PARTIE 1 :
La bio imprimante est composée de deux bacs, l’un contient des cellules souches et l’autre du gel,
ces deux liquides formeront alors une encre biologique. On peut ainsi imprimer une fine pate
contenant des cellules. Après quelques cycles cellulaires, les cellules qui se sont multipliées, se
rejoignent pour former un morceau de tissu.
On pratique cette manipulation dans un endroit stérile.
La bio imprimante fonctionne comme une imprimante basique, grâce à de l’encre, celle-ci est
extraite de cellules souches prélevées sur des tissus adipeux ou de la moelle osseuse du sujet en
question. On les laisses se reproduire car il en faut des millions pour créer seulement un
millimètre de tissu. Grâce à un bras mécanique mobile dans l’espace, on dépose le mélange sous
forme de gouttelettes.
Les cellules sont assemblées en différentes couches, elles vont ensuite grandir et interagir de
manière à former un tissu musculaire fonctionnel, vivant, et semblable à celui du corps humain.
L’impression se limite pour l’instant aux muscles cardiaques, poumons et vaisseaux sanguins.
(Montré une observation d’un tissus imprimé et d’un tissus d’origine)
A) Robot hand
Robothand est une prothèse mécanique de la main, imprimé grâce à une imprimante 3D.
Elle a était crée par Richard Van As, suite à un accident après lequel il a perdu deux doigts. C’est donc
en 2011 qu’il se lance dans ce projet. Il rentre en collaboration avec Ivan Owen pour la conception de
la prothèse. Grâce au don d’une imprimante 3d par MakerBot entreprise, ils ont pu se lancer dans la
création d’un prototype. Le but premiers du projet était de réaliser une prothèse fonctionnelle et à
moindre coût. L’imprimante joue un rôle majeur dans la production peu couteuse, puisque
l’impression des pièces (quel pièce de la prothèse sont imprimé en 3d ? + photos !)Coûte seulement
2.50 $. En ajoutant le prix des pièces extérieur, ils obtiennent une prothèse qui vaut environ 150$,
contre 10000$ pour une prothèse basique ( photo robothand + prot classique : marquer les
différences) Le pari est donc réussi ! Suite à ce succès, M.Van As via internet entre en contact avec
des parents d’enfants atteint du syndrome des brides amniotiques, afin de tester à une plus grande
échelle les biens fait de la prothèse. Cette prothèse possède plusieurs avantages :
B) Oreille
L’oreille imprimé en 3D dit bionique, est appelé ainsi car, une fois fonctionnelle, elle permet
d’entendre des ultras sons qu’une oreille humaine n’entend pas.
Le principal problème rencontré lors de la création de cette oreille, est celui de l’introduction
de cellules synthétiques permettant de se développer et former différents tissus.
Il faut savoir que tous les organes de notre corps sont formés à partir de différents tissus,
ceux-ci n’ont pas tous la même composition en fonction de leur rôle dans l’organisme.
(besoin d’être étirable, résistant, lisse, rugueux etc..)