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Remerciements
Il est pour moi naturel de remercier en premier lieu Moha Naji et Abdelatif Afkir qui
furent mes compagnons de travail, l’un dans les forêts pour m’aider à mesurer des arbres qui
feraient fuir n’importe quel sylviculteur, l’autre pour les discussions et les découvertes du
terrain avec la population, entre thés brûlants et pluies glacées. Ils ont fait de véritables efforts
pour améliorer la qualité de cette étude. Mais avant tout ce sont de bons amis, et je les
remercie pour tous les bons moments.
Merci à Didier Genin de m’avoir accepté comme stagiaire et de m’avoir encadré
notamment en venant me rendre visite sur le terrain. Merci également à Abdellah Herzenni
pour ses conseils, pour son suivi à Bougmez et à Rabat, et pour avoir permis à ce travail
d’avoir une ouverture opérationnelle. Je tiens à remercier Mohammed Sabir pour son accueil
à l’ENFI de Salé et sa disponibilité, ce qui a permis que j’effectue mon travail dans de bonnes
conditions. Pierre Marie Aubert (doctorant dans la vallée des Aït Bougmez) a été à l’origine
de ce projet de stage de fin d’études : je le remercie d’avoir pensé à moi, et lui souhaite bon
courage pour la suite.
J’ai eu besoin de m’adresser à de nombreux chercheurs et professeurs. Il s’agit
d’abord de Laurent Auclair et Nicolas Montès à l’Université de Provence. Arrivé au Maroc,
j’ai pu bénéficier des conseils de messieurs M. Ezzahiri et Mohammed Qaro, de l’ENFI.
Messieurs Ahmed Ouhammou et Mohammed Al Ifriqui de l’Université Cadi Ayyad de
Marrakech m’ont apporté une aide précieuse en botanique, je tiens à les remercier
particulièrement. Maria Dolores Carbonero Muñoz, de l’Université de Cordoue, et Alfonso
San Miguel Ayanz, de l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs Forestiers de Madrid ont permis
d’apporter une ouverture supplémentaire à ce travail, je les en remercie. Enfin, j’adresse mes
remerciements à Georges Smektala de l’ENGREF de Montpellier, mon correspondant lors de
ce stage.
Les gens avec qui j’ai collaboré ou qui ont participé à ce travail sont nombreux et leur
aide a été précieuse. Je tiens à remercier Abdelilah El Khaouid, chef du Centre de
Développement Forestier d’Azilal et Hammadi, le chef de triage de Tabant, pour leur
collaboration et leur intérêt pour cette étude. J’adresse mes remerciements à tous mes
interlocuteurs dans la vallée des Aït Bougmez. Je tiens également à remercier Sanae et
Vincent à Marrakech, et souhaite bon courage à Sanae pour sa thèse. Merci à Charles Lilin
pour sa visite. Enfin, toute ma famille a été avec moi lors des derniers moments pour m’aider
à boucler le mémoire, je remercie donc très fort mes parents, ma sœur et mon grand père.
Le voyage au Maroc a été l’occasion de riches rencontres. Je tiens à remercier toutes
les personnes m’ayant accueilli et fait découvrir ce pays. Dans la vallée des Aït Bougmez
Augustin alias Addi N Ansous m’a accueilli dans sa maison au village d’Iskatafene, où j’ai
passé de bons moments en sa compagnie ainsi qu’avec le groupe des instituteurs : Abdelatif
(le Fifty Cent d’Ait Aloui), El Hsain, Aziz, Lahcen et Jamila ; Moha et sa famille, PM qu’on
appelle désormais Bassou N Adghmam, Jojo Bou Tflfl, les gens d’AVSF : Simo, Brahim et
Rachid. Merci à Abdellah, Aïcha et Mohammed pour les bons moments passés à Wabzaza.
Merci à Lahcen, berger à Taghoulit, pour son accueil. Une partie du temps a été passé loin de
la montagne. Cela me permit de rencontrer Hayat, Mhamed, Isham et Moetassime à Salé, et
Mustafa à Marrakech. Je les remercie pour leur accueil chaleureux. Et bien sûr merci à ceux
m’ayant rendu visite : mes parents, Ginette et Isa, Champy et Javi. Ce séjour a été inoubliable
grâce à vous tous.