
Introduction
De nos jours et à l’échelle globale, l’appendicite aigue représente l’une des urgences chirurgicales les
plus rencontrées aux pavillons des urgences, On estime que près de 5% de la population mondiale
développe cette affection a un moment donné de leur vie. Il s’agit d’une pathologie généralement
bénigne de diagnostic aisé depuis l’émergence révolutionnaire des technologies radiodiagnostiques :
TDM et Echographie et de prise en charge bien établie reposant essentiellement sur l’appendicectomie
qui représente en elle-même l’intervention la plus pratiquée de la chirurgie abdominale en urgence, mais
également sur l’antibiothérapie, autrement appelée traitement non opératoire ou conservateur qui fait
sujet d’actualité ces dernières années. Malgré son faible taux de mortalité qui ne dépasse pas les 0.03 %,
cette pathologie n’est pas anodine de complications qui peuvent parfois maitre en jeu le pronostic vital.
Ces complications sont généralement l’évolution naturelle d’une appendicite aigue méconnue ou
quelquefois, négligée du fait de la banalité de tableau clinique initial. Toutefois, certains erreurs ou retards
diagnostiques due principalement à la non disponibilité des examens complémentaires et de
professionnels qualifiés peuvent en être à l’origine.
La fréquence de cette affection, son risque évolutif, l’avancement des examens diagnostiques ainsi
que la variabilité des protocoles thérapeutiques sont des éléments moteurs de recherche.
D’autre part, l’absence de données sur sa prévalence à l’échelle régionale justifie et souligne la
nécessité d’une mise en observation rigoureuse de la maladie dans le but d’établir ses aspects,
épidémiologique, clinique et thérapeutiques au niveau de l’établissement public hospitalier Mohamed
Boudiaf à Ouargla, ce qui pourra servir comme référence de données reflétant ainsi sur sa situation
locorégionale.
Les objectifs
Afin d'améliorer nos connaissances sur la pathologie, nos objectifs à travers cette étude seront
donc :
Principalement :
Etudier la prévalence de l’appendicite aigue à l’hôpital Mohamed Boudiaf de Ouargla.
Secondairement :
Pour réaliser notre objectif principal, il est convenable de mettre en lumière certaines points
via nos objectifs secondaires en déterminant:
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