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Les BASES pour VIVRE en santé

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Les BASES pour VIVRE en SANTE
Est-il possible d’augmenter sa Force de Vie et comment ?
Quels sont les besoins des cellules ?
Du glucose pour le convertir en énergie, mais pour cela les cellules doivent respirer, elles ont
besoin de beaucoup d’oxygène et de lumière. Pour que l’oxygène circule et que et la lumière
passe partout. Pour que l’usine de production appelée mitochondrie, fonctionne bien, il faut
que le liquide dans et autour de la cellule soit clair, donc, la toxémie crée énormément de
fatigue, la force de vie, notre énergie, descend et peut chuter durablement. Si le travail est
difficile, notre organisme s’épuise pour un faible rendement, nous sommes alors dans un
cercle vicieux qui crée un état de fatigue chronique.
Sommes-nous faits pour souffrir et être malades ?
NON, nous sommes créés pour la JOIE, ce n’est pas pour rien que notre inconscient fonctionne
uniquement dans la recherche du plaisir.
Il est anormal de vivre avec des maux chroniques et de devoir rétrécir sa vie en fonction de
son surpoids, de son épuisement permanent, de sa surveillance médicale ou de ses
symptômes. Je l’ai pourtant fait à une époque et chacun peut comprendre que cela n’est pas
VIVRE !
Comment améliorer ses performances et sa vitalité :
1) s’alimenter selon les besoins physiologiques du corps, afin de dépenser le moins d’énergie
possible à digérer et tenter d’assimiler. Je dis bien tenter, car ce qu’on présente aujourd’hui
comme carburant à nos cellules est un coup d’assommoir, plutôt qu’une source de vitalité.
2) prendre soin de l’émotionnel :
Le stress au quotidien est énergivore, les conflits, les deuils à surmonter, les déceptions, la
frustration, tout cela nous amoindrit, c’est épuisant, on le constate forcément plus ou moins
dans nos vies.
- Exprimer et comprendre ses émotions, être dans « l’acceptation » et non dans la lutte, choisir
de cultiver les émotions qui nous élèvent. Ne pas se victimiser ni entretenir les conflits,
apprendre à mieux gérer nos interactions avec les autres.
- Etre créatif, nourrir son enfant intérieur, se détendre et rire.
3) Respirer, s’activer. L'air, le mouvement, le repos et la lumière nous sont aussi
indispensables que les micronutriments. Alterner et équilibrer les activités cérébrales et
physiques, s’oxygéner tout cela est important pour notre équilibre. C’est à l’image de la
dynamo des anciens vélos, si on ne pédale pas, il n’y a aucune production d’énergie pour
allumer la lumière.
4) Respecter ses besoins : de repos, de lumière, d’échange sociaux, d’affection, de tendresse,
d’élimination. On oublie souvent cette dernière fonction, or, si on n’élimine pas on s’intoxique.
5) Augmenter son énergie grâce aux jus : Concentrés de nutriments, vitamines, enzymes,
minéraux, les jus sont un concentré nutritionnel dont les bienfaits profitent tout de suite.
Notre façon de vivre et de respecter nos besoins impactent directement notre niveau
d’énergie disponible. Nos choix sont de notre responsabilité, mais ils vont décider de notre
état futur.
1) S’alimenter selon les besoins physiologiques du corps.
L'alimentation qui permet d’être en santé : l'alimentation physiologique, ancestrale,
essénienne, solaire... Les fruits crus, tout comme la cohérence cardiaque, augmentent le
niveau vibratoire du corps, donc également son pouvoir de guérison.
De toute façon, aucune méthode de soins ne peut vous soulager si vous n’avez pas
l’alimentation correcte. Ceci peut supposer de gros changements mais il faut procéder par
petites étapes et programmer des modifications faciles, l’important étant de commencer sans
se faire violence.
- commencer par modifier le premier repas de la journée. Le premier aliment que nous
ingérons à jeun est le plus important. Aucune journée ne devrait commencer autrement que
par un jus de fruit frais et/ ou une salade de fruits ou un mixé de fruits ; ou au moins, quelques
fruits à la croque. Ensuite, si vous avez encore besoin de boire chaud ou si vous ne voulez pas
changer trop vite vos habitudes, prenez votre infusion préférée, éventuellement
accompagnée de biscottes aux châtaignes garnies de crème fraîche et/ou miel.
- Ensuite, vous essayez de prévoir toujours une vraie crudité en début de repas. Je précise
« vraie » car certains confondent crudité avec hors d’œuvre : betterave cuite avec œufs durs
ce n’est pas des crudités, carottes rappées/ pomme/endive/ raisins secs, oui. C’est une
habitude de santé à mettre en place pourquoi ? Pour optimiser l’assimilation et économiser
sur l’énergie dépensée à digérer car vous assimilerez mieux et bien plus facilement votre repas
si vous avez commencé par des crudités.
Pourquoi ? Parce que ce sont les vitamines et les enzymes des aliments crus qui vont faciliter
l’assimilation des minéraux et des corps gras. Donc, vous ferez bien meilleur profit de ce que
vous ingérez.
Si nous commençons notre repas par des graisses ou du gluten, il devient alors très difficile
pour nos cellules de s'alimenter. Elles sont étouffées par des couches imperméables et ne
peuvent plus être pénétrées par les nutriments. S'ensuit une dépense d'énergie préjudiciable
causée par les efforts que le corps doit fournir. Les besoins de ce dernier ne seront pas
comblés par des apports nutritionnels indispensables, mais il sera au contraire éprouvé par
cette épreuve vaine, d'autant plus si celle-ci est répétée tous les jours.
Lorsque nous commençons un repas par du cuit, notre organisme puise dans nos réserves
d’enzymes, alors qu’elles sont indispensables à nos globules blancs ; elles sont le carburant
sans lequel ils ne peuvent faire leur travail, donc là, notre immunité s’affaiblit. Si nous
manquons d'enzymes (déficit enzymatique), nous aurons des problèmes de digestion et
d’assimilation. Alors, ce que nous mangeons ne nous profitera pas.
Lorsque nous débutons le repas par une crudité, alors les enzymes présentes dans ces crudités
sont utilisées et il n’y a pas de destruction du stock (si stock il y a). De plus, commencer par
des fruits et légumes crus, élève immédiatement notre niveau d'énergie, donc notre taux
vibratoire. Parce que les acides, vitamines et enzymes des fruits et légumes crus facilitent
l’assimilation de tout le reste (corps gras, sucres, protéines ou minéraux), ils permettent à
notre organisme de tirer le maximum, non pas de ce que nous offre notre alimentation, mais
plutôt de ce qu’il a la capacité d’assimiler à cet instant-là. Car l’important n’est pas tant ce
qu’on apporte que ce que nos organes vont réussir à assimiler. Par contre, éviter de boire en
mangeant car cela freine l’avancée du bol alimentaire, ça dilue les sucs gastriques les rendant
moins efficaces, donc, cela ralentit la digestion et provoque souvent de l’inconfort.
Pour toutes ces raisons, il est indispensable de commencer chaque repas par des crudités, par
exemple le mélange : Radis noir rappé + pomme rappée + cannelle, vous aidera à nettoyer
votre foie. Chou rouge + pamplemousse + basilic, à remonter votre taux de fer. Vous pouvez
ajouter éventuellement un peu de fromage de chèvre, ou si vous faites des carottes rappées,
ça se marie bien avec du Munster. Puis si vous voulez après, du riz thaï avec des petits brocolis
ou champignons, rapidement passés à la poêle avec de la crème fraîche.
Dans un deuxième temps, vous pourrez supprimer de vos courses les éléments poisons que
sont : les céréales, les conserves, les apéritifs et leur cortège d’arachides grillées et biscuits
salés, le sucre, le poisson, la charcuterie, les graisses non hydrosolubles.
Pourquoi manger davantage d’aliments crus ?
Vitamines : La cuisson détruit une partie des vitamines, le réchauffage achève cette
destruction : après réchauffage, il ne reste plus trace de vitamines. Sans compter la
multiplication des germes. Bien entendu, il ne faut pas jeter les restes, mais le mieux est de
s'arranger pour qu'il n'y en ait pas.
Oxygène : Dans tous les aliments crus, il y a de l'oxygène, cet oxygène est indispensable pour
nos organes comme pour les ferments aérobies de nos intestins, aérobie signifie qu'ils ont
besoin d'oxygène pour vivre. Alors que les mauvais ferments sont Anaérobies, c'est à dire que
l'oxygène leur est nuisible. Or, après la cuisson il n'y a plus trace d'oxygène, d’où l'intérêt de
manger cru, pour apporter de l’oxygène et favoriser nos bons ferments, au détriment des
mauvais.
Enzymes : Les enzymes sont indispensables à la digestion, Il en existe de toutes sortes, des
milliers. Elles sont présentes dans toute nourriture mais commencent à être détruites à partir
de 40- 42°.
Notre organisme utilise les enzymes de nos aliments crus pour la digestion. Ce sont les
enzymes, les acides et les vitamines des fruits qui permettent d'assimiler tout le reste, c’està-dire tous les minéraux et tous les corps gras qui viennent ensuite dans le bol alimentaire.
Energie électrique et magnétique :
Un article paru sur le site de l’INREES en avril 2020 met en avant l’énergie vitale de nos
aliments, et plus précisément au travers d’études de radiesthésie, d’électro-photons, de
cristallisation sensible et de la photographie de Kirlian.
L’énergie subtile, non visible, comme l’émission d’ondes magnétiques ou électrique due aux
mouvements des atomes, est absorbée et véhiculée par le vivant. C’est le chercheur André
Bovis qui le premier l’a mis en évidence, puis ses travaux ont été repris et poursuivis par André
Simoneton qui a dit : « Le secret d’une nourriture fortifiante réside dans l’excellence de ses
radiations ». Des recherches scientifiques plus récentes, ont été faites grâce à l’électrophotonique. C’est un système numérisé qui permet d’évaluer la vitalité d’un aliment ou d’un
humain de par la quantité et la puissance des photons qu’ils émettent. Le Professeur
Konstantin Korotkov et son collaborateur français Christian Bordes, travaillent comme A.
Simoneton, sur le taux vibratoire de l’aliment et sur son influence sur l’être humain. Des
mesures prises fin 2019 sur une patiente montrent que son énergie est passée de 22 joules à
40 joules après ingestion d’un fruit frais. Mais d’autres mesures montrent que le simple
contact avec un élément dont une personne a besoin, comme une plante, de la propolis, un
minéral, une onde de forme, agirait bénéfiquement sur l’énergie de la personne. On le vérifie
aisément avec les élixirs floraux, particulièrement ceux de la dernière génération.
Le même effet va se produire en pratiquant la cohérence cardiaque qui va supprimer le stress,
attestant du même coup que les émotions négatives impactent notre vitalité.
L’alimentation moderne, transformée, mise sous vide, stérilisée, lyophilisée, surgelée,
bombardée d’ondes et complétée de milliers d’additifs nous fournit des aliments affaiblis qui
nous affaiblissent et ouvrent la porte à tous les processus dégénératifs. »
Il n'y a aucun apport intéressant dans un aliment cuit qu’on ne puisse trouver en meilleur état
dans l'aliment cru. Seules l’addiction et l’altération des muqueuses digestives nous poussent
à manger les aliments cuits. Ce n'est pas pour autant que je te conseillerais de ne plus rien
manger de cuit du jour au lendemain... certains le font, mais c'est un choc pour les cellules et
une frustration énorme car le cuit induit une addiction et c'est inscrit dans nos cellules depuis
des générations et des générations, donc, respectons-les, allons-y sans violence.
2) prendre soin de l’émotionnel :
NE VOUS EMPOISONNEZ PAS AVEC VOTRE RESSENTIMENT, VOTRE COLERE OU VOTRE
CHAGRIN !
Donc, n’empêchez pas vos enfants de pleurer. Ne pas leur apprendre à ravaler leurs larmes.
Il est salutaire d’exprimer ses émotions, qui sinon, nous dévorent de l’intérieur et ressortent
en somatisations diverses, sous forme de maux variés.
Il est salutaire, déjà, d'en prendre conscience, ce qui n'est pas si évident, on s'en prend parfois
aux autres, alors qu'on ressent de la colère pour une situation passée ou subit ailleurs, ou
contre soi-même, sans s’en rendre compte.
Qui n'a jamais vu un parent contrarié, qui a manqué une opportunité ou une affaire s'en
prendre à ses proches sans raison apparente ? Donc pas évident d'accepter qu'on ressent de
la colère et qu'elle ressort hors de propos et rejaillit, par notre faute sur des innocents.
Pas évident non plus de voir qu'on se mortifie par culpabilité, ou qu'on ne se sent pas en droit
d'exprimer sa peur, ses blessures ou sa peine.
Jacques Salomé dit : « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime, il est souhaitable de favoriser
l’expression au-delà de l’émotion, ou du retentissement. Cette pratique permettra d’éviter
quelques somatisations, du stress et de l’angoisse ».
Extérioriser ses émotions : Il est possible se libérer de ses émotions retenues, des tensions et
du stress qui empoisonne. Apprendre déjà à identifier et nommer ses émotions, il est salutaire
de se poser des questions et de régulièrement prendre conscience de nos émotions, de notre
ressenti intérieur, savoir à quelle émotion nous réagissons en développant cette humeur mal
à propos… Ensuite, il suffit de redevenir comme un enfant et d’aller crier en forêt, de vraiment
se lâcher, pleurer, serrer les poings... Il y a des exercices de sophrologie ludique pour cela qui
sont salutaires. Il faut les répéter plusieurs fois par semaine ou plusieurs fois par jour, autant
que nécessaire c’est variable suivant le besoin. Si on y met toute l’intensité voulue, cela
permet de se défaire du poids des fardeaux accumulés dans la frustration, des injustices et
peines subies.
Nous devons prendre modèle sur les enfants qui dépassent leurs émotions en les
extériorisant, en pleurant beaucoup, en piquant une forte colère, en allant ensuite se faire
consoler.
Bien sûr, si nous sommes adultes, ce n’est pas pour nous comporter comme des enfants, mais
il y a de bons moyens d’adulte pour exprimer ses émotions. Un adulte peut écrire, ou utiliser
le jeu dramatique, faire une séance de gestalt thérapie, de tapping, ou encore aller pleurer et
crier son ressentiment dans la forêt… ce sont de bons moyens pour laisser de nouveau
l’oxygène et l’énergie passer.
Ce que nous pouvons faire pour contrebalancer c’est nous débarrasser des sentiments
négatifs, ne pas polluer notre cerveau avec de vielles rancœur, cultiver la joie et le rire. Un
sourire forcé aide le corps à produire les hormones du bien-être, endorphines, ocytocine,
dopamine... donc, même si vous vous forcez à rire, vous en récupérez les bénéfices.
Nourrir son enfant intérieur, encore faut-il en avoir identifié les besoins en terme de plaisir de
créativité... Nous parents, à force de faire pour les autres, on oublie souvent de penser à soi,
et l’on peut ainsi passer à côté́ de sa propre vie. Prendre conscience de nos besoins d’affection,
de tendresse, ce sont des émotions à cultiver car si on n’y prend pas garde elles peuvent se
détériorer. Comme je dis toujours : « Cultive un beau jardin rempli de fleurs et ta maison sera
remplie de belles couleurs, cultive un jardin d’épineux et tu rempliras ton cœur et ta maison
d’épines.... Il y va donc de notre responsabilité de cultiver le bon et laisser de côté ce qui nous
ronge. Comme a dit Voltaire : J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour ma santé.
3) Respirer et s’activer.
Ensuite, il faut bien sûr apporter de l’oxygène via la respiration et par le mouvement. Cela veut
dire faire du sport à sa mesure suivant son âge et son état, déjà commencer par un peu de
gym dehors chaque matin. Mais aussi : sortir chaque jour quel que soit le temps, préférer les
escaliers à l’ascenseur, marcher tous les jours à un bon rythme, prendre le vélo au lieu de la
voiture quand c’est possible... En outre le yoga apporte la souplesse, la piscine facilite
l’apoptose cellulaire et permet de faire travailler tout le corps, chaque sport a son avantage,
à vous de trouver celui qui vous apporte le plus de plaisir.
4) Respecter ses besoins : de repos, d’échange sociaux, d’élimination.
Le repos en terme de sommeil est assez mal pris en compte contrairement à ce que l’on pense
car notre société nous impose des rythmes qui ne sont plus en accord avec les lois
physiologiques. Plus les gens sont fatigués, plus ils restent devant la télévision, les émissions
qui commençaient à 20h30, commencent maintenant à 20h 50, alors que la sagesse voudrait
que nous soyons au repos de bonne heure et levés tôt. (Voir les vidéos sur le sommeil sur la
chaîne vivreOjus (lien en bas). Quant au besoin de mettre son système digestif au repos, il est
carrément ignoré de presque tous, excepté des adeptes du jeûne qui eux, sont parfois dans
l’excès. Là, c’est une hygiène qui doit vraiment être personnalisée et correspondre réellement
aux besoins de chacun car les organismes sont tous différents. L’exclusion sociale, la solitude
sont aussi un facteur qui dégrade la santé et ceci requiert un effort de chacun. Si l’on veut
garder des liens, il faut parfois savoir faire preuve de souplesse, garder bien gravés les bons
moments et oublier les manquements ou les griefs. L’amitié est une chose qui grandit quand
on l’entretient.
Les besoins d’élimination représentent le nettoyage intérieur des organes, ne pas garder les
toxines pas plus que les griefs passés. (Je ne parle pas ici des traumas). Cela va de la tisane
d’ortie –pissenlit pour drainer le foie et les reins, jusqu’au jeûne en passant par les jus
détoxifiants comme citron-pamplemousse-brocoli ou chou vert, gingembre, ananas par
exemple.
Les jus faits maison
Nous pouvons faire de bons cocktails avec les jus, en combinant différents légumes pour
obtenir des boissons agréables et saines avec une action dépurative et reminéralisante.
Toujours associer fruits et légumes, car leurs actions sont complémentaires.
Avant toute préparation les légumes et les fruits qui le nécessitent, seront lavés le plus tôt
possible (surtout pas de trempage) c'est à dire le mieux, c'est de les laver sitôt achetés, ou de
les essuyer seulement, car l'eau du robinet, polluée, leur fait perdre une partie de leur charge
magnétique, il leur faut du temps pour récupérer, il faut savoir que la peau est riche en
vitamines, acides aminés et bonnes bactéries, donc il vaut mieux leur laisser avant d’être
découpés et pressés.
Pour faire ses propres jus de légumes à la maison il suffit de posséder une centrifugeuse ou
mieux, un extracteur, ce qui permet de préparer des jus sans perdre aucun bienfait si on les
consomme de suite ou disons dans le quart d’heure qui suit, afin d’éviter le phénomène
d’oxydation.
Les jus du commerce : Un jus du commerce ne peut en aucun cas rivaliser avec un jus cru
maison. Le mieux est d'éviter ces produits qui, s'ils ne sont pas pasteurisés, donc cuits, sont
dilués ou sucrés, quand ce n’est pas bourré de conservateurs, donc sans valeur pour la santé,
ayant perdu leur vertu la plus intéressante : la micro nutrition vivante énergétique.
Consommation et utilisation
Il est conseillé aux personnes sensibles de ne pas employer les légumes qui peuvent être
irritants pour les reins ou pour les muqueuses digestives et sont controversés, tels l’oignon, le
poireau, la pomme de terre, l’asperge, le céleri, l'épinard, ou l'ail. Ou encore acidifiant comme
le kiwi les prunes ou cerises. Quant à la pomme de terre comme bien des solanacées, elle peut
représenter un poison, surtout à proscrire en jus. Il faut commencer vos jus par de petites
doses, puis passer à des quantités plus importantes par la suite. Tester certains mélanges,
essayer au maximum de respecter son ressenti, être prudent avec les légumes qui
« nettoient » comme le radis noir, ainsi qu'avec les épices : piment, curcuma, gingembre, qui
sont des alicaments. Les légumes neutres qui peuvent rentrer dans la composition des jus
sont peu nombreux : Le fenouil, extra pour la sphère digestive, estomac, intestin, associé au
citron, il est anticholestérolémiant, la carotte, pas seule, mais avec du pamplemousse (ou
tomate en été) et du miel elle redonne des forces aux convalescents, et aux accouchées. Le
chou rouge, les endives, le radis noir, sont pleins de vertus aussi pour nettoyer le foie et aider
la vésicule.
On peut consommer ces jus dans le cadre de notre alimentation quotidienne, à raison d’un
grand verre à jeun au petit-déjeuner, sous forme de cures plus ou moins longues. Il est
recommandé de ne pas dépasser 2 fruits et 2 légumes maximum et si possible, un légume
feuille et un légume racine pour avoir la complémentarité. Consommer les jus de fruits et
légumes sous leur forme naturelle sans aucun ajout.
Un jus doit être agréable à boire. Si le goût d’un jus ne vous convient pas, c’est que vous avez
mis trop de légumes, ou trop d’un légume fort. Vous pouvez augmenter la proportion de fruits
ou encore ajouter un peu de miel liquide, surtout pas de sucre. Le meilleur moment pour
consommer les jus est le matin à jeun.
Quelques légumes que l’on peut consommer en jus et un petit aperçu de quelques-unes de
leurs propriétés :
Fenouil : excellent pour l'intestin, la vésicule, l'estomac...
Betterave rouge : elle est favorable au système nerveux et lutte contre l’anémie.
Carotte : elle contient beaucoup de minéraux et vitamines du groupe B ; elle stimule toutes
les glandes. Ses caroténoïdes sont précieux pour la santé des yeux.
Chou rouge : comme tous les brassicacées (crucifères), il apporte du souffre pour le foie et les
articulations, du fer aussi si c’est du chou rouge.
Chou vert : il est riche en chlorophylle, sels minéraux et vitamines ; c’est un bon minéralisant.
il apporte de la chlorophylle qui purifie le foie, le sang, la lymphe et des composés soufrés qui
nettoient le foie et les voies respiratoires.
Brocoli, idem chou vert, avec également de la zéaxanthine, précieuse pour la santé des yeux
Pissenlit : il draine le foie et les reins.
Radis noir : il contient du soufre, excellent pour la détox hépatique mais ça nettoie fort.
Pomme, elle favorise l’assimilation des lipides, donc protection cardio-vasculaire.
Il y aurait beaucoup à dire car c’est encyclopédique et surtout selon les synergies
d’associations qui seront créées, entre les éléments vous pouvez produire une variation
d’actions complémentaires qui se renforcent ou s’équilibrent.
Les jus peuvent être associés ensemble selon certaines règles et selon les goûts de chaque
personne. Si vous avez peur de vous tromper, vous pouvez commencer par un jus de citron,
puis un légume feuille + un légume racine, + un deuxième fruit et finir par une pointe de miel.
Le tout en restant dans les fruits et légumes de saison bien entendu.
Voici quelques exemples de cocktails toniques et fortifiants :
- citron, concombre, melon, fenouil.
- citron, pastèque, ananas, concombre
- carotte, ananas, chou vert, citron
- pamplemousse, betterave rouge, brocoli, pomme
- pomme-poire-fenouil-citron.
- pamplemousse, pomme, brocoli, pincée de menthe
- pommes, chou rouge, pincée de basilic+ pamplemousse +betterave rouge (antianémique)
- radis noir, ananas, pomme+ fenouil (foie, vésicule)
- citron, concombre, gingembre, miel (énergisant et rafraichissant, été)
- chou rouge, orange, sirop de cassis, betterave, pomme (antianémique)
- carotte, brocoli, orange, myrtilles, avec 3cuillèrées d’amandes mixées (DMLA et autres
affections des yeux)
- Pamplemousse, ananas, carotte
- clémentines, pomme, endive, radis noir
- pomme, fenouil, carottes, clémentine
- 1 petit fenouil (tiges et feuilles comprises), tomate + Miel + 2carottes+ 1/2pamplemousse
- 1/2Pamplemousse,2 tomates, +miel
- tomate, pastèque, citron, miel, pincée de menthe.
- concombre, fenouil, pomme, gingembre, citron
Agnès Durand
https://www.youtube.com/channel/UCcsi0mEbTji3nI9PuMcJC4Q
Alimenthérapie, Radiesthésie,
yoga du rire et des yeux
http://vivelavie.jimdo.com
Elixirs de KORTE, Sophrologie.
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