
Lipofilling
Clinique  du  Rond  Point  des  Champs-Elysées
61 avenue Franklin D. Roosevelt • 75 008 Paris • 01 53 77 25 88
Depuis quand date le lipofilling ?
La technique du lipofilling, également appelée lipostructure,  
existe depuis plus de 20 ans.
Les chirurgiens qui faisaient des liposuccions ont eu l’idée d’utiliser la graisse extraite et de la réinjecter 
dans un but de comblement ou de remodelage.
Le Dr Fournier, un des précurseurs de la liposuccion en France, a expérimenté vers 1985 la technique de 
réinjection de la graisse sur le visage. Il a publié ses premiers résultats dans des revues scientifiques et 
communiqué sur le lipofilling dans les congrès de chirurgie esthétique dans le monde.
Les  chirurgiens,  dont  le  docteur  Cherif  Zahar,  ont  ensuite  commencé  à  faire  les  premiers  essais  de 
lipostructure dans les seins les fesses, les mollets, etc.  La technique du lipofilling est devenue aujourd’hui 
un  acte  de  chirurgie  légère  pratiqué  sous  anesthésie  locale,  en  séjour  ambulatoire  et  sans  éviction 
sociale avec des résultats définitifs.
Quel est le principe de l’autogreffe de graisse ? 
Une autogreffe est une greffe où le donneur et le receveur  
sont la même personne. Donc pas de risque de rejet ni d’allergie. 
La greffe de graisse prend ou ne prend pas pour plusieurs raisons, 
comme  le  fait  de  traumatiser  les  cellules  graisseuses  pendant 
leur prélèvement ou leur transfert ou le fait de vouloir en mettre 
une trop grande quantité d’un coup. La partie du tissu graisseux 
qui prend reste là pour toute la vie et celle qui ne prend pas se 
résorbe progressivement. 
Le prélèvement des lobules graisseux se fait à la seringue dans 
une  zone  «donneuse»  qui  peut  être  n’importe  quel  bourrelet 
graisseux  situé sur le ventre, les cuisses, les hanches, les genoux, 
etc. L’injection dans la zone «receveuse», que ce soit directement 
ou après décantation,  se fait sous forme de micro-billes de tissu 
graisseux réparties dans l’espace à «remplir» de façon à ce que 
les  cellules  greffées  soient  au  contact des  capillaires  capables 
de  leur  fournir oxygène  et  nutriments pour  leur  survie.  C’est  cet 
aspect technique qui fait qu’un pourcentage plus ou moins grand 
prend ou ne prend pas.