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LECTURE
LECTURELECTURE
LECTURE
138
À mon tour
de raconter
Je décris le texte
1. Observe la présentation de ce texte.
Qu’a-t-elle de particulier ?
2. Y a-t-il des vers ? des rimes ?
3. Quel est le titre du livre d’où est extrait
ce texte ? Pourrais-tu y trouver un texte
sur la campagne ?
4. Relis le texte entre les lignes 5
et 17. Observe la terminaison
des derniers mots de chaque vers.
Que remarques-tu ? Comment
appelle-t-on ces terminaisons ?
5. À quel genre littéraire ce texte
appartient-il ?
Je comprends le texte
1. Qui parle dans le texte ?
2. cette personne se trouve-t-elle ?
Comment est-elle installée ?
Que fait-elle ?
3. Que font les gens ?
4. S’intéressent-ils aux autres ?
5. Quels gestes aurait dû faire celui qui
observe sa cité ? Pourquoi aurait-il
faire cela ?
6. L’a-t-il fait ? À ton avis, pourquoi ?
7. D’après toi, le titre de ce texte est-il
bien choisi ? Pourquoi ?
139
J’élargis mon vocabulaire
1. Donne la défi nition des verbes voir
et regarder.
2. Dans chaque liste, trouve l’intrus qui n’a pas
un sens proche du verbe en rose.
parler – s’exprimer – discuter – bavarder –
divaguer – causer – converser
gesticuler – gigoter – traverser – bouger –
remuer – s’agiter
pleurer – sangloter – pleurnicher –
pleuvoir – larmoyer
3. Parmi ces défi nitions, laquelle correspond
au sens du mot laient (ligne 9) ?
transformer une matière et en faire du fi l
s’enfuir
aller rapidement
suivre quelqu’un sans qu’il le voie pour
le surveiller
J’améliore ma lecture
1. Entraîne-toi à lire assez rapidement
le poème de la ligne 5 à la ligne 17
pour donner l’impression
de mouvement.
2. Relis à voix haute le poème de la ligne 30
à la ligne 32. Fais attention
à la ponctuation pour bien mettre le ton.
Raconte une scène qui s’est passée
dans la rue près de chez toi.
À mon tour
de raconter
Raconte une scène qui s’est passée
dans la rue près de chez toi.
Il s’en passe des choses
dans ma cité
1
5
10
15
Il s’en passe des choses dans ma cité. Il n’y a qu’à
regarder. Moi, un jour, j’ai dit : « J’arrête, je regarde. »
J’ai posé par terre mes deux sacs. Je me suis assis.
J’ai regardé.
Les gens venaient
Les gens marchaient
Les gens passaient
Les gens tournaient
Les gens laient
Les gens glissaient
Les gens dansaient
Les gens parlaient
Gesticulaient
Les gens criaient
Les gens riaient
Les gens pleuraient
Disparaissaient.
s’attarder : prendre
son temps.
20
25
30
Il s’en passe des choses dans ma cité. Il n’y a qu’à
regarder. On voit de tout, on peut tout voir. Mais ce
qu’on ne voit jamais dans ma cité, c’est un regard.
Un regard qui vous regarde et qui s’attarde.
Les gens naissaient
Les gens vivaient
Les gens mouraient.
Et moi je restais sur mon banc de pierre, encadré
par mes deux sacs. Je regardais.
C’est merveilleux : partout il y a des femmes
partout il y a des hommes,
partout il y a la vie.
J’aurais me lever. Leur tendre la main.
Leur dire : « Salut.
Bonjour ! J’existe. Et vous ? Vous existez ? »
Je suis resté assis.
Le plus souvent, c’est ainsi que les choses se passent.
Guy Foissy, in La Ville des poètes,
Jacques Charpentreau, coll. « Fleurs d’encre »,
© Guy Foissy, Le Livre de Poche Jeunesse, 1997.
gesticuler : bouger
dans tous les sens.
THÈME 10 : La ville
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