LE DÉLUGE D’AMOUR DE
BHAGAVAN SRI SATHYA SAI BABA
A BOGODOHOVO EN UKRAINE
Une petite ville d’Ukraine, appelée Bogodohovo, a récemment été assiégée, non pas par
l’armée d’une superpuissance, mais par une légion d’anges qui envahirent la région avec la
forme la plus sublime d’amour pur, de bonté et de compassion extraordinaire.
Motivé par Bhagavan Sri Sathya Sai Baba, qui incarne la plus grande préoccupation
désintéressée envers l’humanité, un groupe de médecins Sai et de volontaires dévoués a
traversé la moitié du globe, en 2008, en provenance des Etats-Unis et du Royaume-Uni pour
restaurer la foi des Ukrainiens en Dieu, en la bonté et en l’abnégation en leur fournissant une
aide médicale bien nécessaire. Mais en cours de route, cette légion d’anges Sai a aussi
illuminé des milliers de vies déprimantes en faisant preuve d’amour sincère et spontané. Ainsi,
pendant que l’homme était occupé à faire la guerre, Dieu incarné propageait la paix et
l’amour dans la région. Voici comment Il s’y est pris.
‘’Bogodohovo’’ ressemble au
mot sanscrit ‘’Bhagavan’’,
n’est-ce pas ? Chose
intéressante, ‘’Bogo-Du-
hovo’’, en langue ukrainienne,
possède aussi une
connotation divine
intrinsèque ; cela signifie
‘’ville qui appartient à l’esprit
de Dieu’’. Et cette histoire de
seva Sai concerne la façon
dont l’amour et la
compassion divine
submergèrent cette ville de
Dieu, perdue dans un coin
rural de l’Ukraine.
Bogodohovo, qui est à sept
heures de route de Kiev, la capitale de l’Ukraine, offre un grand contraste avec Kiev. Kiev
abrite beaucoup d’industries high-tech, d’instituts d’éducation supérieure, de grandes
infrastructures et possède un système de transport public sophistiqué, qui inclut le métro de
Kiev ; d’un autre côté, Bogodohovo offre l’image pathétique de la pauvreté, de la malnutrition,
d’infrastructures pitoyables et d’installations médicales très rudimentaires. Les 18 000
habitants de cette ville ont des années-lumière de retard, par rapport à l’affluence et à la
prospérité que représente Kiev. En fait, la situation est pire, lorsqu’on visite les villages
reculés, où des gens innocents et ignorants souffrent de toutes sortes de maladies, graves ou
mineures, et qui ne savent rien de leurs maladies et de leurs traitements.