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ÉVEIL À LA PAIX INTÉRIEURE - GARY WEBER

ÉVEIL À LA PAIX INTÉRIEURE
GARY WEBER
La première grande expérience d'éveil a été une surprise totale, sans préparation ni
formation.
J'ai entrepris d’explorer sérieusement la spiritualité après avoir failli mourir dans le
naufrage d'un sous-marin, au milieu de la vingtaine, ce qui m'a arraché à mes fiestas
notoires bien arrosées par l'alcool. Ayant passé mon enfance sous une étiquette de
chrétien fondamentaliste et traditionnel, cet intérêt s’était évanoui à l’adolescence.
Il y avait aussi ce souvenir d’une vague ‘’connaissance’’ qui était déjà présente du
temps où j’étais encore un petit enfant, que ‘’l’Illumination’’ était le but de la vie,
même si je n’avais aucune idée de ce que c’était, puisque cette idée était
fondamentalement hérétique dans le christianisme. Il était clair que ma souffrance était
générée par les histoires interminables et insensées qui circulaient dans la conscience.
Pour une ‘’raison’’ inconnue, la décision fut prise d’essayer d’y mettre un terme, quand
bien même il n’y avait aucune raison de croire qu’une telle chose soit même possible.
A l’université, il y avait beaucoup d'ouvrages sur le sujet à la bibliothèque. Un jour,
alors que je déjeunais sur la pelouse, tout près du bâtiment administratif principal, j'ai
ouvert un livre et j’ai lu la première ligne d'un poème... "Tous les êtres sont des
bouddhas depuis le départ’’.
Bien que ce que cela signifiait n’était pas parfaitement clair, le monde s'est
soudainement ouvert sur un espace étrange et merveilleux jamais vu auparavant,
totalement dépourvu de pensée, de souffrance, de désir ou de peur, tout étant, en
quelque sorte, dans une dimension différente avec une énergie vibrante. Ceci a duré
environ ¾ d’heure avant de se terminer, de par tout le conditionnement antérieur et le
manque total de préparation ou de compréhension.
Le résultat critique, néanmoins, était qu'il était désormais clair qu'une possibilité
existait pour le cerveau de manifester tout seul un tel espace transcendant. Vu que la
couverture du livre titrait ‘’Poèmes zen’’ ou quelque chose dans le genre, je me suis
résolument embarqué dans une voie ‘’zen’’, puisque d’une façon ou d’une autre, ‘’ils’’
savaient manifestement comment induire ceci, peu importe de quoi il s’agissait ou
comment on procédait.
Il s’en est suivi plusieurs décennies de méditation zen avec plusieurs enseignants, avec
en parallèle une sérieuse et intense étude du yoga dans de nombreuses écoles, lignées
et avec des instructeurs différents. Le yoga m’a permis de trouver le moyen de
m'asseoir en méditation plus longtemps et plus confortablement et aussi de travailler en
synergie avec la méditation zen pour intégrer les résultats de la méditation et libérer les
problèmes de blocage dans le corps. J’ai fait connaissance avec le type d’autoinvestigation du zen et la méthode de Bassui et de Ramana Maharshi pour se focaliser
sur le ‘’je’’ et le déconstruire et je m’y suis attelé avec une grande diligence.
Cela s'est poursuivi durant 25 ans, à raison de deux heures par jour de pratique
matinale, de retraites et de programmes de formation pour enseigner, tant la méditation
que le yoga, pour un total d'environ 20 000 heures. En outre, j'ai mené une vie
professionnelle très active dans les domaines de la recherche et du développement et de
la gestion d'entreprise, dans plusieurs sociétés et institutions, comprenant des emplois
et des lieux divers et de nombreux voyages, avec une femme et deux enfants.
Il y a eu des ouvertures pendant cette période, mais rien de durable - rien qui ne
mettait fin au discours interne ou à la souffrance, à la peur ou aux désirs. Tous les
enseignants m’ont dit de ne pas prêter attention à ces expériences, car elles
deviendraient un piège et un attachement, et si des efforts étaient faits pour les
reproduire, ceux-ci seraient infructueux. Malgré ces mises en garde, je m’évertuais
toujours à reproduire mes premières expériences, mais cela n’a conduit qu'à une perte
de temps et d'énergie, alors ces tentatives ont cessé.
Au fur et à mesure que la pratique s'approfondissait, il est apparu que les
"attachements" étaient les derniers vestiges du "je". Partout où il y avait un
attachement, il était clairement vu qu'il y avait un ‘’je/moi/mon/mien’’ à la racine,
comme noyau autour duquel il se structurait. Ainsi, ce qu'il fallait faire, c'était passer
en revue chaque attachement et renoncer à chacun d'entre eux.
Le travail s’est focalisé sur le Nirvana Shatakam, de Shankara, qui m’était
magiquement apparu par une nuit sombre et étoilée à mi pente du Haléakala sur Maui.
Essentiellement, ce texte est une liste de tous les types d’attachement. L’approche
consiste à se concentrer sur chaque attachement et son ou ses histoires particulières, le
ressentir et le laisser partir.1 Cela s’est prolongé jusqu’à ce que tout ce qui reste fut
mon attachement à mes deux filles. Cette étape a été postposée jusqu’à ce qu’il
devienne clair qu’elles étaient en sécurité et qu’elles ne souffriraient pas de tout ce qui
pourrait arriver, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à ce qui se produirait, une
fois que le dernier attachement aurait disparu. Il y avait même une peur que ce corps ne
meure sans pensées et sans ‘’je’’.
1
Si cette excellente méthode vous intéresse, une approche très similaire est décrite en détail dans le livre du
Dr John Goldthwait, ‘’Purifie ton cœur !’’, que vous pouvez télécharger gracieusement et gratuitement via
partage-pdf.webnode.fr. La traduction de ce livre a fait office de sadhana similaire pour moi et j’ai mis la main
dessus suivant un timing divin, pourrait-on dire, dans l’ashram de Sathya Sai Baba, en 2001, à la suite d’un
voyage en Inde tout à fait impromptu. C’est un outil très efficace, mais qui exige une auto-investigation
rigoureuse et honnête de tous les instants, NDT. (Le Dr John Goldthwait est un psychologue clinicien
transpersonnel marié et père de famille qui connaît très bien le védanta et le zen et qui est aussi pasteur. La
méthode lui a été enseignée par Sathya Sai Baba.)
Cependant, même après un tel lâcher-prise, il demeurait un petit vestige d’un ‘’je’’ ou
d’un ‘’moi’’ qui pouvait être ressenti. Qui y renoncerait ou comment le remettre au
néant ou au vide n’était pas clair. La solution qui m’est apparue, c’est qu’une ‘’entité’’
serve d’intermédiaire, et sans surprise, l’entité à laquelle il a été remis était Ramana
Maharshi, dont les enseignements et la présence avaient été des éléments critiques
pendant les dernières étapes du parcours.2
Deux ou trois jours plus tard, pendant la séquence matinale typique de postures de
yoga, focalisé sur l’affirmation ‘’je ne suis pas le corps’’ et prenant une posture inversée
que j’avais déjà réalisée des milliers de fois auparavant, tout changea dramatiquement
en redescendant. Il n’y eut pas d’éclair de lumière aveuglant ou de chœur angélique,
etc., mais le ‘’je’’/l’ego avait subrepticement disparu, et il n’y avait plus maintenant
qu’un calme profond, un silence, une présence.
Il y eut la perception directe, claire et sans équivoque que ‘’ça y était’’. Je m’étais
attendu à ce que les pensées discursives diminuent considérablement en interne,
2
Il y a un magnifique exemple de ceci qui est repris dans la biographie officielle de Sathya Sai Baba, Sathyam,
Sivam, Sundaram, de N. Kasturi, celui de Swami Abhedananda qui écrivit ceci :
‘’Le 28 décembre, aux petites heures, il était environ quatre heures du matin. Alors que j’étais encore au lit en
train de ressasser mélancoliquement l’état perturbé de mes affaires, j’ai senti un coup soudain, fort, mais
supportable. Je me suis levé et j’ai allumé la lumière.
A ma surprise, j’observai une forme étincelante de Bhagavan Ramana Maharshi qui se transforma en Bhagavan
Sri Sathya Sai Baba – apparaissant d’abord séparément pendant un instant pour fusionner ensuite dans une
colonne de lumière éblouissante qui se maintint pendant quelques secondes. Je sentis que je recevais la vision
de mes deux bienveillants gurus ! Dans cet état d’esprit bienheureux, j’entendis une voix (qui m’était alors
étrangère mais que j’identifiai plus tard comme étant la voix authentique de Bhagavan Sri Sathya Sai Baba) qui
me parlait en télougou : ‘’Ne t’agite pas, ne médite pas ! Observe seulement ton mental, cela le fera
disparaître. Observe ! Et sache que Celui qui observe est Pure Conscience. La Conscience abstraite et absolue
est le Soi, Sat-Chit-Ananda. Tu es Cela. C’est la Paix sans autre condition. C’est ce que tu recherches
ardemment. Sois ferme. Tu es toi-même Béatitude ; tu le sais par intuition. Le coup que je t’ai donné, c’était
pour te révéler ce secret : observe !’’, NDT.
puisque c’était le but, après tout, mais ce fut un choc, quand elles ont simplement
cessé, de même que toutes les peurs, les désirs et la souffrance autoréférents.
Il y avait eu des expériences antérieures qui avaient été examinées et rejetées par des
roshis au cours d’entretiens zen classiques appelés ‘’dokusans’’, mais je savais toujours
que l’objectif n’avait pas été vraiment atteint, puisque les récits intérieurs, la
souffrance, les peurs et les désirs avaient continué. Cette fois-ci, c’était bien le cas. Des
entrevues ultérieures avec mes deux principaux maîtres zen rinzai fort différents, ont
confirmé la réalisation.
Lorsque ce changement s’est produit, il y avait à peu près mille personnes, quatre
laboratoires de recherche et un budget d’environ 250 millions de dollars dont ‘’j’’ étais
responsable et le travail a dû se faire, ce jour-là, sans un ‘’je’’. Au travail, à ma grande
surprise, personne ne s’en rendit même compte. Il n’y avait aucune auréole, personne
ne s’inclina, ni ne me fit des courbettes, et il n’y eut aucune réunion avec le viceprésident des ressources humaines ou avec le CEO... simplement un autre jour au
bureau, sauf qu’il n’y avait là plus personne à la manœuvre.
Autre grande surprise : au fil des jours, le travail et ‘’ma vie’’ se déroulaient réellement
sans ‘’moi’’. Le travail était nettement plus créatif, utile et avisé, puisqu’il y avait une
pleine Conscience à chaque réunion, que ce soit avec le CEO, mes pairs, les chercheurs,
les clients, les analystes, etc. Personne d’autre n’était véritablement là pendant toute la
réunion, totalement présent à chaque instant au langage du corps, à l’inflexion de voix
et aux détails de la présentation. Ils étaient quelque part ailleurs dans leur mental
pendant quasiment toutes les réunions. 3
Les solutions qui apparaissaient simplement étaient incroyablement synchronisées et
créatives pour une kyrielle de problèmes différents. Les réunions complexes étaient
préparées, mais lorsqu’elles se déroulaient, des solutions jaillissaient simplement de
‘’nulle part’’. Le ‘’je’’ qui n’était plus là était maintenant considéré comme ‘’la personne
la plus intelligente de la pièce’’.
C’était vraiment inattendu, puisqu’il y avait la possibilité qu’après le détachement du
‘’je’’, il puisse y avoir une fonctionnalité marginale, voire aucune fonctionnalité. Il n’y
eut même jamais l’idée que la performance dans des rôles de gestion complexes
engendrant beaucoup de stress, avec énormément de responsabilités et d’innombrables
interactions, présentations et communications journalières augmenterait, en fait.
Il était aussi fascinant de constater qu’alors que "ma vie" fonctionnait parfaitement sans
"moi", quelque chose, quel que soit le nom qu'on lui donne, "façonnait" en quelque
sorte ma vie en organisant toutes sortes de rencontres, d'événements, d'activités, etc.
étonnamment heureux et inattendus et ce, depuis toujours. "Le "libre arbitre", le
contrôle, les choix et le "faire" étaient quelque chose que "j" étais absolument certain de
posséder, mais il était maintenant clair que c'était une illusion complète, et que cela
avait toujours été le cas.4
3
Dixit Karlfried Graf Dürckheim : ‘’La constitution corporelle d’un homme, les gestes qui la manifestent,
expriment l’homme de façon certaine et fort nuancée : on sait ainsi dans quelle mesure ‘’il est là’’, comment ‘’il
est là’’ et ‘’s’il est là’’ en conformité avec son Être authentique, ou non’’, NDT.
4
Si cela vous intéresse, cette question du libre-arbitre est très bien analysée dans un entretien avec Stephen
Wingate intitulé ‘’Y a-t-il un libre arbitre ou le destin est-il maître ?’’, NDT.
Loin d'être terrifiante et de provoquer une anxiété abrutissante, la reconnaissance de
l'absence de "libre arbitre", de "contrôle" ou de "choix" fut l'une des compréhensions les
plus étonnantes, libératrices et propices que l'on puisse imaginer. Toute la culpabilité
et toute l’arrogance qui avaient été si savamment instaurées par la religion, par la
culture, les institutions, les enseignants, etc. se dissipèrent simplement.
Il s’agissait réellement d’une ‘’liberté’’ qui dépassait tout ce que l’on aurait pu
imaginer. Il n’y avait ni péché, ni karma, ni bonnes actions, ni mauvaises actions.
Quelque chose de bienveillant et d’aimable ‘’me’’ guidait et ‘’me’’ soutenait et le faisait
depuis toujours. Lorsqu’on s’y abandonnait un peu, on avait le sentiment d’être un peu
soutenu ; et lorsqu’on s’y abandonnait davantage, on avait le sentiment de recevoir
davantage d’attention et de soutien. Maintenant, sans plus aucun ‘’je’’ pour
m’accrocher à quoi que ce soit et sans d’autre alternative qu’un abandon complet, il y
avait un amour, un soutien et une compassion indéfectibles.
"Ma vie" a continué ainsi pendant les 17 années qui ont suivi, avec des postes de
direction dans des organisations du monde universitaire, des soins de santé, du
développement économique, etc., et en ce qui concerne les livres de spiritualité, les
interviews, les billets de blog, les articles, les vidéos YouTube, les présentations, etc.,
tout cela arrive "tout seul". Tout cela se manifeste simplement "magiquement", à partir
du Silence.5
5
C’est le même principe de fonctionnement pour ce seva de traduction et pour le site ‘’partagepdf.webnode.fr’’, NDT. (Par ailleurs, ce thème est développé plus en détail dans l’article collectif intitulé
‘’L’aboutissement et l’accomplissement de l’homme’’.)
Il y a rarement un récit interne autoréférent, à moins que la glycémie/énergie ne soit
très basse. Il peut y avoir un bavardage interne orienté vers la résolution d’un
problème, la planification, etc., suivant les besoins, mais qui résulte rarement en des
histoires autoréférentes problématiques chargées en émotions, ce qui constituait
auparavant le gros problème. Les neurosciences cognitives établissent clairement la
distinction entre les deux types et les deux circuits neuronaux distincts, séparés
généralement concurrents d’où ils proviennent. On peut trouver de nombreuses vidéos,
articles de blog et interviews sur la différence entre les deux et sur les neurosciences
cognitives qui les expliquent.
L’autre grosse surprise fut le fait que ‘’tourner la page’’ n’a pas été la ‘’fin’’ de
l’expérience d’Eveil, par rapport au but initial. Étant donné que nous avons quelque
chose comme 50 trillions d'interconnexions synaptiques, si seulement 2% d'entre elles
ont quelque chose à voir avec un aspect quelconque de l'Eveil, il reste encore 1 000 000
000 000 d’interconnexions synaptiques à réarranger et il serait cataclysmique qu'elles
soient toutes réarrangées simultanément.
Il n'y a donc pas de fin à l'approfondissement, bien que nul ne le "fasse" - le cerveau,
dans sa recherche continue d'efficacité, d'optimisation du capital neuronal et de
consommation minimale d'énergie, le fait "tout seul", parce qu’il préfère nettement le
calme et l'ordre à la souffrance, au blabla, à l’anxiété, aux peurs, etc. Comme l'a dit
Harada Roshi, un célèbre maître zen japonais des XIXème et XXème siècles,
"l'Illumination est capable d'un développement sans fin".
Tôt chaque matin, ce qui pour d'autres ressemblerait à une pratique émerge encore
dans une combinaison spontanée d'asanas de yoga, de pratiques
respiratoires/pranayama, de méditation assise ou marchée, de chants, d'autoinvestigation, de bhakti, de danse posturale spontanée, etc. Plus surprenant encore,
chaque matin, quelque chose de nouveau se révèle... Une clé se tourne dans la serrure
d'une porte dont on ignorait même l'existence. Juste quand il semblait que rien ne
pouvait être plus doux, plus calme, plus complet, plus présent...cela s'approfondit.6
Partage-pdf.webnode.fr
6
Je pense qu’il serait utile et important de bien préciser que c’est au niveau relatif, au niveau des effets,
puisque la Conscience absolue qui est notre Être réel et essentiel n’est pas susceptible de se développer, ni de
s’approfondir, puisqu’elle est absolue. Comme le dit John Wheeler dans un autre article qui porte le même
nom : ‘’Il n’y a pas de niveaux dans la Conscience absolue’’.
En ce qui concerne les effets de l’Eveil, Éric Baret soutient un point de vue qui diffère un peu de celui de Gary
Weber. Il dit ceci : ‘’Au niveau de l’effet physiologique de l’Eveil, mon maître a formulé qu’en effet, à la suite
d’une compréhension totale, la transformation s’immisce dans toutes les cellules et qu’il y a une harmonisation
corporelle et mentale. C’est seulement en Inde que l’on a porté l’attention là-dessus. Dans la tradition
chrétienne, on n’a jamais mis l’accent sur cette extériorisation ; dans le bouddhisme et dans l’islam, très peu.
Pour la bonne raison que cela n’a aucune importance. Lorsque quelqu’un est libre de lui-même, que dans son
corps se fasse un certain rééquilibre, que son psychisme se transforme, cela ne le concerne pas parce qu’il n’y a
plus personne. L’Eveil est soudain alors que la transformation du corps, dans l’espace-temps, est progressive.
On n’a même pas besoin d’en parler, dans le sens où la recherche de l’Eveil n’est pas la recherche de ces
expressions. En profondeur, elle est le pressentiment d’être libre. Cela n’a rien à voir avec un effet. On pourrait
dire que c’est presque dommage qu’il y ait ces effets. Ce qui importe, c’est de se sentir libre.’’
Personnellement, je pense que les deux points de vue sont compatibles en ce sens que certains Eveillés
pourraient devoir jouer un rôle relatif par la suite qui nécessiterait un (r)affinement de l’outil corps-mental, ce
qui expliquerait pourquoi certains mettent parfois plusieurs années avant de commencer à enseigner, NDT.