M =M*tmp ;
M =M % n ;
tmp = M + 96 ;
cipher[i] = tmp ;
i++ ;
m [i] = -1 ; //marquer la fin
écrire (‘votre message décryptée : ’) ;
Pour (i=0 jusqu’à m[i] != -1 ; i++)
écrire (m[i]) ;
Question 2 : Préciser les structures de données nécessaires
-des entiers exemples : i, j, tmp…
-des tableaux (list) de chaine de caractères exemples : msg, cipher, cipher_tmp, m
-des tableaux d’entier exemples : e et d
Question 3: Identifier les paramètres clés des algorithmes qui vont directement ou
indirectement influer sur la complexité
Direct :
-la taille du message à chiffrer et ensuite déchiffrer va influer sur la complexité temporaire et
spatiale.
-les clefs publique et privée qu’on utilise vont influez sur la complexité temporaire
Indirect :
Comme le choix des clefs e et d est dépend de phi(n) qui est a son tour dépend de p et q on
pourra déduire que les variables suivantes vont influer sur la complexité de façon indirect :
-phi (n) sur la complexité temporaire.
-p sur la complexité temporaire.
-q sur la complexité temporaire.
p et q peuvent influer un petit peu sur la complexité spatial car la taille des clefs varie de 4 à
32 oct dépendamment de la grandeur de p et q
Question 4 : Analyse et calculer la complexité temporelles et spatiales des algorithmes.
Cryptage
Complexité Temporaire :
La complexité temporaire dépend de la taille du message et de la taille de la cle publique de cryptage
(e) comme on la vu dans la question précédente.