1
Cabinet
Laboratoire
Techniques
avancées
en
implantologie
basale
chirurgico-prothétique
G.
ODIN
,
Chirurgien-maxillo-facial
G.
SCORTECCI
Chirurgien-dentiste
F.
LEVRATTO,
L.
MORIN
Prothésistes dentaires
Comment
réhabiliter
les
mâchoires
atrophiques
sans
compromettre
le
faible
capital
osseux
initial?
Quand
faut
-il
s'abstenir?
Comment
restaurer
esthétiquement
et
fonctionnellement
les
pertes
dentaires
et
gi
ngiva
l
es
de
grande
étendue?
Comment
assurer la
maintenance
à
long
terme
7
Quell
es
sont
l
es
éventuelles
complications
7
Stratégie
prothétique
mai-juin
2011
vol
11.
n° 3
L
implantologieostéointégr
ée
« ad modum
))
Brânemark
est ritablement apparue
dans
le
monde odontologi-
que
au
début des années
quatre-vingt (une premiè
re
publication
de 1977 était passée inaperçue).
De
fait,
c'est l'ouvrage de 1985 « Ti
ss
ue-Inte-
grated Prostheses » qui a
se
rvi de base
à l'implantologie actuelle. Cet ouvrage
révèle
le
s moyens utilisés à l'époque
pour traiter l
es
édentés totaux, (essen-
tiellement mandibulaires!. afin de leur
restituer structurellement
et
fonction-
--
--------
----
--
------
---
-----------
---
~
Implantalagie basale -
G.
Odin
et
coll.
1
Fig
. 1
Patien
t
éde
n
complet
dès
l'
âge
de
27
ans. Noter
l'im
portant
effondrement des tissus
faciaux.
Fig. 2
Vue
intra-
ora
l
e:
ma
croglossie,
pa
lais plat,
absence de crête à la
mandibul
e.
Cette
si
tuation
empêche la t
en
ue des
prothèses
co
mplèt
es
conventionne
ll
es.
Fig.3
Panoramique
montrant
un
e résorpti
on
subt
ota
le du maxillaire.
À
la
mandibul
e.
les
émergences crest
ates
des
nerfs alvéolaires inférieurs
interdisent l'utilisation
d'implants cylindriques
conventionnels en dehors
du secteur mentonnier.
2
nellement
un
e situation proche de l'état
denté à l'aide de prothèses ostéoanc
es
sur p
il
oti
s.
Celle
thode permellait de
pré
ve
nir l
es
futur
es
résorptions osseuses
engendrées par la prothèse amovibl
e.
Brânemark précon
isa
it de dissocier la po
se
d
es
fixtures de ce
ll
e de la prothèse. Cette
dernière était r
éa
li
sée plusieurs mois plus
tard avec
un
e chirurgie de réouverture et
mise
en
fonction. Aux e
ff
ets bénéfiques
re
ssentis
au
niv
ea
u de la cav
it
é buccale
s'ajoutaient l
es
conséquences positives,
sur
le
plan psychosocial, de la disparition
de l'état d'invalidité qui perturbait forte-
ment le vécu de ces patients.
COMMENT
RÉHABILITER
LES
MÂCHOIRES ATROPHIQUES
SANS COMPROMETTRE
LE
FAIBLE CAPITAL OSSEUX
INITIAL?
Aujourd'hui, des progrès considérables
repoussent l
es
limites du possible: ostéo-
tenseurs, cellules souches autologues,
PRF,
assistance informatique, implantolo-
gie basale, biomatériaux
de
comblement,
mise
en
charge immédiate, le " tout zir-
cone » permettent
au
patient de retrouver
des dents fixes avec
un
rendu esthétique
de qualité.
Cepe
nd
ant, plusieurs questions doivent
être approfondies
ava
nt
le tra
it
ement
implantair
e.
Quand
faut-il
s'abstenir?
Thérapie de confort,
l'im
plantologie den-
taire
se
pratique sur terrain
sa
i
n,
non tab
a-
gique, médicalement stable et contrôlé.
Dans le cas contraire,
il
va
ut mieux s'abs-
tenir.
Un
e
fl
exion
en
amo
nt
,
in
cluant le
coût ainsi que l
es
méthodes alternatives,
3
est indispensable.
Il
est nécessaire
d'
ex-
pliquer
au
patient l'en
se
mble des étapes
qu'il devra franchir de façon à déterminer
s'il est apte à être
ca
nd
ida
t. Le but ultime
de l'
ac
te implantoprothétique est de lui
restituer des dents esth
ét
i
co-fo
nction-
nelles pére
nn
es. Cet objectif se heurte à
des difficultés économiques, biologiqu
es,
techniques, psychologiques, socioprofes-
sionne
ll
es
et m
éd
ico-légales qui doivent
être
éva
lu
ées
en
term
es
de bénéfice/
ri
s-
que.
Un
e information éclairée aussi com-
plète et compréhensible que possible
se
ra
fourn
ie
au patient qui doit disposer d'un
délai de réflexion pour accepter le traite-
ment. C'est donc
un
e approche pluridis-
ciplinaire
divers acteurs sont consu
lt
és
avant chaque
in
terven
ti
on. Pour les per-
so
nn
es âgées,
il
est utile
d'y
associer l
es
proches. En cas de tute
ll
e,
cela devient
obligatoir
e.
Quel
type
d'implantologie
pratiquer?
Avec
quelles
options
prothétiques?
L'analyse, étape par étape,
d'
un
e habili-
tation complète maxi
ll
o-mandibula
ir
e chez
un
pilote
d'h
é
li
coptère de
48
ans édenté
totallfi
g.
1,
2,
31 suite à divers échecs de
la
dentiste
ri
e,
mais
éga
lement de l'implan-
tologie illustre la méthodologie adaptée à
ce type de situation.
Matérialisation
du
projet
prothétique
Ce
la passe nécessairement par la confec-
tion de prothèses compt
es
qui
se
rviront
à concrétiser le projet et établir des guides
radiologiques
un
e fois qu'une esthétique
satisfaisante et qu'une occ
lu
si
on
correcte
on
t été obtenues.
Stratégie
prothétique
mai·juin
2011
vo
l 11, n° 3
----
--
------
--
--
4
Planification implantaire
et reconstruction
stéréo-
lithographique
7
Les
avan
cées
du
numérique
ont
cons
i-
dérablement facilité le diagnostic et le
pronos
ti
c.
L
es
modèles stéréo lithogra
phi
-
ques (fig.
41
(Matérialise Dental,
Fran
ce
l
sont
un
e aide précieuse.
En
parallèle,
la
planification virtuelle de
la
position des
futurs implants,
en
accord avec
le
co
ul
oi
r
prothétique, permet d'anticiper les options
chirurgicale
s.
APPORT
DE
L'IMPLANTOLOGIE BASALE
L'os
ba
sa
l (fig.
51
constitue l'architecture
squelettique résiduelle lorsque l'os alvéo-
laire a disparu; on dit de ce dernier qu'il
naît, vit et meurt
av
ec la dent. L'implan-
tologie b
asa
le regroupe l'en
se
mble des
techniques -axiale
(vi
s
),
laté
rale
(disque
),
greffe,
so
ul
evé
de sinu
s,
activation ostéo-
géniqu
e,
di
straction, et
c.
-qui conce
rn
e
l'aménagement et l'équipement de cette
struc
tur
e
anatomique
fondamen
tale.
1
Cabinet
Laboratoire
5
8
Fig. 4 La reconstruction sté
réo
lith
ographique
(Mat
éria
li
se
) met
en
év
id
ence la
résorption
osseuse
extr
ême
du
maxillair
e.
Fig. 5
Dispar
ition
de
l'o
s
alvéolaire,
ne r
es
te.que
le
sque
lette
basal.
Fig. 6 L'implanta/agie b
asa
le
fait
app
el à d
es
moyens d'ancrage
dan
s l
es
parti
es
l
es
plu
s
sis
ta
nt
es
des
pi
li
ers de
la
face
(ar
cade
zy
gomatique.
pili
er
canin,
épine
nasale
a
nt
érie
ure,
apophy
ses
ptérygoïd
esl.
Fig. 7
Un
e
foi
s
le
s
impl
a
nt
s
install
és.
l
es
communi
ca
tion
s
bUCCQ
-
sinusiennes
sont
comblées.
Tout
es
le
s parties
métalliqu
es
so
nt
re
co
uv
e
rtes
d'os
du
forage,
de
bioma
tér
iaux
et de
PAF.
Fig
. 8 48 he
ures
plu
s ta
rd
,
un
bridg
e
os
t
éoanc
vissé
de
forte
ri
gidité
se
rt
de
fix
ate
ur
externe à l
'e
n
se
mble
du
di
sposi
tif
ost
éoa
ncr
é.
Ainsi, l'implantologie basale ne désigne
pas
un
type spécifique d'implant, m
ais
un
ensemble de méthod
es
qui perme
tt
ent
de
re
stituer une masti
ca
tion fonctionne
ll
e
implantoportée et/ou implanta-stabilisée
grâce à
un
appui sur ces zones corticales
non résorbables du squel
ette
maxillo-
facial (fig.
6,
7,
81.
Pour
notre patient, qui sirait
de
s dents
fixes rapidement pour rai
so
ns
profession-
nell
es
, c'est l'approche par implantologie
basale avec mise
en
fonction imméd
ia
te
Stl'atégie prothétique mai·juin
2011
vol
11,
n° 3
1
Implantalagie basale
G.
Odin
et
coll.
9
Fig. 9
60
jours
avant l'intervention,
l'ostéotenseur manuel
transperce l'ensem
bl
e
de
la
future zone à opérer
au
travers d'un guide
d'imp
act.
Fig.
10
Coupe scanner
du
sect
eu
r si
nu
sien droit.
Montage
vi
sua
li
sant
la
pénétra
ti
on de
l'ostéotense
ur
à l'intérieur
de
la
cavité sinusienne
dans 3
zo
n
es
d'impacts
(cresta l
e,
vestibulaire et
palatine).
Fig.
11
Ostéotenseur
manuel dans le secteur
latéral mandibulaire
concernant uniqueme
nt
le pér
io
ste.
10
qui a été choisie. Après une chirurgie de
cett
e envergure, un bridge ostéoancré
vissé doit être
in
sta
ll
é au plus vite.
Véri
-
table fixateur externe de forte rigidité,
ce
bridge garantit une parfaite immobilité
des implants basaux et des greffes de
recouvrement pendant la phase d'ostéoi
n-
tégrati
on.
Préparation ostéogénique
pré-implanta
ire
Initiée en mai 2005, ce
tte
étape fait
auj
ourd'hui partie d'une procédure
sys
t
é-
mat
iq
ue dans pratiquement tous l
es
cas
de figu
re.
Le
but est de préparer le futur
site à implanter ou à greffer par
l'
ac
tiva-
tion et le recrutement des cellules so
u-
ch
es
au
tol
og
ues.
On
utilise
un
instrument
spécifique (Ostéotenseur matriciel) 45 à
90 jours
ava
nt l'inter
ven
tio
n,
se
lon la com-
plexité du cas et l'âge du patient. L'inté-
rêt est de vasculariser et
ce
llulari
se
r le lit
rec
eve
ur atrophié et
sc
lérosé suite
au
p
or
t
d'une prothèse complète pendant plu-
sieurs a
nn
ées.
L'application d'une anesthésie topique à
l'aide d'un gel est s
ui
vie d'une injection
très lente d'anesthésique faiblement
ad
r
é-
naliné (alphac
aïn
e
1/200000).
L'ostéoten-
se
ur matriciel a été utilisé uniquement
en
manuel pour le m
axi
ll
aire au travers d'un
guide d'impact 60 j
ou
rs
ava
nt l'implanta-
tion (fig.
9).
Il
faut s'assurer qu'il n'existe
aucune pathologie
si
nu
sienne (consulta-
tion
OR
L préalable) car
la
so
nd
e traverse
le plancher et
la
membrane de Schneider.
Ell
e doit pénétrer dans le sinus, cavité
aérienne dépourvue de structure vitale
(fig. 10).
Ce
geste, bien que peu invasif
et totalement « flapless ",
se
a
li
se
sous
flash antibiotique
(3
g d'amoxicilline
en
11
une seule prise
V,
heure avant).
Chez
ce
pati
en
t.
à t
~
0,
la
densité était
si
f
aib
le
(os
de ty
pe
IV)
que
l'ostéoten
se
ur
s'enfon
ça
it
jusqu'à
la
garde en pratiquement tous
points du guide d'impact,
sa
uf
au
niveau
du
plancher des fosses nasales.
À
la
mandibule, l'os est plus dense,
nous réalisons
av
ec l'
os
téotenseur rotatif
un
seul impact profond de 8 à
11
mm
par
implant, uniquement dans
la
zo
ne sym-
physaire
(5
impacts rotatifs au tota
l)
. Pour
le
s secteurs latérau
x,
no
us
nous limitons
à des impacts manuels
(1
impact tous l
es
3 mm)
au
travers du périos
te
(fig.
11)
qui
est directement im
pl
iqdans la néoan-
giogénèse et
la
cellula
ri
sa
tion.
L'acte implantoprothétique
Après l'anesthésie loco-régional
e,
on
com-
mence
par
vérifi
er
l'effet ostéotenseur à tra-
vers le guide d'impact.
60 jours plus
tôt la sonde pouvait pénétrer sans effort
dan
s
un
os
friable, nous rencontrons une
surface dure, extrêmement
sistante à
la
pression manuell
e,
et qui s'oppose à l'en-
fo
ncement. C'est
le
résultat du
ca
l osseux
de
type
Il,
qui s'est constitué à cet
end
r
oi
t.
Lopération peut alors s'effectuer
so
it
so
us
AG,
so
it au bloc ambulatoire du cabi
ne
t
dentai
re.
C'est cette dernière op
ti
on qui a
été retenue pour ce patient avec u
ne
séda-
tion IV et prélèvement de
PRF
(Platele
t-
Ri
ch Fibrin). Une antibi
op
rophyla
xie
de 3 9
d'amoxicilline et 100 mg d'Atarax ont été
donnés une demi-heure
avan
t.
Ap
rès élévation
d'un
lambeau
muco-
périosté de pleine épaisseur, 8 implants
ont été
in
stallés
au
m
ax
illaire:
17
et 27: implants Structure Monobloc
tubéro-ptérygoïdiens (cylindrique micro-
fileté h
~
18
mm
0 3,75 mm)
Stl'atégie prothétique mai·juin
2011
vol
11 , n° 3
12
16
et 26: Diskil11plant à plaque (33 x
9111111)
avec 2 vis d'ostéosynthèse
13
et
23:
Diskil11plant à plaque (33 x
9mm) avec 2 vis d'ostéosynthèse
11
: Fratex de
12
mm,
03,3
mm
.21
: Fractal
(03.75;
h =
11
mm)
Au
niveau des communications bucco
sinusiennes osseuses,
la
membrane de
Schneider a é
repoussée à l'aide de plu-
sieurs couches de membrane
PRF
que
l'on refoule à leur tour avec de l'interpore
introduit à
la
se
ringu
e.
Les Diskimplants
à plaque ostéosynthèsés à l'aide de vis
intrazygomatique de 5
mm
sont ensuite
recouverts d'os de forage, puis d'un bio-
matériau ainsi que d'une double épaisseur
de
PRF.
Une incision de décharge hori-
zontale
au
niveau du périoste vestibul
aire
permet
la
relaxation
du
lambeau, qui doit
se
repositionner de f
açon
passive lors des
sutures
au
fil résorbable 2.0 et 3.0.
À la
mandibule
: 5 implants Fractal
(03.75;
h =
11
mm) sont
in
stallés
en"
f
la
-
pless
))
entre l
es
trou
s mentonniers. En
positions
47
et
37,
deux Diskimplants à
plaque (43 x 9mm) sont placés avec 5
vis
d'ostéosynthèse
de
5 mm sur chaque
pla-
que en " full flap " (fig.
12).
Celles-ci sont
entièrement recouvertes
par
l'os de
forage
mélangé à
un
biomatériau de faible gra-
nulométrie IPérioglas) et
de
membranes
PRF.
Là
aussi,
une
in
cision
de
décharge
du
périoste vestibulaire assure une fermeture
parfaitement
é
tanche
sans
aucu
ne
tension.
Prise d'empreinte immédiate
L'empreinte est prise
au
bloc op
éra
toire
juste apr
ès
l
es
sutures. Nous utilisons des
piliers transgingivaux à connectique pl
ane
1
Cabinet
Laboratoire
13
capables de répondre prothétiquement à
tous l
es
deg
rés
d'inclinaison implantaire,
sans avo
ir
recours aux piliers angulés
(fig. 13). Cette connectique garantit une
prise d'empreinte passive et précise, grâce
aux transferts
tran
svissés, reliés entre eux
avec de la résine Luxabite
(PRED)
et des
tiges
ri
gides. Une barre transverse pl
a-
cée de molaire à molaire empêche toute
flexion de l'arc
de
so
lidarisation.
La
pâte à
empreinte (alginate ou
si
licone) est
in
sé-
e à
la
spatule ou à
la
se
ringue autour du
dispositif sans
be
so
in
de porte-empreinte.
Le
retrait
se
fait
en
pick-up
par
dévissage
occlusal des vis de transferts.
Enregistrement de l'occlusion
Les
prothèses
complè
tes l
argemen
t
évidées servent de porte-empreinte au
Permlastic dont
la
prise s'e
ffe
ctue en
occlusion (fig.
14,
1
5).
Les
maîtres modè-
les sont montés en
ar
ticulateur grâce
à ces prothèses. Le laboratoire confec-
tionne deux cires
sur
base rigide vissée
sur l
es
ana
logues d'implants avec 6 dents
antérieures maxillaire et mandibulaire pour
l'esthétique. L'occlusion
es
t alors enregis-
trée à nouveau pour confirmer
la
bonne
position des moulages.
Le
laboratoire r
éa
-
lise
un
montage à l'aide des dents résine
du
commerce puis fabrique
par
mono cou-
lée ou par prototypage une armature en
chrome cobalt chirurgical de forte rigidité
profilée en " L " pour accroître la résis-
tance à
la
fl
exio
n.
Des préformes (bagues
usinées) en titane sont co
ll
ées (colle pour
attachement) à
même
l'armature dans
des logettes prévues à cet effe
t.
Le
proto-
typage supprime cette étape.
Fi
g.
12
Disk
impl
ants
à
plaque
avec
2 et 5
œi
ll
ets.
Fig.
13
La
co
nnec tique
plane
permet
de
gérer
des
in
c
linai
so
ns
implant
a
ir
es
de
45° et
plus
.
En
cas d'émergence en
plein
milieu
de
la
face
vestibulaire
d'une
dent,
le
laboratoire
fabriqu
e
à
cet
e
ndroit
une
coiffe
unitaire télescopée avec
une
clavette
linguale
au
palatin pour le démontage.
L'utilisation
de
piliers
a
ngul
és
n'est
pas
n
écessai
re.
Stratégie
prothétique
moi·juin
2011
vol
11,
nQ 3 -
--
- .
----
- - -
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- - - - - - --
--
-
-8
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