1 Consignes : 1. 2. 3. 4. Relever les verbes conjugués et leur sujet J’en déduis le nombre de proposition exemple les placer entre des parenthèses. En se fondant sur leurs introducteur, définir la nature des propositions. Je donne la nature et la fonction des propositions repérées EXERCICE : A la place de sa bouche, le mal du mur était allé profond jusqu’à la brique], [et c’était là rouge et la charnu comme de la vraie chaire] = 2 proposition indépendantes coordonnées entre elles par « et ». [Elle était autoritaire et dure à la fois pour elle-même et moi] = proposition indépendante. [Elle cachait volontairement au fond de l’ombre moisie ces yeux verts et cette bouche] = proposition principale. [que je désirais] = proposition subordonnée relative, complément de l’antécédent « cette bouche ». [mais elle y résistait toute seul]= proposition indépendante coordonnée par mais à valeur d’opposition. [ et pourtant elle savait bien ] proposition indépendante coordonnées conjonctive complément d’objet direct du verbe « savait » . [ si elle s’était montrée au jour]=proposition subordonnée conjonctive, complément circonstanciel de condition du verbe « t’aurait aimé ». Elle m’imposait tous mes rêves en me regardant droit dans les yeux = proposition indépendante. [Certes, à partir de moi, l’émotion de son regard s’en allait à travers ma tête en des jaillissements]= proposition principale. 2 [que je commandais seul] = proposition subordonnée relative et déterminative, complément de l’antécédent « des jaillissements ». , [qui fusaient vers ou vers le pas mystérieux dans l’épaisseur des mur]= proposition subordonnée relative, complément de l’antécédent « des jaillissements ». [mais la pierre jetée dans cette flasque d’eau calme [que j’étais elle ] = proposition principale [c’était elle] = proposition indépendante. [que j’étais ]= proposition incise complément du nom de flasque [qui la jetait en me regardant]= proposition subordonnée relative complément de l’antécédent « pierre ».