personnel) du niveau CC 1 entre les
3 catégories de personnel conformément au système d’information des hautes
écoles suisses SIUS (les professeurs et les autres enseignants des catégories
10 et 20 sont mis ensemble).
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
Les frais indirects et généraux des hautes écoles pédagogiques sont attribués aux quatre groupes de prestations (études conduisant au diplôme,
formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de
services) et au «Domaine ne relevant pas des HEP». Les frais imputables à
des tiers extérieurs aux 4 groupes de prestations (p.ex. coûts pour l’utilisation
de la bibliothèque par les écoles cantonales) doivent être attribués au
«Domaine ne relevant pas des HEP».
18 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Ziel des Kostenrechnungsmodells ist eine hohe Qualität der Daten der Kostenund Leistungsrechnung. Damit soll eine von allen Beteiligten anerkannte Vergleichbarkeit der Kostenrechnungsergebnisse unter den Fachhochschulen erreicht
werden. Damit diese Zielsetzungen erreicht werden können, ist jede Fachhochschule
in der Lage, die folgenden Kriterien zu erfüllen:
– – Ausweis der Kosten eines einzelnen Diplomstudienganges.
– – Ausweis der Kosten nach Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte
Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen. Für den erweiterten Leistungsauftrag genügt der Ausweis pro Fachbereich.
– – Ebene Hochschule (Teilschule): Ausweis der FH- und NICHT-FH-Aktivitäten.
– – Die Kosten der Administration (siehe auch Abschnitt 5.2).
– – Die Fachhochschulen weisen die Gesamtkosten (inkl. Infrastruktur) aus.
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
An den Pädagogischen Hochschulen erfolgen die Umlagen auf die 4 Leistungsbereiche (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte F&E und Dienstleistungen)
sowie auf den Nicht-PH-Bereich. Kosten für Dritte ausserhalb der 4 Leistungsbereiche (z.B. Nutzung der Bibliothek durch die Volksschulen) sind auf den
Nicht-PH-Bereich umzulegen.
19 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
2.Modèle de calcul des coûts et des contributions à la
couverture
2.1 Calcul des coûts
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Le calcul des coûts fait partie intégrante de la comptabilité interne d’une entreprise.
Il est un instrument de conduite et de gestion interne. Son rôle est de fournir
des informations sur la mise à contribution effective des ressources de l’entreprise
et sur la création de prestations. La mission principale du calcul des coûts est la
préparation d’informations sur les coûts effectifs, soit pour permettre la fixation de
prix ou de tarifs de compensation internes, soit pour préparer les décomptes
destinés à l’autorité qui accorde des subventions.
Le calcul des coûts enregistre la consommation de biens effective à l’intérieur de
l’entreprise et non pas les opérations de paiement saisies dans la comptabilité
financière (exemple: pour calculer le coût de la main d’œuvre, on n’introduit pas les
salaires versés dans le calcul des coûts, mais les heures de travail, multipliées
par un taux horaire qui a été préalablement fixé). La nécessité de tracer des limites
avec la comptabilité financière peut également résulter d’une évaluation différente
des actifs et des passifs (stocks, prestations de travail, etc.) ou des charges et
des produits. Selon le type d’information recherchée, il convient de préciser qu’il
est tout à fait possible de reprendre directement dans le calcul des coûts des
données provenant de la comptabilité financière.
Le calcul des coûts est subdivisé en trois calculs des coûts partiels qui doivent
fournir une réponse à trois questions différentes:
–– calcul des coûts par nature (quelles sont les natures de coûts générés?);
–– calcul des centres de coûts (où sont générés les coûts?);
–– calcul des objets de coûts (quelles sont les prestations qui génèrent des coûts?).
En suivant le déroulement habituel d’un décompte, on trouve en premier lieu le
calcul des coûts par nature. Ce calcul fournit des informations sur la mise à
contribution des facteurs de production pendant la période de décompte. Le
calcul des centres de coûts permet d’analyser les coûts générés par les diverses
unités d’une entreprise. Enfin, le calcul des objets de coûts renseigne sur les
prestations ayant généré des coûts. Il est possible de faire le lien entre ces trois
calculs des coûts partiels de deux façons différentes:
20 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
2.Modell einer Kosten- und Deckungsbeitragsrechnung
2.1 Kostenrechnung
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Die Kostenrechnung ist Teil des internen Rechnungswesens eines Unternehmens.
Die Kostenrechnung ist ein innerbetriebliches Führungs- und Lenkungsinstrument;
ihr kommt die Aufgabe zu, über den Verbrauch betrieblicher Ressourcen und die
Entstehung von Leistungen zu informieren. Wichtigste Aufgabe der Kostenrechnung
ist die Bereitstellung von Informationen über die effektiven Kosten, sei es zum
Zwecke der Preisfestlegung, interner Verrechnungspreise oder der Weiterverrechnung an Subventionsgeber.
Die Kostenrechnung erfasst den effektiven betrieblichen Güterverzehr und nicht
finanzbuchhalterische Zahlungsvorgänge (Beispiel: zur Berechnung der Lohnkosten werden nicht die bezahlten Löhne, sondern die Arbeitsstunden, multipliziert
mit einem zuvor festgelegten Stundensatz, in die Kostenrechnung übernommen).
Abgrenzungen gegenüber der Finanzbuchhaltung können zudem durch die unterschiedliche Bewertung von Aktiven und Passiven oder Aufwand und Ertrag
notwendig werden. Je nach gewünschter Information können jedoch Daten aus
der Finanzbuchhaltung direkt in die Kostenrechnung übernommen werden.
Die Kostenrechnung teilt sich in drei Teilrechnungen auf, die drei unterschiedliche
Fragen beantworten:
– – die Kostenartenrechnung (welche Arten von Kosten entstehen?)
– – die Kostenstellenrechnung (wo entstehen Kosten?)
– – die Kostenträgerrechnung (für welche Leistungen entstehen Kosten?).
Dem tatsächlichen Abrechnungsgang entsprechend steht am Anfang die Kostenartenrechnung. Die Kostenartenrechnung gibt Auskunft darüber, welche Produktionsfaktoren in der Abrechnungsperiode verbraucht wurden. Die Kostenstellenrechnung gibt Auskunft, an welchen Stellen im Betrieb Kosten entstanden sind.
Die Kostenträgerrechnung schliesslich gibt Auskunft darüber, für welche Leistungen
Kosten angefallen sind. Die drei Teilrechnungen können auf zwei verschiedene
Arten zusammenhängen:
21 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Variante A
Les coûts par nature sont, si possible, imputés directement sur les objets de
coûts (coûts individuels); les coûts ne pouvant pas être attribués directement sont
d’abord imputés sur un centre de coûts, puis répartis sur les différents objets de
coûts à l’aide de clés de répartitions (coûts généraux).
Variante A
Kostenarten können entweder direkt den Kostenträgern zugerechnet werden (Einzelkosten); nicht direkt zuweisbare Kosten werden zuerst den Kostenstellen zugeteilt und müssen anschliessend mithilfe von Umlageschlüsseln auf die Kostenträger umgelegt werden (Gemeinkosten).
Variante B
Tous les coûts par nature sont d’abord imputés sur un centre de coûts, puis
répartis sur les objets de coûts à l’aide de clés de répartitions.
Le choix entre ces deux variantes est dicté par le type d’informations recherchées.
Le schéma suivant montre les rapports qui existent entre le calcul des coûts par
nature, le calcul des centres de coûts et le calcul des objets de coûts.
Variante B
Alle Kostenarten werden zuerst den Kostenstellen zugerechnet, von wo aus sie
mithilfe von Umlageschlüsseln auf die Kostenträger umgelegt werden.
Die Wahl zwischen den beiden Varianten hängt von den gewünschten Informationen
ab. Die folgende Abbildung zeigt den Zusammenhang zwischen Kostenarten,
Kostenstellen und Kostenträgern.
Variante A
Variante A
Coûts par nature
Kostenarten
Coûts directement imputables (coûts individuels)
Coûts qui ne peuvent
être imputés directement
(coûts généraux)
Centres de coûts
Direkt zurechenbare Kosten, Einzelkosten
Clés de
répartition
Objets de coûts
Variante B
Coûts par nature
Nicht direkt zurechenbare
Kosten, Einzelkosten
Kostenstellen
Umlageschlüssel
Kostenträger
Variante B
Coûts individuels
et généraux
Centres de coûts
Objets de coûts
Figure 1: Rapports entre le calcul des coûts par nature, le calcul des centres de coûts et
le calcul des objets de coûts
Il n’est pas toujours facile de faire clairement la distinction entre des objets de
coûts et des centres de coûts. La littérature spécialisée américaine ne fait d’ailleurs pas de distinction du tout à ce propos: ce qui est déterminant, c’est l’objectif
(cost objective) pour lequel un calcul des coûts est établi. Celui-ci peut être
d’évaluer des prestations déterminées ou une partie précise de l’entreprise (p. ex.
un centre de profit).
22 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Kostenarten
Einzel- und
Gemeinkosten
Kostenstellen
Kostenträger
Abbildung 1: Zusammenhang von Kostenarten-, Kostenstellen- und Kostenträgerrechnung
Die Unterscheidung zwischen Kostenträger und Kostenstelle ist nicht immer ganz
eindeutig und einfach. In der amerikanischen Literatur wird sie überhaupt nicht
gemacht: Entscheidend ist das Ziel ( « cost objective»), für welches eine Kostenrechnung erstellt wird. Dieses kann darin bestehen, entweder bestimmte Leistungen
oder einen bestimmten Betriebsteil (z.B. ein Profitcenter) zu evaluieren.
23 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
2.2 Calcul des contributions à la couverture
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Le calcul des contributions à la couverture est une forme particulière du calcul
des coûts, le calcul des coûts partiels. La raison d’être du calcul des coûts
partiels est double: fournir des informations sur la variation du bénéfice de l’entreprise en fonction de la variation de la quantité des prestations, de même que fixer
les limites minimales des prix. Le calcul traditionnel des coûts complets, qui sert
à déterminer les coûts moyens, n’est pas approprié pour le calcul des coûts partiels, car il mélange coûts fixes et coûts variables, ainsi que coûts individuels et
coûts généraux.
La caractéristique principale du calcul des coûts partiels est donc de ne pas attribuer les coûts fixes et les coûts généraux à une unité de prestation individuelle,
mais de les comparer sommairement aux produits réalisés. L’excédent de produits
sur ces coûts partiels équivaut à la contribution à la couverture. Comme des
coûts fixes ou généraux par rapport à une prestation déterminée peuvent également être des coûts individuels par rapport à n’importe quel groupe de prestations, il est possible de créer une subdivision en différentes contributions à la
couverture ou à plusieurs niveaux de contributions. En augmentant le nombre de
ces niveaux dans un calcul des coûts partiels, la précision des informations sur
les coûts s’en trouve améliorée d’autant. En particulier, il est alors possible de
déterminer quels niveaux de coûts entraînent effectivement quels coûts ou quels
coûts par nature prédominent. Le calcul des contributions à la couverture d’une
entreprise peut donc se présenter comme suit:
2.2 Deckungsbeitragsrechnung
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Die Deckungsbeitragsrechnung ist eine besondere Form der Kostenrechnung,
nämlich eine Teilkostenrechnung. Ziel einer Teilkostenrechnung ist es vorab, Informationen darüber bereitzustellen, wie sich der Gewinn eines Unternehmens
ändert, wenn sich die Leistungsmenge ändert, sowie Preisuntergrenzen festzulegen.
Die traditionelle Vollkostenrechnung, die Durchschnittskosten ausweist, ist dazu
nicht in der Lage, da sie fixe und variable, Einzel- und Gemeinkosten miteinander
vermischt.
Die wichtigsten Eigenschaften einer Teilkostenrechnung bestehen folglich darin,
dass fixe Kosten und Gemeinkosten nicht auf die einzelne Leistungseinheit zugeteilt werden, sondern summarisch den erzielten Erträgen gegenübergestellt werden. Der Überschuss der Erträge über diese Teilkosten ist der Deckungsbeitrag.
Da Kosten, die für eine bestimmte Leistung fixe oder Gemeinkosten darstellen,
für eine ganze Leistungsgruppe wiederum Einzelkosten darstellen können, ist eine
Untergliederung in mehrere Deckungsbeiträge bzw. Deckungsbeitragsstufen möglich: je mehr Deckungsbeitragsstufen eine Teilkostenrechnung ausweist, desto
genauer sind die damit erhaltenen Kosteninformationen, insbesondere die Antwort
auf die Frage, auf welcher Ebene Kosten nun effektiv anfallen oder welche Kostenarten besonders dominant sind. Eine Deckungsbeitragsrechnung eines Betriebes
kann damit z.B. folgendes Aussehen haben:
Erlöse
./. Leistungseinzelkosten
Produits
./. Coûts individuels de la prestation
DB 1 Beitrag über Leistungseinzelkosten
./. Leistungsgruppeneinzelkosten
CC 1 Contribution dépassant les coûts individuels de la prestation
./. Coûts individuels du groupe de prestations
DB 2 Beitrag über Leistungsgruppeneinzelkosten
./. Abteilungseinzelkosten
CC 2 Contribution dépassant les coûts individuels du groupe de prestations
./. Coûts individuels du département
DB 3 Beitrag über Abteilungskosten
./. Unternehmenseinzelkosten
CC 3 Contribution dépassant les coûts individuels du département
./. Coûts individuels de l’entreprise
DB 4 Unternehmenserfolg
CC 4 Bénéfice de l’entreprise
Je nach Bedarf können die Deckungsbeiträge wiederum pro Leistungseinheit ausgewiesen werden.
Si le besoin se fait également sentir, il est également possible de calculer les
contributions à la couverture par unité de prestation.
24 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
25 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
3.Calcul des coûts
3.Kostenrechnung
3.1 Objectif visé par le calcul des coûts: coûts et produits
par filière d’études
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Le calcul des coûts dans une entreprise doit permettre d’analyser les coûts des
prestations offertes. Les prestations d’une haute école spécialisée - et donc les
objets de coûts - sont les filières d’études offertes. L’objectif du calcul des coûts
d’une école est par conséquent de saisir les coûts des filières d’études individuelles offertes par une haute école spécialisée.
La filière d’études individuelle ne représente toutefois pas encore le véritable objet
de coûts. En effet, une haute école spécialisée offre, en plus des études conduisant
au diplôme, de la formation continue (études postgrades et cours postgrades);
elle effectue également de la recherche appliquée et du développement, et elle
fournit des prestations de services (voir annexe 2 «Définition des prestations individuelles»). Pour chacune des ces «prestations», il faut donc effectuer un calcul
des coûts séparé qui présente en détail les coûts et les produits. Du point de vue
du SEFRI, un justificatif des coûts par domaine d’étude suffit pour le mandat de
prestations élargi (formation continue, recherche appliquée et développement,
prestations de services). L’ensemble des filières d’études doivent être réparties
en voies d’études et en 13 domaines d’études (dont 11 sont de la compétence
du SEFRI) (voir annexe 1 «Classification officielle des filières d'études»). Le domaine
d’étude est constitué par la somme des filières d’études similaires ou semblables.
Les coûts globaux doivent de plus être établis par établissement partenaire et pour
l’ensemble de la haute école spécialisée. Les informations recherchées sur les coûts
et les produits peuvent être présentées sous forme de matrice:
Filière
Filière
Domaine
d’études 1 d’études 2 d’étude 1
Domaine
d’étude 2
Établissement partenaire E1
Haute
école spécialisée H
Études conduisant
au diplôme bachelor*
Études conduisant
au diplôme master
Formation continue
Recherche appliquée et
développement
Prestations de services
3.1 Ziel der Kostenrechnung: Kosten und Erträge
pro Studiengang
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Aufgabe der Kostenrechnung in einem Unternehmen ist es, die Kosten der bereitgestellten Leistungen zu erfassen. Die Leistungen einer Fachhochschule – und
damit die Kostenträger – sind in erster Linie die angebotenen Studiengänge des
Diplomstudiums. Ziel einer schulischen Kostenrechnung ist es folglich, die Kosten
der einzelnen Studiengänge einer Fachhochschule zu erfassen.
Der einzelne Studiengang ist allerdings nicht der einzige Kostenträger. Denn
neben dem Diplomstudium bietet eine Fachhochschule auch Weiterbildung an
(bestehend aus Nachdiplomstudien und Nachdiplomkursen), betreibt angewandte
Forschung und Entwicklung und erbringt Dienstleistungen (siehe Anhang 2 «Definition der einzelnen Leistungen»). Für jede dieser «Leistungen» ist folglich eine
eigene Kostenträgerrechnung zu erstellen, die detailliert Kosten und Erträge ausweist. Für den erweiterten Leistungsauftrag (Weiterbildung, aFuE und Dienstleistungen) genügt dem SBFI der Ausweis der Kosten pro Fachbereich. Sämtliche
Studiengänge sind in total 13 Fachbereiche (davon 11 in Zuständigkeit des SBFI)
eingeteilt (siehe Anhang 1 «Offizielle Klassierung der Studiengänge»). Der Fachbereich ist demnach ein Zusammenzug von gleichen oder gleichartigen Studiengängen. Zusätzlich sind die Gesamtkosten pro Teilschule und für die gesamte
Fachhochschule auszuweisen. Die gewünschten Kosten und Ertragsinformationen
ergeben damit eine Matrix:
Studiengang 1
Studiengang 2
Diplomstudium Bachelor*
Diplomstudium Master
Weiterbildung
angewandte Forschung
und Entwicklung
Dienstleistungen
Total
*inkl. FH-Diplomstudiengang
Abbildung 2: Matrix der effektiven Kosten und Erträge
Total
*y c. filière d'études HES
Figure 2: Matrice des informations recherchées sur les coûts et sur les produits
26 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Fachbereich 1
27 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Fachbereich 1
Teilschule
S1
Fachhochschule F
3.2 Calcul échelonné des contributions à la couverture
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Le calcul des coûts est basé sur le principe du calcul de la contribution à la couverture (calcul CC) échelonné (cf. la section 2.2.). Les coûts des divers objets de
coûts sont en règle générale attribués aux niveaux des coûts dans lequel ils sont
générés en tant que coûts directs ou individuels. En gros, une haute école spécialisée se compose de quatre niveaux, même si ce nombre peut varier selon le
type d’organisation adopté par l’école considérée:
Niveau 1: l’unité (U) la plus petite à l’intérieur du domaine d’étude (de la filière
d’études conduisant au diplôme, de chaque étude postgrade ou chaque cours
postgrade, de chaque projet de recherche ou encore de chaque prestation de
services);
Niveau 2: la section (S);
Niveau 3: le département, la haute école ou l’établissement partenaire (E);
Niveau 4: l’organisation faîtière/centrale de plusieurs établissements partenaires,
désignée ci-après «haute école spécialisée» ou «holding» (H).
Le calcul des contributions à la couverture d’une haute école spécialisée comprend
de ce fait au moins 4 niveaux de contributions. Graphiquement, la structure
sommaire du calcul des contributions à la couverture d’une haute école spécialisée
se présente donc ainsi:
Niveau 1
Unité la
plus petite
Niveau 2
Section
Niveau 3
Département /
Haute École/
Établissement partenaire
U1
U2
U3
U1
3.2 Gestufte Deckungsbeitragsrechnung
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Die Kostenrechnung wird nach dem Prinzip der gestuften Deckungsbeitragsrechnung (DB-Rechnung) aufgebaut (siehe Abschnitt 2.2.). Die Kosten des einzelnen
Kostenträgers werden im Prinzip auf jener Kostenstufe zugeteilt, auf der sie als
direkte Kosten bzw. Einzelkosten anfallen. Grob betrachtet, besteht eine Schule
aus vier Stufen, wobei je nach Organisation der Schule zusätzliche Aufteilungen
nötig sein können:
1. der kleinsten Einheit innerhalb des Fachbereichs (dem einzelnen Diplomstudiengang, dem einzelner NDS / NDK, dem einzelnen Forschungsprojekt, der einzelnen
Dienstleistung),
2. der Abteilung,
3. dem Departement bzw. der Hochschule bzw. der Teilschule und
4. der Dachorganisation mehrerer Teilschulen, im Folgenden als Fachhochschule
oder Holding bezeichnet.
Eine schulische Deckungsbeitragsrechnung verfügt damit über rund 4 Deckungsbeitragsstufen. Graphisch dargestellt sieht die Grobstruktur einer schulischen
Deckungsbeitragsrechnung also wie folgt aus:
Stufe 1
Kleinste Einheit
K1
K3
K1
K2
U2
Stufe 2
Abteilung
S1
K2
A1
A2
S2
Stufe 3
Departement / Hochschule /
Teilschule
E1
Niveau 4
Haute école spécialisée /
Holding
H2
E2
Stufe 4
Fachhochschule / Holding
F
H
Figure 3: Calcul échelonné des contributions à la couverture d’une haute école
spécialisée
D’après la théorie, le calcul des contributions à la couverture ne comprend que
les coûts partiels et pas les coûts complets par unité de prestation, puisque les
coûts généraux ne sont pas répartis à l’aide d’une clé. Dans la pratique, les
calculs de coûts que les hautes écoles spécialisées doivent établir correspondent
toutefois davantage au calcul traditionnel des coûts complets, dans lequel les
coûts généraux sont en définitive entièrement imputés aux divers domaines
d’études et prestations partielles à l’aide d’une clé de répartition. Cette imputation
est nécessaire en raison des exigences posées par la Confédération qui demande
la présentation des coûts complets par filière d’études.
28 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
H1
Abbildung 3: Gestufte Deckungsbeitragsrechnung für eine Fachhochschule
In der reinen, «theoretischen» Form der Deckungsbeitragsrechnung werden lediglich Teilkosten und nicht Vollkosten pro Leistungseinheit ausgewiesen, weil die
Gemeinkosten nicht aufgeschlüsselt werden. Die von den Fachhochschulen zu
erstellenden Kostenrechnungen werden jedoch stärker einer traditionellen Vollkostenrechnung entsprechen, d.h. die Gemeinkosten werden über Umlageschlüssel
letztlich wieder vollständig auf die einzelnen Fachbereiche und Teilleistungen zugeteilt. Diese Zuteilung ist auf die Anforderungen des Bundes zurückzuführen, der
einen Ausweis der vollen Kosten pro Studiengang verlangt.
29 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
3.3 Destinataires des calculs CC?
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Plusieurs institutions sont intéressées par un calcul des coûts d’une école.
L’école
L’école doit disposer d’un instrument de gestion et de controlling lui permettant
de préparer la prise de décisions relatives à la structure de l’offre de prestations.
3.3 Für wen werden die DB-Rechnungen erstellt?
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Schule
Die Schule will mit einer Kostenrechnung ein Führungs- und Controllinginstrument
in der Hand haben, das ihr Entscheide über die Struktur ihres Leistungsangebotes
vorzubereiten hilft.
Les autorités responsables de la formation Les autorités responsables de la formation, à savoir les cantons, les communes
et les institutions privées, doivent pouvoir disposer d’informations sur l’offre
de prestations, ainsi que sur les coûts et sur les produits des écoles qu’elles soutiennent financièrement.
Schulische Träger
Die schulischen Träger – Kantone, Gemeinden und private Trägerschaften – benötigen Informationen über das Leistungsangebot und die damit verbundenen Kosten
und Erträge der von ihnen unterstützten Schule.
La Confédération
La Confédération finance les hautes écoles spécialisées par le biais d’un forfait
basé sur la moyenne pondérée des coûts par étudiant de filières d’études comparables. À cette fin, elle doit disposer d’informations précises sur les coûts donnant
droit à des contributions.
Bund
Der Bund finanziert die Fachhochschulen mit einer Pauschale, die sich aus dem
gewichteten Durchschnitt der Kosten gleichartiger Studiengänge je Studierender
ergibt. Er benötigt zu diesem Zweck genaue Informationen über die beitragsberechtigten Kosten.
C’est ainsi que chacune des trois institutions précitées pose donc des exigences
différentes au calcul CC. Il s’en suit la nécessité d’un calcul séparé pour chaque
institution.
Jede dieser drei Institutionen hat also unterschiedliche Anforderungen an eine
DB-Rechnung. Dies bedingt die Erstellung von je einer eigenen Rechnung.
In den folgenden Abschnitten werden in erster Linie die internen DB-Rechnungen
der Schule und diejenigen zuhanden des Bundes näher erklärt (die Ableitung
der übrigen Rechnungen ergibt sich in Absprache mit den schulischen Trägern).
Die DB-Rechnungen für den Bund bilden eine Grundlage für schulische Kostenund Leistungsvergleiche.
Dans les sections suivantes, de plus amples explications sont données principalement sur les calculs CC internes des écoles et sur les calculs destinés à la
Confédération, les autres calculs se déduisant en accord avec les organes scolaires responsables. Les calculs CC destinés à la Confédération constituent l’un
des fondements pour la comparaison des coûts et des prestations.
3.4 Aufbau der DB-Rechnungen
3.4 Structure des calculs CC
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
An einer schulischen Kostenrechnung sind mehrere Institutionen interessiert.
Chaque niveau CC a en règle générale la même structure au niveau des coûts
par nature: elle comprend les charges de personnel, les charges de matériel
et les coûts d’infrastructure «exploitation» du niveau concerné. Le niveau CC 1
correspond aux coûts directs de la plus petite unité examinée (d’un cours individuel, d’un projet de recherche, d’une prestation de services). Aux niveaux CC
suivants, les coûts directs correspondants de la section, du département / de la
haute école / de l’établissement partenaire et de la haute école spécialisée / de la
holding sont ajoutés et répartis sur les divers objets de coûts au moyen d’une clé.
30 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Jede DB-Stufe weist grundsätzlich dieselbe Kostenartenstruktur auf: Sie setzt
sich zusammen aus Personalaufwand, Sachaufwand und den betrieblichen
Infrastrukturkosten der entsprechenden Stufe. Die DB-Stufe 1 entspricht den
Kosten der kleinsten interessierenden Einheit (einem einzelnen Lehrgang, einem
Forschungsprojekt, einer Dienstleistung). Auf den folgenden Stufen werden die
entsprechenden Kosten der Abteilung, des Departements / der Hochschule /
der Teilschule und der Fachhochschule / Holding hinzugefügt und über Umlageschlüssel auf die Kostenträger verteilt.
31 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
3.5 Comparaison entre les calculs CC pour l’école, les
autorités responsables de la formation et la Confédération
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Comme nous l’avons déjà mentionné, l’école doit établir en règle générale des
calculs de contributions à la couverture à l’attention de trois institutions: pour
elle-même, pour les autorités responsables de la formation et pour la Confédération. Ces calculs des contributions à la couverture sont structurés différemment.
Toutefois, il est toujours possible de les comparer, les différences ne concernant
que le type de l’attribution de certains produits et l’imputation des coûts d’infrastructure. Les divers calculs CC sont générés par l’addition et la soustraction des
coûts et des produits individuels, ainsi que par leur attribution à d’autres niveaux
CC. Cette procédure permet de présenter le niveau déterminant des coûts et des
produits pour chaque institution intéressée par le calcul des coûts:
– – École: le bénéfice ou pertes;
– – Autorités responsables de la formation: les coûts restants devant être couverts;
– – Confédération: les coûts d’exploitation courants à prendre en compte effectivement.
Comment se présente une vue d’ensemble des rapports existant entre les divers
calculs CC?
1. Calcul interne (calcul à l’intention de l’école)
Le calcul CC interne sert de fondement aux autres calculs CC. Dans le calcul
interne, l’enregistrement de toutes les recettes d’exploitation importantes pour
l’école a lieu au niveau des produits. Au niveau des dépenses, on attribue l’ensemble des coûts, y compris les amortissements, aux niveaux CC dans lesquels
ils correspondent à des coûts directs.
2. Calcul externe (calculs à l’intention à la Confédération)
Pour être utilisable sous forme de calculs CC externes, le calcul interne est modifié
en procédant à de nouvelles additions et soustractions. Ces modifications calculatoires sont nécessaires pour la raison suivante:
– – Les autorités qui accordent des subventions, principalement la Confédération,
font la distinction entre les subventions pour l’investissement et les subventions
courantes.
Il en résulte les modifications ci-après
– – Au niveau des produits, on fait la distinction entre les subventions courantes
(«ordinaires») et les subventions pour l’infrastructure («extraordinaires»). Seules
les subventions courantes doivent être mentionnées. Les subventions pour l’investissement et les autres subventions extraordinaires sont saisies séparément;
– – Au niveau des coûts - de façon analogue à la séparation des subventions pour
l’infrastructure -, il s’agit d’éliminer tous les coûts d’infrastructure à tous les
niveaux CC et de les présenter séparément. L’entretien est imputé directement.
Voir chapitre 7 «Infrastructure».
32 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
3.5 Vergleichbarkeit der DB-Rechnungen für Schule,
Schulträger und Bund
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Wie bereits erwähnt, hat die Schule in der Regel Deckungsbeitragsrechnungen
zuhanden von drei Institutionen zu erstellen: für sich selbst sowie für die Schulträger
und den Bund. Diese Deckungsbeitragsrechnungen sind unterschiedlich aufgebaut.
Die einzelnen Rechnungen sind jedoch stets miteinander vergleichbar; die Unterschiede bestehen einzig in der Art der Zuteilung gewisser Erträge und der Infrastrukturkosten: Die unterschiedlichen DB-Rechnungen entstehen durch Additionen
und Subtraktionen von einzelnen Kosten und Erträgen und deren Zuweisung
auf andere DB-Stufen. Dieses Verfahren erlaubt, für jeden der an der Kostenrechnung interessierten Institutionen die massgebenden Kosten- oder Ertragsgrössen auszuweisen:
– – für die Schule: den Gewinn oder den Verlust,
– – für den Schulträger: die zu tragenden Restkosten,
– – für den Bund: die anrechenbaren laufenden Betriebskosten.
Wie sieht nun die Beziehung zwischen den einzelnen DB-Rechnungen im Überblick aus?
1. Interne Rechnung (Rechnung zuhanden der Schule)
Die interne DB-Rechnung stellt die Grundlage der übrigen DB-Rechnungen dar.
In der internen Rechnung werden ertragsseitig alle für die Schule relevanten
betrieblichen Erträge erfasst, kostenseitig werden alle Kosten inklusive Abschreibungen jenen DB-Stufen zugewiesen, auf denen sie direkte Kosten darstellen.
2. Externe Rechnung (Rechnung zuhanden des Bundes)
Für die externe DB-Rechnung wird die interne Rechnung durch Additionen und
Subtraktionen modifiziert. Diese Modifikation ist aus folgendem Grund notwendig:
– – die Subventionsgeber, insbesondere der Bund, unterscheiden zwischen Investitions- und laufenden Beiträgen
Daraus ergeben sich folgende Modifikationen
– – Ertragsseitig wird zwischen laufenden («ordentlichen») und Infrastrukturbeiträgen
(«ausserordentlichen») unterschieden. Aufgeführt werden nur die laufenden
Beiträge. Die Investitionsbeiträge und übrige ausserordentliche Beiträge werden
separat erfasst.
– – Kostenseitig werden – analog zur Ausscheidung der Infrastrukturbeiträge – die
Infrastrukturkosten aus allen DB-Stufen ausgeschieden und separat ausgewiesen.
Der Unterhalt wird direkt verrechnet. Siehe Kapitel 7 «Infrastruktur».
33 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
3.6 Vue d’ensemble des calculs des contributions à la
couverture devant être établis
3.6 Überblick über die zu erstellenden Deckungsbeitragsrechnungen
Allgemeiner Kommentar
Die Berechnung der Deckungsbeiträge ergibt finanzielle Auswertungen nach
Stufen, die für die Leitungen der Pädagogischen Hochschulen und die
Beschlussfassung nützlich sind. Es wurde im Rahmen des Projekts SKORE
entschieden, dass das Modell des SBFI mit zwei Deckungsbeitragsstufen
(Stufe 1 für die Einzelkosten und Stufen 2 bis 5 für die Gemeinkosten) für
die PHs ausreichend ist.
Commentaire général
Le calcul des contributions à la couverture permet des évaluations financières
par niveaux utiles à la conduite et à la prise de décision. Dans le cadre du
projet SKORE, il a été décidé que le modèle du SEFRI à deux niveaux de
marges (niveau 1 pour les coûts individuels et niveaux 2 à 5 pour les coûts
généraux) est suffisant pour les HEP.
Il faut ici relever qu’en raison des différences structurelles entre hautes écoles
pédagogiques, toute comparaison directe des coûts au niveau de couverture
1 reste limitée.
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Les deux figures suivantes (en fait il s’agit plutôt de tableaux) donnent une vue
d’ensemble de la systématique des calculs des contributions à la couverture
devant être établis. Elles fournissent des informations sur les points suivants:
Ein direkter Kostenvergleich auf DB-Stufe 1 zwischen den Pädagogischen
Hochschulen ist heute aufgrund der strukturellen Unterschiede nur begrenzt
möglich.
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Die beiden folgenden Abbildungen 4 (aggregierte DB-Rechnung) und 5 geben einen
Überblick über die Systematik der zu erstellenden Deckungsbeitragsrechnungen.
Die Abbildungen zeigen folgendes:
Figure 4: Calcul CC agrégé avec les calculs CC:
– – études conduisant au diplôme bachelor (aussi appelées études bachelor);
– – études conduisant au diplôme master (aussi appelées études master);
– – formation continue (études postgrades et cours postgrades);
– – recherche appliquée et développement;
– – prestations de services.
Chaque calcul CC présente 5 niveaux de contributions à la couverture. La dernière contribution à la couverture correspond au résultat global de la filière
d’études individuelle (études conduisant au diplôme) et du domaine d’étude individuel (mandat de prestations élargi). À la rubrique «produits» figurent uniquement
les produits courants. Le poste «infrastructure» est traité séparément.
Figure 5: Les calculs CC de l’école et de la Confédération sont présentés à titre de
comparaison.
Le calcul CC détaillé avec l’imputation des coûts aux niveaux de contributions
à la couverture correspondants est présenté au chapitre 9.
34 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Abbildung 4: Aggregierte DB-Rechnung mit den DB-Rechnungen
– – Diplomstudium Bachelor
– – Diplomstudium Master
– – Weiterbildung (Nachdiplomstudien und Nachdiplomkurse)
– – angewandte Forschung und Entwicklung
– – Dienstleistungen
Jede DB-Rechnung kann 5 Deckungsbeitragsstufen aufweisen. Der letzte
Deckungsbeitrag entspricht dem Gesamtergebnis für den einzelnen Studiengang
(Diplomstudium) bzw. des einzelnen Fachbereichs (erweiterter Leistungsauftrag).
Unter «Erträge» werden lediglich die laufenden Erträge aufgeführt. Die Infrastruktur
wird separat ausgewiesen.
Abbildung 5: Als Vergleich sind die DB-Rechnungen der Schule und des Bundes dargestellt.
Die detaillierte DB-Rechnung mit der Zuteilung der Kosten auf die entsprechenden
Deckungsbeitragsstufen findet sich in Abschnitt 9.
35 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Produits
(pour la répartition
détaillée des recettes, voir section 9.2)
Études conduisant au diplôme bachelor Formation continue
Études conduisant au diplôme master
Recherche appliquée et
développement
Prestations de services
– – Taxes d’études
– – Subventions forfaitaires de la
– – Autres produits
Confédération par étudiant
– – Contributions d’études forfaitaires par –– (Subventions résiduelles
par les organes
étudiant (AHES)
– – Taxes d’études
scolaires responsables)
–– Autres subventions de la Confédération
– – Autres produits
– – Subventions résiduelles par les organes scolaires responsables (infrastructure non comprise)
– – Subventions de la
Confédération
– – Produits de tiers
– – Subventions de la CTI et du
Fonds national pour la
recherche scientifique
– – Autres produits
– – Subventions résiduelles par
les organes scolaires responsables
– – Produits de tiers
– – Taxes d'études
– – Autres produits
– – (Subventions résiduelles
par les organes scolaires
responsables)
Erträge
(für die detaillierte
Aufteilung der
Erträge siehe Kapitel
9.2)
Diplomstudium Bachelor
Diplomstudium Master
Weiterbildung
Angewandte Forschung und
Entwicklung
Dienstleistungen
– – Pauschalbeiträge Bund pro
Studierende
– – Schulgelder FHV
– – Studiengelder
– – Übrige Beiträge Bund
– – Übrige Erträge
– – Restfinanzierung Schulträger
(ohne Infrastruktur)
– – Studiengelder
– – Übrige Erträge
– – (Restfinanzierung
Schulträger)
– – Beiträge Bund
– – Erträge Dritter
– – Beiträge KTI und
Nationalfonds
– – Übrige Erträge
– – Restfinanzierung Schulträger
– – Erträge Dritter
– – Studiengelder
– – Übrige Erträge
– – (Restfinanzierung Schulträger)
Total Erträge (ohne Infrastrukturerlöse)
Total des produits (sans produits liés à l’infrastructure)
./.
Einzelkosten (Personalkosten)
Einzelkosten (Sachkosten)
./.
Coûts individuels (coûts de personnel)
./.
./.
Coûts individuels (coûts de matériel)
DB 1
Beitrag über Einzelkosten
Contribution dépassant les coûts individuels
./.
Gemeinkosten ohne bauliche Infrastrukturkosten
./.
Coûts généraux sans les coûts d’infrastructure «immobilier»
DB 2
Beitrag über Kosten kleinste Einheit
CC 2
Contribution dépassant les coûts de la plus petite unité
./.
Gemeinkosten Abteilung ohne bauliche Infrastrukturkosten
./.
Coûts généraux de la section sans les coûts d’infrastructure «immobilier»
DB 3
Beitrag über Kosten Abteilung
CC 3
Contribution dépassant les coûts de la section
./.
Gemeinkosten Departement/Hochschule/Teilschule ohne bauliche Infrastrukturkosten
./.
Coûts généraux du département, de la haute école ou de l’établissement partenaire sans les coûts d’infrastructure «immobilier»
DB 4
Beitrag über Kosten Departement / Hochschule / Teilschule
CC 4
Contribution dépassant les coûts du département, de la haute école ou de l’établissement partenaire
./.
Gemeinkosten FH ohne bauliche Infrastrukturkosten
./.
Coûts généraux de la haute école spécialisée sans les coûts d’infrastructure «immobilier»
DB 5
Beitrag über Kosten FH ohne bauliche Infrastrukturkosten
CC 5
Contribution dépassant les coûts de la haute école spécialisée sans les coûts d’infrastructure «immobilier»
Infrastrukturerlöse
Produits liés à
l’infrastructure
– – Subventions pour la location par le SEFRI
– – Subventions pour l’infrastructure par les organes responsables
– – Autres subventions pour l’infrastructure
– – Beiträge an Mieten SBFI
– – Infrastrukturbeiträge Träger
– – Sonstige Infrastrukturbeiträge
Infrastrukturkosten
– – Kalkulatorische Abschreibungen / Zinsen
– – Unterhalt Bau / sonstige Kosten
– – Mieten
Coûts
d’infrastructure
– – Amortissements et intérêts calculés
– – Entretien des constructions et autres coûts
– – Locations
CC 1
– – Subventions pour
l’infrastructure mise à la
disposition par les
organes responsables
– – Autres subventions pour
l’infrastructure
Gesamtergebnis
Abbildung 4: Aggregierte DB-Rechnung
Résultat global
Figure 4: Calcul CC agrégé
36 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
37 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
– – Infrastrukturbeiträge Träger
– – Sonstige Infrastrukturbeiträge
Calcul Comité central envisageable à Calcul CC à l’intention de la
l’intention de l’école
Confédération
Produits
./.
Selon l’organisation considérée, ces coûts
sont subdivisés en niveaux CC différents 2
à 5. C’est pourquoi ces niveaux CC doivent
être présentés de manière groupée dans le
rapport annuel à l’attention du SEFRI
(voir annexe 5).
– – Subventions forfaitaires de la
Confédération par étudiant
– – Contributions d’études forfaitaires
par étudiant (AHES)
– – Taxes d’études
– – Produits de tiers
– – Autres produits
– – Autres subventions de la Confédération
– – Subventions forfaitaires et/ou
financement résiduel par les
organes scolaires responsables
(infrastructure non comprise)
– – Subventions de la Confédération
pour l’infrastructure
– – Subventions pour l’infrastructure
par les organes responsables
– – Subventions forfaitaires de la Confédération par
étudiant
– – Contributions d’études forfaitaires par étudiant
(AHES)
– – Taxes d’études
– – Produits de tiers
– – Autres produits
– – Autres subventions de la Confédération
– – Financement résiduel par les organes scolaires
responsables (infrastructure non comprise)
Mögliche DB-Rechnung zuhanden
Schule
DB-Rechnung zuhanden Bund
Erträge
– – Pauschalbeiträge Bund pro
Studierende
– – Schulgelder FHV
– – Studiengelder
– – Erträge Dritter
– – Übrige Erträge
– – Übrige Beiträge Bund
– – Pauschale u/o. Restfinanzierung
Schulträger (ohne Infrastruktur)
– – Beiträge Bund an Infrastruktur
– – Infrastrukturbeiträge Schulträger
– – Pauschalbeiträge Bund pro Studierende
– – Schulgelder FHV
– – Studiengelder
– – Erträge Dritter
– – Übrige Erträge
– – Übrige Beiträge Bund
– – Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastruktur)
./.
Einzelkosten (Personalkosten)
./.
Einzelkosten (Personalkosten)
./.
Einzelkosten (Sachkosten)
./.
Einzelkosten (Sachkosten)
DB 1
Beitrag über Einzelkosten
DB 1 Beitrag über Einzelkosten
./.
Gemeinkosten
./.
Gemeinkosten ohne bauliche
Infrastrukturkosten
./.
Gemeinkosten Abteilung ohne bauliche
Infrastrukturkosten
./.
Gemeinkosten Departement / Hochschule /
Teilschule ohne bauliche Infrastrukturkosten
Coûts individuels (coûts de personnel) ./.
Coûts individuels (coûts de personnel)
./.
Coûts individuels (coûts de matériel)
./.
Coûts individuels (coûts de matériel)
DB 2
Beitrag über Kosten kleinste Einheit
CC 1
Contribution dépassant les coûts
individuels
CC 1 Contribution dépassant les coûts individuels
./.
Gemeinkosten Abteilung
./.
Coûts généraux
./.
DB 3
Beitrag über Kosten Abteilung
./.
Gemeinkosten Departement /
Hochschule / Teilschule
DB 4
Beitrag über Kosten Hochschule
./.
Gemeinkosten FH
./.
Gemeinkosten FH ohne bauliche
Infrastrukturkosten
DB 5
Studiengangergebnis
DB
2 – 5
Beitrag über Kosten FH ohne bauliche
Infrastrukturkosten
CC 2
Contribution dépassant les coûts de
la plus petite unité
./.
Coûts généraux de la section
CC 3
Contribution dépassant les coûts de
la section
./.
Coûts généraux du département, de
la haute école ou de l’établissement
partenaire
CC 4
Coûts généraux, sans les coûts
d’infrastructure «immobilier»
./.
Coûts généraux de la section, sans les
coûts d’infrastructure «immobilier»
./.
Coûts généraux du département, de la
haute école ou de l’établissement
partenaire, sans les coûts d’infrastructure
«immobilier»
Je nach der Organisationsform der Schule
können die DB-Stufen 2 – 5 unterschiedlich
sein. Aus diesem Grund werden für das jährliche Berichtswesen/Reporting an das SBFI
(siehe Anhang 5) diese Stufen zusammengefasst ausgewiesen.
Infrastrukturerlöse:
+ Beiträge an Mieten SBFI
+ Infrastrukturbeiträge Träger
+ Sonstige Infrastrukturbeiträge
Contribution dépassant les coûts du
département, de la haute école
spécialisée ou de l’établissement
partenaire
Infrastrukturkosten:
./.
Coûts généraux de la haute école
spécialisée
./.
CC 5
Résultat de la filière d’études
CC
Contribution dépassant les coûts de la haute
2 à 5 école spécialisée, sans les coûts
d’infrastructure «immobilier»
– – Kalkulatorische Abschreibungen / Zinsen
– – Unterhalt Bau / sonstige Kosten
– – Mieten
Coûts généraux de la haute école spécialisée,
sans les coûts d’infrastructure «immobilier»
Produits liés à l’infrastructure:
Studiengangergebnis
Abbildung 5: Vergleich der Deckungsbeitragsrechnung Diplomstudium zuhanden der
Schule und des Bundes
+ Subventions pour la location par le SEFRI
+ Subventions pour l’infrastructure par les
organes resp.
+ Autres subventions pour l’infrastructure
Coûts d’infrastructure:
– – Amortissements et intérêts calculés
– – Entretien des constructions et autres
coûts
– – Locations
Résultat de la filière d’études
Figure 5: Calcul de la contribution à la couverture des études fondamentales à l’intention
de l’école et des autorités responsables de la formation
38 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
39 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Leitfaden zur Erstellung
der Kostenrechnung
Manuel d’établissement
du calcul des coûts
40 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
41 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
4.Coûts par nature
et plan comptable
4.1 Saisie des coûts par nature dans le plan comptable
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Les coûts sont classés selon des critères précis, les coûts par nature. La structure
d’après ces types de coûts est reprise dans des plans comptables. L’objectif du
plan comptable général d’une école est de présenter les coûts par nature générés
dans une école de manière aussi pratique, complète et claire que possible, et
d’éviter les chevauchements.
Divers systèmes de plans comptables généraux ont été développés. Deux d’entre
eux sont présentés ci-dessous:
– – Le plan utilisé le plus couramment dans les écoles publiques est sans doute
le «nouveau modèle comptable» (NMC), introduit dans la plupart des cantons.
Le NMC combine la comptabilité publique et la comptabilité financière. Il est
spécialement adapté aux besoins comptables des collectivités publiques.
– – Le «plan comptable général pour les petites et moyennes entreprises» a été
développé à l’intention des petites et moyennes entreprises (PME), dont font
également partie les hautes écoles spécialisées. Il se base sur la comptabilité
double utilisée dans le commerce, les arts et métiers, l’industrie et les entreprises de services.
La décision de l’école concernant le choix du plan comptable général dépendra
de ses besoins spécifiques et des particularités institutionnelles au niveau des
autorités responsables de la formation. Les écoles qui ont déjà introduit la comptabilité double se sentiront plus à l’aise dans le plan conçu pour les PME que
dans le plan NMC. Toutefois, plusieurs cantons ont modernisé leur comptabilité
ces dernières années et y ont également inclus les écoles. Une telle situation
parle en faveur d’un choix porté sur le plan NMC. D’une manière générale, les deux
plans comptables généraux sont adaptés à la comptabilité d’une école en tant
qu’entreprise et les deux permettent la reprise de données provenant de la comptabilité financière dans le calcul des coûts au moyen de comptes de correction.
42 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
4.Kostenarten und Kontenplan
4.1 Erfassung von Kostenarten im Kontenplan
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Kosten werden nach bestimmten Kriterien gegliedert, den Kostenarten. Die Gliederung nach Kostenarten wird durch Kontenpläne abgebildet. Ziel eines schulischen Kontenrahmens ist eine möglichst praktische, vollständige, übersichtliche
und überschneidungsfreie Darstellung der an einer Schule anfallenden Kostenarten.
Für Kontenrahmen wurden verschiedene Systeme entwickelt.
Zwei davon sollen im Folgenden kurz vorgestellt werden:
– – Der den öffentlichen Schulen vertrauteste Rahmen dürfte das von den meisten
Kantonen verwendete «Neue Rechnungsmodell» (NRM) sein. Das NRM stellt
eine Mischung aus der kameralistischen und der kaufmännischen Buchhaltung
dar und ist auf die spezifischen Bedürfnisse öffentlicher Haushalte ausgerichtet.
– – Für kleinere und mittlere Unternehmen, zu denen auch Fachhochschulen zählen,
wurde der sogenannte «Kontenrahmen für kleine und mittlere Unternehmen»
(KMU) entwickelt. Er basiert auf der kaufmännischen (doppelten) Buchhaltung.
Seine Einsatzmöglichkeiten umfassen Gewerbe-, Industrie- und Dienstleistungsunternehmen.
Welchen Entscheid eine Schule bezüglich der Wahl des Kontenrahmens trifft,
hängt von ihren spezifischen Bedürfnissen und den institutionellen Gegebenheiten
der Schulträger ab. Schulen, die bereits über eine doppelte Buchhaltung verfügen,
werden sich im KMU-Rahmen eher heimisch fühlen als im NRM-Rahmen. Andererseits haben mehrere Kantone ihr öffentliches Rechnungswesen in den letzten
Jahren modernisiert und auch die Schulen miteinbezogen, was die Übernahme
des NRM-Rahmen begünstigt. Generell sind beide Kontenrahmen für den Aufbau
einer schulisch-unternehmerischen Buchhaltung geeignet, und beide Kontenrahmen
erlauben es, über Korrekturkonten Daten aus der Finanzbuchhaltung in die Kostenrechnung zu transferieren.
43 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
4.2 Plans comptables généraux NMC et PME
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Ci-après, nous allons vous présenter un plan comptable général selon les normes
NMC et un autre selon le modèle PME. Les deux plans correspondent à une vue
d’ensemble d’écoles qui disposent déjà d’une comptabilité développée dans leur
secteur d’activité. Le plan comptable général NMC n’utilise que 3 positions.
Cette limitation est justifiée par le fait que les positions suivantes peuvent être
librement définies par les cantons. On a donc renoncé à les unifier sur le plan
suisse. Par conséquent, chaque canton devra décider en fonction de sa propre
comptabilité quels seront les chiffres à 4 ou 5 positions qu’il utilisera pour les
différents comptes. Chaque école est en droit d’affiner le plan comptable, la classification figurant ci-dessous n’étant qu’une recommandation.
4.2 Der NRM- und der KMU-Kontenrahmen
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Nachfolgend werden je ein NRM- und ein KMU-Kontenrahmen vorgestellt. Die
beiden Kontenpläne stellen einen Querschnitt von Schulen dar, die bereits über
eine ausgebaute schulische Buchhaltung verfügen. Der NRM-Kontenrahmen ist
nur bis auf 3 Stellen ausgeführt. Dies liegt darin begründet, dass die nachfolgenden Stellennummern von den Kantonen individuell verwendet werden und nicht
gesamtschweizerisch vereinheitlicht sind; jeder Kanton muss also aufgrund seiner
eigenen Rechnung entscheiden, welche vier- und fünfstelligen Nummern er für die
einzelnen Konten verwenden will. Jede Schule hat das Recht, den Kontenplan
weiter zu verfeinern. Die unten abgebildete Klassifizierung ist als Empfehlung zu
verstehen.
Désignation
Numéro de compte NMC Numéro de compte PME
Bezeichnung
Kontennummer NRM
Kontennummer KMU
Actifs
1
1
Aktiven
1
1
Disponibilités
– – Caisse
– – Poste
– – Banque
10
100
101
102
10
1000
1010
1020
Flüssige Mittel
– – Kasse
– – Post
– – Bank
10
100
101
102
10
1000
1010
1020
Créances/Avoirs
– – Débiteurs
11
115
11
110
Forderungen/Guthaben
– – Debitoren
11
115
11
110
Stocks et travaux en cours
– – Stocks et travaux en cours
125
125
12
120
Vorräte und angefangene Arbeiten
– – Vorräte und angefangene Arbeiten
125
125
12
120
Actifs de régularisation (Actifs transitoires)
13
13
Transitorische Aktiven
13
13
Immobilisations financières
– – Obligations
– – Actions
12
120
121
14
140
142
Finanzanlagen
– – Obligationen
– – Aktien
12
120
121
14
140
142
Immobilisations corporelles mobilières
– – Machines et appareils
– – Installations destinées à la production
– – Installations d’ateliers
– – Installations de laboratoires
– – Mobilier de bureau
– – Machines de bureau
– – Infrastructures informatiques
– – Véhicules
– – Installations de stockage
146 (portées à l’actif par 15
l’intermédiaire de 506)
1501
1502
1510
1511
1521
1522
1530
1540
1550
Mobile Sachanlagen/Sachgüter
– – Maschinen und Apparate
– – Produktionsanlagen
– – Werkstatteinrichtungen
– – Laboreinrichtungen
– – Büromobiliar
– – Büromaschinen
– – Datenverarbeitungsanlagen
– – Fahrzeuge
– – Lagereinrichtungen
146 (Aktivierung über 506) 15
1501
1502
1510
1511
1521
1522
1530
1540
1550
Immobilisations corporelles immobilières
– – Laboratoires
– – Bâtiments de cours / Auditoires
– – Ateliers
– – Bâtiments administratifs
– – Bâtiments de l’école
– – Autres bâtiments
– – Biens-fonds non bâtis
14
143.x
143.x
143.x
143.x
143.x
143.x
140
16
1640
1630
1650
1610
1620
1690
1600
Immobilien
– – Laborgebäude
– – Lehr/Hörsaalgebäude
– – Werkstattgebäude
– – Verwaltungsgebäude
– – Schulgebäude
– – andere Gebäude
– – unbebaute Grundstücke
14
143.x
143.x
143.x
143.x
143.x
143.x
140
16
1640
1630
1650
1610
1620
1690
1600
Passifs
2
2
Passiven
2
2
Engagements courants
– – Créanciers
– – Salaires
– – Assurances sociales
20
200.x
200.x
200.x
20
2001
2002
2003
Kurzfristige Verbindlichkeiten
– – Kreditoren
– – Löhne
– – Sozialversicherungen
20
200.x
200.x
200.x
20
2001
2002
2003
Dettes à court terme
21
21
Kurzfristige Schulden
21
21
Passifs de régularisation (Passifs transitoires)
25
23
Transitorische Passiven
25
23
Dettes à moyen et à long termes
– – Emprunts hypothécaires
– – Autres
– – Provisions
22
220
229
24
24
241
242
243
Mittel- und langfristige Schulden
– – Hypotheken
– – Übrige
– – Rückstellungen
22
220
229
24
24
241
242
243
Capitaux propres
– – Compte de compensation «Confédération»
– – Compte de compensation «Cantons»
– – Réserves/bénéfice
– – Provisions
29
28
Eigenkapital
– – Verrechnungskonto Bund
– – Verrechnungskonto Kantone
– – Reserven/Gewinn
– – Rücklagen
29
28
Produits
4
3
Ertrag
4
3
Produits d’exploitation «formation»
– – Taxes d’études et émoluments
– – Subventions des cantons
– – Subventions de la Confédération
433
461
460
341
3411
3412
3413
Betriebsertrag Lehre
– – Schulgelder und Gebühren
– – Kantonsbeiträge
– – Bundesbeiträge
433
461
460
341
3411
3412
3413
342
Betriebsertrag Forschung und Entwicklung
– – Kantonsbeiträge
– – Bundesbeiträge
– – Beiträge Privater
– – Ertrag aus Lizenzen
461
460
434.x
434.x
342
3422
3423
3424
3425
Produits d’exploitation «recherche et
développement»
– – Subventions des cantons
– – Subventions de la Confédération
– – Subventions de privés
– – Produits de licences
461
460
434.x
434.x
44 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
3422
3423
3424
3425
45 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Produits d’exploitation «formation continue»
– – Taxes d’études et émoluments
– – Subventions des cantons
– – Subventions de la Confédération
Produits d’exploitation «prestations de services»
– – Produits résultant de la vente de prestations
de services
433
461
460
343
3431
3432
3433
Betriebsertrag Weiterbildung
– – Schulgelder und Gebühren
– – Kantonsbeiträge
– – Bundesbeiträge
433
461
460
343
3431
3432
3433
434
3444
Betriebsertrag Dienstleistungen
– – Ertrag aus DL-Verkäufen
434
3444
Autres produits d’exploitation
389
Charges
3
Divers
Biens, services et marchandises
Matériel d’exploitation (matériel d’enseignement,
etc.):
– – Matériel d’enseignement général
– – Livres
– – Mobilier
– – Outils et appareils
– – Installations
– – Remplacement de matériel d’exploitation
31
4
310.x
310.x
311.x
311.x
311.x
311.x
440
441
442
443
444
445
Entretien, réparations, remplacements (de façon
analogue au compte 124 NRM ou 15 PME)
– – Machines et appareils
– – Installations de production, etc.
315/318
61 et 62
Übriger Betriebsertrag
389
Aufwand
3
versch.
Sachaufwand
Betriebsmittel (Lehrmittel etc.):
– – Allgemeine Schulmittel
– – Bücher
– – Mobiliar
– – Werkzeuge und Geräte
– – Einrichtungen
– – Ersatz von Betriebsmitteln
31
4
310.x
310.x
311.x
311.x
311.x
311.x
440
441
442
443
444
445
Unterhalt, Wartung, Reparaturen, Ersatz
(analog zu Konto 124 NRM bzw. 15 KMU)
– – Maschinen und Apparate
– – Produktionsanlagen, etc.
315/318
61 und 62
Energieaufwand
312
64
313
440
Charges énergétiques
312
64
Verbrauchsmaterial
Petites fournitures
313
440
Charges administratives
– – Photocopies
– – Imprimés
– – Téléphones, frais de ports, etc.
– – Matériel de bureau
– – Publicité
– – Autres coûts administratifs
310/318/319
310.x
310.x
318.x
310.x
310.x
319.x
65
651
652
653
655
656
659
Verwaltungsaufwand
– – Fotokopien
– – Drucksachen
– – Telefon, Porti etc.
– – Büromaterial
– – Werbeaufwand
– – Übriger Verwaltungsaufwand
310/318/319
310.x
310.x
318.x
310.x
310.x
319.x
65
651
652
653
655
656
659
Charges de personnel
Charges de personnel «formation et recherche»:
– – Professeurs
– – Corps intermédiaire supérieur
– – Corps intermédiaire inférieur
– – Personnel administratif et technique /
personnel d’exploitation
30
301/302
302.x
302.x
302.x
301.x
5
50
5010
5020
5030
5040
Personalaufwand
Personalaufwand Lehr- und Forschungspersonal:
– – Professoren
– – Oberer Mittelbau
– – Unterer Mittelbau
– – Administratives und technisches Personal/
Betriebspersonal
30
301/302
302.x
302.x
302.x
301.x
5
50
5010
5020
5030
5040
Personalaufwand Aufsichtsgremien
300
5000
Personalaufwand Direktion
– – Direktoren, Rektoren etc.
301
301.x
5050
5050
Übriger Personalaufwand
– – Aus- und Weiterbildung
– – Exkursionen
– – übrige direkte Personalspesen
309/317
309.x
317.x
317.x
58
581
582
589
Sozialversicherungsbeiträge
– – AHV/IV/EO/ALV/FAK
– – Berufliche Vorsorge
– – UVG
303
304
305
51
5121
5122
5123
Abschreibungen auf Betriebsmaterial
331
69
316
69
6930
331
6940
Autorités, commissions et juges
300
5000
Charges de personnel «direction»
– – Directeurs, recteurs, etc.
301
301.x
5050
5050
Autres charges de personnel
– – Formation et perfectionnement
– – Excursions
– – Autres frais directs de personnel
309/317
309.x
317.x
317.x
58
581
582
589
303
51
5121
304
305
5122
5123
331
69
316
69
6930
331
6940
313.x/314.x
60.x
Assurances-choses
318
Intérêts passifs
– – Dettes à court terme
– – Dettes à moyen et long termes
32
321
322
Charges sociales
– – AVS/AI/APG/assurance-chômage/caisse
d’allocations familiales
– – Prévoyance professionnelle
– – LAA
Amortissement sur le matériel d’exploitation
Coûts d’infrastructure
– – Location de laboratoires, d’ateliers, de
bâtiments de cours et autres
– – Amortissements sur les laboratoires, ateliers,
bâtiments de cours et autres
– – Entretien des immeubles
Infrastrukturkosten
– – Mieten Labors, Werkstätten, Unterrichtsgebäude, übrige
– – Abschreibungen Labors, Werkstätten,
Unterrichtsgebäude, übrige
– – Unterhalt Gebäude
313.x/314.x
60.x
Sachversicherungen
318
63
63
Passivzinsen
– – Bankzinsen
– – Darlehen und Hypotheken
32
321
322
680
6800
6810
680
6800
6810
Abgrenzungskonti KOST/FIBU
Abbildung 6: NRM- und KMU-Kontenrahmen
Comptes de correction «calcul des coûts / comptabilité financière»
Figure 6: Plans comptables généraux NMC et PME
Le modèle NMC connaît les classes de comptes 39 et 49 qui permettent la comptabilisation de charges et de produits internes (p. ex. la fourniture d’imprimés par
l’office cantonal des imprimés). Les classes de comptes 39 et 49 ne représentent
pas des coûts par nature ou de produits. Ils ne permettent donc pas de tirer des
conclusions au sujet des coûts par nature ou de produits qui se trouvent dans
ces comptes. Pour cette raison, les classes de comptes 39 et 49 doivent être
entièrement éliminées dans le calcul des coûts destiné à la Confédération et elles
doivent être alors reportées sur une autre classe de comptes entre 31 et 38 ou
entre 40 et 48.
46 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Das NRM-Modell kennt die Kontenklassen 39 und 49, die interne Aufwands- und
Ertragsbuchungen erlauben (z.B. der Bezug von Drucksachen über eine kantonale
Druckmaterialzentrale). Die Kontenklassen 39 und 49 stellen keine Kosten- bzw.
Ertragsart dar, erlauben also keine Rückschlüsse darauf, welche Arten von Kosten
bzw. Erträge hinter diesen Konten stecken. Es ist deshalb notwendig, in der Kostenrechnung zuhanden des Bundes die Kontenklasse 39 und 49 zu saldieren und
auf eine der übrigen Kontenklassen 31 bis 38 bzw. 40 bis 48 umzulegen.
47 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
5.Centres de coûts et répar-
tition des centres de coûts
5.Kostenstellen und ihre
Überwälzung
5.1 Centres de coûts d’une école
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Dans les centres de coûts sont générés les coûts. Généralement, il s’agit des
unités organisationnelles d’une école. Les coûts par nature leur sont attribués s’il
n’est pas possible de les assigner directement aux objets de coûts. Les centres
de coûts d’une école sont généralement structurés selon les fonctions, l’organisation et le lieu. Cela signifie qu’on peut identifier les centres de coûts par rapport à leur situation «géographique» - p. ex. le centre de coûts «bibliothèque» ou par rapport à un regroupement virtuel de certains coûts - p. ex. les coûts de
la section. Le regroupement des coûts sous la forme de centres de coûts sert au
contrôle des coûts. Pour cette raison, on désigne toujours un responsable par
centre de coûts.
La figure 3 (page 28) présente un schéma d’organisation simplifié d’une école.
Selon cette présentation, les unités suivantes peuvent être des centres de coûts:
les plus petites unités au sein du domaine d’étude (études individuelles conduisant
au diplôme, études ou cours postgrades, projets individuel de recherche, prestations individuelles de services), les sections, les départements / hautes écoles /
établissements partenaires et la haute école spécialisée / holding et les unités administratives correspondantes. À côté de ces éléments, une école dispose généralement de centres de coûts supplémentaires non représentés dans le schéma
simplifié: des sections générales (p. ex. informatique), des laboratoires et des
ateliers centraux, une bibliothèque centralisée, un centre de calcul, une cafétéria
et d’autres éléments encore. Certains centres de coûts peuvent être gérés
comme des «centres de profit» internes qui facturent entièrement leurs coûts à
d’autres centres de coûts ou aux objets de coûts. Pour des raisons pratiques et
afin de permettre un meilleur contrôle des coûts, il peut s’avérer utile d’introduire
des centres de coûts supplémentaires (centres auxiliaires, centres préalables et
centres principaux), par exemple le centre de coûts «immeubles».
5.1 Kostenstellen einer Schule
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Im Folgenden wird dargestellt, wie eine Schule ihre Kostenstellenrechnung aufbauen kann. Der Aufbau folgt Prinzipien, wie sie bereits an Schulen mit einer Kostenstellenrechnung angewandt werden. Die Vorschläge sind unterteilt in Kostenstellen,
– – die von jeder Schule obligatorisch zu führen sind und solche
– – deren Führung aus betrieblichen Gründen (Vereinfachung, Kostenkontrolle) empfohlen wird.
La suite explique comment une école peut structurer le calcul des centres de
coûts. Dans cet exemple prévalent les principes appliqués dans les écoles disposant déjà d’une telle comptabilité. Les suggestions sont divisées en deux groupes
de centres de coûts,
– – ceux qui doivent obligatoirement être introduits dans chaque école
– – ceux dont la tenue est recommandée pour des raisons d’exploitation (simplification, contrôle des coûts).
Dargestellt ist zudem die Überwälzung auf die Kostenträger oder auf weitere Kostenstellen.
La suite présente également la répartition sur les objets de coûts ou sur d’autres
centres de coûts.
5.2 Centres de coûts obligatoires
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Centres de coûts de l’administration
L’art. 15 de l’ordonnance sur les hautes écoles spécialisées précise que les frais
administratifs ne peuvent pas dépasser une certaine proportion des coûts
d’exploitation. Le calcul des coûts doit présenter ces coûts administratifs. Pour
cette raison, il y a lieu d’introduire les divers centres de coûts suivants:
– – Direction, rectorat, administration/gestion de départements / hautes écoles /
établissements partenaires
– – Direction, rectorat, administration/gestion de la haute école spécialisée
Kostenstellen sind die Orte der Kostenentstehung, im Allgemeinen die organisatorischen Einheiten einer Schule. Ihnen werden die Kostenarten zugeteilt, falls
diese nicht direkt den Kostenträgern zugewiesen werden können. Schulische
Kostenstellen werden in der Regel nach funktionalen, organisatorischen oder
räumlichen Aspekten strukturiert; d.h. Kostenstellen lassen sich entweder geographisch lokalisieren – z.B. die Kostenstelle «Bibliothek» – , oder sie stellen eine
virtuelle Zusammenfassung bestimmter Kosten dar – z.B. die Kosten der Abteilung. Die Zusammenfassung der Kosten zu Kostenstellen dient der Kostenkontrolle;
verantwortlich für eine Kostenstelle ist deshalb immer ein Kostenstellenleiter bzw.
eine Kostenstellenleiterin.
Ein vereinfachtes Organisationsschema einer Schule zeigte Abbildung 3 (Seite 29).
Gemäss dieser Abbildung können Kostenstellen sein: die kleinsten Einheiten
innerhalb des Fachbereichs (einzelner Diplomstudiengang, einzelnes NDS / NDK,
einzelnes Forschungsprojekt, einzelne Dienstleistung), die Abteilungen, die
Departemente / Hochschulen / Teilschulen, die Fachhochschule/Holding und die
entsprechenden Verwaltungsabteilungen. Daneben verfügt eine Schule in der
Regel noch über weitere Kostenstellen, die ausserhalb dieses einfachen Diagramms geführt werden: Allgemeine Abteilungen (z.B. Informatik), zentrale Labors
und Werkstätten, eine zentrale Bibliothek, ein Rechenzentrum, eine Cafeteria
und andere. Einzelne Kostenstellen können als sogenannte interne «Profitcenters»
geführt werden, die ihre Kosten über interne Rechnungsstellung anderen Kostenstellen oder den Kostenträgern vollständig verrechnen. Aus praktischen Gründen
und zu einer besseren Kostenkontrolle kann es sinnvoll sein, weitere Kostenstellen
(Hilfs-, Vor- und Hauptkostenstellen) zu führen, etwa eine Kostenstelle «Gebäude».
5.2 Obligatorisch zu führende Kostenstellen
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Kostenstellen der Administration
Art. 15 der Fachhochschulverordnung kann vorsehen, dass die Verwaltungskosten einen bestimmten Anteil der Betriebskosten nicht übersteigen dürfen. Die
Kostenrechnung hat diese Verwaltungskosten auszuweisen. Aus diesem Grund
sind die folgenden Kostenstellen zu führen:
– – Direktion, Rektorat, Administration/Verwaltung von Departementen / Hochschulen / Teilschulen
– – Direktion, Rektorat, Administration/Verwaltung der Fachhochschule / Holding
Die Kostenstellen sind verursachergerecht auf alle 4 Leistungen (Diplomstudium,
Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) pro
Studiengang resp. Fachbereich umzulegen (vgl. Abschnitt 9).
Les centres de coûts doivent comme il se doit être répartis par filières d'études
et/ou par domaine d’étude entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme,
formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services) (voir chapitre 9).
48 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
49 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
5.3 Centres de coûts recommandés et répartition des
centres de coûts recommandés
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
A. Centres de coûts principaux
– – Chaque domaine d’étude ou chaque groupe de domaines d’études;
– – Sections générales.
Les centres de coûts principaux doivent être répartis par domaine d’étude au niveau
CC 1 entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue,
recherche appliquée et développement, prestations de services) (voir chapitre 9).
5.3 Empfohlene Kostenstellen und ihre Überwälzung
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
B. Vor- und Hilfskostenstellen
Beispiele:
B. Centres de coûts préalables et centres de coûts auxiliaires
Exemples:
Bibliotheken
Die Kostenstellen Bibliotheken werden proportional zu den Studierendenzahlen
auf die einzelnen Diplomstudiengänge zugeteilt.
Bibliothèques
Les centres de coûts «bibliothèques» sont attribués aux filières d’études au
prorata du nombre d’étudiants.
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
Les centres de coûts relatifs aux bibliothèques sont répartis entre les objets
de coûts, au prorata des coûts individuels de personnel. (cf. chap. 9.1).
Laboratoires et ateliers
Les centres de coûts «laboratoires et ateliers» doivent comme il se doit être
répartis, par domaine d’étude et conformément aux clés de répartition mentionnées
au chapitre 9, entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation
continue, recherche appliquée et développement, prestations de services).
Centre de calcul, informatique, reprographie, services techniques, logistique
Ces centres de coûts doivent être attribués au moyen de prix de facturation internes sur les prestations correspondantes (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services).
Le cas échéant, les déficits doivent comme il se doit être répartis, par domaine
d’étude et conformément aux clés de répartition mentionnées au chapitre 9, entre
les 4 prestations.
Cafétéria/restaurant
La cafétéria et le restaurant devraient être gérés comme des centres de profits.
Leurs coûts doivent être couverts par leurs propres recettes et ne nécessitent
donc pas d’attribution à des filières d’études. Le cas échéant, les déficits doivent
comme il se doit être répartis, par domaine d’étude et conformément aux clés de
répartition mentionnées au chapitre 9, entre les 4 prestations (études conduisant
au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services).
Infrastructure/Immeubles
Les centres de coûts «coûts d’infrastructure “immobilier”» et «coûts d’infrastructure
“exploitation”» doivent être répartis de manière proportionnelle à l’utilisation
effective de l’infrastructure par domaine d’étude entre les 4 prestations (études
conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement,
prestations de services) (voir chapitre 9).
50 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
A. Hauptkostenstellen
– – jedes erteilte Fach oder jede Fachgruppe
– – allgemeine Abteilungen
Die Hauptkostenstellen sind auf DB-Stufe 1 verursachergerecht auf alle 4 Leistungen (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und
Dienstleistungen) pro Fachbereich umzulegen (vgl. Abschnitt 9).
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Die Kostenstellen Bibliotheken werden proportional zu den Personaleinzelkosten
auf die Kostenträger verteilt (vgl. Kap. 9.1).
Labors und Werkstätten
Die Kostenstellen Labors und Werkstätten werden nach in Abschnitt 9 genannten
Umlageschlüsseln verursachergerecht auf alle 4 Leistungen (Diplomstudium,
Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) pro
Fachbereich umgelegt.
Rechenzentrum, Informatik, Reprodienste, technischer Dienst, Logistik
Derartige Kostenstellen sollen mithilfe interner Verrechnungspreise auf die beziehende Leistung (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) zugeteilt werden. Allfällige Defizite werden gemäss
den Umlageschlüsseln ebenfalls verursachergerecht auf alle 4 Leistungen pro
Fachbereich umgelegt (vgl. Abschnitt 9).
Cafeteria/Mensa
Die Cafeteria/Mensa sollte als Costcenter geführt werden, dessen Kosten durch
eigene Einnahmen gedeckt und deshalb nicht auf Studiengänge zugeteilt werden
müssen. Allfällige Defizite sollen verursachergerecht auf alle 4 Leistungen (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) pro Fachbereich zugeteilt werden (vgl. Abschnitt 9).
Infrastruktur/Gebäude
Es sind Kostenstellen «Bauliche Infrastrukturkosten» und «Betriebliche Infrastrukturkosten» zu führen, die proportional zur effektiven Nutzung der Infrastruktur auf alle
4 Leistungen (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung
und Dienstleistungen) pro Fachbereich umgelegt werden (vgl. Abschnitt 9).
51 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
5.4 Définition des coûts directs et des coûts indirects
ainsi que des coûts individuels et des coûts généraux
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
A. Coûts directs et coûts indirects
On établit une distinction entre ce genre de coûts en fonction des critères suivants:
Coûts directs
Ils peuvent être directement mis à la charge des divers objets de coûts:
– – les filières d’études conduisant au diplôme;
– – les domaines d’étude en liaison avec un mandat de prestations élargi (formation, recherche appliquée et développement, prestations de services).
5.4 Definition von direkten und indirekten Kosten bzw.
Einzel- und Gemeinkosten
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
A. Direkte und indirekte Kosten
Die Kosten werden nach den folgenden Kriterien unterschieden:
Direkte Kosten
Direkte Kosten können direkt den einzelnen Kostenträgern belastet werden:
– – einzelne Studiengänge im Diplomstudium
–– einzelne Fachbereiche im erweiterten Leistungsauftrag (Weiterbildung, angewandte
Forschung und Entwicklung, Dienstleistungen)
Coûts indirects
Ils ne peuvent pas être directement mis à la charge des divers objets de coûts
et sont par conséquent mis à la charge des objets de coûts par le biais de répartitions au cas par cas.
Indirekte Kosten
Indirekte Kosten können nicht direkt den einzelnen Kostenträgern belastet werden
und werden dementsprechend über Kostenumlagen den einzelnen Kostenträgern
belastet.
L’enregistrement comptable correspondant et l’importance dépendent fortement
de la forme d’organisation et du fonctionnement de l’école considérée.
Pour le calcul des contributions à la couverture, autant les coûts directs que les
coûts indirects peuvent être pris en considération au niveau CC 1 (par ex. si une
section générale offre des cours pour diverses filières d’études, les coûts peuvent
être considérés comme indirects et être répartis au niveau CC 1).
Die entsprechende Verbuchung und Wichtigkeit hängt sehr stark von der Organisationsform und der Funktionsweise einer Schule ab.
Für die folgende Deckungsbeitragsrechnung können sowohl direkte als auch indirekte Kosten bereits auf DB-Stufe 1 anfallen (z.B.: falls eine Allgemeine Abteilung
Lehrleistungen für diverse Studiengänge anbietet, können die Kosten als indirekt
behandelt werden und über eine Kostenumlage auf DB-Stufe 1 gelangen).
B. Coûts individuels et coûts généraux
On établit une distinction entre ce genre de coûts en fonction des critères suivants:
B. Einzelkosten und Gemeinkosten
Die Kosten können auch nach den folgenden Kriterien unterschieden werden:
Coûts individuels
Ils dépendent directement de la fourniture de prestations primaires d’une école:
– – les cours pour les filières d’études conduisant au diplôme et pour les études
postgrades (EP) et les cours postgrades (CP) dans la formation continue;
– – les prestations de recherche et de services dans les domaines d’étude.
Coûts généraux
Ils ne dépendent pas directement de la fourniture de prestations, mais créent
les conditions pour la fourniture de celles-ci (direction, administration, service
technique, bibliothèque, coûts généraux pour un domaine d’étude ou pour une
section, etc.).
L’enregistrement comptable correspondant et l’importance dépendent fortement
de la forme d’organisation et du fonctionnement de l’école considérée.
Pour le calcul des contributions à la couverture (CC), les coûts individuels sont
répartis au niveau CC le plus élevé, puis les coûts généraux sont répartis aux
niveaux CC 2 à 5 (selon la forme d’organisation de l’école).
52 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Einzelkosten
Einzelkosten hängen direkt von der Erzeugung der primären Leistungen einer
Schule ab:
– – Lehrleistungen für Studiengänge im Diplomstudium bzw. für
– – NDS/NDK in der Weiterbildung
– – Forschungs- und Dienstleistungen in den Fachbereichen
Gemeinkosten
Gemeinkosten hängen nicht direkt mit der Erzeugung der Leistungen ab, schaffen
jedoch die Voraussetzungen für diese (Direktion, Administration, technischer
Dienst, Bibliothek, Fachbereichsgemeinkosten, Abteilungsgemeinkosten, usw.)
Die entsprechende Verbuchung und Wichtigkeit hängt stark von der Grösse, der
Organisationsform und der Funktionsweise einer Schule ab.
In der Deckungsbeitragsrechnung werden die Einzelkosten Lehrleistungen auf der
obersten DB-Stufe ausgewiesen, danach werden alle Gemeinkosten auf DB-Stufe
2 bis 5 (je nach Organisationsform der Schule) ausgewiesen.
53 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
5.5 Définition des produits directs et indirects
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Comme dans le cas des coûts et selon les mêmes critères, il est possible de
différencier et de comptabiliser des produits directs et indirects.
5.5 Definition von direkten und indirekten Erträgen
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
En règle générale, les produits directs sont crédités directement sur les objets de
coûts des quatre prestations.
Im Normalfall werden die Erträge direkt den Kostenträgern der 4 Leistungen
gutgeschrieben.
Pour ce qui est des produits indirects, il convient, à l’aide de clés de répartition, de
les imputer également sur les prestations que sont les filières d’études conduisant
au diplôme, la formation continue, la recherche appliquée et le développement,
ainsi que les prestations de services par domaine d’étude, et de les présenter
comme des produits dans le calcul CC.
Eventuelle indirekte Erträge müssen mit Hilfe von Umlageschlüsseln ebenfalls auf die
Leistungen Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung
und Dienstleistungen pro Fachbereich umgelegt und in der DB-Rechnung als Ertrag ausgewiesen werden.
5.6 Vorgehensprinzipien und Qualitätssicherung
bei Umlagen
5.6 Utilisation des clés de répartition et assurance qualité
lors de répartitions
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Wie bei den Kosten ist es auch möglich, die Erträge nach den gleichen Kriterien
in direkte und indirekte aufzuteilen und zu verbuchen.
Comme la forme d’organisation et le fonctionnement d’une école influe sur la
structure du calcul des coûts de manière notoire, l’utilisation des clés de répartition
doit être réglée comme indiqué ci-après:
– – conformément à la représentation du calcul CC au chapitre 9, des clés de
répartition sont déterminées par avance de manière standardisée par centre de
coûts;
– – il convient de rechercher les véritables générateurs de coûts et de pratiquer la
transparence des coûts par domaine d’étude et par prestation (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement,
prestations de services) en tenant compte des situations spécifiques en matière
de direction, d’organisation et d’école.
54 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Da sowohl die Organisationsform wie auch die Funktionsweise einer Schule den
Aufbau der Kostenrechnung wesentlich beeinflusst, soll bei der Anwendung von
Umlageschlüsseln wie folgt vorgegangen werden:
– – gemäss der Darstellung der DB-Rechnung in Abschnitt 9 werden pro Kostenstelle jeweils Umlageschlüssel standardmässig vorgegeben;
– – dabei soll pro Fachbereich und Leistung (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung, Dienstleistungen) und unter Berücksichtigung
der führungs-, organisations- und schulspezifischen Situationen, dem Prinzip
der Findung der effektiven Kostentreiber bzw. der Kostenwahrheit nachgelebt
werden.
55 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
6.Calcul des objets de coûts:
coûts par prestation fournie par une école
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Le calcul des objets de coûts a pour but de présenter les coûts des prestations
fournies par une école. Conformément au manuel, chaque école propose quatre
prestations et comporte de ce fait quatre groupes d’objets de coûts:
– – études conduisant au diplôme (ED);
– – formation continue (FC), par ex. MAS, EMBA, DAS, CAS;
– – recherche appliquée et développement (Ra&D);
– – prestations de services (PS).
Les unités pour lesquelles il y a lieu d’établir le calcul des objets des cours sont:
– – la filière d’études conduisant au diplôme (bachelor et master),
– – le domaine d’étude pour les trois autres prestations.
Le calcul des objets de coûts se présente de ce fait par filière d’études et par
domaine d’étude:
6.Kostenträgerrechnung:
Die Kosten pro Leistung
einer Schule
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Die Kostenträgerrechnung hat die Aufgabe, die Kosten der von der Schule angebotenen Leistungen auszuweisen. Gemäss diesem Kostenrechnungsleitfaden
bietet eine Schule vier verschiedene Leistungen an und weist damit vier verschiedene Kostenträgergruppen auf:
– – das Diplomstudium
– – die Weiterbildung (MAS, EMBA, DAS, CAS)
– – die angewandte Forschung und Entwicklung
– – die Dienstleistungen.
Die Einheiten, für welche die Kostenträgerrechnung zu erstellen ist, sind:
– – der Studiengang in der Lehre Diplomstudium Bachelor und Master
– – der Fachbereich in den restlichen drei Leistungen.
Die Kostenträgerrechnung weist damit pro Studiengang resp. pro Fachbereich aus:
Études conduisant au diplôme bachelor
Contribution de couverture par étudiant
Diplomstudium Bachelor
Deckungsbeitrag pro Studierenden
Études conduisant au diplôme master
Contribution de couverture par étudiant
Diplomstudium Master
Deckungsbeitrag pro Studierenden
Formation continue
Contribution de couverture par EP/CP
Weiterbildung
Deckungsbeitrag pro NDS/NDK
Recherche appliquée et développement
Contribution de couverture par projet de recherche
Angewandte Forschung und Entwicklung
Deckungsbeitrag pro Forschungsprojekt
Prestations de services
Contribution de couverture par projet de prestation
Dienstleistungen
Deckungsbeitrag pro Dienstleistungsprojek
Chaque filière d’études et chaque domaine d’étude reçoit un code à utiliser de
manière uniforme au sein de toutes les HES (de manière analogue aux codes
de filières du système d’information sur les hautes écoles suisses). Ce code est
déterminé de concert avec l’Office fédéral de la statistique (annexe 1 «Classification
officielle des filières d'études»).
Jeder Studiengang resp. Fachbereich erhält einen Code, der von allen Fachhochschulen einheitlich zu verwenden ist (analog zu den Studiengang-Codes des
Schweizerischen Hochschulinformationssystems SHIS). Dieser Code wird in
Absprache mit dem Bundesamt für Statistik festgelegt (Anhang 1 «Offizielle Klassierung der Studiengänge»).
À ce propos, il convient de distinguer entre la branche ou le domaine d’enseignement (centre de coûts) et la filière d’études ou le domaine d’étude (objet de
coûts). En règle générale, les branches sont des éléments d’une filière d’études
et peuvent donc être attribuées en tant que coûts individuels aux objets de coûts
(exemple: la branche «statique» est un élément de l’objet de coûts «génie civil»).
Les coûts de branches qui offrent des prestations à plusieurs filières d’études en
même temps (exemple: la branche «mathématiques» qui est offerte à la fois dans
les filières d’études «chimie» et «physique»), sont répartis proportionnellement au
nombre d’étudiants. Les branches facultatives sont traitées de manière analogue.
Entre la branche et la filière d’études on trouve donc les rapports suivants représentables sous la forme d’une matrice:
Zu beachten ist die Unterscheidung zwischen Fach / Fach- oder Lektionengruppen
(Kostenstelle) und Studiengang oder Fachbereich (Kostenträger). In der Regel
sind Fächer Teile eines Studienganges und können somit als Einzelkosten auf die
Kostenträger zugewiesen werden (Beispiel: das Fach «Statik» als Teil des Kostenträgers «Bauingenieurwesen»). Die Kosten von Fächern, die Leistungen zugunsten
mehrerer Studiengänge anbieten (Beispiel: das Fach «Mathematik» sowohl für den
Studiengang «Chemie» wie für «Physik»), werden proportional zur Anzahl der Studierenden verteilt. Analoges gilt für Freifächer. Zwischen Fach und Studiengang
besteht damit die folgende matrizielle Beziehung:
Branche 1
Filière d’études 1
Fach 1
Fach 2
Studiengang 1
Studiengang 2
Branche 2
Filière d’études 2
Abbildung 7: Zuweisung der Kosten von Fächern auf Studiengänge
Figure 7: Attribution des coûts des branches aux filières d’études
56 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
57 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
6.1 Modularisation
6.1 Modularisierung
L’introduction du système en deux cycles bacherlor / master va entraîner une
modularisation accrue des filières d'études HES; les classes, en tant que telles,
disparaissent pour des raisons organisationnelles. Les étudiants s’inscrivent
désormais dans des modules et ne sont plus attribués à des classes. Les modules
peuvent être suivis par des étudiants de différentes filières d'études. L’objectif du
calcul des coûts demeure l’établissement des coûts par filière d'études (subdivisée
en cycles bachelor et master) et des coûts par étudiants. Chaque HES choisit
librement la manière d’atteindre cet objectif, de situer le calcul de coûts au niveau
des modules aux fins de pilotage et de constituer des centres de coûts ou des
objets de coûts.
Mit dem Studienmodell Bachelor / Master werden die Studiengänge vermehrt modularisiert angeboten; die Klassen fallen als organisatorische Einheit weg. Die Studierenden schreiben sich in Module ein und sind nicht mehr einer Klasse zugeordnet.
Die Module können von Studierenden aus verschiedenen Studiengängen belegt werden. Ziel der Kostenrechnung bleibt weiterhin, die Kosten pro Studiengang (unterteilt
nach Bachelor und Master) und die Kosten pro Studierenden auszuweisen. Es ist
jede Fachhochschule frei, wie sie das Ziel, die Kosten pro Studiengang und Studierenden abzubilden, erreichen will. Es ist auch ihr Entscheid, ob sie die Kostenrechnung auf Modulebene zu Steuerungszwecken einsetzen will. Auch ist es ihr überlassen, ob sie dafür Kostenstellen oder Kostenträger bilden will.
Les démarches des HES dans ce domaine sont régies par les principes suivants:
– – les coûts individuels des modules sont répartis sur les filières d'études au pro
rata du nombre d’étudiants;
– – la répartition des frais généraux s’effectue en fonction de la clé de répartition
recommandée au chap. 9.
Davon unabhängig sind folgende Grundsätze einzuhalten:
– – Die Einzelkosten der Module werden proportional zur Studierenden-Belegung
auf die Studiengänge zugeteilt.
–– Die Umlage der Gemeinkosten erfolgt gemäss den empfohlenen Umlageschlüsseln
in Kapitel 9. 58 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
59 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
7.Infrastructure
7.Infrastruktur
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Les raisons d’être de ce chapitre sont les suivantes:
– – déterminer clairement les bases pour calculer les coûts d’infrastructure et leur
attribution dans le calcul des contributions à la couverture;
– – s’assurer que les coûts sont complets, selon les principes de l’économie d’entreprise, dans le calcul des coûts et du rapport destiné au SEFRI;
– – assurer la comparaison entre les données (standardisation) dans la perspective
du benchmarking (coûts par étudiant de la filière d’études XY);
– – assurer le financement de la consommation effective en terme de valeur des
installations (pour éviter les manques de liquidités par suite d’amortissements
trop élevés ou trop faibles).
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Le principe suivant est valable en l’occurrence: dans le calcul des coûts à la
couverture, les coûts d’infrastructure doivent être équilibrés et les produits répartis
en conséquence.
Grundsatz: Infrastrukturkosten sollten in der DB-Rechnung ausgeglichen sein und
die Erträge entsprechend aufgeteilt werden.
7.1 Bauliche und betriebliche Infrastrukturkosten
7.1 Coûts d’infrastructure «immobilier» et coûts
d’infrastructure «exploitation»
Zur Infrastruktur gehören das Land, Gebäude, Einrichtungen (Ausstattung) und
der dazugehörige Unterhalt. Infrastruktur wird je nach Träger der Fachhochschulen
individuell behandelt und eine Harmonisierung ist zur Zeit nicht möglich. Damit auf
Bundesebene ein Vergleich bzw. ein Benchmarking möglich ist, wird für die
DB-Rechnung zuhanden des Bundes wie folgt unterschieden:
Font partie de l’infrastructure les terrains, bâtiments, installations (équipements) et
l’entretien afférent. Selon l’organisation responsable de la haute école spécialisée,
l’infrastructure est traitée de manière différente, si bien qu’une harmonisation
n’est pas envisageable pour l’heure. Afin d’obtenir à l’échelle de la Confédération
une base de comparaison et de benchmarking, on distingue pour le calcul CC à
l’intention de la Confédération:
A. Bauliche Infrastrukturkosten
Gebäude/Miete
Für den Erwerb, die Erstellung und den Umbau von Bauten einschliesslich der
Erstausstattung bezahlt der Bund separat Investitionsbeiträge. Beiträge werden
für zusammenhängende, zeitlich und räumlich klar abgrenzbare Vorhaben gewährt,
die 300'000 Franken übersteigen. Die Berechnung der anrechenbaren Kosten für
die Subventionierung sind in den Richtlinien für die Bemessung der Bausubventionen des Bundes (BSK-Richtlinien 1) geregelt.
A. Coûts d’infrastructure «immobilier»
Bâtiments/Locations
La Confédération paie séparément des subventions d’investissement pour permettre l’acquisition, la construction et la transformation de bâtiments, ainsi que
leur équipement initial. Les subventions sont versées pour des projets cohérents,
bien définis sur le plan spatio-temporel et dépassant 300'000 francs. La facturation des coûts imputables est régie par les directives servant à la détermination
des subventions fédérales à la construction (directives CSC ou directives de
détermination des subventions 1).
Sofern Gebäude oder gemietete Räume nicht bereits als bauliche Investition vom
Bund mitfinanziert worden sind, werden Beiträge an Fremdmieten (Raumkosten)
separat ausgerichtet.
Pour autant que les bâtiments ou les locaux loués ne sont pas déjà cofinancés par
la Confédération à titre d’investissements liés à la construction, les subventions
fédérales destinées à la location d’objets loués par des tiers (coûts des objets en
location) sont établies séparément.
Aus diesen Gründen werden die folgenden Kosten separat und nicht in den
DB-Stufen 1– 5 ausgewiesen:
– – Mieten von Gebäuden
– – Abschreibungen auf baulichen Investitionen
– – Hypothekar-, Baurechts- oder Darlehenszinsen
– – kalkulatorische Zinsen
C’est pour cette raison que les coûts listés ci-après sont établis séparément et
non indiqués aux niveaux CC 1 à 5:
– – locations de bâtiments;
– – amortissements d’investissements liés à la construction;
– – intérêts (hypothèques, droits de superficie, prêts);
– – intérêts calculés.
B. Betriebliche Infrastrukturkosten (DB 1– 5)
Ausstattung
Zur Ausstattung gehören Maschinen, Apparate, Geräte, Mobilien, IT-Infrastruktur
etc. Diese werden in den DB-Stufen 1– 5 abgeschrieben.
B. Coûts d’infrastructure «exploitation» (CC 1 à 5)
Équipement
Sont considérés comme équipement les machines, les appareils, le mobilier,
l’infrastructure informatique, etc. Ils sont amortis aux niveaux CC 1 à 5.
Ces directives peuvent être commandées
auprès de l’Office fédéral des constructions
et de la logistique, Section des expertises,
Holzikofenweg 36, 3003 Berne.
1 Équipements loués ou en leasing
Les coûts liés aux équipements loués ou en leasing dont les HES ont besoin sont
répartis entre les niveaux CC 1 à 5 dans le calcul des coûts.
60 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Zweck dieses Kapitels ist das:
– – Festlegen klarer Grundlagen für die Berechnung des Infrastrukturaufwandes und
dessen Zuweisung in der Deckungsbeitragsrechnung.
– – Gewährleisten der Vollständigkeit der betriebswirtschaftlichen Kosten in der
SBFI-Kostenrechnung und -Berichterstattung.
– – Sicherstellen der Vergleichbarkeit der Daten (Standardisierung) im Zusammenhang mit dem Benchmarking (Kosten je Studierenden des Studienganges XY).
– – Sicherstellung der Finanzierung des effektiven Wertverzehrs der Anlagen
(Vermeiden von Finanzierungslücken als Folge von hohen Direktabschreibungen
oder ungenügenden Abschreibungen).
Gemietete / geleaste Ausstattungen
Die Kosten für gemietete oder geleaste Ausstattungen, welche von der FH
genutzt werden, werden in der Kostenrechnung unter DB 1– 5 ausgewiesen.
Diese können beim Bundesamt für Bauten
und Logistik, Sektion Gutachten,
Holzikofenweg 36, 3003 Bern, bezogen
werden.
1 61 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
C. Entretien et réparations
Selon l’organisation responsable prise en compte, l’entretien servant à maintenir
ou à accroître la valeur de l’objet immobilier est considéré soit comme un investissement, soit comme une charge courante. C’est pourquoi il n’est pas possible
pour l’instant de procéder à une harmonisation dans ce domaine. Pour l’heure,
il s’agit donc de distinguer, aux fins de comparaison des niveaux CC entre les
hautes écoles, entre les coûts d’exploitation et les coûts d’entretien des bâtiments
et des alentours. La comparaison des coûts devrait en particulier pouvoir se faire
indépendamment du fait qu’il s’agit de biens loués ou en propriété, de bâtiments
neufs ou anciens, entourés ou non de terrains. De ce fait, il est souhaitable que
les subdivisions ci-après soient appliquées dans les domaines de l’entretien et de
l’exploitation:
Entretien / Exploitation rencontrés en général uniquement en propriété
(coûts d’infrastructure liés à la construction)
Font partie de l’entretien d’une construction:
la maintenance, la remise en état et la rénovation (voir aussi les directives CSC).
Font partie de l’exploitation:
– – l’entretien des environs et des installations autour du bâtiment;
– – l’entretien des façades;
– – les domaines annexes (internat, parkings, places de parc);
– – les contrats de maintenance (ascenseurs, groupes électrogènes, sécurité),
– – assurrances immobilières.
Entretien / Exploitation rencontrés dans le cas d’objets loués ou en propriété
(coûts d’infrastructure liés à l’exploitation: CC 1 à 5)
Font partie de ces coûts:
– – le nettoyage des locaux;
– – la maintenance des locaux;
– – l’eau et l’électricité;
– – l’exploitation des locaux scolaires, des laboratoires, etc.
Font partie des équipements à entretenir, à exploiter, à maintenir en état
de marche ou à réparer
–– les machines, les appareils, les engins, les installations, l’infrastructure informatique (par ex. maintenance des logiciels et des matériels informatiques, réparation
de machines, etc.).
C. Unterhalt / Reparaturen
Unterhalt mit werterhaltendem oder wertvermehrendem Charakter wird individuell
nach Träger als Investition oder über die laufende Rechnung abgewickelt. Aus
diesem Grund ist eine Harmonisierung zur Zeit nicht möglich. Vorerst gilt es deshalb die Kosten für den Vergleich DB1 – 5 zwischen den Hochschulen bei den
Betriebs- und Unterhaltskosten für Gebäude und Aussenbereich näher zu unterscheiden. Insbesondere sollte der Kostenvergleich unabhängig ob Miete oder
Eigentum, ob neues oder altes Gebäude, ob mit grossem oder kleinem Umschwung
möglich sein. Daher sollte in den Schulen wo möglich folgende Unterteilung in
den Bereichen Unterhalt und Betrieb vollzogen werden:
Unterhalt Bau / Betrieb, der in der Regel nur bei Eigentum anfällt (Bauliche Infrastrukturkosten)
Zum Unterhalt Bau gehören:
die Instandhaltung, Instandsetzung und Erneuerung eines Gebäudes (siehe auch
BSK-Richtlinien).
Zum Unterhalt Betrieb, der in der Regel nur bei Eigentum anfällt:
– – Unterhalt Umschwung, Aussenbereich
– – Unterhalt Fassaden
– – Nebenbetriebe (Internat, Parkhäuser, Parkfelder)
– – Wartungsverträge von baulichen Installationen (Lift, Stromaggregate, Sicherheit)
– – Gebäudeversicherungen
Unterhalt / Betrieb bei Miete / Eigentum
(Betriebliche Infrastrukturkosten: DB1– 5)
Darunter fallen insbesondere:
– – Reinigung der Räumlichkeiten
– – Instandhaltung der Räumlichkeiten
– – Elektrizität / Wasser
– – Betrieb Schulräumlichkeiten, Labors etc.
Unterhalt / Betrieb / Wartung / Reparatur von Ausstattung
– – Maschinen, Apparate, Geräte, Einrichtungen, IT-Infrastruktur (z.B. Software- und
Hardwarewartung, Reparatur von Maschinen)
Die nachfolgende Abbildung 8 gibt nochmals zusammengefasst eine Übersicht.
La figure 8 suivante fournit un récapitulatif utile de ce qui précède.
62 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
63 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Infrastructure / Investissements
Infrastruktur/Investitionen
Coûts d’infrastructure «immobilier»
Coûts d’infrastructure «exploitation»
Bauliche Infrastrukturkosten
Betriebliche Infrastrukturkosten
Amortissements / Intérêts: Infrastructures
Amortissements / Intérêts: CC 1 à 5
Abschreibungen/Zinsen: Infrastruktur
Abschreibungen/Zinsen: DB 1 – 5
Bâtiments
Équipement
Gebäude
Ausstattung
Investissements immobiliers
(acquis., constr., transformation)
y c. équipement initial > 300'000 francs
Subventions du SEFRI
pSubventions pour l’objet
Investissements d’équipement
Machine, appareils, engins, etc.
Aucune subvention du SEFRI (dès 2003)
Bauliche Investitionen
(inkl. Erstausstattung)
Erwerb, Erstellung,
Umbau grösser CHF. 300'000
Beitrag SBFI -> Objektbeitrag
Ausstattungsinvestitionen
Maschinen, Apparate, Geräte etc.
kein Beitrag SBFI (ab 2003)
Investissements immobiliers,
y c. équipement initial < 300'000 francs
Aucune subvention du SEFRI
Bauliche Investitionen
kleiner CHF. 300'000
kein Beitrag SBFI
Locations
Locations / Leasings
Miete
Miete / Leasing
Coûts de location
Coûts de location / Frais de leasing
Mietkosten
Mietkosten / Leasinggebühr
Unterhalt / Reparaturen
Entretien / Réparation
Coûts d’infrastructure «immobilier»
Coûts d’infrastructure «exploitation»
CC 1 à 5
Bâtiment avec alentours
Équipement
Entretien courant / Exploitation
effectué(e) uniquement par les écoles
sur les biens fonciers en propriété.
(si location, inclus dans les coûts
de location)
Entretien / Réparation
Entretien, alentours, parties extérieures,
Entretien des façades, Domaines annexes
(internat, pl. de parc),
Exploitation d’installation (ascenseurs)
Nettoyage, Maintenance, Réparation,
Entretien, etc.
Bâtiments
Bâtiments
Entretien des constructions
Maintenance, remise en état et rénovation
(conformément aux directives CSC ou directives de détermination des subventions)
Aucune subvention du SEFRI
Entretien courant / Exploitation
effectué(e) par les écoles dans les
bâtiments loués ou en propriété
Maintien de la valeur foncière – conservation ou remise en état d’un bâtiment
n’impliquant pas des modifications importantes des exigences (assainissement/
rénovation)
Nettoyage des locaux, Maintenance des
locaux, Eau / Électricité, Exploitation des
salles de cours et des
laboratoires, etc.
Figure 8: Récapitulatif «Infrastructures / Entretien»
64 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Bauliche Infrastrukturkosten
Betriebliche Infrastrukturkosten DB 1 – 5
Gebäude mit Umgebung
Ausstattung
Laufender Unterhalt / Betrieb
der nur bei Gebäudeeigentum von den
Schulen erbracht wird.
(bei Miete in den Mietkosten enthalten
Unterhalt / Reparatur
Unterhalt Umschwung, Aussenbereich,
Unterhalt Fassaden,
Nebenbetrieb (Internat, Parkfelder),
Betrieb von Installationen (Lift)
Reinigung, Wartung, Reparatur, Unterhalt,
etc.
Gebäude
Gebäude
Unterhalt Bau
Instandhaltung, Instandsetzung und Erneuerung (gemäss BSK-Richtlinien),
kein Beitrag SBFI
Laufender Unterhalt / Betrieb
der sowohl bei Gebäudemiete
wie -eigentum von den Schulen
erbracht wird
Werterhaltender Charakter – Bewahren
oder Wiederherstellen eines Bauwerks
ohne wesentliche Änderungen der Anforderungen (Sanierungen / Renovationen)
Reinigung Räumlichkeiten, Instandhaltung
Räumlichkeiten, Elektrizität / Wasser
Betrieb der Schulräume, Labors,
etc.
Abbildung. 8: Übersicht Infrastruktur / Unterhalt
65 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
8.Gestion des installations
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Raisons d’être de la gestion des installations
– – Assurer le contrôle de la valeur en capital inscrite au bilan au moyen d’un inventaire (liste détaillée avec indication de la valeur) et attester de l’existence des
installations;
– – avoir une vue d’ensemble des installations aux fins de règlement des questions
d’assurance (couverture, plafond en cas de dégâts);
– – servir de documentation pour planifier les investissements et les coûts, et pour
gérer l’entretien et le remplacement des éléments défectueux;
–– constituer la base de calcul des coûts d’économie d’entreprise (intérêts calculés
et amortissements) de la valeur en capital.
8.Anlagenbewirtschaftung
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Ziel und Zweck der Anlagenbewirtschaftung
– – Nachweis aller bilanzierter Vermögenswerte mittels Inventar (Detaillierte Auflistung mit Bewertung) sicherzustellen, und das Vorhandensein der Anlagegüter
nachzuweisen.
–– Die Anlagenübersicht dient für versicherungstechnische Überlegungen (Deckung,
Schadenhöhe).
– – Sie ist Planungsunterlage für die Investitions- und Kostenplanung, sowie für
Unterhalt und Ersatz.
– – Sie bildet die Grundlage für die Berechnung von betriebswirtschaftlichen Kosten
(kalkulatorische Zinsen und Abschreibungen) des Anlagevermögens.
Investissements corporels (installation en propriété)
Les propres installations saisies et gérées dans la comptabilité des installations
doivent remplir les critères suivants:
1. elles appartiennent à l’école;
2. elles ont une valeur de vente;
3. elles ont une durée de vie supérieure à une année;
4. elles ont une valeur d’achat ou de fabrication, facultativement supérieure ou égale à 5000 francs et obligatoirement supérieure ou égale à 50'000 francs.
Sachinvestitionen (Eigene Anlagen)
Die eigenen Anlagen, welche in der Anlagebuchhaltung erfasst und bewirtschaftet
werden, erfüllen die folgenden Kriterien:
1. Sie sind im Eigentum der Schule
2. Sie weisen einen Veräusserungswert auf
3. Sie haben eine Lebensdauer von mehr als einem Jahr
4. Anschaffungs- oder Erstellungswert optional ab 5000 Franken, zwingend ab 50'000 Franken
Biens immatériels (installations en propriété)
Font aussi partie des installations les investissements de biens immatériels dont
la valeur d’achat ou de fabrication, facultativement supérieure ou égale à 5000
francs et obligatoirement supérieure ou égale à 50'000 francs et qui présentent
une utilité future mesurable répondant également aux critères 1 à 3 énumérés
précédemment, notamment:
– – le développement de nouvelles compétences (nouvelles filières d’études conduisant au diplôme et d’études postgrades)
– – les projets de recherche;
– – le développement de logiciels;
– – les droits sur les brevets et droits analogues.
Immaterielle Güter (Eigene Anlagen)
Zu den Anlagen gehören auch Investitionen in immaterielle Güter, deren Anschaffungs- oder Erstellungswert optional ab 5000 Franken, zwingend ab 50'000 Franken
einen messbaren zukünftigen, wirtschaftlichen Nutzen aufweisen und die vorangehend erwähnten Kriterien 1 bis 3 erfüllen.
– – Entwicklung neuer Kompetenzen (neue Diplom- oder Nachdiplomstudiengänge)
– – Forschungsprojekte
– – Softwareentwicklungen
– – Patentrechte und dergleichen
Comptabilité des installations
La tenue de la comptabilité des installations constitue le fondement pour remplir
les exigences légales en matière de contrôle du financement des investissements
liés aux installations (suppression des subventions relatives aux investissements
liés à l’équipement dès 2003).
Les taux d’amortissement doivent tenir compte de la durée d’utilisation et être
calculés en fonction de la valeur brute à l’achat (compte actif avec justificatif de la
valeur). Il convient de tenir une feuille d’amortissement par groupe d’installations.
Capitalisation dans l’optique de l’économie d’entreprise (durée d’utilisation
et amortissement)
Principe d’enregistrement à l’actif:
– – le principe du montant brut est appliqué;
–– l’actif est enregistré au moment de la réception de la production ou de l’utilisation
effective de l’investissement;
– – la capitalisation est calculée en fonction du prix d’achat ou de la valeur de
fabrication de l’installation, prestations internes comprises.
Anlagebuchhaltung
Die Führung einer Anlagebuchhaltung bildet die Grundlage zur Erfüllung der gesetzlichen Anforderungen bezüglich Nachweis der Finanzierung der Ausstattungsinvestitionen (Wegfall der Beiträge für Ausstattungsinvestitionen ab 2003).
Die Abschreibungssätze haben sich nach der Nutzungsdauer zu richten und sind
vom Anschaffungswert aus zu berechnen. In der Finanzbuchhaltung sind die Anlagewerte Brutto darzustellen (Aktivkonto mit Wertberichtigung). Pro Anlagegruppe
ist eine Abschreibungstabelle zu führen.
Betriebswirtschaftliche Aktivierung (Nutzungsdauer und Abschreibung)
Aktivierungsgrundsätze:
– – Es wird das Bruttoprinzip angewandt
–– Aktiviert wird auf den Zeitpunkt der Produktionsaufnahme / Nutzung der Investition
–– Aktiviert wird der Kaufpreis beziehungsweise Erstellungswert der Anlage inklusive
der intern erbrachten Leistungen
Die nachfolgende Abbildung 9 gibt eine Übersicht über die Bewertung,
Aktivierung und Abschreibungen sämtlicher Investitionen und zeigt, wo sie in der
DB-Rechnung zuhanden des Bundes dargestellt werden.
La figure 9 ci-après offre un récapitulatif de l’évaluation, de la capitalisation et des
amortissements de l’ensemble des investissements et signale où ceux-ci doivent
figurer dans les calculs CC remis à la Confédération.
66 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
67 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
X
Amortissement linéaire en fonction de la
durée d’utilisation:
X
X
X
– – de 2 à 4 %: Bâtiments
X
X
X
X
– – de 5 à 20 %: Équipements, mobilier,
X
X
X
– – de 25 à 50 %: Installations immatérielles
X
X
– – 00 %: Objets non amortis
X
(X)
(X)
(X)
Linear nach Nutzungsdauer:
X
X
X
– – 2 – 4 %: Gebäude
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
payés effectivement
(hypothèques, droits de superficie, prêts) ou
X
X
X
calculés (généralement 5 %).
Calculés sur la moitié de la valeur d’achat ou
X
X
X
sur la valeur résiduelle
X
X
X
X
X
– – 00 %: Nicht abschreiben
X
niveau CC 1 à 5
X
X
Figure 9: Traitement des investissements
X
Effektiv bezahlte Zinsen (Hypothekar-,
Baurechts- oder Darlehenszinsen) oder
X
X
X
Kalkulatorische Zinsen (i.d.R. 5 %) Berechnet
vom halben Anschaffungswert oder
X
X
X
Berechnet vom Restwert
X
X
X
Darstellung auf DB-Stufe
X
X
X
X
X
Im Bereich Infrastrukturkosten
X
X
X
X
1
Erwerb, Erstellung, Umbau
(inkl. Erstausstattung)
X
X
Abbildung 9: Behandlung der Investitionen
Unterhalt Bau: Instandhaltung,
Instandsetzung und Erneuerung
In den Mietkosten enthaltene
Bestandteile für:
–– Verwaltungskosten (inkl. Marge des
Vermieters)
–– Betriebskosten
–– Hauswart
–– Energie + Entsorgung
–– Kleiner Unterhalt
Valable uniquement jusqu’à fin 2002
4
68 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
X
3
3
Frais compris dans les coûts de location:
–– Coûts de gestion (y c. marge du loueur)
–– Coûts d’exploitation
–– Conciergerie
–– Énergie et élimination des déchets
–– Entretien courant
X
DB-Stufe 1 bis 5
X
2
3
X
Zinsen
3
X
X
X
(Server / Software, Personalcomputer)
X
X
X
Büromaschinen / Geräte
X
Représentation au niveau CC
4
X
– – 25 – 50 %: Immaterielle Anlagen
Intérêts
Entretien des constructions:
Maintenance, remise en état et rénovation
Gebäudeversicherungswerten
X
– – 5 – 20 %: Einrichtungen / Mobilien
(serveurs, logiciels, ordinateurs personnels)
2
X
Direkt abschreiben
machines de bureau, appareils,
Acquisition, construction, transformation
(y c. équipement initial)
X
Abschreibungen
Amortissement direct
1
X
Bewertung / Aktivierung zu
Amortissements
dans le domaine des coûts d’infrastructure
Anschaffungswerten oder
Investition in nicht realisierbare Projekte
(X)
Wenn aktiviert, dann im entsprechenden Studiengang investiert
(X)
Miete / Leasingkosten
(X)
X
Übrige Investitionen nicht vom Bund mitfinanziert
valeurs d’assurance des bâtiments
X
Vom Bund mitfinanzierte Ausstattung 4
X
Miete
X
Évaluation / Capitalisation aux
Produkt-,
Markt-, Organisationsentwicklung
Ganz eigenfinanziert2
X
Ausstattungs- Weitere
Investitionen Investitionen
Gebäude
Vom Bund mitfinanziert
Autres équipements non cofinancés par la Confédération
X
Investissements dans des projets non réalisables
Équipements cofinancés par la Confédération4
X
En cas de capitalisation, investissements dans la filière d’études correspondante
Terrains
X
En règle générale, non capitalisation
Locations
valeurs d’achat ou
Locations / Frais de leasing
Autofinancement complet2
Développement
de produits, de
marchés,
d’organisation
Cofinancement par la Confédération
Bâtiments
Bauliche Investitionen1
In der Regel nicht aktivieren
Investissement Autres invesd’équipement tissements
Grundstück
Investissements
immobiliers1
Nur bis Ende 2002
69 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
X
X
X
X
X
X
9.Calcul détaillé des contri butions à la couverture
9.Die detaillierte Deckungs-
beitragsrechnung
9.1 Récapitulatif
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Niveau de la contribution à Coûts
la couverture (CC)
par
nature
Coûts
directs
9.1 Überblick
Le tableau ci-dessous rassemble des données sur le calcul des contributions à
la couverture, les centres de coûts et les clés de répartition:
Coûts indirects
Centre de coûts
./.
Coûts de matériel en liaison
avec la filière d’études ou le
domaine d’étude
Kosten- Direkte
typ
Kosten
Die folgende Darstellung zeigt zusammenfassend eine Gegenüberstellung von
Deckungsbeitragsrechnung, Kostenstellen und Umlageschlüssel:
Indirekte Kosten
Kostenstelle
Umlageschlüssel
Erträge
Coûts
individuels
Coûts
individuels
Coûts
directs
individuels
Coûts
directs
individuels
Coûts indirects du centre de coûts des
branches générales (langues, culture,
etc.)
Nombre d’étudiants
Coûts indirects du centre de coûts des
prestations interdisciplinaires (formation
continue, recherche appliquée et développement, prestations de services)
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
ou de recherche
– – Rapports et analyses périodiques
Coûts indirects du centre de coûts des
branches générales (langues, culture,
etc.)
Nombre d’étudiants
Coûts indirects du centre de coûts des
prestations interdisciplinaires (formation
continue, recherche appliquée et développement, prestations de services)
– – Saisie des prestations ou des coûts dupersonnel enseignant
ou de recherche
= CC 1
./.
Coûts de personnel et de
matériel de la plus petite
unité, section, département, établissement
partenaire, haute école
spécialisée, holding
Deckungsbeitragsstufe
Clé de répartition
Produits
./.
Coûts de personnel de la
filière d’études ou du
domaine d’étude
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Coûts
généraux
--
Selon les besoins et les circonstances liés à la haute école spécialisée:
CC-2/3/4/5
./.
EinzelPersonalkosten
kosten
Studiengang / Fachbereich
Direkte
Einzelkosten
Indirekte Kosten Kostenstelle für allgemeine Fächer (Sprachen, Kultur, usw.)
Anzahl Studierende
Indirekte Kosten Kostenstelle für interdisziplinäre Leistungen (Weiterbildung,
angewandte F&E, Dienstleistungen)
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr-/Forschungspersonal
– – Zeitrapporte/-analysen
./.
EinzelSachkosten
kosten
Studiengang / Fachbereich
Direkte
Einzelkosten
Indirekte Kosten Kostenstelle für allgemeine Fächer (Sprachen, Kultur, usw.)
Anzahl Studierende
Indirekte Kosten Kostenstelle für interdisziplinäre Leistungen (Weiterbildung,
angewandte F&E, Dienstleistungen)
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr-/ Forschungspersonal
= DB 1
./.
Personal- und Sachkosten
kleinste Einheit, Abteilung,
Departement/
Hochschule/Teilschule,
Fachhochschule/Holding
Gemein- -kosten
je nach Bedürfnisse und Gegebenheiten der Fachhochschule: DB-2/3/4/5
Indirekte Kosten Kostenstelle Rechenzentrum/Informatik
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
– – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen
Indirekte Kosten Kostenstelle allgemeine – – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
Labors
– – Nutzungsrapport
Indirekte Kosten Kostenstelle Bibliothek / – – Anzahl Studierende (nur Diplom)
Mediathek
Coûts indirects du centre de coûts
«centre de calcul / informatique»
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments
Coûts indirects du centre de coûts
«laboratoires généraux»
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Rapport d’utilisation
Coûts indirects du centre de coûts
«bibliothèque/ médiathèque»
– – Nombre d’étudiants (uniquement ceux étudiant afin d’obtenir
un diplôme)
Coûts indirects du centre de coûts
«prestations interdisciplinaires»
– – Saisie des prestations et des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Analyse temporelle / Analyse de la situation à divers moments
Kostenstelle Gebäude, Unterhalt
Coûts indirects liés au centre de coûts
«reprographie»
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
– – Nutzungsrapport
Kostenstelle Cafeteria, Mensa
– – Nutzungsrapport
– – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen
Centre de coûts «direction / administration du domaine d’étude, de la section,
de l’école»
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments
Kostenstelle Direktion / Administration
Holding
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
– – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen
Centre de coûts «service technique et
logistique»
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments
Centre de coûts «bâtiments,
entretien»
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Rapport d’utilisation
Centre de coûts «cafétéria, cantine»
– – Rapport d’utilisation
– – Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments
Centre de coûts «direction / administration de la holding»
– – Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant
et de recherche
– – Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments
Indirekte Kosten Kostenstelle für interdisziplinäre Leistungen
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
– – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen
Indirekte Kosten Kostenstelle Kopierdienst
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
– – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen
Kostenstelle Verwaltung / Administration
Fachbereich, Abteilung, Schule
– – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
– – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen
Kostenstelle technischer Dienst, Logistik – – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal
– – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen
= DB 5
= CC 5
70 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
71 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
Voici les principes à suivre pour l’emploi de clés de répartition:
– – Tous les coûts directement liés à la fourniture d’une prestation sont soit
attribués directement aux objets de coûts, soit attribués aux centres de
coûts rattachés aux objets de coûts.
– – Lorsqu’une attribution directe n’est pas possible, les coûts sont répartis
au prorata des coûts directs de personnel (principe de l’exigence minimale).
– – Une HEP peut employer d’autres clés pour autant que celles-ci expriment
mieux la réalité des coûts (p.ex. mètres carrés pour la répartition des coûts
d’infrastructure). De cette manière, si les méthodes sont harmonisées, les
spécificités de chaque HEP sont néanmoins aussi respectées. Les clés
doivent être aussi peu nombreuses que possible, mais aussi nombreuses
qu’il le faut. Elles doivent être décrites de manière transparente et facile à
comprendre.
Le tableau suivant présente des recommandations plus détaillées concernant
les clés de répartition.
Coûts indirects de personnel du «centre de coûts des branches générales»
Coûts indirects de matériel du «centre
de coûts des branches générales»
Les branches générales sont des branches communes
à plusieurs filières.
Exemple: des coûts concernent des groupes de modules communs à plusieurs filières ou des branches communes à plusieurs filières. Ces coûts sont ventilés sur
l’ensemble des filières (y compris les études menant à
une qualification additionnelle) en fonction du nombre
d’étudiants.
Exemples: crédit pour la commande de matériel,
indemnisation des frais de voyage des enseignants.
Les coûts sont ventilés sur l’ensemble des filières
(y compris les études menant à une qualification additionnelle) en fonction du nombre d’étudiants.
Coûts indirects de personnel et de
Cette catégorie ne concerne en principe pas les HEP.
matériel du «centre de coûts des pres- Si une HEP devait avoir un tel centre de coûts, les
tations interdisciplinaires»
coûts correspondants sont répartis au prorata des
coûts directs de personnel sur tous les objets de
coûts.
Coûts généraux du centre de coûts
«informatique»
Exemple: support informatique pour le personnel de la
haute école. Les coûts sont ventilés sur les objets de
coûts au prorata des coûts de personnel individuels
(niveau de couverture CC 1).
Coûts généraux du centre de coûts
«direction / administration du domaine
d’étude, de la section, de la haute
école»
Exemples:
– – Administration centrale des étudiants
– – Chancellerie
– – Conseil aux étudiants
– – Administration des filières de formation
– – Direction des instituts
– – Services centraux et rectorat
– – Conseil de la HEP / Direction de la HEP
– – Différences de couverture (solde restant lors de la
comptabilisation des salaires)
– – Répartition provenant de la HES / de la holding
Les coûts sont ventilés sur les objets de coûts au
prorata des coûts de personnel individuels (niveau de
couverture CC 1).
Coûts généraux des centres de coûts
«service technique et logistique» et
«entretien des bâtiments»
Il s’agit des coûts d’infrastructure «exploitation» au
sens de la figure 8, chapitre 7. Les coûts
d’infrastructure «immobilier» doivent quant à eux être
indiqués dans un niveau de couverture supérieur (p.ex.
niveau 6).
Les coûts sont ventilés sur les objets de coûts au
prorata des coûts de personnel individuels (niveau de
couverture CC 1).
72 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Bei der Verwendung von Verteilerschlüsseln werden folgende Grundsätze
beachtet:
–– Alle Kosten, die direkt mit der Leistungserbringung zusammenhängen, werden den Kostenträgern oder direkt den Kostenträgern zugeordneten Kostenstellen zugewiesen.
– – Für die Fälle, in denen eine direkte Zuweisung nicht möglich ist, erfolgt die
Verteilung anhand der Personaleinzelkosten (Prinzip der Minimalanforderung).
– – Abweichende Schlüssel können von den Pädagogischen Hochschulen verwendet werden, solange sie die Kostenwahrheit besser widerspiegeln (z.B.
Quadratmeter für die Verteilung der Infrastrukturkosten). Somit wird eine
methodische Harmonisierung gewährleistet bei gleichzeitiger Berücksichtigung der lokalen Besonderheiten der Hochschulen. Es müssen so viele
Schlüssel wie nötig definiert werden, so wenige wie möglich. Die Schlüssel
müssen nachvollziehbar und transparent beschrieben werden.
Die folgende Tabelle enthält Empfehlungen für die Verteilschlüssel:
Personaleinzelkosten der «Kostenstellen für allgemeine Fächer»
Es handelt sich um studiengangsübergreifende Fächer.
Beispiel: Kostenverteilungen auf studiengangsübergreifende Modulpools bzw. Fächer.
Sie werden anhand der Anzahl Studierender auf alle
Studiengänge der Ausbildung inkl. Erweiterungsstudien
verteilt.
Sacheinzelkosten der «Kostenstellen
für allgemeine Fächer»
Beispiele: Fachkredite für die Materialbewirtschaftung
oder Entschädigung der Reisekosten der Dozierenden.
Sie werden anhand der Anzahl Studierender auf alle
Studiengänge der Ausbildung inkl. Erweiterungsstudien
verteilt.
Personal- und Sacheinzelkosten
«Kostenstellen für interdisziplinäre
Leistungen»
Diese Kategorie ist in der Regel für die PHs nicht relevant. Sollte eine PH solche Kostenstellen haben, werden sie anhand der direkten Personalkosten auf alle
Kostenträger verteilt.
Gemeinkosten der Kostenstelle Informatik
Beispiel: Informatiksupport für die Mitarbeitenden der
Hochschule. Die Kosten werden auf die Kostenträger
anhand der Personaleinzelkosten (DB-Stufe 1) verteilt.
Gemeinkosten der Kostenstelle Verwaltung/Administration Fachbereich,
Abteilung, Hochschule
Beispiele:
– – Zentrale Studienadministration
– – Kanzlei
– – Studienberatung
– – Verwaltung der Grundausbildungsstudiengänge
– – Institutsleitungen
– – Zentrale Dienste und Rektorat
– – Schulrat und Schulleitung
– – Deckungsdifferenzen (Saldo aus der Lohnkostenverrechnung)
– – Umlagen des Zentralsitzes der FH / Holding
Die Kosten werden auf die Kostenträger anhand der
Personaleinzelkosten (DB-Stufe 1) verteilt.
Kostenstellen technische Dienste,
Logistik, Gebäudeunterhalt
Es handelt sich um die betrieblichen Infrastrukturkosten
gem. Abbildung 8 im Kap. 7. Die baulichen Infrastrukturkosten werden hingegen in einer höheren DB-Stufe
(z.B. DB-Stufe 6) ausgewiesen.
Die Kosten werden auf die Kostenträger anhand der
Personaleinzelkosten (DB-Stufe 1) verteilt.
73 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
9.2 Directives sur le calcul détaillé des contributions
à la couverture
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
9.2 Wegleitung durch die detaillierte
Deckungsbeitragsrechnung
A. Produits
Les calculs agrégés des contributions à la couverture figurant au point 3.6.
indiquent quels sont les types de produits qu’il faut mentionner pour les différents
objets de coûts.
Il faut faire figurer les produits attendus au cours de l’année correspondante. Les
produits qui n’ont pas encore été réalisés au cours de cette année seront inclus
au niveau du résultat par la formation d’actifs transitoires.
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
A. Erträge
Die aggregierten Deckungsbeitragsrechnungen von Abschnitt 3.6. zeigen Ihnen,
welche Arten von Erträgen für welche Kostenträger aufzuführen sind.
Es sind die für das entsprechende Jahr zu erwartenden Erträge aufzuführen. Für
das entsprechende Jahr noch nicht realisierte Erträge sind über die Bildung transitorischer Aktiven erfolgswirksam zu gestalten.
Folgende Erträge werden ausgewiesen:
Les produits suivants sont pris en compte:
Bezeichnung
ED
FC
Ra&D
PS
DS
WB
Studierendenpauschale SBFI
X
X
Schulgelder FHV (innerhalb Trägerregion)
X
Taxes d’études AHES (à l’intérieur de la région des organes
scolaires responsables)
X
Schulgelder FHV (ausserhalb Trägerregion)
X
Taxes d’études AHES (à l’éxtérieur de la région des organes
scolaires responsables)
Studiengelder
X
X
X
Taxes d’études forfaitaires
X
X
Produits de tiers
X
X
Autres produits
X
X
Autres subventions versées par la Confédération
X
X
Subventions forfaitaires par étudiant versés par le SEFRI
X
X
X
X
Übrige Erträge
X
X
X
X
X
X
Übrige Erträge Bund
X
X
X
X
X
X
Erträge KTI
X
X
X
Erträge Schweizerischer Nationalfonds
X
Erträge EU- und andere internationale Forschungsprogramme
X
Subventions versées par le FNS
X
X
X
Financement du solde par les organes scolaires responsables de
la formation (sans les coûts d’infrastructure)
X
X
(X)
X
(X)
Légende:
ED = Études conduisant au diplôme
FC = formation continue
Ra&D = Recherche appliquée et développement PS = Prestation de services
Explications relatives aux rubriques du tableau ci-dessus:
– – Subventions forfaitaires par étudiant versées par le SEFRI: contributions de
base versées par la Confédération pour l’enseignement selon l’art. 19, al. 2a,
LHES.
–– Taxes d’études AHES (à l’intérieur de la région des organes scolaires responsables): dans le cadre de l'Accord intercantonal sur les hautes écoles spécialisées, contributions versées par les cantons situés à l’intérieur de la région de
l’organe responsable de la haute école.
–– Taxes d’études AHES (à l’éxtérieur de la région des organes scolaires responsables): dans le cadre de l'Accord intercantonal sur les hautes écoles spécialisées, contributions versées par les cantons situés à l’extérieur de la région de
l’organe responsable de la haute école.
– – Taxes d’études forfaitaires:
ED: les écolages prélevés par les HES pour les filières d'études conduisant au
diplôme.
FC: les écolages prélevés par les HES pour les filières d'études postdiplômes
(MAS, EMBA), filières d'études de formation continue (DAS) et les filières
d'études sanctionnées par un certificat (CAS).
PS: les écolages prélevés par les HES pour les filières d’études de formation
continue, pour autant qu’il ne s’agisse pas de filières d’études MAS, EMBA,
DAS ou CAS.
– – Produits de tiers: ED: ressources de fondations affectées au financement d’une chaire d’enseignement, au sponsoring et aux donations.
FC: recettes provenant de sponsoring et de donations.
Ra&D: recettes provenant de la recherche dans le secteur privé, y c. les
74 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
X
Erträge Dritter
X
Autres subventions versées par le SEFRI
DL
X
Subventions versées par la CTI
Recettes provenant des programmes de recherche de l’UE et
d’autres programmes de recherche internationaux
aFuE
Beiträge SBFI
X
Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastrukturkosten)
X
X
(X)
X
(X)
Legende:
DS = Diplomstudium
WB = Weiterbildung
aFuE = angewandte Forschung und Entwicklung
DL = Dienstleistungen
Erklärung zur obenstehender Tabelle:
– – Studierendenpauschale SBFI: Grundbeiträge des Bundes für die Lehre nach
Artikel 19 Absatz 2a des Fachhochschulgesetzes (FHSG) vom 6. Okt. 1995.
– – Schulgelder FHV (innerhalb Trägerregion): Beiträge im Rahmen der Interkantonalen Fachhochschulvereinbarung (FHV), welche von Kantonen geleistet werden,
die sich innerhalb der Region des Hochschulträgers befinden.
– – Schulgelder FHV (ausserhalb Trägerregion): Beiträge im Rahmen der Interkantonalen Fachhochschulvereinbarung (FHV), welche von Kantonen geleistet
werden, die sich ausserhalb der Region des Hochschulträgers befinden.
– – Studiengelder:
DS: Von den Fachhochschulen eingenommene Studiengebühren für Diplomstudiengänge.
WB: Von den Fachhochschulen eingenommene Studiengebühren für Nachdiplomstudien (MAS, EMBA), Weiterbildungs-Diplomlehrgänge (DAS) und
Zertifikatslehrgänge (CAS).
DL: Von den Fachhochschulen eingenommene Gebühren für Weiterbildungsangebote, sofern es sich nicht um MAS, EMBA, DAS und CAS handelt.
– – Erträge Dritter: DS: Stiftungsgelder zur Finanzierung eines Lehrstuhles, Sponsoring, Schenkungen.
WB: Erträge aus Sponsoring und Schenkungen.
aFuE: Forschungserträge des privaten Sektors, inklusive Gelder aus Stiftungen
und halbprivaten Unternehmen; Forschungsmandate Kantone und Gemeinden
DL: Erträge aus Dienstleistungen für Private, Erträge aus Sponsoring und
Schenkungen sowie Erträge aus Dienstleistungen für Kantone und Gemeinden.
– – Übrige Erträge: DS; WB, DL: Prüfungsgebühren, verschiedene Verkäufe, Benutzungsgebühren,
Vermögenserträge.
aFuE: Abgrenzungen, Erträge nicht zuordnungsbar.
– – Übrige Erträge Bund: DS: Finanzierung von Diplomstudien durch Bundesstellen.
75 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
montants issus de fondations et d’entreprises semi-publiques, les mandats de
recherche des cantons et des communes.
PS: recettes provenant de prestations de services en faveur de tiers, du sponsoring et de donations et de prestations en faveur des cantons et des communes.
– – Autres produits:
ED, FC, PS: taxes d’examens, diverses ventes, taxes d’utilisation, revenus des
biens.
Ra&D: délimitations, recettes non attribuables.
– – Autres subventions versées par la Confédération: ED: financement d’études sanctionnées par un diplôme par des services de la
Confédération.
FC: financement d’EPD ou de CPD par des services de la Confédération.
Ra&D: mandats de recherche de services de la Confédération, subsides pour
des projets dans le domaine de l’encouragement de la recherche «genre». ED: recettes provenant de prestations de services de la Confédération.
– – Subventions versées par la CTI: y c. les programmes EUREKA et IMS, sans
l’initiative CTI Start-up.
– – Subventions versées par la Fonds national suisse
– – Subventions versées dans le cadre de programmes de recherche de l’UE et
d’autres programmes de recherche internationaux
– – Autres subventions versées par le SEFRI:
ED: aides financières relatives aux coûts d’exploitation de filières d'études
sanctionnées par un diplôme dans les domaines de la santé, du social et des
arts. Subventions en vue de la formation continue des chargés de cours.
Subventions pour des projets, par ex. Campus virtuel, Égalité des chances, etc.
Ra&D: subventions de base pour la Ra&D.
– – Financement du solde par les organes scolaires responsables de la formation
(sans les coûts d’infrastructure): attributions de l’organe responsable de la
haute école spécialisée. Part budgétaire cantonale allouée à la HES, subventions extraordinaires, subventions régulières versées par les communes des
cantons responsables de HES.
76 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
WB: Finanzierung von NDS oder NDK durch Bundesstellen.
aFuE: Forschungsmandate von Bundesstellen, Projektbeiträge Förderung der
Geschlechterforschung. DL: Erträge aus Dienstleistungen für Bundesstellen.
– – Erträge KTI: Einschliesslich EUREKA- und IMS-Programme, ohne KTI Start-UpInitiative.
– – Erträge Schweizerischer Nationalfonds
– – Erträge aus EU-Forschungsprogrammen und anderer internationaler
Forschungsprogramme
– – Beiträge SBFI:
DS: Finanzhilfen an die Betriebskosten von Diplomstudiengängen in den Bereichen Gesundheit, Soziales und Kunst. Beiträge an die Dozentenweiterbildung.
Projektbeiträge wie z.B. Virtueller Campus, Chancengleichheit etc.
aFuE: Grundbeiträge für aFuE.
– – Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastruktur): Zuteilungen des Hochschulträgers. Teil des kantonalen FH-Budgets, ausserordentliche Beiträge, regelmässige
Beiträge von Gemeinden der Trägerkantone.
77 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
B. Coûts
À partir des produits mentionnés, il convient d’indiquer et de soustraire les coûts
pertinents à cinq niveaux CC, conformément à la figure 4 au point 3.6. De cette
manière, il est possible de créer cinq types de contributions à la couverture. La
dernière contribution à la couverture correspond au résultat global de la filière
d’études concernée (sans les infrastructures).
Il s’agit de faire figurer les coûts attendus dans l’année considérée. Les coûts
accumulés, mais qui n’ont pas encore été payés au cours de l’année en question
seront inclus, au niveau du résultat, par le biais de la formation de passifs transitoires.
B. Kosten
Von den aufgeführten Erträgen sind nun – entsprechend Abbildung 4 in Abschnitt
3.6. – in insgesamt fünf DB-Stufen die relevanten Kosten auszuweisen und abzuziehen. Auf diese Weise entstehen fünf Deckungsbeiträge. Der letzte Deckungsbeitrag entspricht dem Gesamterfolg des entsprechenden Studienganges bzw.
Fachbereichs (jeweils ohne Infrastruktur).
Es sind die für das entsprechende Jahr zu erwartenden Kosten aufzuführen. Für
das entsprechende Jahr aufgelaufene, aber noch nicht bezahlte Kosten sind über
die Bildung transitorischer Passiven erfolgswirksam zu gestalten.
Siehe auch Anhang 3 «Zeitliche und sachliche Abgrenzungen…».
Voir aussi l’annexe 3 «Délimitations temporelles et matérielles…».
Niveau CC I: contribution dépassant les coûts individuels
Charges du personnel enseignant et de recherche:
Les coûts découlant des activités d’une haute école spécialisée concernent à la
fois le personnel enseignant, le personnel de recherche, le personnel fournisseur
de prestations de service, le personnel administratif et le personnel technique.
Les coûts doivent être répartis dans les catégories suivantes (catégories définies
dans le système d’information des hautes écoles suisses, SIUS):
– – professeurs (professeurs ordinaires, professeurs assistants, recteurs, prorecteurs) et autres chargés de cours – catégories SIUS 10 et 20;
– – assistants et collaborateurs scientifiques – catégorie SIUS 30;
– – personnel technique (et administratif, s’il existe à ce niveau CC) – catégorie
SIUS 40.
Les coûts de personnel représentent le facteur de coûts le plus important dans
une haute école spécialisée. C’est la raison pour laquelle le coût des salaires n’est
pas repris directement de la comptabilité financière dans le calcul des coûts, mais
qu’il est déterminé en fonction du temps de travail effectif par prestation ou
centre de coûts / objet de coûts. À cette fin, il est possible de procéder de deux
manières différentes:
– – Rapports sur le temps de travail: toutes les personnes employées par une haute
école spécialisée doivent remettre des rapports sur le temps de travail dans
lesquels ils inscrivent les heures de travail dédiées aux différents centres de
coûts / objets de coûts (par ex. pour la Ra&D).
– – Sur la base de la planification des horaires et des activités, le temps peut être
repris dans la saisie des prestations (prestations effectives), de telle sorte que
seuls les écarts par rapport à la norme doivent être indiqués. Il faut présenter
au minimum les données par année civile et par unité de prestation.
Pour déterminer les coûts, les heures ainsi obtenues sont multipliées par le taux
horaire standard.
Les coûts correspondants sont enfin imputés directement par addition et par unité
de prestation aux objets de coûts ou aux centre de coûts.
Rapports sur le temps de travail: le chiffre recherché porte sur le collaborateur
individuel. La feuille de rapport sur le temps de travail ne doit donc s’appliquer
qu’à un seul collaborateur. Somme toute, ces feuilles ne remplacent pas les rapports détaillés sur le personnel; elles sont complétées par le total des coûts de
salaire par collaborateur. Cette manière de procéder permet d’une part de mettre
en évidence de manière détaillée les écarts de salaires et de prestations, et
d’autre part de servir de justificatif pour la délimitation des charges de salaires
et de prestations.
78 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
DB-Stufe 1: Beitrag über Einzelkosten
Personalaufwand des Lehr- und Forschungspersonals:
Die Kosten für die Tätigkeiten einer Fachhochschule setzen sich aus dem Lehr-,
dem Forschungs-, dem Dienstleistungs- und dem administrativen und technischen Personal zusammen. Die Kosten sind nach den folgenden Kategorien zu
unterteilen (Kategorien des Schweizerischen Hochschulinformationssystems SHIS):
–– Professoren (gewählte Hauptlehrer, Assistenzprofessuren, Rektoren, Prorektoren)
und übrige Dozierende – SHIS-Kategorien 10 und 20
– – Assistierende und wissenschaftliche Mitarbeitende – SHIS-Kategorie 30
– – Technisches (und, falls auf dieser DB-Stufe vorhanden, administratives) Personal
SHIS-Kategorie 40
Die Personalkosten sind der wichtigste Kostenfaktor einer Fachhochschule. Aus
diesem Grund werden nicht die Lohnaufwendungen von der Finanzbuchhaltung
in die Kostenrechnung übernommen, sondern aufgrund der effektiv für die verschiedenen Dienstleistungen bzw. Kostenstellen/Kostenträger gearbeiteten Zeit
ermittelt. Dazu können zwei Verfahren angewendet werden:
–– Zeitrapporte: alle an einer Fachhochschule tätigen Personen führen Zeitrapporte,
in welche sie die für die einzelnen Kostenstellen/Kostenträger aufgewandte Zeit
erfassen (z.B. für aFuE).
– –Auf Grund der Pensenplanverwaltung kann die Zeit in die Leistungserfassung
übernommen werden (IST-Leistungen), so dass nur noch Abweichungen von der
Norm vermerkt werden müssen. Im Minimum müssen Kalenderjahresgrössen
pro Leistungseinheit dargestellt werden.
Zur Bestimmung der Kosten werden anschliessend die ermittelten Stunden mit
einem Norm-Stundensatz multipliziert.
Die entsprechenden Kosten werden anschliessend dem Kostenträger oder der
Kostenstelle direkt pro Leistungseinheit summiert belastet.
Zeitrapporte: Die interessierende Grösse ist der einzelne Mitarbeiter. Ein Zeitrapportblatt hat sich deshalb immer auf den einzelnen Mitarbeiter zu beziehen. Dabei
bleiben die detaillierten Personalrapportierungen bestehen und werden mit den
totalisierten Lohnaufwendungen pro Mitarbeiter ergänzt. Dies hat den Vorteil, dass
Lohn/Leistungsabweichungen detailliert nachgewiesen werden können. Sie dienen
zugleich als Beleg für die Abgrenzung Lohnaufwand/Leistungskosten.
79 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Une feuille de rapport sur le temps de travail peut se présenter comme suit:
Enseignant: XXX
Désignation
Centre
de coûts/
Objet de
coûts
Activité
10000
Administration de
l’établissement
partenaire
Admin.
Architecture ED
Enseigne- 1000
ment
20000
20500
Architecture EP
30600
Électrotechnique PS Projet
SALAIRE
Salaire brut, y c.
charges sociales
TOTAL
Heures Leçons
100
Enseigne- 600
ment
200
100
500
Évaluation pour l’année civile 2000
Dozent: XXX
Taux
standards
KOST/
KOTR
Bezeichnung
Tätigkeit
Std.
Lekt.
Normsatz
Kosten
10000
Administration Teilschule
Admin.
100
100
39.50
3950.
20000
Architektur DS
Dozieren
1000
500
39.50
39'500
20500
Architektur NDS
Dozieren
600
300
39.50
11'800
30600
Elektrotechnik DL
Projekt
200
200
39.50
7900
LOHN
Bruttolohn inkl. SOZ LOHN
39.50
39.50
Coûts
Salaire Écart
3950.
39'500
300
39.50
11'800
200
39.50
7900
TOTAL
SALAIRE
61'000
1900
Ein Zeitrapport kann damit ungefähr die folgende Form annehmen:
1100
63'150 61'000 +2150
Taux horaire standard: Le taux horaire standard qui est calculé reflète les coûts
du salaire brut d’un collaborateur. Il se détermine à partir du total des charges
salariales, y compris les charges sociales et les absences payées (vacances),
et se divise par le temps de travail annuel convenu en heures. Le taux horaire
standard peut être calculé pour chaque enseignant/collaborateur scientifique.
Principe d’enregistrement comptable sur compte courant par collaborateur: Afin
de pouvoir gérer un compte courant par collaborateur, il convient de passer en
écriture les salaires (charges) et les prestations (coûts) de chaque collaboratrice
et de chaque collaborateur. Cela fait, les charges salariales reflètent la charge
en nombre d’heures théorique (durée planifiée annuelle x taux horaire) et les heures
de travail effectivement faites représentent la décharge. Dans ce contexte, il
importe, la première année d’exploitation des comptes courants des collaborateurs de tenir compte si possible des prestations minimales et maximales de
l’année précédente respectivement à titre de charge et de décharge. Les références (compensations, décharges) doivent dans la mesure du possible être passées
en écriture avec les mêmes taux qui ont conduit à l’apparition de temps minimaux
et maximaux; en d’autres termes, il convient de comptabiliser l’indemnisation des
heures avec le taux en vigueur l’année précédente.
Cette méthode permet de consulter à tout moment le solde du compte courant
des collaborateurs où les valeurs sont à la fois actualisées, correctement évaluées
et en relation avec le nombre d’heures. Par ailleurs, signalons que ce solde
constitue un justificatif pour chaque collaboratrice et collaborateur de son compte
courant d’heures en ce qui concerne la différence entre le salaire et les prestations.
Les absences (accident, maladie), qui ne sont pas comprises dans le taux horaire
standard et qui peuvent être mises en lien avec une filière d'études ou un projet,
sont attribuées en tant que coûts individuels de niveau CC 1.
Coûts de matériel:
Le niveau CC 1 comprend les autres coûts de matériel qui sont en lien immédiat
avec les prestations offertes par l’école (coûts individuels). Parmi ces coûts,
on compte le matériel d’exploitation (matériel d’enseignement et de recherche),
l’entretien, la réparation et le remplacement de ce matériel, ainsi que le matériel
de consommation en rapport avec l’utilisation courante de ce matériel d’exploitation.
Les frais de formation et de formation continue, les excursions, etc., qui peuvent
être mis en lien avec une filière d'études ou à un projet, sont également attribués
en tant que coûts individuels de niveau CC 1.
80 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Auswertung Kalenderjahr 2000
Lohn
Abweichung
61'000
1900
1100
63 '150
61'000 +2150
Norm-Stundensatz: Der kalkulierte Norm-Stundensatz widerspiegelt die BruttoLohnkosten eines einzelnen Mitarbeiters. Er errechnet sich aus dem Total der
Lohnkosten inkl. Sozialleistungen und bezahlte Absenzen (Ferien) dividiert durch
die vereinbarte jährliche Normarbeitszeit in Stunden. Der Stundensatz kann für
jeden einzelnen Dozenten/Wissenschaftlichen Mitarbeiter, berechnet werden.
Verbuchungsprinzip zeitliche Abgrenzung: Damit ein Mitarbeiterkontokorrent
geführt werden kann, sollten pro Mitarbeiter/in die Löhne (Aufwand) und Leistungen
(Kosten) gebucht werden. Dabei widerspiegeln die Lohnaufwendungen als Sollzeiten (geplante Jahrespräsenzzeit x Stundenansatz) die Belastungen und entsprechend die effektiv geleisteten Stunden die Entlastungen. Wichtig in diesem
Zusammenhang ist, dass beim ersten Betriebsjahr der Mitarbeiterkontokorrente
die Minder/Mehrleistungen vom Vorjahr entsprechend als Belastung/Entlastung
berücksichtigt werden. Bezüge (Kompensationen, Entlastungen) sollten wenn
möglich mit denjenigen Ansätzen belastet werden, mit welchen die Minder-/Mehrzeiten entstanden sind; d.h. im laufenden Jahr kann eine Abgeltung mit dem
Ansatz des vorigen Jahres verbucht werden.
Mit dieser Methode zeigt das Mitarbeiterkontokorrent jederzeit den aktuellen, richtigen wert- und stundengerechten Saldo. Darüber hinaus bildet der Saldo eines
einzelnen Stundenkontokorrents den Nachweis der Differenz zwischen Lohn und
Leistung.
Nicht im Norm-Stundensatz enthaltene Absenzen (Unfall, Krankheit), welche direkt
einem einzelnen Studiengang bzw. Projekt zugeordnet werden können, werden
ebenfalls als Einzelkosten der DB-Stufe 1 zugewiesen.
Sachkosten:
Die DB-Stufe 1 enthält auch die Sachkosten, die in unmittelbarem Zusammenhang mit der Dienstleistungstätigkeit der Schule stehen (Einzelkosten). Zu diesem
Aufwand gehören die Betriebsmittel (Lehr- und Forschungsmittel), der Unterhalt,
die Wartung, die Reparatur und der Ersatz dieser Betriebsmittel, sowie das Verbrauchsmaterial, welches mit dem Einsatz dieser Betriebsmittel verbunden ist.
Kosten für Aus- und Weiterbildung, Exkursionen etc., welche direkt einem einzelnen Studiengang bzw. Projekt zugeordnet werden können, werden ebenfalls als
Einzelkosten der DB-Stufe 1 zugewiesen.
81 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Matériel d’exploitation:
– – Matériel d’enseignement et de recherche: livres d’enseignement, matériel
d’école et de cours, livres et revues spécialisés, etc.;
– – Équipement mobile: machines et appareils, installations de production et de
laboratoires, etc.;
– – Mobilier: tables, chaises, tables de dessin, tableaux noirs, rétroprojecteurs,
sécateurs, etc. (pour autant qu’il ne soit pas porté à l’actif).
Betriebsmittel:
– – Lehr- und Forschungsmittel: Lehrbücher, Schul- und Unterrichtsmaterial, Fachbücher und -zeitschriften etc.
– – Mobile Sachanlagen: Maschinen und Apparate, Produktionsanlagen, Laboreinrichtungen etc.
– – Mobiliar: Tische, Stühle, Zeichentische, Wandtafeln, Hellraumprojektoren,
Baumscheren etc. (sofern nicht aktiviert).
Matériel de consommation:
Lubrifiants pour appareils, films, engrais, ampoules électriques, substances
chimiques, petits outils, etc.
Verbrauchsmaterial:
Schmierstoffe für Apparate, Filme, Dünger, Glühbirnen, Chemikalien, Kleinwerkzeug etc.
Entretien, maintenance, réparation:
Entretien et maintenance des machines et appareils: maintenance du matériel
informatique et des logiciels, maintenance des équipements de production, d’appareils et d’installations.
Unterhalt, Wartung, Reparaturen:
Unterhalt und Wartung von Maschinen und Apparaten: Software- und Hardwarewartung, Wartung von Produktionsanlagen, Geräten, Einrichtungen.
Amortissements:
Comptent parmi les amortissements sur le matériel d’exploitation les amortissements opérés sur le mobilier figurant dans la classe de comptes 146 (NMC,
portés à l’actif au travers du compte d’investissement 506) ou dans la classe de
comptes 15 (PME). Pour les amortissements, il convient d’appliquer les principes
émis au chapitre 7 «Infrastructure» et résumés à la figure 9 «Traitement des investissements».
CC 2 à 5: Contribution dépassant les charges de personnel et de matériel
utilisés par les sections, les départements / hautes écoles / établissements
partenaires, la haute école spécialisée / les holdings
Les niveaux CC 2 – 5 comprennent l’ensemble des coûts généraux des hautes
écoles spécialisées, coûts d’infrastructure non compris. Selon l’organisation
de l’école considérée, ces coûts sont subdivisés en niveaux CC différents. Cette
opération n’est pas requise dans le cas du calcul CC à l’intention de la Confédération.
Autres charges de personnel (en partie attribuées en tant que couts individuels de
niveau CC 1):
– – Absences: absences non prévues dans le taux horaire standard (accidents,
maladies, etc.);
– – Formation et formation continue: ce poste comprend tous les coûts de formation et de formation continue, les taxes de cours et de participation, etc. Ne
doivent pas être mentionnées ici les absences, puisque celles-ci sont déjà
prises en compte dans le taux horaire standard;
– – Excursions: coûts liés à la mise sur pied et la réalisation d’excursions;
– – Charges administratives: charges liées à la gestion d’une filière d’études;
– – Autres coûts de personnel: mises au concours paraissant dans les journaux,
frais de voyage, frais de subsistance (repas pris à l’extérieur), nuitées, manifestations organisées pour le personnel, etc.
Charges de personnel employé dans les sections, les départements / hautes
écoles / établissements partenaires et la haute école spécialisée:
–– Charges du personnel employé dans les secrétariats de section, de département,
d’école et de haute école spécialisée;
– – Charges du personnel employé dans les services centraux;
– – Charges du personnel employé dans les bibliothèques et les médiathèques;
– – Charges du personnel employé dans les centres de calcul et l’informatique;
–– Charges du personnel d’exploitation général (conciergeries, services techniques,
services de sécurité, etc.);
– – Salaires des membres de la holding (commissions, conseils, etc.).
82 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Abschreibungen:
Abschreibungen der in der Kontenklasse 146 (NRM, aktiviert über Investitionskonto 506) bzw. 15 (KMU) aufgeführten Mobilien. Für die Abschreibungen gelten
die Grundsätze gemäss Kapitel 7 Infrastruktur und die entsprechende Abbildung
Nr. 9 «Behandlung der Investitionen».
DB 2 – 5: Beitrag über Personal- und Sachkosten Abteilung / Departement /
Hochschule (Teilschule), Fachhochschule/Holding
Die Deckungsbeitragsstufen 2 – 5 umfassen sämtliche Gemeinkosten der Fachhochschule ohne bauliche Infrastrukturkosten. Je nach Organisation einer Schule
werden diese Kosten auf unterschiedliche DB-Stufen verteilt. Für die DB-Rechnung zuhanden des Bundes ist dies nicht notwendig.
Übriger Personalaufwand (zum Teil bereits als Einzelkosten der DB-Stufe 1
zugewiesen):
– – Absenzen: Nicht im Norm-Stundenansatz enthaltene Absenzen (Unfall, Krankheit etc.)
– – Aus- und Weiterbildung: Sie umfassen sämtliche Kosten für Aus- und Weiterbildung: Kurskosten, Teilnahmegebühren etc. Nicht aufzuführen ist dagegen die
Absenz selbst, da diese bereits mit dem verrechneten Norm-Stundenansatz
abgegolten ist.
– – Exkursionen: Sie umfassen alle mit der Durchführung von Exkursionen verbundenen Kosten.
– – administrativer Aufwand: administrativer Aufwand zur Führung eines Studienganges.
– – Übrige Personalspesen: Dazu gehören: Inserate, Reisespesen, Verpflegung
(auswärts), Übernachtungen, Personalanlässe etc.
Personalaufwand Abteilung, Departement/Hochschule/Teilschule und Fachhochschule:
–– Personalaufwand Abteilungssekretariat, Departementssekretariat, Schulsekretariat
und Fachhochschulsekretariat
– – Personalaufwand zentrale Dienste
– – Personalaufwand Bibliothek/Mediathek
– – Personal Rechenzentrum/Informatik
– – Allgemeines Betriebspersonal: Hauswartung, Technik, Sicherheit etc.
– – die Löhne eines Holdingrates: Kommission, Rat etc.
83 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Exemples:
– – Administration générale de la HES, de la haute école, de l’école partielle ou du
département;
– – Direction de la HES, de la haute école, de l’école partielle ou du département;
– – Secrétariat de la HES;
– – Rectorat / Direction, secrétariat du rectorat ou de la direction;
– – Organe de surveillance;
– – Affaires du personnel: charges d’enseignement et décomptes de prestations de
services, décomptes de salaires et d’indemnités, y c. décomptes d’assurances
sociales;
– – Planification de l’engagement des professeurs et des assistants;
– – Engagement et développement des ressources humaines;
– – Comptabilité financière et d’exploitation;
– – Assurances;
– – Statistiques.
Es handelt sich um eine statistische Grösse.
Beispiele:
– – Allgemeine Verwaltung der FH, einer Hochschule bzw. Teilschule bzw. eines
Departements
– – Leitung der FH, einer Hochschule bzw. Teilschule bzw. eines Departements
– – Fachhochschulsekretariat
– – Rektorat / Direktion, Rektorats- / Direktionssekretariat
– – Aufsichtsgremien
– – Personalwesen: Pensen- und Leistungsabrechnung, Lohn- und Entschädigungsabrechnung inkl. Sozialversicherungsabrechnung
– – Dozenteneinsatzplanung
– – Personalanstellung und –entwicklung
– – Finanz- und Betriebsbuchhaltung
– – Versicherungswesen
– – Statistiken
Tätigkeiten
Conciergerie
directes
4 prestations
Hauswart
Zentrale Dienste
4 Leistungen
Diplomstudium
Weiterbildung
aF&E
Dienstleistungen
Unterhalt
Études conduisant au diplôme
Kopierservice
Formation continue
Informatik
Fachhochschule/
Hochschule/
Teilschule/Departement
Recherche appliquée et développement
Bibliothek
Abteilung, Studiengang
Prestations de services
.....
Entretien
Informatique
HES / Haute école /
Établissement
partenaire / Département
Bibliothèque
Section Filière d'études
Reprographie
Logistik
indirectes
Services centraux
Administration
Logistique
Activités
Direkt
Il s’agit en l’occurrence d’une grandeur statistique.
Administration / Leitung (vgl. Kapitel 5.2):
Unter Administration / Leitung fallen sämtliche administrativen Tätigkeiten für die
Führung und Leitung der Schule, welche nicht ausschliesslich oder primär die
Lehre, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung oder Dienstleistung
betreffen. Die Daten können aus der Kostenstellen- oder Kostenartenrechnung
herausgenommen werden.
Administration / Leitung betrifft die FH als Ganzes (inkl. Holding), die Hochschule
bzw. Teilschule (Departement falls keine Ebene Teilschule existiert).
Verwaltung
Administration / Direction (cf. section 5.2):
À la rubrique «Administration / Direction» figurent toutes les activités administratives liées à la gestion et à la direction de l’école qui ne sont pas exclusivement
et prioritairement dédiées à l’enseignement, à la formation continue, à la recherche
appliquée et au développement, ou aux prestations de services. Les données s’y
rapportant peuvent être tirées du calcul des natures de coûts ou du calcul des
centres de coûts.
La rubrique «Administration / Direction» s’applique à l’ensemble de la haute école
spécialisée, y compris la holding, ainsi qu’à l’ensemble de la haute école ou de
l’école partielle (département là où aucune école partielle n’existe).
Übriger Sachaufwand Abteilung / Departement / Schule / Fachhochschule:
– – Allgemeines Büromaterial
– – Energieaufwand: Öl, Gas, Wasser, Elektrisch
– – Telefon, Porti, Providerleitungen etc.
– – Drucksachen, Werbeaufwand, Gebühren, Abgaben
– – Unterhalt (gemäss Definition Kapitel 7 Infrastruktur)
– – Abschreibungen auf Betriebsmobiliar (z.B. Mobiliar Verwaltungsinformatik)
Indirekt
Autres charges de matériel utilisé dans les sections, les départements / hautes
écoles / établissements partenaires et la haute école spécialisée:
– – Matériel de bureau en général;
– – Charges d’énergie: huile de chauffage, gaz, eau, électricité;
– – Taxes téléphonique, port postal, liaisons au fournisseur internet (provider, etc.);
– – Imprimés, publicités, taxes, impôts;
– – Entretien (conformément à la définition au chapitre 7 «Infrastructure»)
– – Amortissements du mobilier d’exploitation (par ex. mobilier informatique de
l’administration)
Administration
Direction
Abbildung 10: Behandlung der Administrationskosten
.....
Figure 10: Gestion des coûts administratifs
84 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Administration
Leitung
85 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
C. Infrastructure
La saisie et l’évaluation de l’infrastructure sont traitées au chapitre 7.
C. Infrastruktur
Die Erfassung und Bewertung der Infrastruktur ist im Kapitel 7 abgehandelt.
Les produits et les coûts d’infrastructure sont présentés par l’école sous forme
séparée comme suit:
Die Erträge und Kosten der Infrastruktur werden von der Schule separat wie folgt
ausgewiesen:
Produits d’infrastructure:
– – Subventions pour la location par le SEFRI: les subventions fédérales destinées
à la location d’objets loués à des tiers sont inscrits en compte;
–– Subventions pour les infrastructures par les cantons et les organes responsables;
–– Autres subventions pour l’infrastructure: les produits qui sont affectés à
l’entretien et qui ne sont pas compris dans le calcul CC 1 à 5 sont inscrits en
compte.
Infrastrukturerlöse:
– – Beiträge an Mieten SBFI – Es werden die vom SBFI bezahlten Beiträge an
Fremdmieten ausgewiesen.
– – Infrastrukturbeiträge Träger
– – Sonstige Infrastrukturbeiträge – Erträge für Unterhalt, welcher nicht in DB1 – 5
ausgewiesen wird.
Infrastrukturkosten:
– – Kalkulatorische Abschreibungen / Zinsen – gemäss Kapitel 7.
– – Mieten – Es werden die effektiv bezahlten Mieten ausgewiesen.
– – Sonstige Infrastrukturkosten – Unterhalt gemäss Kapitel 7, welcher nicht in
DB1 – 5 ausgewiesen wird.
Coûts d’infrastructure:
– – Amortissements calculés et intérêts calculés conformément au chapitre 7;
– – Loyers: les loyers effectivement payés sont inscrits en compte;
– – Autres coûts d’infrastructure: entretien conformément au chapitre 7, qui ne
sont pas compris dans le calcul CC 1 à 5, sont inscrits en compte.
Investition (gemäss Definition SBFI, Fachhochschulverordnung Art. 17)
– – Investition – effektive Kosten der Investition
– – Beitrag SBFI an Investition – ausbezahlter Bundesbeitrag.
Investissement (conformément à la définition SEFRI, Ordonnance sur les hautes
écoles spécialisées, art. 17)
– – Investissement: les coûts effectifs de l’investissement;
– – Subventions du SEFRI pour les investissements: les subventions fédérales
versées.
Nous recommandons de gérer l’infrastructure sous la forme d’un centre de coûts
et d’attribuer les amortissements, les loyers, ainsi que tous les frais accessoires
liés à l’infrastructure (entretien, nettoyage, intérêts hypothécaires, indemnités pour
des droits de superficie, assurance immobilière, etc.) à ce centre de coûts. Par
la suite, tous les coûts d’infrastructure peuvent être attribués au moyen d’une seule
clé de répartition, en fonction de l’intensité de leur utilisation à l’enseignement,
à la recherche, à la formation continue et aux prestations de services, de même
qu’aux services centraux.
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
La variante des rapports sur le temps de travail n’est en principe pas utilisée,
car jugée peu pratique et peu rentable. Les prestations sont le plus souvent
calculées sur la base du plan horaire (heures dues), avec si nécessaire une
correction en cas d’écart significatif entre le taux d’occupation dû et le taux
d’occupation effectif. En fin d’exercice, les heures mobiles et les heures de
vacances doivent être délimitées en conséquence.
86 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Es empfiehlt sich, die Infrastruktur als Kostenstelle zu führen und Abschreibungen,
Mieten sowie alle infrastrukturbedingten Nebenkosten (Unterhalt, Reinigung,
Hypothekarzinsen, Baurechtszinsen, Gebäudeversicherung etc.) auf diese Kostenstelle zuzuweisen. Anschliessend können alle Infrastrukturkosten mit einem einzigen Umlageschlüssel nach der Intensität der entsprechenden Nutzung auf Lehre,
Forschung, Weiterbildung und Dienstleistungen sowie die Zentralen Dienste zugewiesen werden.
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Die Variante mit den Zeitrapporten wird aus Gründen der Praktikabilität und
der Wirtschaftlichkeit in der Regel nicht angewendet. In der Praxis weit
verbreitet ist eine Ermittlung der Leistungen aufgrund der Pensenplanung
(Soll-Stunden) und einer eventuellen Korrektur bei signifikanten Abweichungen
zwischen dem Soll-Beschäftigungsgrad und dem Ist-Beschäftigungsgrad. Per
Ende Jahr sind die Gleitzeit- und Ferienguthaben entsprechend abzugrenzen.
87 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
10.P rincipes comptables complémentaires
10. Verrechnungsprinzipien
Im Rahmen des Projekts SKORE haben die Pädagogischen Hochschulen folgende
zusätzliche Grundsätze für den Ausweis der Kosten und der Erlöse in der Kostenrechnung festgelegt.
Les hautes écoles pédagogiques ont défini dans le cadre du projet SKORE des
principes complémentaires de présentation des coûts et revenus dans la comptabilité analytique. Ces principes sont décrits dans le présent chapitre.
10.1 Coûts bruts et coûts nets
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
10.1 Brutto- vs. Nettoprinzip
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Selon le principe des coûts bruts, les coûts et les revenus correspondants
sont comptabilisés dans leur intégralité et de manière totalement distincte
(pas de compensation entre coûts et revenus). Le principe des coûts bruts
renseigne sur le coût effectif d’un produit (prestation) pendant une année
de référence (année civile).
Le principe des coûts nets consiste à comptabiliser uniquement la différence
entre les coûts et les revenus correspondants. Il renseigne sur le degré
d’autofinancement d’un produit (prestation).
Das Bruttoprinzip bedeutet, dass die Kosten und Erlöse in voller Höhe getrennt voneinander betrachtet und verbucht sind, d.h., die Kosten werden mit
den Erlösen des gleichen Verwendungszwecks nicht gemischt. Das Bruttoprinzip gibt Auskunft darüber, wie viel ein Produkt (Leistung) während einer
Referenzperiode (Kalenderjahr) effektiv gekostet hat.
Beim Nettoprinzip wird hingegen lediglich die Differenz zwischen den Kosten
und den Erlösen des gleichen Verwendungszwecks verbucht. Das Nettoprinzip
gibt Auskunft darüber, zu welchem Anteil die Hochschule ein Produkt (Leistung) selber finanziert hat.
Kosten
Coûts
Erlöse
Revenus
Nettoprinzip
Principe des coûts nets
Bruttoprinzip
Principe des coûts bruts
Figure 11: Coûts bruts et coûts nets
Principe
Le but de la comptabilité analytique étant de mesurer le niveau effectif des
coûts d’une prestation pendant une année civile, les hautes écoles pédagogiques appliquent le principe des coûts bruts.
Exemple 1: coûts et revenus liés aux photocopieuses et imprimantes
–– Des coûts de CHF 250'000.– sont générés pour l’année civile 2012
–– Les taxes d’utilisation payées par les étudiants s'élèvent à CHF 50'000.–.
–– Les coûts et les revenus sont comptabilisés de manière distincte: les coûts
(CHF 250'000.–) sont indiqués dans les coûts de matériel, et les revenus (CHF
50'000.–) dans les «autres revenus» du formulaire de saisie des données de l’OFS.
–– Les coûts présentés dans l’indicateur du coût par équivalent plein-temps
sont donc les coûts bruts, sans compensation des revenus.
Exemple 2: revenus et coûts liés aux échanges de prestations entre
hautes écoles dans le domaine de l’enseignement
– – Dans le cadre du bachelor de niveau préscolaire / primaire, les étudiants de
la HEP A suivent certains modules de la HEP B.
– – La HEP B facture CHF 150'000.– à la HEP A.
– – La HEP A comptabilise les coûts et les revenus dans les frais de formation,
colonne Bachelor, degrés préscolaire et primaire.
– – La HEP B comptabilise les coûts et les revenus dans l’objet de coûts
«domaine ne relevant pas des HEP».
Exceptions au principe des coûts bruts
Les allocations pour perte de gain (APG) et les indemnités journalières versées
par les assurances constituent un cas particulier. Selon les normes de présentation des comptes utilisées, elles peuvent en effet être considérées soit comme
une diminution de charge, soit comme un produit.
88 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Abbildung 11: Brutto- und Nettokosten
Grundsatz
Da die Kostenrechnung in der Messung der effektiven Kostenhöhe einer Leistung während eines Kalenderjahres besteht, wenden die Pädagogischen
Hochschulen das Bruttoprinzip an.
Beispiel 1: Kosten und Erlöse für Kopierer und Drucker
–– Die Kostenstelle generiert CHF 250'000.– Kosten für das Kalenderjahr 2012.
– – Durch die Gebühren der Studierenden für die Druckaufgaben können die
Kosten um CHF 50'000.– vermindert werden.
– – Die Kosten und Erlöse werden vollständig und separat berücksichtigt, d.h.,
die Kosten von CHF 250'000.– werden unter Sachkosten berücksichtigt,
die Erlöse von CHF 50'000.– in der Zeile «übrige Erlöse» des Erfassungsformulars für die Kostenstatistik des BFS.
– – Die Kosten werden somit brutto (ohne Kompensation mit den Erlösen) in
den Indikator Kosten pro Vollzeitäquivalent ausgewiesen.
Beispiel 2: Erlöse und Kosten beim Lehrleistungsaustausch zwischen
Hochschulen
– – Die Studierenden der Hochschule A besuchen gewisse Module im Rahmen
des Bachelorstudiengangs Vorschul-/Primarstufe an der Hochschule B.
– – CHF 150'000.– werden jährlich an die Hochschule A fakturiert.
– – Die Hochschule A weist die Kosten und Erlöse in den Ausbildungskosten,
Spalte Bachelor Vorschul-/Primarstufe, aus.
– – Die Hochschule B weist die Kosten und Erlöse im Kostenträger «Nicht-PHBereich» aus.
Ausnahmen zum Bruttoprinzip
Die Erwerbsersatzordnungsbeiträge (EO) und die Taggelder der Versicherungen
stellen einen Spezialfall dar, da sie je nach Rechnungslegungsstandard entweder als Aufwandminderung oder als Ertrag berücksichtigt werden können.
89 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
10.2 Coûts effectifs et coûts estimés
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
Afin d’assurer que les comptabilités analytiques des hautes écoles
pédagogiques soient complètes et comparables au niveau suisse, la totalité
des dépenses et des charges nécessaires pour réaliser le mandat de prestations de la haute école doivent être présentées dans la comptabilité analytique, y compris les prestations régulièrement fournies gratuitement par des
tiers. Dans ce cas, des coûts additionnels, qui n’ont pas leur pendant en
comptabilité financière, doivent être intégrés dans la comptabilité analytique.
Il s’agit d’estimations.
Exemple:
La haute école utilise des locaux mis à sa disposition par le canton, sans
payer de contrepartie financière. La HEP intégrera dans sa comptabilité analytique soit les chiffres réels, soit une estimation à laquelle elle procède ellemême.
Autres exemples:
– – Coûts des services d’une bibliothèque extérieure à la haute école utilisés
sans contrepartie financière comme une participation au loyer
– – Coûts de l’utilisation du système financier du canton, sans contrepartie
financière de la HEP
– – Coûts des services et infrastructures informatiques du canton utilisés sans
contrepartie financière
– – Coûts de la gestion de la comptabilité des salaires et de la gestion du
personnel effectuées sans contrepartie financière
– – Services de révision du contrôle des finances effectués sans contrepartie
financière
– – Coûts des immeubles mis gratuitement à la disposition de la haute école
– – Mise à disposition d’équipement d’exploitation, sans contrepartie financière
Coûts des prestations d’enseignement fournies aux étudiants de la
haute école par une autre haute école, sans contrepartie financière
– – Partie de la formation du corps enseignant des gymnases dispensée par
l’université (formation disciplinaire exclue)
– – Mise à disposition des praticiens formateurs par les écoles cantonales
– – Services des bibliothèques et médiathèques proposés gratuitement aux
étudiants
– – Etc.
Les coûts doivent être comptabilisés là où les étudiants sont immatriculés.
Les coûts non facturés doivent être estimés puis intégrés dans la comptabilité
analytique.
Recommandations concernant les estimations
– – Coûts des licences informatiques à la charge du canton pour plusieurs clients (écoles, hôpitaux, etc.): estimation d’un pourcentage pour la répartition
selon la taille de l’institution.
– – Prestations du canton responsable dans le domaine des finances (paiement
des salaires) ou du personnel (gestion du personnel): estimation des ressources de personnel qui seraient nécessaires à la fourniture de la prestation
si la haute école devait la fournir elle-même.
– – Immeubles: estimation fondée sur le modèle du SEFRI: les mètres carrés
déterminés pour chaque type de locaux dans le cadre de l’inventaire des
surfaces sont multipliés par des coûts normés. Le résultat donne
l’estimation des coûts d’infrastructure; consulter également le «Manuel
Inventaire des surfaces»:
www.sbfi.admin.ch/dienstleistungen/formulare/00392/index.html
Une autre possibilité consiste à utiliser comme estimation l’équivalent de
3,5 % de la valeur d’assurance de l’immeuble.
90 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
10.2 Tatsächliche Kosten vs. kalkulatorische Kosten
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Um die Vollständigkeit und die Vergleichbarkeit der Kostenrechnungen der
Pädagogischen Hochschulen gesamtschweizerisch zu gewährleisten, werden
sämtliche Ausgaben oder Aufwände, die für die Führung des Leistungsauftrags der Hochschule gebraucht werden, in der Kostenrechnung ausgewiesen,
auch wenn eine Leistung regelmässig durch Dritte unentgeltlich erbracht wird.
In diesem letzten Fall müssen sogenannte Zusatzkosten in die Kostenrechnung
einfliessen, auch wenn sie in der Finanzbuchhaltung nicht enthalten sind. Die
Zusatzkosten entsprechen kalkulatorischen Werten.
Beispiel:
Es werden der Hochschule Räumlichkeiten vom Kanton kostenlos zur Verfügung gestellt. Sind es Informationen oder Schätzungen über die finanzielle
Nutzung dieser Räumlichkeiten, weist die Hochschule die entsprechenden
Werte in der Kostenrechnung aus. Ist das nicht der Fall, macht die Hochschule
eine Schätzung.
Weitere Beispiele:
–– Kosten für die Nutzung einer externen Bibliothek (ohne Bezahlung einer Miete)
–– Kosten für die Nutzung des Finanzsystems des Kantons ohne Entschädigung
durch die Hochschule
– – Kosten für Informatikleistungen und -infrastruktur vom Kanton ohne Entschädigung durch die Hochschule
– – Kosten für die Lohnbuchhaltung bzw. Personaladministration ohne Entschädigung durch die Hochschule
– – Revisionsleistungen der Finanzkontrolle ohne Entschädigung durch die
Hochschule
– – Kosten der Liegenschaften zur Verfügung der Hochschule, ohne Bezahlung
einer Miete
– – Zurverfügungstellen von Betriebseinrichtungen ohne Entschädigung durch
die Hochschule
Kosten für die Lehrleistungen an die Studierenden der Hochschule,
die von einer anderen Institution ohne Verrechnung erbracht werden
– – Teilausbildung (ohne Fachausbildung) von Gymnasiallehrpersonen an der
Universität
– – Zurverfügungstellen von Praxislehrpersonen durch die Volksschulen
– – Leistungen von Bibliotheken, Mediencentern, welche den Studierenden
unentgeltlich zur Verfügung stehen
– – Etc.
Die Kosten sollen dort ausgewiesen werden, wo die Studierenden immatrikuliert sind. Sind sie nicht in Rechnung gestellt, sollen sie kalkuliert werden.
Empfehlungen für die Kalkulation
– – Lizenzkosten zulasten des Trägerkantons für mehrere Kunden (Schulen,
Spitäler etc.): Schätzung einer %-Aufteilung gem. Grösse der Institution
–– Leistungen des Trägerkantons im Finanzbereich (Lohnbuchhaltung) oder im
Personalbereich (Personaladministration): Schätzung der notwendigen Personalressourcen, wenn die Hochschule die Leistung selber erbringen müsste.
– – Liegenschaften: Berechnung von kalkulatorischen Infrastrukturkosten gem.
SBFI-Modell: Die im Flächeninventar ermittelten Quadratmeter für verschiedene Raumtypen werden mit Standardkosten multipliziert und ergeben
schliesslich die kalkulatorischen Infrastrukturkosten (Anzahl Quadratmeter ×
Kostensatz, pro Raumkategorie; die Handhabung eines Flächeninventars ist
nötig); siehe auch unter «Leitfaden Flächeninventar»:
www.sbfi.admin.ch/dienstleistungen/formulare/00392/index.html
Als Alternative können 3,5% des Gebäudeversicherungswerts angewendet
werden.
91 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
10.3 Comptabilisations internes
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
Des échanges de prestations peuvent exister entre les services de la haute
école.
Exemples:
– – Coûts des prestations d’enseignement fournies par les unités de recherche
dans le cadre des formations
– – Coûts des prestations fournies par les unités d’enseignement dans le cadre
de la formation pratique
Afin d’éviter les comptabilisations à double, il convient de choisir entre les
opérations suivantes:
– – les centres de frais «prestataires» sont débités et les centres de frais
«bénéficiaires» crédités
– – ou alors, les objets de coûts «prestataires» sont débités et les objets de
coûts «bénéficiaires» crédités.
92 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
10.3 Interne Verrechnungen
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Innerhalb einer Institution werden Leistungen zwischen den einzelnen Diensten
transferiert.
Beispiele:
– – Kosten für Lehrleistungen von Forschungseinheiten im Rahmen der Ausbildungen
– – Kosten von den Grundausbildungseinheiten im Rahmen der Praxisausbildung
Um Doppelrechnungen zu vermeiden, werden entweder
–– die Kosten den erbringenden Kostenstellen entlastet und den empfangenden
Kostenstellen belastet
– – oder die Kosten den erbringenden Kostenträgern entlastet und den empfangenden Kostenträgern belastet.
93 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Anhänge
Anhang
Anhang
Anhang
Anhang
Anhang
1: Offizielle Klassierung der Studiengänge
2: Definition der Leistungen
3: Abgrenzungen
4: Definition der Studierendenmerkmale
5: Struktur Berichtswesen/Reporting
Annexes
Annexe
Annexe
Annexe
Annexe
Annexe
94
95
1: Classification officielle des filières d'études
2: Définition des prestations
3: Délimitations
4: Définition des variables relatives aux étudiants
5: Structure des rapports sur les comptes
Annexe 1
Anhang 1
Classification officielle des filières d'études
Offizielle Klassierung der Studiengänge
Hautes écoles spécialisées
Voir manuel technique des hautes écoles spécialisées,
Office fédéral de la statistique (OFS)
www.shsfh.bfs.admin.ch
Fachhochschulen
Siehe Technisches Handbuch der Fachhochschulen, Bundesamt für Statistik (BFS)
www.shsfh.bfs.admin.ch
Hautes écoles pédagogiques
www.cohep.ch/fr/hautes-ecoles-pedagogiques/filieres-detudes/?0=
96 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Pädagogische Hochschulen
www.cohep.ch/de/paedagogische-hochschulen/studiengaenge/
97 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Annexe 2
Anhang 2
Définition des prestations
Definition der Leistungen
Allgemeiner Kommentar
Die Kostenrechnung der Hochschulen ist nach Kostenträgern gegliedert. Als
Kostenträger werden die Leistungen bezeichnet, die eine Hochschule gegenüber externen Leistungsbezügern erbringt. Die Kostenträgerrechnung gibt
Auskunft darüber, in welcher Höhe die Kosten je Kostenträger (Leistungsbereich) angefallen sind.
Commentaire général
La comptabilité analytique des hautes écoles est structrurée par objet de
coûts. Les objets de coûts désignent les prestations fournies par une haute
école pédagogique à des tiers. La comptabilité par objet de coûts renseigne
sur le montant des coûts par objet de coûts (groupe de prestations).
Le contenu de chaque groupe de prestations et sa décomposition en objets
de coûts sont définis ci-après. Chaque HEP est libre de définir des objets de
coûts supplémentaires, p. ex. à des fins de contrôle et d’information internes.
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Études conduisant au diplôme bachelor
Par «études conduisant au diplôme bachelor», on entend toutes les activités dirigées prioritairement vers l’enseignement et la formation des étudiants suivant les
filières conduisant au diplôme bachelor dans les hautes écoles spécialisées, ou
qui y sont liées directement.
Exemples:
– – Préparation et organisation de l’enseignement au niveau des études conduisant
au diplôme;
–– Surveillance en laboratoires, y c. démonstration et contrôle d’exercices pratiques;
– – Préparation et exécution de processus conduisant au diplôme bachelor dans le
cadre des filières d’études;
– – Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et travaux finaux);
– – Encadrement général des étudiants (consultations, etc.);
– – Toute activité servant exclusivement ou prioritairement aux activités
d’enseignement (y c. tâches organisationnelles et administratives).
Études conduisant au diplôme master
Par «études conduisant au diplôme master», on entend toutes les activités dirigées
prioritairement vers l’enseignement et la formation des étudiants suivant les
filières conduisant au diplôme master dans les hautes écoles spécialisées, ou qui
y sont liées directement.
Exemples:
– – Préparation et organisation de l’enseignement au niveau des études conduisant
au diplôme;
– – Surveillance en laboratoires, y c. démonstration et contrôle d’exercices
pratiques;
– – Préparation et exécution de processus conduisant au diplôme master dans le
cadre des filières d’études;
– – Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et
travaux finaux);
– – Encadrement général des étudiants (consultations, etc.);
– – Toute activité servant exclusivement ou prioritairement aux activités
d’enseignement (y c. tâches organisationnelles et administratives).
98 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Die Definition der einzelnen Leistungsbereiche und deren Aufteilung in Kostenträger sind unten beschrieben. Die Definition zusätzlicher Kostenträger bleibt
jeder Hochschule vorbehalten, z.B. für interne Führungsinformations- oder
Führungskontrollzwecke.
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Diplomstudium Bachelor
Dazu gehören alle Tätigkeiten, welche primär den Unterricht und die Ausbildung
der Studierenden in Bachelor-Diplomstudiengängen an den Fachhochschulen zum
Gegenstand haben oder damit zusammenhängen.
Beispiele:
– – Vorbereitung und Durchführung von Lehrveranstaltungen des Diplomstudiums
– – Laboratoriumsaufsicht mit Demonstrieren und Überwachen von praktischen
Übungen
– – Vorbereitung und Durchführung von Abschlussverfahren im Rahmen der Lehrgänge
– – Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschlussarbeiten)
– – Betreuung und Begleitung der Studierenden
– – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der Lehrtätigkeit
dienen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).
Diplomstudium Master
Dazu gehören alle Tätigkeiten, welche primär den Unterricht und die Ausbildung
der Studierenden in Master-Diplomstudiengängen an den Fachhochschulen zum
Gegenstand haben oder damit zusammenhängen.
Beispiele:
– – Vorbereitung und Durchführung von Lehrveranstaltungen des Diplomstudiums
– – Laboratoriumsaufsicht mit Demonstrieren und Überwachen von praktischen
Übungen
– – Vorbereitung und Durchführung von Abschlussverfahren im Rahmen der Lehrgänge
– – Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschlussarbeiten)
– – Betreuung und Begleitung der Studierenden
– – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der Lehrtätigkeit
dienen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).
99 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Formation continue
– – études postgrades (Master of Advanced Studies MAS et Executive Master of
Business Administration EMBA) – – cursus conduisant à un diplôme postgrade (Diploma of Advanced Studies DAS)
– – cursus conduisant à un certificat (Certificate of Advanced Studies CAS)
Weiterbildung
– – Nachdiplomstudien (Master of Advanced Studies MAS und Executive Master of
Business Administration EMBA)
– – Weiterbildungs-Diplomlehrgänge (Diploma of Advanced Studies DAS)
– – Zertifikatslehrgänge (Certificate of Advanced Studies CAS)
Par «formation continue», on entend toutes les activités dirigées prioritairement
vers l’enseignement et la formation des étudiants qui suivent des filières d’études
postgrades, des cursus conduisant à un diplôme postgrade et des cursus conduisant à un certificat dans des hautes écoles spécialisées, ou qui y sont liées
directement.
Zur Weiterbildung gehören alle Tätigkeiten, welche primär den Unterricht und die
Ausbildung der Studierenden in Nachdiplomstudiengängen, Weiterbildungs-Diplomlehrgängen und Zertifikatslehrgängen an den Fachhochschulen zum Gegenstand haben oder damit zusammenhängen.
Exemples:
– – Préparation et exécution d’enseignements du domaine postgrade (MAS, EMBA,
DAS, CAS);
– – Surveillance en laboratoires, y c. démonstration et contrôle d’exercices
pratiques;
– – Préparation et exécution de processus conduisant au diplôme postgrade dans
le cadre des filières d’études;
– – Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et
travaux finaux);
– – Toute activité servant exclusivement ou prioritairement aux activités
d’enseignement (y c. tâches organisationnelles et administratives).
Recherche appliquée et développement (Ra&D)
Principe:
La recherche appliquée et le développement ne devraient pas déboucher sur des
distorsions du marché et de la concurrence. Là où la concurrence prévaut, il n’est
pas permis de désavantager certains acteurs sur le marché. Il y a donc lieu de
facturer les prix habituels du marché, car il s’agit de prestations de services.
Il convient aussi de tenir compte des critères suivants:
Recherche et développement (R&D)
La recherche et le développement (R&D) englobent les travaux de création entrepris de façon systématique en vue d’accroître la somme des connaissances, y c.
la connaissance de l’homme, de la culture et de la société, d’utiliser cette somme
de connaissances pour de nouvelles applications ou pour l’élargissement des
connaissances.
Sont incluses dans la recherche et le développement toutes les activités qui y
sont directement liées:
– – Projets de la CTI et du FNRS, ainsi que les projets internationaux de recherche
(par ex. dans le cadre d’EUREKA);
– – Exécution, organisation et gestion de travaux de R&D en propre ou de mandats
de R&D;
–– Conception, gestion et suivi de projets de rercherche (management, évaluation);
– – Acquisition et gestion de moyens affectés à des projets de R&D;
– – Collaboration avec d’autres institutions actives dans la R&D, au niveau national
et international;
– – Participation à des assemblées et à des comités dans le domaine de la R&D
(par ex. commission de recherche) au sein ou en dehors des hautes écoles
spécialisées;
– – Lectures, approfondissement des connaissances dans le cadre d’un projet
de R&D;
–– Élaboration et rédaction de publications scientifiques et de rapports de recherche;
– – Élaboration de nouvelles méthodologies scientifiques (méthodes de recueil de
données, d’estimation et de pronostic, etc.)
– – Fabrication, essai et perfectionnement de prototypes jusqu’à pleine maturité;
– – Construction et exploitation d’installations d’essai et autres chaînes pilotes;
– – Présentation et discussion de résultats de R&D;
–– Toute activité scientifique et non-scientifique servant exclusivement ou prioritairement aux activités de R&D (y c. tâches organisationnelles et administratives).
100 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Beispiele:
– – Vorbereitung und Durchführung von Lehrveranstaltungen des Nachdiplombereichs (MAS, EMBA, DAS, CAS)
– – Laboratoriumsaufsicht mit Demonstrieren und Überwachen von praktischen
Übungen
– – Vorbereitung und Durchführung von Abschlussverfahren im Rahmen der Lehrgänge
– – Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschlussarbeiten)
– – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der Lehrtätigkeit
dienen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).
Angewandte Forschung und Entwicklung (aF+E)
Grundsatz:
Angewandte Forschung und Entwicklung sollte keine Markt- und Wettbewerbsverzerrungen zur Folge haben. Wenn ein Konkurrenzumfeld vorhanden ist, dürfen
andere Marktteilnehmer nicht benachteiligt werden. In diesen Fällen sind Marktpreise zu verrechnen und es handelt sich um Dienstleistungen.
Im Übrigen gelten die folgenden Kriterien:
Forschung und Entwicklung (F+E)
Forschung und Entwicklung (F+E) ist systematische, schöpferische Arbeit zur
Erweiterung des Kenntnisstandes (einschliesslich der Erkenntnisse über den Menschen, die Kultur und die Gesellschaft) sowie deren Verwendung mit dem Ziel,
neue Anwendungsmöglichkeiten zu finden und/oder zu einer neuen Wissensordnung beizutragen.
Einzuschliessen in F+E sind alle Tätigkeiten, die direkt mit F+E verbunden sind,
nämlich:
– – KTI- und SNF-Projekte sowie internationale Forschungsprojekte (z.B. im
Rahmen von Eureka)
– – Durchführung, Organisation und Verwaltung von eigenen F+E-Arbeiten oder
F+E-Aufträgen
– – Konzeption und Begleitung von Forschungsprojekten sowie deren Verwaltung
(Management, Evaluation)
– – Akquisition und Verwaltung von Drittmitteln für Forschungsprojekte
– – Zusammenarbeit mit anderen F+E-Institutionen (national und international)
– – Mitarbeit in Forschungsgremien (z.B. Forschungskommission) inner- und
ausserhalb der Fachhochschulen
– – Lektüre, Vertiefung des persönlichen Kenntnisstandes im Hinblick auf ein
Forschungsvorhaben
– – Verfassen und Redigieren von wissenschaftlichen Publikationen und
Forschungsberichten
– – Erarbeitung neuer wissenschaftlicher Methodologien (Erhebungs-, Schätzungs-,
Erprobungsmethoden etc.)
– – Konstruktion und Erprobung von Prototypen und deren Weiterentwicklung bis
zur Systemreife
– – Bau und Betrieb von Versuchsanlagen (pilot plants)
– – Präsentation und Diskussion von F+E-Resultaten
– – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der F+E dienen
(inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).
101 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Sont exclues de la recherche et du développement toutes les activités qui n’ont
pas pour finalité la recherche ou qui ne sont pas liées à un projet de recherche.
Nicht unter Forschung und Entwicklung fallen alle Aktivitäten, deren Zweck nicht
in der Forschung liegt, oder die nicht an ein Forschungsprojekt gebunden sind.
Exemples:
– – Formation et formation continue du personnel;
– – Documentation et travaux bibliographiques (dans la mesure où ils n’ont pas
de lien direct avec la R&D);
– – Services scientifiques périodiques tels que recueil de données, mesures,
établissement de statistiques, examens, contrôles ordinaires de la qualité et
de la production;
– – Travaux de normalisation;
– – Travaux administratifs concernant les brevets et les licences;
– – Conseils techniques, scientifiques et administratifs;
– – Production de biens (y c. séries de tests) et prestations de services
(y c. contrôle);
–– Services techniques après-vente, études de marché et d’économie d’entreprise;
– – Mercatique (marketing) et études de faisabilité (pour autant qu’elles ne portent
pas sur un projet de recherche);
– – Activités, contrôles et améliorations permanentes de routine;
– – Recours à des méthodologies et à des connaissances éprouvées.
Beispiele:
– – Aus- und Weiterbildung des Personals
– – Dokumentation und bibliographische Arbeiten (sofern nicht direkt mit F+E
verbunden)
–– Periodische wissenschaftliche Dienstleistungen wie Datensammlung, Messungen,
Erstellung von Statistiken, Prüfungen, routinemässige Qualitäts- und Produktionskontrollen
– – Normierungsarbeiten
– – Administrative Arbeiten im Zusammenhang mit Patenten und Lizenzen
– – Technische, wissenschaftliche und administrative Beratung
– – Produktion von Gütern (einschliesslich der Testserien) und Dienstleistungen
sowie deren Kontrolle
– – Technische Verkaufsdienste, markt- und betriebswirtschaftliche Studien
– – Marketing und Machbarkeitsstudien (sofern sie sich nicht auf ein F+E-Projekt
beziehen)
– – Routinemässige Tätigkeiten, Kontrollen und laufende Verbesserungen
– – Benützung von bereits etablierten Methodologien und Kenntnissen.
Bien faire la différence entre:
Recherche fondamentale:
Travaux expérimentaux et théoriques entrepris principalement en vue d’acquérir
de nouvelles connaissances sur les fondements des phénomènes et des faits
observables, sans envisager d’application ou d’utilisation particulière.
Zu unterscheiden sind:
Grundlagenforschung:
ist experimentelle und theoretische Arbeit, die in erster Linie auf die Gewinnung
neuer Erkenntnisse über den Ursprung von Phänomenen und beobachtbaren
Tatsachen gerichtet ist, ohne auf eine besondere Anwendung oder Verwendung
abzuzielen.
Recherche appliquée:
Travaux originaux entrepris en vue d’acquérir des connaissances nouvelles,
dirigés vers un but ou objectif déterminé.
Développement expérimental:
Travail systématique fondé sur des connaissances (obtenues par la recherche et
l’expérience pratique) et conduit en vue de lancer la fabrication de nouveaux matériaux, produits, appareils, et l’introduction de procédés, systèmes et prestations
nouveaux ou substantiellement améliorés.
Angewandte Forschung:
umfasst alle Aktivitäten zur Gewinnung neuer Erkenntnisse, sofern sie auf spezifische, praktische Ziele gerichtet sind.
Experimentelle Entwicklung:
ist systematische, auf vorhandenen wissenschaftlichen Erkenntnissen und/ oder
praktischer Erfahrung aufbauende Arbeit, die auf die Herstellung neuer Materialien,
Produkte und Geräte und die Einführung neuer Verfahren, Systeme und Dienstleistungen sowie deren wesentliche Verbesserung abzielt.
Prestations de services
Par «prestations de services», on entend toutes les activités scientifiques et non
scientifiques de routine qui n’ont pas trait directement à la R&D ni à l’enseignement, et qui s’adressent en priorité à un public évoluant en dehors des hautes
écoles spécialisées.
Dienstleistungen
Als Dienstleistungen gelten alle Tätigkeiten mit vorwiegend Routinecharakter, die
nicht mit Forschung + Entwicklung und Lehre verbunden sind und sich primär
an ein Publikum ausserhalb der Fachhochschulen richten.
Exemples:
– – Prestations de services telles que services d’information scientifiques et techniques dans la mesure où elles ne sont pas fournies à des fins de R&D;
– – Expertises pour le compte de tiers;
– – Activités de contrôle pour le compte de tiers;
– – Offres de formation continue, à l’exclusion des études postgrades et des cours
postgrades, exposés, séminaires, etc.;
– – Publications et conférences destinées au grand public;
– – Recueil de données à des fins générales;
– – Toute autre activité se rapportant exclusivement ou prioritairement aux prestations de services, y c. les tâches organisationnelles et administratives.
Beispiele:
– – Dienstleistungen, v.a. wissenschaftliche und technische Informationsdienste,
sofern sie nicht in erster Linie für F+E-Zwecke durchgeführt werden
– – Gutachtertätigkeit für Dritte
– – Prüf- und Kontrolltätigkeit für Dritte
– – Weiterbildungskurse, Vorträge, Seminarien etc.
– – Publikations- und Vortragstätigkeit für eine breitere Öffentlichkeit
– – Datensammlung für allgemeine Zwecke
– – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär im Zusammenhang mit Dienstleistungen erfolgen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).
102 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
103 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Délimitation du domaine ne relevant pas des HES
Il importe de bien distinguer les activités et les offres ne relevant du domaine des
HES. Parmi celles-ci on compte les offres de formation subventionnées par le biais
de la loi sur la formation professionnelle (LFPr), par ex. la formation au niveau des
hautes écoles ou au niveau secondaire II, cours de préparation aux filières HES.
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
Formation
Décomposition par filière des coûts de la formation
Filières concernées par l’AHES:
– – BA préscolaire et primaire
Les coûts des études additionnelles menant à une habilitation à enseigner
dans des cycles supplémentaires doivent également être indiqués dans
cette catégorie.
– – BA et MA secondaire I
Les coûts de la filière master permettant au corps enseignant des degrés
préscolaire et primaire d’enseigner dans le degré secondaire I doivent également être indiqués dans cette catégorie.
– – BA logopédie
– – BA psychomotricité
– – MA pédagogie spécialisée / curative
Les coûts des prestations complémentaires à fournir au sens des art. 5 à 7
du règlement concernant la reconnaissance des diplômes dans le domaine
de la pédagogie spécialisée, doivent également être indiqués dans cette
catégorie.
– – MA logopédie
– – MA didactique disciplinaire
– – Diplôme d‘enseignement secondaire II
– – Diplôme d‘enseignement secondaire I et II
Etudes complémentaires reconnues par la CDIP (également lorsque l’étudiant
n’est pas immatriculé):
– – Degré préscolaire et primaire (branche supplémentaire)
– – Degré secondaire I (branche supplémentaire)
– – Degré secondaire II (branche supplémentaire)
Diplômes non reconnus par la CDIP:
– – «Kantonales Fachdiplom Sek. I» de la PHBern
– – «Kantonaler Stufenumstieg für Primarlehrpersonen» de la PH Zürich
– – Autres filières, p.ex. filières de reconversion dans l’enseignement non reconnues par la CDIP
Prestations de formation des hautes écoles pédagogiques
Enseignement:
– – Préparation (y compris étude de la littérature spécialisée et autres formes
d’actualisation des connaissances, p.ex. sous forme de participation à un
congrès) et dispensation de l’enseignement dans les filières menant aux
titres de bachelor, master ou diplôme
– – Production de documents pédagogiques, de manuels ou autres documents
d’enseignement
Examens:
Préparation, réalisation et correction d’examens (oraux et écrits), établissement d’attestations / diplômes
Encadrement et accompagnement:
– – Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et
travaux qui sanctionnent la fin des études)
– – Encadrement général des étudiants (p.ex. entretiens)
– – Formation pratique
104 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Abgrenzung des Nicht-FH-Bereichs
Tätigkeiten und Angebote, die nicht zum FH-Bereich gehören, sind klar abzugrenzen. Darunter fallen insbesondere Studienangebote, die über das Berufsbildungsgesetz (BBG) subventioniert sind (z.B. Stufe Höhere Fachschule oder
Sekundarstufe II, Vorbereitungskurse auf FH-Studiengänge).
Ausbildung
Studiengangbezogene Gliederung der Ausbildungskosten in Kostenträgern
FHV-relevante Studiengänge:
– – BA Vorschulstufe und Primarstufe
Die Kosten für die Klassenstufenerweiterungen im Rahmen der Vorschulstufe und Primarstufe gehören zu derselben Spalte im Reporting für die
Kostenstatistik des BFS.
– – BA und MA Sekundarstufe I
Die Kosten für die Ausbildung zur Lehrperson der Sekundarstufe I auf
Masterstufe für Lehrpersonen der Vorschul- und Primarstufe sind ebenfalls
dieser Kategorie zuzuweisen.
– – BA Logopädie
– – BA Psychomotoriktherapie
– – MA Sonder- / Heilpädagogik
Die Kosten für die Erbringung von Zusatzleistungen gem. Art. 5 bis 7 des
Reglements über die Anerkennung der Diplome im Bereich der
Sonderpädagogik sind ebenfalls dieser Spalte zuzuweisen.
– – MA Logopädie
– – MA Fachdidaktik
– – DS Sekundarstufe II
– – DS Sekundarstufe I und II
EDK-anerkannte Erweiterungsstudien (auch wenn der Studierende nicht
immatrikuliert ist):
– – Facherweiterung Vorschul- und Primarstufe
– – Facherweiterung Sek. I
– – Facherweiterung Sek. II
Nicht EDK-anerkannte Abschlüsse:
– – Kantonales Fachdiplom Sek. I der PHBern
– – Kantonaler Stufenumstieg für Primarlehrpersonen der PH Zürich
– – Übrige Studiengänge, z.B. nicht EDK-anerkannte Studiengänge zum Quereinstieg in den Lehrberuf
Leistungen der Ausbildung für die Pädagogischen Hochschulen
Lehrtätigkeiten:
– – Vorbereitung (inkl. Literaturstudium und Informationsbeschaffung wie z.B.
Kongressteilnahme) und Durchführung von Lehrveranstaltungen des
Diplomstudiums (mit Ziel Bachelor, Master, Diplom)
– – Erstellen von Unterrichtsmaterial und veranstaltungsbezogenen Skripten
oder Lehrbüchern für die Ausbildung
Prüfungen:
Vorbereitung, Durchführung und Korrektur von Prüfungen (mündlich und
schriftlich), Ausstellung von Bescheinigungen/Diplomen
Betreuung / Begleitung: – – Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und
Abschlussarbeiten)
– – Betreuung und Begleitung der Studierenden (z.B. Sprechstunden)
– – Berufspraktische Ausbildung
105 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Autres:
– – Formation continue des collaborateurs de la formation de base (temps de
travail rémunéré et frais de participation)
– – Participation à des conférences, travaux en commission, suivi de la collecte
de matériel destiné à l’enseignement (p.ex. en biologie, en géographie, etc.)
– – Organisation, évaluation et développement des enseignements, y compris
coûts de développement des filières de formation
–– Tâches organisationnelles et administratives des enseignants et du personnel
administratif pour l’enseignement, y compris assistance administrative aux
examens
– – Répartitions (overheads)
Sonstiges:
– – Weiterbildung der Mitarbeitenden der Ausbildung (bezahlte Arbeitszeit und
Teilnahmegebühren)
– – Konferenzen, Kommissionsarbeit, Betreuung von Sammlungen von Unterrichtsmaterial (z.B. in der Biologie, in der Geografie etc.)
– – Organisation, Evaluation und Weiterentwicklung der Lehrveranstaltungen
inkl. Entwicklungskosten für die Studiengänge
– – Organisatorische Aufgaben der Dozierenden und des administrativen und
technischen Personals für die Lehre, inkl. administrativer Mitwirkung bei
Prüfungen
– – Umlagen (Overheads)
Contenu de la formation pratique
1. Conseil par un enseignant de la haute école (mentor)
2. Encadrement des stagiaires par une praticienne formatrice ou un praticien formateur d’une école cantonale. Cette personne est indemnisée par la haute école (généralement par un montant forfaitaire par heure de contact ou par semaine)
3. Coordination des stages pratiques par un enseignant de la HEP ou d’une école cantonale (une partie de son salaire est dans ce cas pris en charge par la HEP)
4. Autres prestations fournies dans le cadre de la formation pratique (p.ex. organisation d’ateliers préparant les étudiants aux stages pratiques)
Inhalt der berufspraktischen Ausbildung
1. Beratungsleistungen von einem Dozierenden der Hochschule (Mentor)
2. Betreuung der Studierenden durch eine kantonale Praxislehrperson, die von der Hochschule entschädigt wird (Pauschalbetrag pro Kontaktstunde oder pro Woche)
3. Koordinationsarbeit durch einen Dozierenden der Hochschule oder durch eine kantonale Lehrperson (in diesem Fall wird ein Teil des Lohns durch
die Hochschule bezahlt)
4. Weitere Leistungen im Rahmen der Praxisausbildung (z.B. Organisation von «Ateliers», die die Studierenden für die praktische Ausbildung vorbereiten)
Périmètre de la formation pratique
Conformément aux directives de la CDIP, la formation pratique vaut entre
36 et 54 points ECTS (degrés préscolaire et primaire), au minimum 48 points
ECTS (secondaire I), au minimum 15 points ECTS (secondaire II) et au minimum 20 points ECTS (pédagogie spécialisée).
Directives pour le calcul des coûts de la formation pratique
– – Si les salaires (y compris les cotisations de l’employeur) des enseignants en
formation pratique sont payés non pas par la haute école mais par l’école
obligatoire elle-même, ils sont calculés sur la base des coûts moyens des
salaires du canton ou déterminés sur la base des décharges (revenu
médian de l’échelle salariale du personnel enseignant, selon le degré
d’enseignement).
– – Seuls les coûts directs sont pris en considération (c’est-à-dire sans les frais
de répartition de la HEP).
–– Les coûts du mentorat en dehors de la formation pratique sont comptabilisés
dans les coûts de formation pratique.
– – En plus des coûts de personnel, les frais matériels doivent également être
pris en compte le cas échéant.
Distinction par rapport à la formation continue
Les coûts des modules suivis aussi bien dans le cadre des filières de formation continue que dans le cadre des filières diplôme sont répartis au prorata
sur les objets de coûts concernés.
Formation continue
Périmètre
– – Les coûts de l’ensemble des filières de formation continue sont attribués
à l’objet de coûts formation continue, même si les filières ne sont pas reconnues par la CDIP (exemple: formation des praticiens formateurs).
– – Les coûts des cours de formation continue sont également attribués à
l’objet de coûts formation continue, y compris les mandats cantonaux de
formation continue. Les enseignements dans ces filières ne sont généralement pas crédités de points ECTS.
106 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Umfang der berufspraktischen Ausbildung
Gem. EDK-Richtlinien soll die Praxisausbildung zwischen 36 und 54 ECTSPunkte (Vorschul- und Primarstufe), mindestens 48 ECTS-Punkte (Sek. I),
mindestens 15 ECTS-Punkte (Sek. II) und mindestens 20 ECTS-Punkte
(Sonderpädagogik) ausmachen.
Richtlinien zur Ermittlung der Kosten der berufspraktischen Ausbildung
– – Werden die Gehälter (inkl. Arbeitgeberbeiträgen) der Praxislehrkräfte für
die berufspraktische Ausbildung nicht durch die Hochschule, sondern durch
die Volksschule selbst bezahlt, werden sie auf der Basis von mittleren kantonsbezogenen Gehaltskosten bzw. der entsprechenden Entlastungen kalkulatorisch ermittelt (Mitte zwischen min. und max. Gehalt der Lehrpersonen der
Zielstufe).
– – Es werden nur die direkten Kosten (d.h. ohne Umlagekosten der Hochschule)
berücksichtigt.
– – Die Kosten für Mentorate ausserhalb der berufspraktischen Ausbildung werden den Kosten der berufspraktischen Ausbildung zugewiesen.
– – Neben den Personalkosten sind auch allfällige Sachkosten im Rahmen der
berufspraktischen Ausbildung zu berücksichtigen.
Abgrenzung zur Weiterbildung
Die Kosten für Module, die sowohl für Weiterbildungslehrgänge als auch für
Diplomstudiengänge verwendet werden, werden anteilsmässig auf die jeweiligen Kostenträger verteilt.
Weiterbildung
Umfang
– – Die Kosten sämtlicher Weiterbildungslehrgänge werden dem Kostenträger
Weiterbildung zugewiesen, auch wenn die Studiengänge nicht EDK-anerkannt sind, z.B. die Ausbildung der Praxislehrpersonen für die Ausbildung.
– – Die kursorische Weiterbildung inkl. kantonaler Weiterbildungsaufträge wird
ebenfalls dem Kostenträger Weiterbildung zugewiesen. Die Lernleistungen
dieser Studiengänge werden grundsätzlich nicht mit ECTS-Kreditpunkten
bewertet.
107 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Prestations de formation continue pour les hautes écoles pédagogiques
Enseignement:
– – Préparation (y compris étude de la littérature spécialisée et autres formes
d’actualisation des connaissances, p.ex. sous forme de participation à
un congrès) et dispensation de l’enseignement dans le cadre de l’offre de
formation continue
– – Production de documents pédagogiques, de manuels ou autres documents
pédagoiques destinés à la formation continue
Leistungen der Weiterbildung für die Pädagogischen Hochschulen
Lehrtätigkeiten:
– – Vorbereitung (inkl. Literaturstudium und Informationsbeschaffung wie z.B.
Kongressteilnahme) und Durchführung von Lehrveranstaltungen der Weiterbildung
– – Erstellen von Unterrichtsmaterial und veranstaltungsbezogenen Skripten
oder Lehrbüchern für die Weiterbildung
Examens:
Préparation, réalisation et correction d’examens (oraux et écrits)
Prüfungen:
Vorbereitung, Durchführung und Korrektur von Prüfungen (mündlich und
schriftlich)
Encadrement / accompagnement: Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et
travaux qui sanctionnent la fin des études)
Betreuung / Begleitung:
Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und
Abschlussarbeiten)
Autres:
– – Formation continue des collaborateurs de la formation continue (temps de
travail rémunéré et frais de participation)
– – Participation à des conférences, travaux en commission, suivi de la collecte
de matériel destiné à l’enseignement (p.ex. en biologie, en géographie, etc.)
– – Organisation, évaluation et développement des enseignements
–– Tâches organisationnelles et administratives des enseignants et du personnel
administratif pour la formation continue, y compris assistance administrative
aux examens
– – Répartitions (overheads)
Sonstiges:
– – Weiterbildung der Mitarbeitenden der Weiterbildung (bezahlte Arbeitszeit
und Teilnahmegebühren)
– – Konferenzen, Kommissionsarbeit, Betreuung von Sammlungen von Unterrichtsmaterial (z.B. in der Biologie, in der Geografie etc.)
– – Organisation, Evaluation und Weiterentwicklung der Lehrveranstaltungen
– – Organisatorische Aufgaben der Dozierenden und des administrativen und
technischen Personals für die Weiterbildung, inkl. administrativer Mitwirkung
bei Prüfungen
– – Umlagen (Overheads)
Forschung und Entwicklung
Ergänzungen zur Definition des SBFI:
– – Es handelt sich um Leistungen innerhalb eines Projekts, deren Fokus auf
dem Ergebnis liegt (inhaltliches Interesse).
– – Der Erkenntnisgewinn liegt im Wesentlichen bei der Bildung und/oder
Ausbildung.
– – Es handelt sich in der Regel um eine einmalige Leistung.
Recherche et développement
Compléments par rapport à la définition du SEFRI:
– – Il s’agit de prestations dans le cadre d’un projet dont l’objectif essentiel est
le résultat (intérêt scientifique).
– – La connaissance profite essentiellement à l’éducation au sens large et / ou
à la formation.
– – Il s’agit en règle générale d’une prestation unique.
Les coûts des travaux de recherche des enseignants de la formation de base
ou continue font également partie des coûts de recherche.
La préparation de l’enseignement (p.ex. l’étude de la littérature spécialisée ou
la mise à jour des connaissances), fait en revanche partie de la formation de
base ou de la formation continue.
Prestations de services
Compléments par rapport à la définition du SEFRI:
– – La prestation de services a un but lucratif (intérêt matériel).
– – La connaissance profite essentiellement au bénéficiaire de la prestation
(produit vendu).
– – Il peut s’agir d’une prestation ponctuelle ou récurrente.
Exemples de prestations de services des hautes écoles pédagogiques:
– – Expertises mandatées par des tiers
– – Publications commandées par des tiers ou destinées à la vente
– – Conférences destinées au grand public, p.ex. entretien du recteur avec des
journalistes
– – Ecrits pédagogiques (pour autant qu’il ne s’agisse pas de recherche)
– – Mandats cantonaux non liés à un concordat concernant les cours de formation continue (évaluations d’écoles cantonales par exemple)
– – Conseil au corps enseignant en dehors des cours
– – Services informatiques à des tiers
108 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Zur Forschung gehören auch die Kosten für die Forschungsarbeiten der
Dozierenden der Ausbildung und der Weiterbildung.
Die Unterrichtsvorbereitung wie Literaturstudium und Informationsbeschaffung
gehört hingegen zur Ausbildung bzw. zur Weiterbildung.
Dienstleistungen
Ergänzungen zur Definition des SBFI:
–– Bei den Dienstleistungen liegt der Fokus auf dem Ertrag (materielles Interesse).
– – Der Erkenntnisgewinn liegt im Wesentlichen bei den Leistungsbezügern
(Produkteverkauf).
– – Es handelt sich um eine einmalige oder wiederkehrende Leistung.
Beispiele für Dienstleistungen der Pädagogischen Hochschulen sind:
– – Gutachten im Auftrag Dritter
– – Publikationen, welche von Dritten bestellt werden oder zum Verkauf erstellt
werden
– – Vortragstätigkeiten für eine breitere Öffentlichkeit, z.B. Interview des
Rektors mit Journalisten
– – Pädagogische Schriften (soweit es sich nicht um Forschung handelt)
– – Aufträge von Kantonen ausserhalb eines Konkordates für kursorische
Weiterbildung (z.B. Schulevaluationen)
– – Beratung von Lehrkräften, wenn nicht an Kursen vermittelt
– – Informatikdienstleistungen für Dritte
109 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Domaine ne relevant pas des HEP
Tous les coûts des prestations sans rapport avec les quatre groupes de
prestations sont répertoriés dans le domaine ne relevant pas des HEP. Un
pourcentage des coûts overhead doit également être imputé à ce secteur.
Exemples:
– – Cours préparatoires aux filières HEP
– – Formations sans lien avec la formation des enseignants (p.ex. formation
des interprètes en langage des signes)
– – Vente de matériel de formation et d’enseignement
– – Centres de conférence (coûts et revenus liés à la location à des tiers)
Recommandations pour la mise en application
Calcul des coûts manquants pour la formation pratique
Dans le cas où les coûts pour les prestations dans le cadre de la formation
pratique ne sont pas contenus dans la comptabilité analytique de la haute
école (p.ex. lorsque l’enseignant de la formation pratique du canton n’est
pas indemnisé par la HEP), la haute école effectue le calcul suivant:
A=B*C
où A = coûts des prestations fournies par les enseignants de la formation
pratique, par filière d’étude, en CHF;
B = position médiane de la classe salariale des enseignants concernés selon
le degré d’enseignement, en CHF, par heure;
C = total des heures investies par l’ensemble des enseignants concernés
pour les prestations destinées à la haute école durant la période sous revue
(année civile);
et où les enseignants sont les mentors, praticiens formateurs et coordinateurs de la formation pratique.
Nicht-PH-Bereich
Alle Kosten für Leistungen, die nicht in Zusammenhang mit den vier Leistungsbereichen des Leistungsauftrags stehen, werden dem Nicht-PH-Bereich
zugeordnet. Diesem Bereich muss auch ein entsprechender Teil der Overheadkosten belastet werden.
Beispiele:
– – Vorbereitungskurs auf PH-Studiengänge
– – Ausbildungen ausserhalb der Lehrkräfteausbildung (z.B. Gebärdensprachdolmetschen od. Gebärdensprachausbildner)
– – Verkauf von Lehr- und Lernmitteln
– – Tagungszentren (Kosten und Erlöse aus Vermietungen an Dritte)
Umsetzungshinweise für die Pädagogischen Hochschulen
Berechnungsmethode bei fehlenden Kosten der berufspraktischen
Praxisausbildung
Sind Kosten für die Leistungen im Rahmen der berufspraktischen Ausbildung
in der Kostenrechnung der Hochschule nicht enthalten (z.B. wenn die kantonalen Praxislehrpersonen von der PH nicht entschädigt werden), wendet die
Hochschule folgende Schätzungsmethode an:
A=BxC
A: Kosten der Leistungen der betroffenen Lehrpersonen pro Studiengang,
in CHF
B: Mittlere Stufe der Lohnklasse der betroffenen Lehrpersonen pro Zielstufe,
in CHF pro Stunde
C: Summe der Stunden über alle betroffenen Lehrpersonen für die Leistungen
zuhanden der Hochschule innerhalb der Referenzperiode (Kalenderjahr).
Lehrpersonen sind Mentorinnen bzw. Mentoren, Praxislehrpersonen, Koordinatorinnen bzw. Koordinatoren der berufspraktischen Studien.
Si les enseignants appartiennent à différentes classes salariales du canton,
le calcul décrit ci-dessus est effectué dans la mesure du possible séparément
pour chaque classe de salaire. Lorsque ce n'est pas possible, la moyenne
des classes salariales de tous les enseignants de la formation pratique est
employée.
Gehören die Lehrpersonen zu unterschiedlichen kantonalen Lohnklassen,
dann sind die Kosten soweit möglich nach Lohnklasse separat zu berechnen.
Ansonsten erfolgt die Berechnung anhand der durchschnittlichen Lohnklasse
für alle Lehrpersonen.
Si les coûts de la partie pratique de la formation sont recensés intégralement
dans la comptabilité analytique de la haute école sans qu’il ne soit possible
de les distinguer des coûts totaux de la formation, la haute école répartit les
coûts totaux entre la formation disciplinaire et la formation pratique en fonction du nombre de points ECTS inscrits.
Sind sämtliche Kosten für die berufspraktische Ausbildung in der Kostenrechnung der Hochschule enthalten, ohne dass eine klare Trennung zu den
gesamten Ausbildungskosten vorhanden ist, werden die gesamten Ausbildungskosten anhand der eingeschriebenen ECTS-Punkte auf die Fachausbildung und die Praxisausbildung verteilt.
Détermination des coûts pour les études additionnelles
S’il n’est pas possible de distinguer les coûts des études additionnelles des
coûts des filières diplôme, bachelor ou master (p.ex. en cas de modules
communs), les coûts sont ventilés entre les différents objets de coûts en
fonction du nombre de points ECTS inscrits.
Ausweis der Kosten für die Erweiterungsstudien
Ist eine direkte Abgrenzung zu den Diplom-, Bachelor- oder Masterstudiengängen nicht möglich (z.B. im Falle von einheitlichen Modulen bei Facherweiterungen), werden die Kosten anhand der Anzahl der eingeschriebenen
ECTS-Punkte auf die einzelnen Teilkostenträger verteilt.
110 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
111 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Annexe 3
Anhang 3
Délimitations
Manuel du SEFRI
pour les hautes écoles spécialisées
état décembre 2006
Délimitations temporelles et matérielles entre la charge et le produit comptabilisés
conformément à la comptabilité financière et aux coûts et aux produits imputés
effectivement à une période comptable dans le calcul des coûts.
Délimitations temporelles et matérielles
Le paiement de subventions par la Confédération et par les autorités responsables
de la formation est lié à la fourniture de prestations qui engendrent également,
de leur côté, une charge et un coût. Conformément à la définition, seule la charge
requise pour les prestations effectivement fournies en conformité avec le mandat
de prestations doit être subventionnée.
Définition de «charge d'objectif»: Consommation de valeur, qui apparaît lors d'une période par suite à des prestations d'exploitation et qui a été comptabilisée comme charge dans la comptabilité
financière.
Dans la perspective d’un calcul parlant des coûts et des prestations, il est nécessaire de distinguer entre deux types de délimitations:
– – Des délimitations temporelles sont nécessaires dès que le flux des paiements
comptabilisés n'intervient pas dans la même période comptable que celle où la
prestation a été fournie
–– Des délimitations matérielles sont nécessaires lorsque, par exemple, des réserves
latentes ont été constituées ou dissoutes. Dans ces cas, la charge comptabilisée ne correspond pas à la consommation effective et objective de valeur à
indiquer dans le calcul des coûts et des prestations; de ce fait, la charge doit
être corrigée. Exemples: amortissements et intérêts calculés.
Délimitations temporelles
Les coûts et les produits sont comptabilisés en règle générale à des moments
différents. Dans le cadre d'une comptabilité financière correctement tenue, les
délimitations temporelles prennent obligatoirement la forme d'actifs et de passifs
transitoires. Ceux-ci incorporent également les positions anticipées (par ex. prise
en compte de subventions promises, mais payées seulement l'année suivante
pactifs transitoires).
Exemples de prestations fournies par une école:
Durant la formation initiale de base, des taxes d’études forfaitaires et des subventions AHES sont comptabilisées dans les produits par avance, bien que les
prestations ne soient fournies que plus tard. Il en va de même dans la formation
continue avec les taxes d’études forfaitaires.
Abgrenzungen
Leitfaden des SBFI
für die Fachhochschulen
Stand Dez. 2006
Zeitliche und sachliche Abgrenzungen zwischen verbuchtem Aufwand bzw. Ertrag
gemäss Finanzbuchhaltung und den effektiv einer Periode anzurechnenden Kosten
bzw. Erlösen in der Kostenartenrechnung.
Zeitliche und sachliche Abgrenzungen
Subventionszahlungen von Bund wie auch von Schulträgern sind an das Erbringen von Leistungen geknüpft, welche ihrerseits auch einen finanziellen Aufwand
bzw. Kosten verursachen. Es sollte gemäss Definition nur der Zweckaufwand für
die effektiv gemäss Leistungsauftrag erbrachten Leistungen subventioniert werden.
Def. Zweckaufwand:
Wertverzehr, der innerhalb einer Periode durch die betriebliche Leistungserstellung erwächst und in der Finanzbuchhaltung als Aufwand verbucht wurde.
Im Hinblick auf eine aussagekräftige Kosten- und Leistungsrechnung sind zweierlei
Abgrenzungen notwendig:
– – Zeitliche Abgrenzungen sind notwendig, sobald der verbuchte Zahlungsfluss
nicht in derselben Rechnungsperiode erfolgt, in welcher auch die entsprechende Leistung erbracht worden ist.
– – Sachliche Abgrenzungen sind erforderlich, wenn beispielsweise stille Reserven
gebildet oder aufgelöst werden. In diesen Fällen entspricht der verbuchte
Aufwand nicht dem in die Kosten- und Leistungsrechnung aufzunehmenden tatsächlichen, objektiven Wertverzehr: der Aufwand muss korrigiert werden. Weitere
Beispiele sind: Kalkulatorische Abschreibungen und Zinsen.
Zeitliche Abgrenzungen
Grundsätzlich fallen Kosten und Erträge zu verschiedenen Zeitpunkten an. Im
Rahmen einer ordnungsmässigen Finanzbuchhaltung sind zeitliche Abgrenzungen
in Form von transitorischen Aktiven und Passiven zwingend vorzunehmen. Diese
beinhalten auch antizipatorische Posten (z.B. Berücksichtigung von zugesicherten,
aber erst im folgenden Jahr ausbezahlten Subventionenptransitorische Aktiven).
Beispiele für die Leistungen einer Schule:
In Lehre Grundstudium fallen bei den Erträgen Schulgelder und Beiträge FHV im
Voraus an, die Leistungen werden aber erst in der Zukunft erbracht.
In der Weiterbildung gilt das gleiche für die Schulgelder.
Kosten für angewandte Forschung + Entwicklung und Dienstleistungsaufträge
fallen in der Regel vor den Erträgen an. Am Periodenende sind die Kosten zu aktivieren oder die Erträge abzugrenzen.
Les coûts de recherche appliquée et de développement, de même que les mandats de prestations de services sont comptabilisés en général avant les produits.
À la fin de la période comptable, il faut activer les coûts ou délimiter les produits.
112 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
113 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Délimitations matérielles
Le graphique suivant fournit une vue d'ensemble des délimitations matérielles
possibles entre les charges et les coûts. Des réflexions du même ordre valent de
manière analogue pour la délimitation des produits (selon la comptabilité générale)
et des prestations (selon la comptabilité analytique). Comme pour les coûts, les
prestations sont comptabilisées de façon ordinaire et objective.
Sachliche Abgrenzungen
Die folgende Grafik gibt eine Übersicht über die möglichen sachlichen Abgrenzungen zwischen Aufwand und Kosten. Die gleichen Überlegungen gelten analog für
die Abgrenzung von Erlösen (gemäss Finanzbuchhaltung) und Erträgen (für die
Betriebsbuchhaltung). Wie die Kosten sind auch die Leistungen stets ordentlich
und sachzielbezogen.
Charges (selon la comptabilité financière)
Charges non
considérées
comme des
coûts
Charges
>
Coûts
Coûts
<
Charges
Charges
=
Coûts
Coûts
=
Charges
Aufwand (gemäss Finanzbuchhaltung)
Charges
<
Coûts
Coûts
>
Charges
Aufwand, der
nicht zu den
Kosten zählt
Coûts non
considérés
comme des
charges
Aufwand
>
Kosten
Kosten
<
Auswand
Coûts (pour la comptabilité analytique)
Charges et
produits neutres (extraord./
hors exploit.)
Évaluation
differenciée (p. ex.
création réserves
latentes)
Cas normal
(les coûts
équivalent aux
charges)
Évaluation
Coûts
differenciée
supplétifs
(p. ex. dissolution de (p. ex. intérêts
réserves latentes)
calculés)
Aufwand
=
Kosten
Kosten
=
Aufwand
Aufwand
<
Kosten
Kosten
>
Aufwand
Kosten, die
nicht Aufwand
sind
Kosten (für Betriebsbuchhaltung)
Neutrale (ausserodentliche /
betriebsfremde)
Aufwände und
Erträge
Unterschiedliche
Bewertung (z.B.
Bildung von stillen
Reserven)
Normalfall
(Aufwandgleiche Kosten)
Unterschiedliche
Bewertung (z.B.
Auflösung von
stillen Reserven)
Zusatzkosten
(z.B. kalkulatorische Zinsen)
Figure 12: Délimitations matérielles
Abbildung 12: Sachliche Abgrenzungen
Les charges (et les prestations) neutres ne représentent pas des coûts (et des
produits). Pour le calcul des coûts, seules les charges et les produits nécessaires
à l'accomplissement de la prestation sont pris en considération. Par conséquent,
toutes les charges et tous les produits qui ne desservent pas le but concret de
l'entreprise et qui ne peuvent être attribués aux affaires courantes font partie des
charges et des produits neutres et ne sont donc pas directement considérés
dans le calcul des coûts.
Neutrale Aufwendungen (und Erlöse) stellen keine Kosten (und Erträge) dar.
Für die Kostenrechnung sind nur die für die Erfüllung der Leistungen anfallenden
Aufwendungen bzw. Erträge relevant. Demnach fallen alle nicht dem Sachziel
des Unternehmens dienenden Aufwände und/oder Erträge, mit denen im Rahmen
des üblichen Geschäftsverkehrs nicht gerechnet werden kann, unter die neutralen
Aufwände und Erträge und finden damit in der Kostenrechnung keine unmittelbare
Beachtung.
Les coûts supplétifs n'ont pas leur correspondant dans le compte de résultats.
Ils concernent les coûts qui correspondent économiquement à une diminution de
valeur par suite d'exécution d'une prestation, mais qui par ailleurs ne doivent
pas être retenus dans la comptabilité financière, par exemple les coûts d'intérêts
calculés sur le capital investi (conformément au manuel du SEFRI).
Die sogenannten Zusatzkosten haben kein Pendant in der Erfolgsrechnung. Sie
umfassen Kosten, welche betriebswirtschaftlich betrachtet zwar einem leistungsbedingten Wertverzehr entsprechen, in der Finanzbuchhaltung jedoch nicht verbucht werden dürfenpBeispielsweise kalkulatorische Zinskosten auf dem investierten Kapital (gemäss Richtlinien SBFI-Leitfaden).
L’emploi différencié des limites d’activation et des taux d’amortissement seront
pris en compte lors du passage de la comptabilité financière au calcul des coûts.
Les limites d’activation et les taux d’amortissement sont valables pour le calcul
des coûts pratiqué au SEFRI conformément au manuel du SEFRI.
Die unterschiedliche Anwendung von Aktivierungslimiten und Abschreibungssätzen werden mit sachlichen Abgrenzungen in der Überleitung von der Finanzbuchhaltung zur Kostenrechnung berücksichtigt. Für die Kostenrechnung SBFI
gelten die Aktivierungslimiten und Abschreibungssätze gemäss Leitfaden.
114 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
115 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Précisions pour les
hautes écoles pédagogiques
Délimitations temporelles
Cas de figure 1 – taxes d’étude et contributions AHES en formation de
base et continue
Durant la formation de base, des taxes d’étude forfaitaires et des subventions
AHES sont comptabilisées par avance dans les produits, bien que les prestations ne soient en partie fournies que l’année suivante. Pour que les taxes
d’étude, les subsides cantonaux et les contributions AHES indiqués dans la
statistique de l’OFS concordent avec la fourniture de prestations et les coûts
correspondants, les produits doivent être ajustés. Il en va de même dans la
formation continue avec les taxes d’étude forfaitaires.
Exemple:
– – En 2012, des taxes d’étude d’un montant de 5 millons de CHF sont
comptabilisées pour le semestre d’automne 2012/13.
–– Les prestations (y compris travaux préparatoires avant le début du semestre)
et les coûts pour le semestre d’automne 2012/13 se répartissent entre
août 2012 et fin janvier 2013.
– – Un sixième des coûts concerne l’année 2013.
– – Un sixième des revenus est ajusté et indiqué dans la statistique de l’année
2013, de sorte à garantir l’adéquation des coûts et revenus avec le niveau
des prestations fournies.
Cas de figure 2 – coûts et revenus en recherche et dans les prestations
de services
Exemple:
– – En 2012, 2,5 millions de CHF sont dépensés dans le cadre d’un projet de
recherche.
– – Le projet commence le 1er octobre 2012 et se termine le 30 septembre
2013.
– – Les prestations fournies (et les coûts correspondants) se répartissent à la
fois sur les années 2012 et 2013. Afin de faire coïncider la comptabilisation des coûts et des revenus avec les prestations fournies, les trois quarts
de la subvention sont retranchés de la comptabilité analytique 2012 et reportés sur l’année 2013.
Cas de figure 3 – différence entre heures effectuées et heures payées
Les soldes positifs ou négatifs de l’horaire mobile (personnel administratif et
technique), les écarts entre le taux d’occupation et le mandat de prestations
(enseignants) et les vacances non prises représentent des coûts ou des diminutions de coûts pour les hautes écoles. Pour comptabiliser correctement
le volume de prestations d’une haute école, il faut valoriser les soldes de
l’horaire mobile et les écarts du taux d’occupation au 31 décembre de
l’année civile et les ajuster en utilisant le passif transitoire (hausse de coûts)
ou l’actif transitoire (baisse de coûts).
Exceptions:
– – Au-delà d’une certaine limite (p.ex. 42 heures par an) prévue par les directives cantonales, les heures supplémentaires effacées ne doivent plus être
comptabilisées.
– – Le salaire des rectrices et recteurs étant fixé selon la fonction, leurs heures
supplémentaires ne doivent pas être valorisées.
Präzisierungen für die
Pädagogischen Hochschulen
Zeitliche Abgrenzungen
Fall 1 – Schulgelder und FHV-Beiträge in der Aus- und Weiterbildung
Im Grundstudium fallen bei den Erträgen Schulgelder und FHV-Beiträge im
Voraus an, die Kosten für die Lehrleistungen entstehen aber teilweise erst
im folgenden Jahr. Damit die Zuweisung der Studiengelder, der kantonalen
Beiträge und der FHV-Beiträge mit der Erbringung von Leistungen und mit
der Zuweisung der Kosten in der BFS-Kostenstatistik übereinstimmt, müssen
die Erlöse korrekt abgegrenzt werden. In der Weiterbildung gilt das Gleiche
für die Schulgelder.
Beispiel:
– – Im Jahr 2012 werden 5 Mio. CHF Studiengelder für das Herbstsemester
2012/13 als Erlöse verbucht.
– – Die entsprechend erbrachten Lehrleistungen – und deren Kosten – für das
Herbstsemester 2012/13 laufen von August 2012 bis Ende Januar 2013;
darunter fallen auch die Vorbereitungsarbeiten vor dem Semesterbeginn.
– – Ein Sechstel der Kosten fällt im Jahr 2013 an.
– – Damit die Verbuchung der Kosten und der Erlöse mit der Leistungserbringung übereinstimmt, wird ein Sechstel der Erlöse abgegrenzt und in der
nächsten Periode berücksichtigt.
Fall 2 – Kosten und Erlöse in der Forschung und in den Dienstleistungen
Beispiel:
– – 2012 werden 2,5 Mio. CHF Drittmittel für ein Forschungsprojekt vom
Kanton bezahlt; die Verbuchung durch die Hochschule erfolgt ebenfalls im
Jahr 2012.
–– Das Projekt fängt am 1. Oktober 2012 an und endet am 30. September 2013.
– – Da die entsprechend erbrachten Leistungen – und deren Kosten – auf die
beiden Jahre 2012 und 2013 fallen, werden drei Viertel der Erlöse abgegrenzt und in der nächsten Periode berücksichtigt; somit stimmt die Verbuchung der Kosten und der Erlöse mit der Leistungserbringung überein.
Fall 3 – Über- und Minusstunden im Vergleich zur bezahlten Arbeitszeit
Positive oder negative Gleitzeitsaldi (administratives und technisches Personal),
Abweichungen des Beschäftigungsgrades gegenüber dem Leistungsauftrag
(Dozierende) und Ferienguthaben bilden Kosten bzw. Kostenminderungen für
die Hochschulen. Ein korrekter Ausweis des effektiven Leistungsumfangs
einer Hochschule benötigt eine Bewertung der Gleitzeitsaldi und Abweichungen des Beschäftigungsgrades per 31. Dezember vom Kalenderjahr und eine
Abgrenzung im Sinne von transitorischen Passiven (Kostenerhöhung) oder
Aktiven (Kostenminderung).
Ausnahmen:
–– Werden aufgrund von kantonalen Richtlinien Überstunden über eine gewisse
Grenze (z.B. 42 Stunden pro Jahr) gekürzt bzw. gestrichen, müssen sie
nicht bewertet werden.
– – Die Rektorinnen bzw. Rektoren sind für ihre Funktion bezahlt; ihre Überstunden müssen nicht bewertet werden.
Die notwendigen Angaben für die Bewertung und die Abgrenzung stammen in
der Regel aus der individuellen Pensenbuchhaltung (Dozierende) und der Arbeitszeiterfassung (administratives und technisches Personal).
Les données nécessaires pour la valorisation et l’ajustement proviennent en
règle générale de la comptabilisation du temps de travail (enseignants) et de
la saisie du temps de travail (personnel administratif et technique).
116 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
117 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Beispiel:
– – 2012 wurde mehr gearbeitet (geleistet) als bezahlt.
– – Die Überstunden werden im Jahr 2013 ausbezahlt.
– – Berücksichtigung der Kosten der Überstunden im Jahr 2012 (geleistet im
Jahr 2012) als transitorische Passiven für die Auszahlung im Jahr 2013
– – Umgekehrtes Verfahren bei Minusstunden (transitorische Aktiven)
Exemple:
– – Le nombre d’heures effectué en 2012 est supérieur au nombre d’heures
rémunéré.
– – Les heures supplémentaires ainsi générées seront payées en 2013.
– – Les coûts de ces heures supplémentaires effectuées en 2012 sont considérés dans la comptabilité analytique 2012 comme passifs transitoires, le
versement effectif aura lieu en 2013.
– – Pour les heures travaillées en moins, l’opération est inversée: des actifs
transitoires sont comptabilisés.
Cas de figure 4 – provisions
Une provision est un engagement probable, fondé sur un événement passé,
dont le montant et / ou l'échéance sont (encore) incertains mais estimables
de manière fiable. 1
Fall 4 – Rückstellungen
Eine Rückstellung ist eine auf einem Ereignis in der Vergangenheit begründete
wahrscheinliche Verpflichtung, deren Höhe und/oder Fälligkeit (noch) ungewiss, aber schätzbar ist. 1
Beispiel 1:
– – Im Jahresabschluss 2011 wird eine Rückstellung von CHF 500'000.– für
einen Gerichtsfall, der auf das gleiche Jahr zurückgeht, gebildet und
erfolgswirksam gebucht.
– – Die gebildete Rückstellung wird in der Kostenrechnung 2011 berücksichtigt.
– – Die Ausgabe wird im Jahr 2013 effektiv und die Rückstellung aufgelöst.
Falls die tatsächlichen Kosten vom Rückstellungsbetrag abweichen, muss
die Differenz zu den effektiven Kosten erfolgswirksam gebucht werden.
Exemple 1:
– – Lors de la clôture de l’exercice 2011, une provision de CHF 500'000.– est
constituée et comptabilisée dans le compte de résultat pour une affaire
juridique dont l’origine remonte à la même année.
– – La provision constituée figure dans la comptabilité analytique 2011.
– – En 2013 la dépense est effective et la provision dissoute. Si le montant de
la provision diffère des coûts effectifs, la différence correspondante doit
être comptabilisée dans le compte de résultat.
Beispiel 2:
– – Im Jahresabschluss 2012 wird eine Rückstellung von CHF 500'000.– für
einen Gerichtsfall, der auf das Jahr 2011 zurückgeht, gebildet und erfolgswirksam gebucht.
– – Auch wenn das Ereignis das Jahr 2011 betrifft, wird die gebildete Rückstellung vollständigkeitshalber trotzdem in der Kostenrechnung 2012 berücksichtigt. (Einmalige) Sondereffekte sind ggf. entsprechend zu kommentieren.
– – Die Ausgabe wird im Jahr 2013 effektiv und die Rückstellung aufgelöst.
Exemple 2:
– – Lors de la clôture de l’exercice 2012, une provision de CHF 500'000.– est
constituée et comptabilisée dans le compte de résultat pour une affaire
juridique dont l’origine remonte à 2011.
– – Bien que la provision constituée concerne l’année 2011, elle est intégrée à
part entière dans la comptabilité analytique 2012. Les événements uniques
et exceptionnels doivent être commentés en conséquence.
– – En 2013 la dépense est effective et la provision dissoute.
Sachliche Abgrenzungen
Kalkulatorische Abschreibungen
Die unterschiedliche Anwendung von Aktivierungslimiten und Abschreibungssätzen wird mit sachlichen Abgrenzungen in dem Übergang von der Finanzbuchhaltung zur Kostenrechnung abgegrenzt. Werden keine Abschreibungen
für die Investitionen in der Finanzbuchhaltung unternommen, sind diese in der
Kostenrechnung durchzuführen und kalkulatorisch zu berücksichtigen. Die
Vorgaben zu den Aktivierungslimiten und Abschreibungssätzen aus dem Leitfaden des SBFI für die Fachhochschulen, Kap. 8, gelten als Richtlinie für die
Pädagogischen Hochschulen.
Délimitations matérielles
Amortissements calculés
L’emploi différencié des limites d’activation et des taux d’amortissement sont
pris en compte lors du passage de la comptabilité financière à la comptabilité analytique. Lorsque les investissements ne sont pas amortis en comptabilité
financière, des amortissements doivent être intégrés dans la comptabilité
analytique de façon calculatoire. Les directives relatives aux limites d’activation
et aux taux d’amortissement pour la comptabilité analytique des hautes
écoles spécialisées selon le manuel du SEFRI, chapitre 8, s’appliquent aux
hautes écoles pédagogiques.
1
Source: Swiss GAAP RPC, Recommandations
relatives à la présentation des comptes,
2009 (RPC, Zurich)
Quelle: Swiss GAAP FER,
Fachempfehlungen zur Rechnungsführung,
2009 (FER, Zürich)
1 118 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
119 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Annexe 4
Anhang 4
Définition des variables relatives aux étudiants
Definition der Studierendenmerkmale
Le coût par équivalent plein-temps est un indicateur important pour le pilotage
des hautes écoles pédagogiques et pour la comparaison entre les établissements.
Parallèlement, l’Office fédéral de la statistique (OFS) est tenu de calculer le coût
par étudiant, afin d’effectuer des comparaisons internationales dans le cadre des
statistiques de l’OCDE.
Eine wichtige Kennzahl für die Steuerung der Pädagogischen Hochschulen und
für den Vergleich zwischen den Pädagogischen Hochschulen ist der Indikator
«Kosten pro Vollzeitäquivalent» (VZÄ). Parallel ist das Bundesamt für Statistik
(BFS) für den internationalen Vergleich im Rahmen der OECD-Statistiken auf die
Berechnung der Kosten pro Studierenden angewiesen.
Pour pouvoir calculer ces indicateurs de coûts, les variables relatives aux étudiants
sont renseignées dans le reporting pour la statistique des coûts de l’OFS, en plus
des données financières.
Um die notwendigen Kostenindikatoren zu berechnen, werden zusätzlich zu den
Finanzdaten auch Studierendenmerkmale im Reporting für die Kostenstatistik des
BFS ausgewiesen.
Nombre d’étudiants (effectifs)
Identification des étudiants
Le numéro de matricule permet d’identifier les étudiants. Établi selon des règles
communes, il reste le même durant toute la durée des études de l’étudiant concerné, y compris si celui-ci change de haute école, ou s’il interrompt ses études.
Cette permanence garantit que chaque personne n’ait qu’un seul numéro.
Anzahl Studierende (Kopfzahlen)
Identifikation der Studierenden
Die Matrikelnummer dient der Identifikation der einzelnen Studierenden. Sie ist
nach einheitlich festgelegten Regeln zusammengesetzt und bleibt während des
ganzen Studiums dieselbe, und zwar auch bei Hochschulwechsel und selbst bei
vorübergehendem Unterbruch des Studiums. Somit wird garantiert, dass jeder
Person nur eine Nummer zugeordnet wird.
En ce qui concerne les hautes écoles pédagogiques, seuls les étudiants des filières reconnues se voient attribuer un numéro de matricule. Les étudiants sont
immatriculés seulement si leur filière figure à l’annexe de l’accord intercantonal
sur les hautes écoles spécialisées (AHES HEP), y compris lorsqu’il n’y a pas
encore de préavis. Une exception est faite pour les filières de la «Hochschule für
Heilpädagogik Zürich», pour laquelle un concordat existe et qui ne touche pas
de contributions de l’AHES.
L’OFS contrôle au moyen des numéros de matricule si les étudiants sont immatriculés dans diverses hautes écoles, respectivement dans plusieurs filières. Pour la
formation des enseignants de niveau secondaire II, les doubles-immatriculations
sont tolérées (se référer à la décision de la Commission AHES du 22 janvier 2009).
Source: manuel technique de l’OFS pour le relevé des étudiants dans les hautes
écoles spécialisées et pédagogiques.
Étudiants en congé
Dans certains cas, les étudiants en congé sont saisis dans la statistique des étudiants de l’OFS avec un motif de congé particulier. Voici les motifs de congé
reconnus:
– – congé pour service militaire
– – congé pour maladie, accident ou maternité
– – congé pour une interruption d’études prévue par la HEP, pour autant que la
personne reste immatriculée. Exemple: un étudiant qui ne réussit pas l’examen
final du premier coup attend pour le passer sans pour autant bénéficier de
prestations de formation.
– – Autre motif, p.ex. pour un séjour linguistique à l’étranger, pour autant que des
points ECTS ne soient pas acquis.
Source: manuel technique de l’OFS pour le relevé des étudiants dans les hautes
écoles spécialisées et pédagogiques.
Studierende der Pädagogischen Hochschulen erhalten lediglich eine Matrikelnummer bei anerkannten Studiengängen. Studierende werden nur immatrikuliert,
wenn der betreffende Studiengang im Anhang der interkantonalen Fachhochschulvereinbarung (FHV-PH) aufgeführt ist, auch wenn der Préavis noch nicht vorliegt.
Davon ausgenommen sind Studiengänge der Hochschule für Heilpädagogik
Zürich, weil für diese ein eigenes Konkordat besteht und keine FHV-Beiträge ausgerichtet werden.
Das BFS kontrolliert aufgrund der Matrikelnummern, ob Studierende an verschiedenen Hochschulen bzw. in mehreren Studiengängen gleichzeitig immatrikuliert
worden sind. Für die Ausbildung der Lehrkräfte für die Sekundarstufe II werden
die Doppelimmatrikulationen toleriert (siehe diesbezüglich den Entscheid der
FHV-Kommission vom 22. Januar 2009).
Quelle: Technisches Handbuch zur Erhebung der Studierenden an den Fach- und
Pädagogischen Hochschulen, BFS.
Beurlaubte Studierende
Die beurlaubten Studierenden werden in bestimmten Fällen mit einem besonderen
Urlaubsgrund in der Studierendenstatistik des BFS erfasst. Folgende Urlaubsgründe sind anerkannt:
– – Beurlaubt wegen Militärdienst
– – Beurlaubt wegen Krankheit, Unfall oder Schwangerschaft
– – Beurlaubt wegen eines von der Hochschule vorgesehenen Studienunterbruchs,
sofern die Person immatrikuliert bleibt, z.B. wenn eine Studentin bzw. ein
Student die Schlussprüfung beim ersten Mal nicht besteht und auf den zweiten
Durchgang wartet, ohne Ausbildungsleistungen zu beziehen
–– Übrige Urlaubsgründe, z.B. Erwerb von Sprachkompetenzen im Ausland, solange
der bzw. die Studierende keine ECTS-Punkte erwirbt
Quelle: Technisches Handbuch zur Erhebung der Studierenden an den Fach- und
Pädagogischen Hochschulen, BFS.
120 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
121 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Critères pour le renseignement dans la statistique des coûts
– – Le nombre d’étudiants doit être complet et correct; les divergences par rapport
à la statistique des étudiants de l’OFS doivent être expliquées.
– – Les étudiants doivent figurer dans la statistique des coûts, même lorsqu’ils ne
sont pas immatriculés, p.ex. dans le cas d’études additionnelles contenant peu
de points ECTS. Les étudiants des cours de formation continue ne sont en
règle générale pas immatriculés.
– – Les étudiants du secondaire II et, le cas échéant, du secondaire I, qui ont été
immatriculés par deux hautes écoles sont également comptabilisés.
– – Les étudiants immatriculés par d'autres hautes écoles et qui y reçoivent des
prestations d’enseignement, ne sont pas comptabilisés (les coûts doivent également être délimités; voir définition des objets de coûts).
– – Les étudiants en congé ne sont pas pris en compte puisqu'ils ne génèrent pas
de frais. Exceptions:
–– Ne sont pas considérés comme étudiants en congé ceux qui effectuent un
stage professionnel et bénéficient donc de prestations d'enseignement.
– – Les étudiants qui partent pour un séjour de mobilité (outgoings) sont considérés comme immatriculés et ne sont pas mis en congé, en partant de
l’hypothèse que les prestations dont ils bénéficient sont compensées par les
prestations dont bénéficient les étudiants (immatriculés dans une autre haute
école) qui viennent pour un séjour de mobilité (incomings).
– – Pour la formation de base, le nombre d'étudiants est réparti entre les filières
SIUS (y compris études additionnelles, qui sont indiquées séparément dans
la mesure du possible) et les autres filières.
– – Les étudiants de filières non reconnues par la CDIP sont également saisis et
soumis à une délimitation par l'OFS.
–– Pour le secondaire I, les étudiants des niveaux bachelor et master sont recensés
de manière agrégée. Pour établir les statistiques de l’OFS, ils sont au besoin
distingués sur une base calculatoire.
–– Pour la formation continue, une distinction est faite entre les filières de formation
continue (p.ex. MAS, CAS ou DAS) et les autres cours de formation continue,
lesquels ne sont en principe pas sanctionnés par des points ECTS. De cette
manière, l’indicateur «Coûts par point ECTS dans la formation continue» demeure comparable entre hautes écoles.
Points ECTS et équivalents plein-temps
Type de points ECTS
Le nombre de points ECTS utilisé pour la statistique des coûts valable selon le
SIUS est fondé sur les points ECTS inscrits. Ces derniers représentent en effet le
meilleur indicateur de fourniture de prestations. Les points ECTS inscrits forment
aujourd’hui la base sur laquelle repose le calcul des contributions AHES.
Kriterien für den Ausweis in der Kostenstatistik
– – Die Anzahl Studierende muss vollständig und korrekt sein; die Abweichungen
zur BFS-Studierendenstatistik müssen erklärt werden.
– – Die Studierenden in den Studiengängen der Ausbildung sind in der Kostenstatistik des BFS auszuweisen, auch wenn sie nicht immatrikuliert sind, z.B. im
Falle von Erweiterungsstudien mit einer sehr geringen Anzahl an ECTS-Punkten.
Die Studierenden der kursorischen Weiterbildung sind in der Regel nicht immatrikuliert.
– – Studierende der Sekundarstufe II und gegebenenfalls Sekundarstufe I, die an
zwei Hochschulen immatrikuliert sind, werden mitgerechnet.
– – Übrige Studierende, die an anderen Hochschulen immatrikuliert sind und Studienleistungen an der eigenen Hochschule erbringen, werden nicht mitgerechnet
(auch die Kosten sind abzugrenzen; siehe Anhang 2).
– – Die beurlaubten Studierenden werden nicht berücksichtigt, da sie keine Kosten
generieren. Ausnahmen:
– – Studierende, die ein Berufspraktikum absolvieren, beziehen Lehrleistungen
und werden zu den Studierendenzahlen mitgezählt.
– – Outgoing-Mobilitätsstudierende werden nicht beurlaubt und gelten als immatrikulierte Studierende. Dabei gilt die Annahme, dass die Lehrleistungen von
incoming-Mobilitätsstudierenden (Immatrikulation an den anderen Hochschulen)
kompensatorisch bezogen werden.
– – Für die Grundausbildung werden die Studierendenzahlen nach SHIS-Studiengang (inkl. Erweiterungsstudien, nach Möglichkeit aber separat auszuweisen)
und übrigen Studiengängen getrennt ausgewiesen.
– – Die Studierenden von nicht EDK-anerkannten Studiengängen werden erfasst
und für die BFS-Statistiken getrennt ausgewiesen.
– – Bachelor- und Masterstudierende Sekundarstufe I werden zusammengefasst
ausgewiesen und nötigenfalls für die BFS-Statistiken kalkulatorisch getrennt
ausgewiesen.
– – Für die Weiterbildung wird zwischen den Weiterbildungsstudiengängen, die
mit ECTS-Punkten bewertet sind (z.B. MAS, CAS oder DAS), und der kursorischen Weiterbildung, die grundsätzlich nicht mit ECTS-Punkten bewertet wird,
unterschieden. So bleibt eine Vergleichbarkeit bei der Kennzahl «Kosten pro
ECTS-Punkte in der Weiterbildung» möglich.
ECTS-Punkte und Vollzeitäquivalente
Art der ECTS-Punkte
Die Anzahl ECTS-Punkte, die für die gemäss SHIS gültige Kostenstatistik verwendet werden, basiert auf den eingeschriebenen ECTS-Punkten, weil diese der beste
Indikator für die Leistungserbringung sind. Die eingeschriebenen ECTS-Punkte
bilden heute die Basis für die Berechnung der FHV-Beiträge.
Formation pratique
Les directives de la CDIP indiquent que la formation pratique doit comprendre
entre 36 et 54 points ECTS pour le préscolaire et primaire, au moins 48 points
ECTS pour le secondaire I, au moins 15 points ECTS pour le secondaire II et au
moins 20 points ECTS pour la pédagogie spécialisée.
Berufspraktische Ausbildung
Gem. EDK-Richtlinien soll die Praxisausbildung zwischen 36 und 54 ECTS-Punkte
(Vorschul- und Primarstufe), mindestens 48 ECTS-Punkte (Sek. I), mindestens
15 ECTS-Punkte (Sek. II) und mindestens 20 ECTS-Punkte (Sonderpädagogik)
ausmachen.
Prise en compte des points ECTS pour les modules courant sur plusieurs
semestres
Dans la mesure du possible les points ECTS sont répartis sur les semestres
d’étude concernés et sont reportés séparément dans le reporting pour la statistique des coûts.
Lorsqu’une distinction par semestre n’est pas possible, le nombre de points
ECTS est indiqué sous le premier semestre.
Berücksichtigung der ECTS-Punkte für Module, die über mehrere Semester
auftauchen
Soweit möglich werden die eingeschriebenen ECTS-Punkte auf die entsprechenden
Semester aufgeteilt und im Reporting für die Kostenstatistik getrennt ausgewiesen.
Sollte dies nicht möglich sein, werden die ECTS-Punkte nur für das erste Semester ausgewiesen.
122 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
123 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Prise en compte des points ECTS lors d’un échec à un module
– – L’étudiant doit resuivre le module pil est réinscrit au module et les points ECTS
supplémentaires correspondants doivent être comptés dans le reporting de la
statistique des coûts.
– – L’étudiant doit seulement fournir une prestation d’étude complémentaire ou
repasser l’examen pdans ce cas il n’est pas réinscrit au module.
Calcul des équivalents plein temps (EPT)
Le calcul du nombre d’EPT d’un semestre donné est calculé automatiquement
dans le reporting pour la statistique des coûts:
EPT = nombre d’ECTS / 30
Il convient de considérer ici que des études à plein temps correspondent à
30 points ECTS par semestre d’étude respectivement 60 points ECTS par année
d’étude.
Jours de référence
Pour assurer la comparabilité des HEP au moyen de ces indicateurs, il est important de définir clairement la pondération des effectifs d’étudiants concernant les
différents semestres.
Afin que le nombre d’étudiants corresponde aux coûts générés durant une année
civile, les effectifs d’étudiants sont «annualisés» par une moyenne pondérée:
– – Jour de référence 15.10 année précédente: pondération 1/12
– – Jour de référence 15.4 année de référence: pondération 6/12
– – Jour de référence 15.10 année de référence: pondération 5/12
La pondération des différents semestres se base sur le calendrier académique,
plus précisément sur la durée d’engagement des enseignants, harmonisé(e) entre
les trois types de hautes écoles.
Sources des données
Dans ses statistiques officielles sur les étudiants, l’OFS ne dispose que des données
concernant le semestre d’automne. De plus, la statistique de l’OFS ne reflète pas
l’ensemble de la réalité des hautes écoles: p.ex. certaines études additionnelles
visant l’enseignement d’une branche supplémentaire sont exclues du périmètre
statistique en raison du nombre trop restreint de points ECTS qu’elles contiennent.
Pour cette raison, les données concernant les étudiants sont saisies comme
jusqu’à présent par la haute école dans le formulaire directement au moment
d’établir le reporting financier et ce, pour les trois jours de référence.
124 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
Berücksichtigung der ECTS-Punkte, wenn ein Modul nicht bestanden
worden ist
– – Der Studierende muss die Veranstaltungen wieder besuchen pdie zusätzlichen
ECTS-Punkte werden nochmals eingeschrieben und im Reporting für die Kostenstatistik gezählt.
– – Der Studierende muss nur Nachleistungen oder die Prüfung nochmals machen,
ohne die Veranstaltungen wieder zu besuchen pes erfolgt keine Neueinschreibung für das Modul.
Berechnung der Vollzeitäquivalente (VZÄ)
Die Anzahl VZÄ der eingeschriebenen ECTS-Punkte eines gegebenen Semesters
wird anhand der folgenden Formel im Reporting für die Kostenstatistik automatisch berechnet:
VZÄ = Anzahl ECTS / 30
Dabei ist zu beachten, dass ein Vollstudium aus 30 ECTS-Punkten pro Semester
bzw. 60 ECTS-Punkten pro Studienjahr besteht.
Stichtage
Um die Vergleichbarkeit zwischen den PHs zu gewährleisten, ist es wichtig, die
Gewichtung der Studierendenzahlen der unterschiedlichen Semester eindeutig zu
definieren.
Damit die Studierendenmerkmale in einem den Kosten entsprechenden Verhältnis
angegeben werden, erfolgt durch Berechnung eines gewichteten Mittels ihre
«Annualisierung» bzw. der Wechsel von den Studienjahren zum Kalenderjahr:
– – Stichtag 15.10. Vorjahr: Gewicht 1/12
– – Stichtag 15.4. Berichtsjahr: Gewicht 6/12
– – Stichtag 15.10. Berichtsjahr: Gewicht 5/12
Die Gewichtung der einzelnen Semester basiert auf dem zwischen den drei
Hochschultypen harmonisierten akademischen Studienjahr bzw. den Anstellungsperioden für die Dozierenden.
Datenquelle
In seiner offiziellen Studierendenstatistik verfügt das BFS lediglich über Daten für
das Herbstsemester. Zudem bildet die BFS-Studierendenstatistik nicht sämtliche
Hochschulrealitäten ab: z.B. sind aufgrund der geringen Anzahl an ECTS-Kreditpunkten gewisse Facherweiterungsstudiengänge in der BFS-Studierendenstatistik
nicht berücksichtigt.
Aus diesem Grund werden von der Hochschule die Daten zu den Studierenden
wie bis anhin im Erfassungsformular direkt beim Ausfüllen des Finanzreportings
erfasst, und zwar für die drei Stichtage.
125 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
Annexe 5
Anhang 5
Structure des rapports sur les comptes
Struktur Berichtswesen/Reporting
Hautes écoles pédagogiques
www.shsfh.bfs.admin.ch
Pädagogische Hochschulen
www.shsfh.bfs.admin.ch
126 Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques
127 Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen
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Herausgeber | Éditeur
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Thunstrasse 34a
CH-3005 Bern
www.cohep.ch
Publikationen | Publication
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1000 Exemplaires / Site internet de la COHEP
Bern, 2013
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