IV
Remerciements
Cette thèse est sans contredit le fruit de mes efforts, mais sa réalisation fut en bonne partie
possible grâce à l’entière et gracieuse collaboration de plusieurs personnes. En tout premier
lieu, je tiens à remercier mon directeur de thèse, M. Claude Lavoie, pour le support
pédagogique et technique qu’il a su m’apporter. Je lui suis également reconnaissant pour la
confiance dont il a fait preuve en m’offrant de poursuivre un doctorat avec lui. Mentionnons
également la participation de mon codirecteur, M. André Desrochers, qui m’a prodigué de
judicieux conseils à chacune de nos rencontres. Mes remerciements vont également aux autres
membres de mon comité de supervision, soit MM. Marius Thériault, André Bouchard et Jean-
Pierre Savard et à Mme Monique Poulin pour l’intérêt qu’ils ont porté à mes recherches.
Je remercie particulièrement mes assistants de terrain, soit Vicky Albert, Magali Crevier,
Yvon Jodoin, Laurence Letarte et Claudia Zimmermann. Ce fut un honneur (et un plaisir!) de
vivre à leur côté pendant deux étés. La qualité de mes données découle en grande partie de
leur dévouement et de leur rigueur. Mes remerciements vont également à MM. Robert
Gauthier et Claude Roy et à Mme Michelle Garneau de l’Herbier-Louis-Marie, pour leur
support et leur coopération dans l’identification d’un nombre impressionnant de sphaignes,
mousses, hépatiques, lichens et autres végétaux. Je suis particulièrement reconnaissant envers
M. Marc Girard, pour l’aide précieuse apportée dans mes analyses multivariées et envers
M. Bruno Drolet, pour son aide en matière d’échantillonnage de la faune aviaire.
J’aimerais également souligner la chaleureuse participation de Mme Stéphanie Pellerin, non
seulement pour le prêt gracieux de ses données historiques, mais également pour l’aide et les
conseils précieux apportés à chaque étape de la réalisation de cette thèse. Après moi,
Stéphanie est certainement la personne qui a lu le plus de versions préliminaires et de
manuscrits issus de mes travaux. Ce doctorat n’aurait pas été le même sans son support.
Je tiens à remercier tous les membres actuels et passés du Laboratoire d’écologie historique
(LEH), du Groupe de recherche en écologie des tourbières (GRET) et du Centre de recherche
en aménagement et développement (CRAD) pour leur support tant académique que technique
et pour le cadre de recherche stimulant dans lequel ils m’ont permis de travailler. Parmi ceux-