Dissertation Sujet de Bac

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Dissertation Sujet de Bac :
Appréciations :
20
Le théâtre est né dans l’Antiquité avec les premiers philosophes tels
que Aristote au milieu du XVIIème siècle. Son rôle à cette époque-là va être
de répondre à l’ensemble des règles inspirées du théâtre antique. C’est un
spectacle vivant qui a été revisité plusieurs fois dans les différents siècles.
Les principaux théâtres ont été ceux du XVIIème siècle et du XVIIIème
siècle. La principale idée du théâtre est la morale qui s’emploi devant une
conclusion d’ordre moral, sentencieux ou ironique. Le théâtre peut se
trouver confronter à deux types d’écoles qui sont ceux de l’immoralité et de
la vertu. L’école d’immoralité est l’opposition aux principes de la morale.
C’est l’absence de ces principes. La vertu est la capacité à faire du bien, être
efficace à quelque chose.
Est-ce que le théâtre est une école d’immoralité ou de vertu ? Dans un
premier temps, nous allons essayer de définir ce qu’est une représentation
théâtrale. Dans un second temps, de déterminer la oralité du théâtre sous
toutes ses formes.
Tout d’abord, le théâtre a beaucoup évolué sous plusieurs manières ;
mais son premier objectif était, et est toujours, de divertir le public ; les
spectateurs. Voici pourquoi le théâtre est né. Nous pouvons dire que le
théâtre diverti le public car c’est un spectacle vivant ; où il y a des
personnages sur scène en train de jouer leur pièce. Les spectateurs ont
l’impression de faire partie de la pièce notamment grâce au théâtre à
l’italienne qui apparaîtra quelques siècles après le théâtre antique. Ainsi,
C'est en plein centre de Venise qu'est apparu le premier théâtre de ce genre
le Teatro San Cassiano, édifié en 1637.
Egalement, le théâtre à pour but de faire ressentir des sentiments qui sont
pour ou contre un personnage de la pièce. Cet aspect est l’une des grandes
forces du théâtre même si on ne connaît rien les personnages, on vient à les
apprécier ou à les détester alors que nous ne les connaissons pas
auparavant. Tout cela est crée par l’auteur de cette pièce qui se sert des
didascalies pour que le personnages change de ton ou de caractère très
rapidement. Notamment dans certaines pièces où la fin n’est pas celle que
l’on attendait au départ et qui va laisser perplexe les spectateurs. Chacun
peut donner son avis à propos de son personnage préféré avec des
arguments qui se trouvent dans la pièce en question. C’est vraiment un
spectacle vivant ouvert à tout public car chacun y trouvent du plaisir et que
passent un très bon moment. La musique à une certaine époque va
remplacer certaines paroles. Par exemple, le vaudeville au théâtre
bourgeois au XIXème siècle.
De plus, lors du théâtre classique, au XVIIème siècle, le héros est rarement
seul sur scène et parfois on laisse à imaginer des scènes qui ne peuvent pas
être montrées pour des règles de bienséance. Les scènes coupées vont être
essentiellement les scènes de mort. Même aux époques où les
représentations étaient réservées aux rois ou aux personnes puissantes ; les
comédiens essayaient de les distraire alors que les pièces parlaient de
scènes d’actualités ; tout en faisant en sorte que les spectateurs ne se
reconnaissent pas. Le spectateur va être mis à l’épreuve et va pouvoir
déduire si ce qu’il imaginait dès le début était juste ou pas. C’est souvent à la
fin des représentations que l’on assiste à cette règle de bienséance. En
général, le personnage de fin se retrouve dans une catharsis et est obligé de
mourir soit de peine, de haine, de regret, ou de folie. Ce qui provoque un
effet de double jeu. Notamment, le coryphée dans « Les Choéphores » de
Eschyle au Vème siècle avant J.C.
Par ailleurs, l’essentiel devoir durant plusieurs siècles, notamment celui du
théâtre classique, les spectateurs adhèrent aux situations présentées et aux
sentiments des personnages, qui doivent être conformes à la sensibilité de
l’époque. C’est ce que l’on appelle les conventions sociales et culturelles. Les
conventions sociales concernent les sentiments qu’éprouvent les
spectateurs ; c’est pour cela que certaines scènes n’étaient pas jouées sur la
scène mais que le spectateur devait deviner ou imaginer. Les conventions
culturelles concernent les situations de l’époque tels que des monarchies.
Les personnes puissantes ne doivent pas être représentés sur scène donc
plusieurs auteurs vont les interpréter sous différentes formes telles que des
animaux ou tout simplement par d’autres noms ou visage avec les masques.
C’est le cas de la Locandiera (La Belle Aubergiste) qui est une pièce de
théâtre du dramaturge italien Carlo Goldoni, écrite en décembre 1752. Elle
fut jouée pour la première fois en janvier 1753. Au début du théâtre, les
acteurs jouaient les pièces avec des masques représentant leurs
personnages.
Ensuite, à la fin de la représentation, l’auteur cherche à ce qu’il y est
une réflexion faite par les spectateurs. Soit une réflexion sur le
déroulement de la scène soit une réflexion sur la moralité de la pièce. Suite
aux scènes laissées imaginer par le public, la fin de la pièce peut avoir
plusieurs issues possibles car chaque personne possède un avis différent. Il
y a très peu de personnes qui trouve le but ou la morale de l’histoire lors de
la représentation et qui la comprenne après la fin de la pièce. Après avoir vu
la pièce,. En ce qui concerne, le théâtre gréco romaine, au Vème siècle avant
J.C, la conclusion de a pièce était surtout des fatalités qui pèsent sur le
héros.
En outre, le théâtre a le pouvoir d’instruire et d’éduquer. Tout d’abord le
pouvoir d’instruire grâce à sa morale pertinente qui prête à confusion les
spectateurs. La morale est surtout présente à la fin afin de tirer une leçon
de vie pour eux ou pour les générations futures. Ensuite, elle a le pouvoir
d’éduquer les personnes qui n’appartiennent pas à la haute société de
l’époque de Molière.. Cela prouve une nouvelle fois que le théâtre est ouvert
à tout public. En l’occurrence, au début du théâtre, les pièces étaient jouées
dans les rues donc pour toutes les classes sociales
Il reste à examiner l’un des buts des pièces de théâtre et notamment de la
morale est retenir l’idée essentielle de la pièce. La morale met en scène des
personnages allégoriques, représentant les vices et vertus des hommes
ainsi que les défauts de la société ; le thème central est entre le Bien et le
Mal. Une pièce de théâtre dure en moyenne une heure et demi, donc les
spectateurs ne peuvent pas se rappeler de tous les détails qu’ils ont suivis.
La morale intervient dans ce cas pour résumer en quelques phrases simples
les intentions de l’auteur. C’est le cas « Les Mouches » de Jean-Paul Sartre
en 1943 qui va être une vengeance sur le mal des hommes et le bin des
Dieux.
Pour finir, nous pouvons dire que le théâtre est une école de vertu car
le théâtre est un divertissement où l’on peut ressentir des sentiments tout
en laissant place l’imagination mais en prenant garde aux conventions de
l’époque. La morale est le symbole de la vertu dans ce registre car on force
le spectateur à réfléchir pour qu’il puisse s’instruire et s’éduquer et ainsi se
rappeler de l’idée principale de la pièce.
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