MaLaDIEs ET aLLERgIEs REsPIRaTOIREs

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Que permettent
ces examens ?
maladies et
allergies
respiratoires
w évaluer
les conséquences d’une
pathologie sur les échanges gazeux
alvéolo-capillaires
(= échanges gazeux d’oxygène et
de dioxyde de carbone entre le
sang et les alvéoles pulmonaires)
pathologie du sommeil
w Diagnostiquer la cause d’une toux,
d’un essoufflement…
w Identifier
une allergie respiratoire
et envisager une désensibilisation
w Assurer le suivi thérapeutique du
malade
w Apprécier
le handicap respiratoire
et l’aptitude à l’effort (dans le cadre
d’un projet de réhabilitation par
exemple)
w Intérêt médico-légal (en pathologie
professionnelle par exemple)
w Intérêt pronostique (avant une
intervention pour évaluer un risque
anesthésique par exemple)
w Savoir
attribuer une somnolence,
une fatigue à des troubles respira toires du sommeil
Pneumologues
DR I. DORION-HELLMUTH
DR D. HELLMUTH
Polyclinique des 3 Vallées
Secrétariat de Pneumologie
w Pourquoi réaliser
un enregistrement
de votre sommeil ?
Tél : 04 67 95 56 50
Fax : 04 67 23 74 92
[email protected]
http://hellmuth-pneumo.docvadis.fr
w Dans quel but effectuer
un bilan respiratoire ?
w Pourquoi pratiquer un test d’effort ?
Comment explorer
et évaluer les troubles
de la fonction
respiratoire…
L’exploration de la fonction
respiratoire concerne l’étude
de tous les phénomènes impliqués
dans :
w l’apport d’O2 à l’organisme
w l’élimination du CO2,
déchet de la respiration.
w Le bilan respiratoire
Les Explorations Fonctionnelles
Respiratoires (EFR)
Elles permettent d’étudier les volumes et les débits
pulmonaires (la pléthysmographie est l’examen le
plus complet permettant de mesurer tous les volumes
pulmonaires même les volumes non mobilisables et les
résistances des voies aériennes).
Les tests d’effort en pneumologie apportent des
renseignements que ne fournissent pas les tests réalisés
en condition statique en particulier pour analyser
l’essoufflement à l’effort : mesure de la consommation
d’O2 maximale (VO2 max) et du seuil anaérobie.
C’est la clé de l’évaluation de l’aptitude cardio
respiratoire à l’effort.
La fonction respiratoire
peut-être étudiée
w au repos
w à l’effort
w pendant le sommeil
(enregistrement du sommeil)
Les gaz du sang artériels
Ils reflètent l’efficacité des échanges gazeux (pression
partielle en oxygène, en gaz carbonique, pH sanguin)
et sont incontournables pour définir une insuffisance
respiratoire et assurer le suivi sous traitement par
oxygène et assistance respiratoire.
L’épreuve d’effort maximale sur ergomètre
montre la tolérance et les performances à l’effort
ses facteurs limitant, élimine d’éventuelles contreindications cardiaques et fixe le niveau de
réentraînement (Personnalisé).
Les allergies peuvent être
saisonnières ou présentes
toute l’année et peuvent
occasionner des troubles
respiratoires.
Le tabagisme reste la principale
cause de trouble de la fonction
respiratoire.
L’endoscopie (ou fibroscopie) bronchique
Cet examen est complémentaire des autres examens
radiologiques ou paracliniques respiratoires et va
explorer l’arbre bronchique. Il consiste à introduire
par les voies respiratoires naturelles (nez ou bouche)
un tube flexible de petit calibre, appelé fibroscope,
relié à une caméra. Cet appareil va descendre
jusqu’aux bronches et va permettre de visualiser la
glotte, la trachée, l’arbre bronchique et de faire des
prélèvements pour établir un diagnostic. (Il est le plus
souvent réalisé sous anesthésie).
Les tests cutanés d’hypersensibilité
immédiate
Complémentaires du bilan biologique, ils vont
déterminer le ou les allergènes en cause : une pointe
sèche à usage unique permet une réaction intradermique à travers une goutte d’allergène déposée sur
la peau de l’avant bras. La réaction 10 à 15 minutes
après est comparée à un témoin pour déterminer la
positivité.
w Le test d’effort
Le test de marche de 6 minutes est sous maximal
à la dimension d’une épreuve d’endurance et définit
l’aptitude à travailler de manière régulière à un certain
% de VO2 max
w L’enregistrement du sommeil
L’exploration du sommeil (polygraphie ventilatoire, polysomnographie) permet de dépister les
anomalies respiratoires du syndrome d’apnée
du sommeil mais également d’autres maladies
perturbant le sommeil (mouvements périodiques
des membres inférieurs, syndrome des jambes sans
repos, hypersomnie,…). C’est un examen indolore qui
consiste à explorer le sommeil grâce à de nombreux
capteurs enregistrant l’activité musculaire, oculaire,
cérébrale, cardiaque, les mouvements respiratoires et
l’oxygénation.
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