Table des matières - Gestion de trésorerie et contrôle interne

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I
SOMMAIRE
DEDICACE .......................................................................................................................................................................... II
REMERCIEMENTS .............................................................................................................................................................. III
AVANT-PROPOS ................................................................................................................................................................ IV
LISTE DES SIGNES ET DES ABREVIATIONS ......................................................................................................................... VII
LISTE DES TABLEAUX ET FIGURES .................................................................................................................................... VIII
RESUME ............................................................................................................................................................................ IX
ABSTRACT .......................................................................................................................................................................... X
INTRODUCTION ............................................................................................................................................................. - 1 -
PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE ..................................................................................... - 3 -
CHAPITRE 1 : CADRE THEORIQUE ................................................................................................................................... - 4 -
SECTION 1 : Concepts de base de la trésorerie ....................................................................... - 4 -
SECTION 2 : Rôle des microfinances dans le contexte financier ..............................................- 10 -
SECTION 3 : Processus général du cycle trésorerie financement dans une microfinance .........- 22 -
CHAPITRE 2 : CONTROLE INTERNE ET CADRE METHODOLOGIQUE ................................................................................ - 30 -
SECTION 1 : Composantes et outils d’évaluation du contrôle interne .....................................- 30 -
SECTION 2 : Méthodologie générale d’évaluation du contrôle interne ...................................- 33 -
SECTION 3 : Méthodologie de l’étude ...................................................................................- 42 -
Conclusion partielle ..................................................................................................................................................... - 45 -
DEUXIEME PARTIE : CADRE PRATIQUE DE L’ETUDE ...................................................................................................... - 46 -
CHAPITRE 3 : DESCRIPTION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL ET DE LA MISSION D’AUDIT SUR LS FINANCE ....................... - 47 -
SECTION 1 : Présentation de l’entreprise sélectionnée et de la mission effectuée ..................- 47 -
SECTION 2 : Analyse de la gestion de trésorerie : flux de trésorerie et gestion des risques
financiers ............................................................................................................................- 51 -
SECTION 3 : Évaluation du financement obtenu et utilisé par la microfinance ........................- 65 -
CHAPITRE 4 : ANALYSE DES DONNEES OBTENUES AU COURS DE LA MISSION D’AUDIT................................................. - 70 -
SECTION 1 : Evaluation du contrôle interne de LS FINANCE ...................................................- 70 -
SECTION 2 : Analyse des résultats de l'audit du cycle trésorerie de LS FINANCE .....................- 80 -
SECTION 3 : Recommandations ............................................................................................- 85 -
Conclusion Partielle ..................................................................................................................................................... - 86 -
CONLUSION GENERALE ................................................................................................................................................ - 87 -
ANNEXES ..................................................................................................................................................................... - 88 -
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE ....................................................................................................................................... XI
WEBOGRAPHIE ................................................................................................................................................................ XII
TABLE DES MATIERES ...................................................................................................................................................... XIII
II
DEDICACE
A la famille SOMALE,
III
REMERCIEMENTS
Avant tout, nos remerciements vont à l’égard de DIEU TOUT PUISSANT, sans qui nous
n’aurions pas pu produire ce travail. Nous espérons que ce travail bénira tous les lecteurs qui
en auront besoin.
Nous remercions spécialement notre professeur encadreur, Dr Dagnogo PISSIO, pour ses
conseils, ses critiques et sa disponibilité sans faille, qui nous ont permis de produire un travail
qui nous l’espérons sera à la hauteur de vos attentes.
Nous ne cesserions de remercier l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny
(INP-HB) de nous avoir permis d’avoir accès à la meilleure éducation académique de Côte
D’Ivoire ; cette éducation a complètement changé notre vie et nos remerciements seront
éternels. Nous remercions Dr Moussa Abdoul Kader DIABY, Directeur Général, qui nous a
chaleureusement accueillis au sein de l'institut, et plus particulièrement Dr TRAORE
Moustapha, Directeur Général de l’ESCAE BUSINESS SCHOOL, pour son soutien tout au
long de notre cursus à l’INPHB.
Nous remercions aussi le personnel de la Canadian Natural Resources (CNR), et plus
particulièrement son Directeur Général M. Koffi Emmanuel et sa DRH Feu Mme BANNY-
CISSE Kadia pour la bourse d’excellence qui nous a été accordée. Cette bourse nous a été d’une
grande aide dans notre cursus en nous octroyant des stages d’été qui nous ont permis de nous
frotter très vite au monde du travail.
Nous remercions également le personnel de Deloitte, mais plus spécialement nos collègues et
amis Angelo IRAKIZA, Wided KOUASSI, Moïse KOFFI et Rosch YAO sans qui notre
passage dans ce cabinet n’aurait pas eu la même saveur.
Nous remercions particulièrement Esther TRA, pour son amitié inestimable ainsi que toutes les
personnes qui nous ont aidé de près comme de loin dans la rédaction de ce mémoire.
IV
AVANT-PROPOS
Au lendemain des indépendances, le souci principal des pays africains sormais maîtres de
leur destin, était de trouver des ressources humaines qualifiées pour faire face aux exigences de
la mondialisation. A l’instar des autres nations du continent, la Côte d’Ivoire s’est donc lancée
dans une politique de formation, multipliant très tôt ses structures de formation. Ainsi, elle s’est
dotée, au cours de l’année 1975, de quatre (4) grandes écoles, chargées de former des cadres de
haut niveau à savoir :
- l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics (ENSTP) ;
- l’Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie (ENSA) ;
- l’Institut Agricole de Bouaké (IAB) ;
- l’Institut National Supérieur de l’Enseignement Technique (INSET).
La décision de créer l’Institut National Polytechnique Félix HOUPHOUËT-BOIGNY (INP-
HB), est adoptée le 04 septembre 1996 par le décret n°96-678 du 04-09-96, à partir de la fusion
et de la restructuration de ces quatre (4) grandes écoles, afin de mutualiser les ressources
humaines et matérielles.
L’INP-HB a subi plusieurs modifications structurelles jusqu’à l’adoption du décret n°2023-
615 du 15 JUIN 2023 portant attributions, organisation et fonctionnement dudit institut.
Dans sa structure actuelle, l’INP-HB compte
Une école préparatoire comprenant, notamment des Classes préparatoires aux
Grandes Ecoles dénommée : Ecole Préparatoire aux Grandes Ecoles, en abrégé
EPEGE
Sept (7) Grandes Ecoles dénommées
- Ecole Supérieure des Travaux Publics (ESTP)
- Ecole Supérieure d’Agronomie (ESA)
- Ecole Supérieure d’Industrie (ESI)
- Ecole Supérieure des Mines et Géologie (ESMG)
- Ecole Supérieure de Chimie, du Pétrole et de l’Energie (ESCPE)
- Ecole Supérieure de l’Aéronautique et du Spatial (ESAS)
- Ecole Supérieure de Commerce et d’Administration des Entreprises (ESCAE)
V
Des écoles doctorales, notamment :
- L’Ecole Doctorale Sciences et Technique de l’Ingénieur
- Ecole Doctorale Sciences Agronomiques et Procédés de Transformation
Une école dédiée aux formations spécialisées et à la formation continue dénommée
- Ecole des Formations Spécialisées et du Perfectionnement des Cadres, (EFSPC)
A l’instar des autres écoles, l'ESCAE propose deux (02) parcours de formation à savoir le cycle
Technicien Supérieur (TS) et le cycle Ingénieur (ING). S’agissant du cycle ingénieur, les
formations proposées portent sur plusieurs domaines d’activité selon la filière concernée. Ainsi,
nous avons les filières suivantes :
- ESCM (Etudes en Supply Chain Management) pour la Logistique ;
- HEBFA (Hautes Etudes Banque Finance et Assurance) pour l’Assurance et la Gestion du
risque ;
- ESCA (Etudes Supérieures de Commerce et des Affaires) pour les formations de cadres
en Marketing et Management ;
- ESAD (Etudes Supérieures en Administration) pour la formation des cadres administratifs
- ECS (Etudes Comptables Supérieures) pour la formation d’ingénieurs des Finances et de
la Comptabilité.
Cette dernière filière de laquelle nous sommes issu peut être intégrée par deux principales voies
: la voie de concours qui est la voie classique et celle de la passerelle. Le concours est ouvert
aux classes préparatoires et aux titulaires du BAC +3 en économie et gestion.
La passerelle quant à elle, est accordée aux meilleurs étudiants issus des DUT des Techniques
Comptables Financières (TCF) et Finance Comptabilité (FC).
La formation dure trois années et elle est ponctuée par un stage de pré-emploi d’une durée
minimum de six (6) mois au terme duquel les étudiants soutiennent un mémoire de fin de cycle
afin de valider leur diplôme.
C’est dans ce cadre que nous avons effectué un stage d’une durée de six (6) mois au sein du
département Audit du cabinet Deloitte Côte-d’Ivoire. Deloitte est le leader mondial des services
professionnels.
Fondé en 1992, Deloitte Côte d'Ivoire a rejoint le réseau Deloitte Touche Tohmatsu Limited en
2007 et est basé à Abidjan.
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