Lors de la composition de mon jury de thèse, Isabelle m’a dit qu’il serait bien que je réfléchisse moi-même aux
personnes que je désirais contacter. Ce ne fut pas pour me déplaire, et mes choix se sont alors tournés vers les personnes qui
me paraissaient les plus compétentes pour juger mon manuscrit. Au final, tous « mes vœux » ont été respectés et pour cela je
remercie sincèrement les docteurs Lucas Waltzer, Paul-Henri Roméo, Luc Pardanaud, Maurice Wegnez et Bruno Péault.
C’est pour moi un grand honneur de les compter parmi les membres de mon jury.
Je remercie William Vainchenker de m’avoir accueilli dans son unité. Mon passage dans son laboratoire à la pointe
de la technique m’aura permis de développer de multiples compétences auxquelles il n’est pas toujours facile d’accéder.
Je remercie l’Association pour la Recherche contre le Cancer et l’Institut Gustave Roussy de m’avoir fournis les
financements qui m’ont permis de réaliser mes travaux de thèse.
Isabelle, je crois que je n’ai pas besoin de te rappeler combien je te suis redevable. Tu m’as permis d’accéder à mon
plus grand rêve et je suis extrêmement fier d’avoir travaillé au sein de ton équipe. Je me rappelle encore mes premières visites
à Nogent, quand je cherchais un stage pour mon DEA. A l’époque, pour moi, avoir la possibilité de travailler à l’Institut
d’Embryologie, ce n’était pas rien… D’ailleurs au départ, j’étais « comme qui dirait » plutôt timide, et il m’aura fallu du
temps avant d’arriver à vous tutoyer, Michèle et toi. C’est en comptant sur tes grandes qualités relationnelles et sur la
confiance que tu m’as accordée que j’ai progressivement fait ma place au sein de l’équipe. Le plus important je crois,
lorsqu’on fait de la recherche, c’est d’être capable de continuer à s’émerveiller et de ne pas se prendre trop au sérieux.
« Isabelle, viens voir, j’ai un truc, c’est vraiment génial ! », combien de fois j’ai pu te téléphoner de la pièce d’à côté pour te
dire ça ? Reste qu’à chaque fois, tu accourais… et que la plupart du temps, c’était l’excuse d’une longue conversation où l’on
pouvait confronter nos idées, d’égal à égal, et c’est là, je pense, ta plus grande qualité ! Ces dernières semaines ont, à mon
sens, été un concentré de tout ça, et j’ai vraiment pris un réel plaisir à travailler avec toi. Alors que je papillonne entre
Villejuif et ma Bourgogne natale, tu ne m’as pas lâché d’une semelle et tu m’as soutenu dans toutes mes démarches. Isabelle,
trouve dans ces quelques mots toute ma gratitude et encore merci pour tout.
Merci Michèle pour tout ton soutien, tant moral que technique. Sache que je respecte profondément ton courage et
ta gentillesse. « Face à la mer », c’est ce que chantait Etienne à Bernières, les vacances en Normandie… Pleins de souvenirs
dans cet appartement, les pieds dans l’eau, c’était formidable ! Ces dernières semaines, avec tous ces allers-retours, je dois dire
que de vous retrouver Isabelle et toi autour du café, tôt le matin, c’était vraiment très agréable, ça me manquera. Mais je sais
qu’on ne se perdra pas de vue, et je ne manquerai pas de venir vous rendre visite.
Je tiens également à remercier Olivier Albagli. Son arrivée au laboratoire constitue un tournant décisif dans
l’histoire de ma thèse. Sa rigueur et son expertise en biologie moléculaire m’ont permis de faire des progrès plus que
significatifs dans ce domaine. J’ai pris un réel plaisir à le côtoyer et ceci m’aura permis d’apprendre à être plus précis dans
mes actions et dans ma façon de raisonner. Pour tout ce que tu m’as apporté, je te remercie Olivier.
Je tiens également à remercier Aline, qui m’a aidé à « tourner » mon premier manuscrit de thèse, lors d’un week-end
de folie que je ne suis pas prêt d’oublier, merci vraiment.
Vient le moment de parler un peu de mes collègues, étudiants, thésards, techniciens, docteurs ou plus encore. Il serait
difficile de faire une liste exhaustive et c’est pour cela que je remercie ici en quelques mots tous ceux que j’ai côtoyé de près ou
de loin, qui m’ont aidé dans les manips ou permis de passer de bons moments dans ce laboratoire. Pour être plus précis, n’en
déplaise à la rumeur, mes premières pensées reviennent à Sabrina. Pourquoi Sabrina ? Et bien tout simplement parce j’ai