Quel est ton signe ? Le zodiaque1 à l`épreuve de l`histoire

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MYTHOLOGIES 10
Quel est ton signe ? Le zodiaque
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à l’épreuve de l’histoire
Ce qui est si intéressant dans l’histoire des mythes, c’est qu’ils semblent bien être le
fossile de l’histoire de l’humanité, du chasseur-cueilleur-pêcheur au monde moderne en
passant par l’éleveur, l’agriculteur, l’artisan et le commerçant. Il semble bien en effet que les
légendes, qui font le tour de la terre, aient une source très anciennes, d’avant… le Déluge. Le
culte du Zodiaque est un peu le creuset où reste la croyance quand elle disparaît ailleurs. Mais
il ne s’agira pas ici de croyance, il s’agira d’histoire.
Et si les représentations d'animaux dans les grottes de Lascaux étaient des
représentations des constellations et la grande salle une carte du ciel (du zodiaque pour être
plus précis) ? Et si les grottes où l’on dessinait étaient des endroits sacrés où le soleil et la lune
pénétraient à certains moments de l'année ? Certains chercheurs en font l’hypothèse, tels
René-André Lombard et, plus récemment, Chantal Jegues-Volkiewiez. Le résultat de leur
étude, méthodique et qui interroge à la fois la simple observation, l’anthropologie,
l’archéologie et linguistique, est très convaincant. Cf. film ARTE : Lascaux, le ciel des
premiers hommes, documentaire de Stéphane Bégoin, Vincent Tardieu et Pedro Lima. Et le
site de René-André Lombard : Mythologie, préhistoire, religion calendriers lunaires et rites
saisonniers.
Une partie du texte ci-après vient aussi d’autres sites Internet.
Le zodiaque, des constellations qui se trouvent dans la partie la plus lumineuse du ciel,
celle qui attira le regard de nos lointains ancêtres. Des constellations qui se sont placées
depuis, tandis que les croyances se superposaient jusqu’à ce qu’elles se figent. Le Zodiaque
(mot dérivé du grec zôdion, petit animal) est l'espace du ciel que le soleil semble parcourir
durant l'année. Le zodiaque « occidental », est divisé en douze parties, douze constellations,
les douze signes du zodiaque : le Bélier, le Taureau, les Gémeaux, l'Ecrevisse ou Cancer, le
Lion, la Vierge, la Balance, le Scorpion, le Sagittaire, le Capricorne, le Verseau et les
Poissons.
Les douze signes du zodiaque indien sont décalés par rapport à ceux que nous
connaissons et, alors que l’astrologie en occident repose sur la position du soleil à sa
naissance, en Inde c’est la position de la lune qui détermine la destinée. Cela indique une
antériorité, le pouvoir de la lune ayant intrigué les hommes avant qu’ils n’aient besoin du
soleil pour leurs récoltes.
Le zodiaque de Dendérah représente le ciel étoilé en projection plane, avec les douze
constellations qui forment 36 décans (un décan est une subdivision d'un mois associé à un
signe, chaque signe est divisé en trois décans). Ces cans sont des groupes d’étoiles. Ils sont
utilisés dans le calendrier égyptien, basé sur les cycles lunaires d'environ trente jours et la
récurrence annuelle du lever héliaque de l'étoile Sothis (Sirius).
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Il s’agira, sauf précision, du zodiaque tel qu’on le connaît ici.
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Les signes du zodiaque tels que nous les connaissons viennent des Grecs qui les
avaient hérités de la nuit des temps mais, si la croyance n’a guère bougé, les astres, eux, ont
tourné.
Les 12 signes du zodiaque kabbaliste ont donné leurs noms aux 12 tribus formant le
peuple hébreu. Les correspondances entre les mois de l'année, les tribus d'Israël et les signes
zodiacaux occidentaux sont la matière utilisée pour cette astrologie hébraïque. Le zodiaque
arabo-musulman est lui aussi hérité des Grecs.
Quand au zodiaque celtique, il est le même que celui des autres peuples du Moyen-
Orient et de l’Occident. On le peut voir figuré sur le chaudron de Gundestrüp (Danemark 2e
siècle av notre ère).
L’astrologie chinoise est à la base du calendrier chinois avec un cycle de douze
années, représentées chacune par un animal. Les Japonais ont importé leur zodiaque vers le
7ème siècle et l’ont adapté à leur culture.
L’astrologie amérindienne est basée sur la lune. Les shamans faisaient aux membres
de leurs nations des prédictions selon leur lune de naissance, treize au total, qui correspondent
à des animaux.
La disposition des astres, dans les constellations, évoqua d'abord l'idée de ces
différents signes, et chacun d'eux trouva plus tard sa place dans les mythologies. Ces figures
annonciatrices de moments saisonniers privilégiés marqués par des rites impressionnants, le
plus souvent sacrificiels, apparaissent, comme il est logique, sous forme de personnages,
d’animaux, d'objets sacrés ou de décor (presque toujours nocturne), dans les grandes
séquences mythiques véhiculées par la tradition orale. Les signes du zodiaque se rapportent
donc à des animaux ou à des entités déifiés, c’est-à-dire qu’on les retrouve un peu partout
dans les mythologies. La diversité des interprétations vient en partie du mouvement des astres.
Au temps des premiers astronomes, le point de l'équinoxe de printemps se situait dans
la constellation du bélier. Elle marquait le début des rites de fécondité avec le sacrifice du
printemps sacré. Mais le bélier figure déjà dans l’art pariétal, par exemple en Algérie à Dayet
es-Stel.
Le bélier est divinisé en Afrique, et pas seulement en Egypte, témoin le conte du
monstre-calebasse et du bélier divin qui en est vainqueur.
Des crânes de béliers (et de taureaux) occupaient un emplacement central dans les
sanctuaires de Çatal Hüyük (Turquie) il y a environ 8 000 ans.
Le mouton (ou la chèvre ou le bouc) est le huitième animal du zodiaque chinois.
Le bouc et le bélier apparaissent souvent dans la Bible, souvenir de civilisions
pastorales. Le bouc est représenté comme un émissaire dans le désert et le bélier comme un
substitut de sacrifice humain lors de l'épisode biblique Dieu demande à Abraham de lui
sacrifier son fils Isaac. Un bélier apparaît alors qui sera sacrifié à la place du fils. Sacrifice,
étymologiquement « fait de rendre sacré ».
Iphigènie, elle, est remplacée par une biche. Les gendes gardent en effet le souvenir
du temps des sacrifices humains et de leur remplacement par d’autres offrandes aux dieux.
Les sacrifices humains étaient souvent sacrifices de jeunes mâles, ou de vierges. Souvenir de
la préhistoire, chez les Amérindiens les sacrifices d’enfants devaient assurer larennité de la
population. Dans la Palestine ancienne, les cultes cananéens virent perdurer le sacrifice des
enfants jusqu'au premier millénaire avant l'ère chrétienne. Ainsi le culte de Moloch ( nom
d’une divinité ou d’un rite). Les Phéniciens sacrifiaient des enfants au dieu Baal, les
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Carthaginois à Ba'al Hammon pour obtenir sa faveur, ou à Tanit lors de rites de fécondité. De
ces sacrifices nous restent des histoires d’ogre.
Anthamas, roi de Boetie (Grèce) voulu, sur les conseils de sa seconde femme Ino,
sacrifier ses deux enfants. Pour les sauver Zeus leur envoya un bélier ailé à la toison d'or. Les
enfants montèrent sur son échine et s'envolèrent vers l'Orient. En chemin, à la frontière de
l'Europe et de l'Asie, la fillette tomba dans la mer et se noya. Son frère parvint sain et sauf sur
les rives de la mer Noire il sacrifia le Bélier dont la toison d'or devint l'enjeu de
l'expédition des Argonautes.
Dans certains rites, les moutons sont utilisés comme animaux de sacrifice, notamment
chez les musulmans lors de l'Aïd el-Kebir, pour Pâques chez les chrétiens et symboliquement
toute l’année. Le seizième chapitre du Lévitique (dans l’Ancien Testament), décrit ce rituel :
au jour dit des expiations, le grand prêtre recevait deux boucs. L’un était sacrifié, et l’autre,
chassé rituellement. C’était le fameux «bouc émissaire », chargé d’emporter au loin les péchés
des hommes. Ainsi sa Majesté Carnaval, souvenir des Lupercales romaines les luperques
parcouraient la ville en fustigeant les femmes avec des lanières en peau de bouc. On décide de
le mettre à mort après une parodie de jugementon lui attribue publiquement tous les maux
de l’année écoulée.
Cependant, dans les gendes, le bélier et le bouc figurent souvent le Diable,
représenté tel de dieu grec Pan. Démonisation des forces vitales.
Il semblerait que les Babyloniens, les Grecs, les Perses, et les Egyptiens aient tous
nommé cette constellation « Bélier ». L'an 2787 de la création, ou environ 2797, Tautanus ou
Tauteus étant roi d'Assyrie, une terrible comète apparut en Grèce dans la constellation du
bélier pendant 43 nuits, qui annonça de nombreux bouleversements en Grèce.
Allée des béliers à Karnak (Egyte).
Le « chant du bouc » (en grec trag-ôdia, tragos, bouc, ôdé chant, ode ; même radical
que dragon (drakôn) est à l’origine du nom de la « tragédie », parce que ce type de « chant »
accompagnait les rituels dionysiaques. En effet, le dieu Dionysos s’était métamorphosé en
bouc pour échapper à Typhon, pris d’une furie destructrice.
Dans la mythologie grecque encore, cette constellation représenterait le bélier dont la
toison d'or inspira l’histoire de Jason. Le lier Chrysomallon sauva donc de leur belle-mère
Ino les enfants Phrixos et Hellé. Il fut sacrifié en Colchide (Géorgie) et son trophée fut
exposé en témoignage de la puissance du roi Pélias. Symbole de pouvoir, il fut recherché et
emporté par Jason, avec l'aide des argonautes et de Médée : C’est l’histoire de la conquête de
la Toison d'or, les astres ayant été vus comme de l’or.
Le Bélier était la première constellation du zodiaque tel qu'il fut établi il y a plus de
2000 ans : Du fait de la précession des équinoxes, l'équinoxe de printemps était alors situé
dans le Bélier (il est désormais dans les Poissons).
Le dieu celtique Moltinus (d’où mouton) est un bélier et Belinus ou Beli, le dieu
suprême de la lumière chez les Celtes, se peut comparer à Bel, le dieu babylonien de la terre.
D’autre part Borvo, dieu serpent à tête de bélier, est un dieu guérisseur, associé à l'eau. On a
trouvé dans les sites celtiques beaucoup de chenets à ou en tête de bélier.
En Inde, dans la civilisation védique (période les textes hindouistes canoniques ont
été composés en sanskrit), le Bélier s'apparente à Agni le dieu du feu, le second dieu. Il fait
briller toutes choses, il donne l'intelligence, la force, la santé et la beauté aux hommes. Il est le
chef des sphères cosmiques. En tant que fils aîné de l'être-immense, il pénètre et illumine
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toutes choses. L’or chez les argonautes grecs, ici le feu. Agni, c’est le feu sacrificiel, cela
donne en latin « ignis », le feu, et « agnus », l’agneau.
Signe du taureau. Voir Mythologies 7. Le triangle des Hyades. Grande figure du
secteur étincelant, ce triangle incurvé inaugure l'entrée dans la saison des rites. Figure
marquante du zodiaque que visite la lune, d'son importance dans la religiosité, il est réputé
« maison d'exaltation » de la puissance lunaire : le signe que Dionysos demandait d'observer
en premier. Dans la mythologie grecque, une des plus importantes figures est le dieu
Dionysos, dont le nom signifie « dieu messie », c’est-à-dire envoyé divin. C’est le dieu de la
danse, de la transe, de la vigne, mort et ressuscité tout comme Osiris, Jésus, Quetzalcoatl et
beaucoup d’autres divinités. Il est le dieu du renouveau. Or le taureau est lié au culte de
Dionysos. Il existait dans le dyonysisme ancien traditionnel un Dionysos-taureau.
La tête de bovin (bison, buffle, vache céleste primordiale) toujours retournée par
rapport à son corps qui s'étendait autrefois en entier vers les actuels Poissons, a envahi l'art
sacré. La tête retournée vient de ce que la lune, se plaçant moins vite que les autres astres,
semble aller en sens inverse d’eux, elle va vers la sénestre, dans le sens « sinistre ».
Le bœuf, ou le buffle est un signe du zodiaque chinois
On a vu dans cette constellation une tête triangulaire à l'œil rouge (Aldebaran)
également interprétée en tête de proboscidien (proboscis: trompe »), tapir, sanglier et le mythe
indien de Ganesh donne à penser que ce proboscidien a pu être, dans la préhistoire, un
éléphant, voire un mammouth.
Le porc figure dans le zodiaque chinois.
Est-ce par hasard que le compagnon de jeu de Nounouche, ancêtre de Martine, est un
marcassin ?
Les meaux. Plusieurs mythologies ont vu un couple dans cette constellation, Adam
et Eve par exemple, ou une androgyne. Voir Mythologies 4.
Un mythe dogon dit que le second enfant d’Amma, le dieu créateur, et de la terre,
Nommo, était à la fois homme et femme. Il s’offrit en sacrifice et fut ressuscité par son père
qui créa alors, en les façonnant dans de l’argile, quatre paires de jumeaux
Les deux jumeaux Hunahpú et Xbalanqué sont les deux héros du Popol Vuh (texte
mythologique) des Mayas. Ils avaient pour père Hun Hunahpú, dont la tête tranchée cracha
dans la main de Xquic, fille d'un des seigneurs de Xibalba ; elle fut ainsi fécondée. La tête
tranchée, dans les mythes, c’est la lune, grande déesse des chasseurs-cueilleurs, et c’est
pourquoi l’on tranche encore des têtes.
Selon une première légende égyptienne, du sperme du dieu créateur naissent le dieu
masculin Shou et sa sœur jumelle et épouse, la déesse Tefnout. Isis et Osiris sont aussi des
jumeaux époux.
Les Gémeaux ont les pieds dans la Voie lactée, également vue comme un fleuve, et
pour cela ils sont associés à l’eau. Enki et Ninhursag est un mythe sumérien mettant en scène
deux grandes divinités, Enki maître de la sagesse, le porteur d'eau, et sa parèdre Ninhursag.
Cette grande constellation dessine deux lignes parallèles surmontées de deux étoiles brillantes
rapprochées, qui constituent naturellement les deux têtes jumelles de Castor et de Pollux. Ou
de Romulus et Rémus.
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A propos de Romulus et de Rémus, allaités par une louve. Les canidés ne figurent pas
au zodiaque occidental mais bien chez les Amérindiens (loup) et en Chine (chien). Ce canidé
céleste a été vu comme un renard, la Voie lactée lui dessinant une queue touffue et lumineuse.
Le Canigou est la montagne sacrée des Catalans. Canicula, petite chienne, c’est ainsi
que Tibère appelait Cerbère, le chien qui gardait les Enfers. Constellation de la Canicule ou
du Petit Chien, où, il y a 8000 ans, point l’étoile Sirius au-dessus du Canigou,en même temps
que le Soleil à l’époque des grandes chaleurs estivales. Le Canigou domine une côte qui
s’achève au cap Cerbère.
L'Inde garde elle les traces d'un ours, Riksha, détenteur du joyau le plus brillant du
ciel, la Syamantaka, Sirius, l’étoile la plus brillante. Cette silhouette d'ours redressé, gardien
du flot des âmes, qui correspond assez bien aux lignes de la constellation, peut être une des
clefs de l'apparition de l'image de l'ours dans bon nombre de mythes et de cultes en accord
avec l'hibernation saisonnière si remarquable de l'ours qui s'endort en automne pour s'éveiller
à la pleine lune voisine de l'équinoxe de printemps (voir Mythologies 9).
Le Cancer. Il y a 2000 ans, le soleil y atteignait son solstice d'été avant de se remettre
à décliner. C'est sans doute pour cette raison que les Chaldéens (Babyloniens), par analogie à
la démarche à reculons du crabe, l'assimilèrent à ce crustacé. Il fut pourtant aussi nommé
tortue à Babylone. Les Egyptiens y voyaient plutôt le scarabée de Khépri, dieu du soleil
levant. Le crabe se trouve cependant aussi dans le zodiaque égyptien.
Dans la mythologie grecque, le signe est consacré à Carcinos, l'écrevisse géante
qu'Héra suscita pour gêner Héraclès dans son combat contre l'Hydre de Lerne. Il est donc
associé au dragon. Héraclès fut piqué au talon (cfr. Mythologies 1) mais il écrasa de son pied
l'écrevisse. Pour la récompenser de sa mission, Héra la plaça parmi les étoiles et forma la
constellation. C’était aussi la Porte des Hommes, d'où les âmes provenaient pour pénétrer
les corps à la naissance.
Les Chinois y voient le refuge des âmes, représentées par son amas d'étoiles. Dans les
mythologies chinoise et japonaise les rois-dragons sont les souverains des quatre mers
entourant la terre du centre. Ils vivent chacun dans un palais sous-marin, gardé par des
écrevisses, et ont sous leurs ordres une armée dont les généraux sont des crabes.
Le Lion. C'est l'une des constellations les plus anciennes et les plus connues. Elle est
typiquement solaire. Son nom l’indique qui est de la famille d’Hélios, le soleil en grec, d’Elie
également. Hélios mènent le char du solei, Elie est représenté au ciel dans un char de feul.
« Voici ce qui arriva quand le Seigneur fit monter Elie au ciel dans la tempête. Elie et Elisée
quittaient Guilgal. Tandis qu'ils poursuivaient leur route tout en parlant, voici qu'un char de
feu et des chevaux de feu les séparèrent l'un de l'autre ; Elie monta au ciel dans la tempête.
Le premier travail que le roi d’Argolide (Grèce) imposa à Héraclès (Hercule) fut de
tuer et de ramener le lion de Némée qui ravageait son pays et dont la peau était si dure que ni
le fer ni l'airain ne pouvait l'entamer.
En Egypte, au milieu de restes de chats momifiés, gisait un lion. L'animal a été inhumé
dans la tombe de Maïa, la nourrice royale de Toutankhamon.
Les Babyloniens, les Hébreux et les Perses associaient aussi le soleil au lion, cet
animal à crinière flamboyante. Le lion solaire est l’emblème de l'Iran.
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