Telechargé par Corinne Soria

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Chapitre 1
La veille réglementaire nécessaire
à l’établissement des comptes
Positionnement du chapitre dans le référentiel
Activité
2.1. Conduite d’une veille réglementaire nécessaire à l’établissement
des comptes
Situations de travail
2.1.1. Identification des évolutions de la réglementation comptable et fiscale
2.1.2. Formulation de propositions et conseils sur les options comptables
favorables
Savoirs associés
– Système de transmission des informations
– Organisation comptable
– Procédure de contrôle interne
– Procédures comptables
– Textes fiscaux et sociaux de référence
– Principes comptables
– Rôle de l’annexe
– Rôle, structure et construction de la réglementation comptable
– Système de transmission des informations aux personnes concernées
Compétences
– Identifier les évolutions de la réglementation et les informations
pertinentes au regard des situations de gestion rencontrées
– Formuler des propositions répondant aux besoins de l’organisation
et aux choix des dirigeants
Situation professionnelle (p. 5)
I. Repérer les travaux d’établissement des comptes
1. Qu’est-ce que l’inventaire comptable ?
L’inventaire comptable est le « relevé de tous les éléments d’actif et de passif ». Il consiste à
recenser et vérifier que tous les éléments du patrimoine existent effectivement et sont
correctement valorisés.
2. À quelle périodicité la SARL Les Petites Gourmandises doit-elle le réaliser ?
Selon l’article L. 123-12 du Code de commerce, l’inventaire doit être réalisé au moins une
fois tous les 12 mois afin d’établir les comptes annuels. Cette périodicité est donc fixée
légalement. La SARL Les Petites Gourmandises est tenue de respecter cette fréquence légale,
mais si elle le souhaitait, elle pourrait réaliser plusieurs inventaires par an.
© Nathan
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
3. Quelle est l’utilité de l’inventaire comptable pour Les Petites Gourmandises ?
Pour l’entreprise, l’utilité de l’inventaire comptable est double. Il permet :
– de s’assurer que la comptabilité a été régulièrement tenue et de l’ajuster le cas échéant, au
regard des textes réglementaires, des normes comptables et des événements particuliers qui ne
relèvent pas des opérations courantes (étudiées dans le cadre du processus précédent) ;
– de produire les documents de synthèse qui doivent être remis aux différents partenaires de
l’entreprise.
4. L’établissement des comptes consiste à présenter un compte de résultat, un bilan et
une annexe comptable. Quel est le rôle de l’annexe ?
L’annexe est un ensemble de documents complémentaires au bilan et au compte de résultat.
Elle permet d’apporter des précisions quant à la composition et/ou à l’évolution de certains
postes ou comptes de ceux-ci.
Complément
Il est possible de revenir avec les élèves sur les rôles du bilan et du compte de résultat :
– le bilan présente globalement la situation patrimoniale de l’entreprise (éléments d’actif et
de passif) ;
– le compte de résultat fait apparaître le résultat de l’activité de l’entreprise sur la durée de
l’exercice (en comparant les produits et les charges).
Ces deux documents fournissent des informations globales, sans analyse particulière.
5. Observez l’organigramme de l’entreprise : analysez l’organisation comptable et
distinguez les personnes chargées des opérations courantes de celles qui sont en
charge de l’établissement des comptes.
Mme Sorgel est responsable des écritures d’inventaire. C’est donc elle qui est chargée de
l’établissement des comptes annuels (qui doivent être visés par un expert-comptable, seul
habilité à le faire). Mlle Caide procède à la comptabilisation des opérations courantes. Elle
n’effectue donc pas les travaux d’inventaire, qui requièrent un niveau de compétences plus élevé.
6. En quoi cette organisation facilite-t-elle la transmission des informations ?
Cette organisation facilite la transmission des informations car les fonctions et les attributions
de chaque personne sont clairement définies. Il est donc ainsi plus aisé d’identifier les
destinataires et les émetteurs respectifs de chaque information. Par ailleurs, Mlle Caide peut
continuer à comptabiliser les opérations courantes pendant la période de l’inventaire
comptable sans prendre de retard.
II. Identifier les informations pertinentes pour établir
les comptes annuels
7. Qu’est-ce que la veille réglementaire ? Pourquoi Mme Sorgel conseille-t-elle de mener
une veille réglementaire régulière ?
La veille réglementaire est l’activité qui consiste à recenser, identifier toutes les nouvelles
dispositions réglementaires (normes internationales, lois, recommandations des autorités
administratives indépendantes ou des organismes professionnels…).
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
© Nathan
Elle est fortement recommandée, voire indispensable, pour diverses raisons :
– l’évolution des règles comptables est très importante ;
– l’entreprise est tenue de respecter ces règles et les textes réglementaires en vigueur.
La personne chargée d’établir les comptes annuels de l’entreprise (ici, Mme Sorgel) doit donc
disposer d’informations pertinentes et actuelles. Grâce à la maîtrise de ces nouveaux textes,
elle peut présenter des documents de synthèse en adéquation avec la réglementation.
La veille réglementaire préconisée par Mme Sorgel s’inscrit pleinement dans cette démarche.
8. Quelle est l’autorité créatrice de chacune des sources réglementaires évoquées par
Mme Sorgel ?
Autorités créatrices des sources de droit
Gouvernement, autorité nationale disposant du pouvoir
Ordonnance 2014-86 du 30/01/2014
exécutif
Norme IAS16
IASB, autorité internationale (texte antérieur à 2002)
Gouvernement, autorité nationale disposant du pouvoir
Décret 2014-136 du 17/02/2014
exécutif
Articles L. 123-16 et L. 123-16-1 du Code Parlement, autorité nationale disposant du pouvoir
de commerce
législatif
ANC (Autorité des normes comptables), organisme
Règlement ANC n° 2014-03
professionnel
Norme IFRS10
IASB, autorité internationale (texte postérieur à 2002)
Recommandations de l’AMF du 04/11/2014 Autorité administrative indépendante (AAI)
Directive 2013/24/UE
Commission européenne, autorité communautaire
Textes
9. Établissez, sous forme schématique, la hiérarchie de ces sources du droit comptable.
Les sources du droit comptable obéissent aux mêmes principes que les sources du droit de
façon générale. Cela implique notamment que les sources du droit respectent une hiérarchie.
Cette hiérarchie des sources du droit signifie qu’une règle ne peut déroger à une règle qui lui
est supérieure. Le positionnement des textes réglementaires les uns par rapport aux autres est
donc très important :
IAS16
IFRS10
Directive 2013/24/UE
Articles L. 123-16 et L. 123-16-1
du Code de commerce
Décret 2014-136 du 17/02/2014
Ordonnance 2014-86 du 30/01/2014
Règlement ANC n° 2014-03
Recommandation de l’AMF (Autorité des marchés financiers) du 04/11/2014
© Nathan
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
10. Indiquez à quel(s) principe(s) comptable(s) fait référence chacune des opérations
prévues par Mme Sorgel.
Les principes comptables permettent de définir le cadre dans lequel les opérations financières
doivent être traitées et les états financiers présentés. Ils orientent donc notamment les traitements
comptables de fin d’exercice.
Les principes comptables qui prévalent lors des travaux d’inventaire sont :
– le principe de prudence ;
– le principe de continuité d’exploitation ;
– le principe de séparation (ou d’indépendance) des exercices ;
– le principe de la permanence des méthodes.
Ils tendent tous à fournir une image fidèle et sincère de la réalité.
Opérations
Collecte des bons de livraison pour
vérification de la réception
des factures
Collecte de renseignements sur
la situation de deux clients
Recherche de tableaux
d’amortissement d’anciennes
machines pour le choix de la
méthode à retenir pour les nouveaux
biens acquis
Principes comptables concernés
Principe de la séparation des exercices : les factures
correspondant aux opérations de l’exercice N doivent être
enregistrées sur le même exercice (même si elles sont parvenues
en N+1).
Principe de prudence : il faut enregistrer en comptabilité tous
les éléments de nature à faire diminuer la valeur du patrimoine.
La créance sur ces deux clients n’est-elle pas susceptible
d’affecter et donc de diminuer la valeur du patrimoine ?
Principe de permanence des méthodes : si l’entreprise a choisi
une méthode d’amortissement pour un type de biens particulier,
tous les biens de la même catégorie doivent être amortis de la
même façon. Un changement de méthode n’est pas possible.
Principe de prudence : si la valeur des titres à l’inventaire est
inférieure à celle qui figure au bilan, il faudra évaluer le risque
de perte de valeur du patrimoine).
Principe de continuité d’exploitation : la remise aux normes
Réflexion sur la façon d’enregistrer
des laboratoires permettra à l’entreprise de poursuivre son
en comptabilité le devis pour
activité sur les exercices ultérieurs. La charge correspondante
travaux de remise aux normes des
(trop importante pour un seul exercice) peut donc être étalée sur
laboratoires de fabrication des
plusieurs exercices à venir car ces travaux participent à la
chocolats
poursuite de l’activité de façon pérenne.
Principe de séparation des exercices : les éléments restant en
Demande d’informations sur la
stock seront consommés en N+1 mais ils doivent être rattachés à
valeur des stocks de matières
l’exercice N puisque c’est au cours de cet exercice qu’ils ont été
premières
constitués.
Étude de l’évolution de la valeur
du portefeuille de titres
III. Formuler des propositions et conseils
11. Quelles sont les incidences sur les procédures comptables de l’entreprise de cette
nouvelle forme de transmission des comptes annuels à l’administration fiscale ?
Rappel : une procédure comptable est la description de tous les traitements qui doivent être
effectués dans le cadre d’un processus comptable.
À compter du 1er mai 2015, la liasse fiscale ne doit plus être transmise en version papier mais
sous forme dématérialisée, et ce pour toutes les entreprises.
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
© Nathan
Cette nouvelle forme de transmission requiert :
– le recours à un partenaire spécialisé et agréé par la DGFiP pour l’échange de données
informatisé (EDI). L’EDI est la transmission électronique d’informations par l’intermédiaire
de l’expert-comptable ou d’un partenaire spécifique ;
– l’utilisation obligatoire de l’outil informatique dans le cadre du système d’information
comptable.
12. Comment se passerait la télédéclaration par l’intermédiaire du partenaire EDI ?
Après avoir établi les comptes annuels, Mme Sorgel ne remplit plus les imprimés papier, mais
procède à la saisie informatique des données de la liasse fiscale sur écran. Elle confie ainsi la
télétransmission auprès de la DGFiP au partenaire EDI, Télédec, avec lequel l’entreprise a
souscrit un contrat. Ce partenaire dispose d’un système informatique sécurisé et agréé par la
DGFiP.
13. Comment le CGA prendrait-il en charge la télédéclaration de la liasse fiscale ?
Le CGA a obtenu la qualité de partenaire EDI. Si l’entreprise y adhère, Mme Sorgel devra, à
l’issue de l’élaboration des comptes annuels et dans un délai minimal de 15 jours avant la date
de transmission à la DGFiP, lui adresser les informations nécessaires. C’est ensuite le CGA
qui se chargera de la télétransmission.
14. Quels autres services chacun de ces partenaires propose-t-il ?
Les deux organismes proposent la télétransmission de la liasse fiscale dans des conditions
similaires. Le choix de l’un ou l’autre dépendra également des autres services respectivement
associés.
Télédec
Aucun autre service complémentaire.
Télédec n’est que partenaire EDI.
CGA 37
– Conseils de gestion (signalement d’éventuelles
anomalies repérées…)
– Informations sur le secteur d’activité…
– Formations
15. Au vu de tous ces éléments de comparaison, quelle solution vous paraît la plus
appropriée ? Justifiez votre réponse.
Sur la simple base du tarif, Télédec est plus intéressant (tarif à partir de 89 € HT contre
195 € HT pour le CGA). Toutefois, au vu de la diversité des services proposés, le CGA
semble être le partenaire à privilégier puisque son offre est plus large.
L’adhésion au CGA semble donc être la solution la plus appropriée après vérification des
prestations déjà obtenues auprès du cabinet d’expertise comptable (pour éviter de payer des
prestations en double).
IV. Mettre à jour des procédures comptables
16. Quels sont les objectifs du contrôle interne ? Explicitez-les.
Rappel : le contrôle interne est l’ensemble des politiques et des procédures mises en œuvre
pour permettre une gestion rigoureuse et efficace de l’activité de l’entité.
Les objectifs du contrôle interne sont multiples.
© Nathan
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
Objectifs
Commentaires
Pour établir les comptes annuels, tous les textes réglementaires
doivent être respectés : normes IFRS ou IAS, textes communautaires,
lois, recommandations des organismes professionnels. Mais il faut
Le respect des directives
aussi respecter les directives internes (ex. : tenir compte du projet
de remise aux normes des laboratoires de production décidé par
le dirigeant).
Pour atteindre les objectifs fixés par l’ensemble des directives
(internes et externes), l’entreprise utilise des ressources.
L’optimisation consiste à minimiser la quantité des ressources
L’optimisation des ressources
utilisées et à affecter les ressources les plus adaptées dans chaque
situation (ex. : confier les travaux d’inventaire à une personne
suffisamment compétente et informée).
Toutes les actions menées doivent permettre de maintenir l’ensemble
La sauvegarde des actifs
des actifs dans le patrimoine de l’entreprise (ex. : réaliser l’inventaire
des stocks pour s’assurer de leur niveau réel).
La prévention et la détection Toutes les procédures mises en place par le contrôle interne doivent
des fraudes et erreurs
permettre de détecter les éventuelles erreurs ou anomalies.
Les documents de synthèse doivent être établis et remis dans
La production d’informations
les délais légaux :
comptables et financières
– délai de remise à l’administration fiscale ;
en temps voulu
– délai de communication aux associés…
L’exactitude et l’exhaustivité Tous les enregistrements comptables doivent être correctement
des enregistrements
effectués : aucun oubli n’est acceptable. Pour cela, des travaux
comptables
de pointage et de rapprochement sont indispensables.
17. En quoi la télédéclaration de la liasse fiscale permet-elle de participer à l’atteinte de
ces objectifs ?
La télétransmission est en cohérence avec certains des objectifs du contrôle interne. Elle
assure le respect des directives : c’est une disposition réglementaire de la DGFiP qui instaure
la télédéclaration pour toutes les entreprises à compter du mois de mai 2015.
Elle permet d’optimiser les ressources : en effet, l’entreprise doit recourir à des matériels
spécifiques et des partenaires habilités. Le choix du partenaire se fera en fonction de
l’habilitation, des services proposés en corrélation avec le tarif pratiqué. Il y a bien
optimisation des ressources.
La télédéclaration favorise la prévention et la détection des fraudes et des erreurs : le fait de la
confier à un organisme spécifique offre :
– d’une part, la garantie que la manipulation sera correctement effectuée ;
– d’autre part, la possibilité d’un regard extérieur qui pourrait favoriser la détection d’erreurs
ou d’anomalies.
La télétransmission engendre la production d’informations comptables et financières en temps
voulu : les délais d’acheminement postal sont supprimés, la transmission est immédiate, sans
aucun délai. Par ailleurs, le partenaire EDI impose des délais de remise des informations. Pour
cela, en amont, l’entreprise doit se fixer des délais pour réaliser les travaux d’inventaire.
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
© Nathan
18. Quelle procédure comptable faudra-t-il mettre en œuvre pour assurer une
télédéclaration de la liasse fiscale appropriée dans le cadre du contrôle interne ?
C’est la procédure de transmission des informations qui sera modifiée.
Procédure en cas de recours au partenaire Télédec
Mme Sorgel
Partenaire EDI
Date
d’inventaire
Signature
du contrat
DGFiP
ET
Établissement des comptes annuels
Recherche d’informations
Vérification des informations
Réalisation des travaux d’inventaire
Établissement des documents annuels
Saisie informatique sur écran spécial
TOUJOURS
Réception puis
transmission de
la liasse fiscale
Réception de
la liasse fiscale
Si le recours au CGA 37 est préféré, il s’agira d’une adhésion (plutôt qu’une signature de
contrat) et la date de transmission devra être avancée de 15 jours au moins par rapport à la
date imposée par la DGFiP.
© Nathan
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
Corrigé de l’application
Application – S’adapter à l’organisation comptable (p. 19)

Analysez l’ensemble des événements du mois de décembre (document 1) afin de
repérer ceux qui sont spécifiques à l’établissement des comptes annuels. À l’aide du
document 2, vous compléterez le tableau (document 3).
Opération
À traiter
par le SIC
Type
d’opération
Traitement à effectuer
Principe comptable
mis en œuvre
Personne(s)
concernée(s)
Expert d’Info’Top
et éventuellement,
Mme Vallon
1
 Oui
 Non
 Courantes
 D’inventaire
2
 Oui
 Non
 Courantes
 D’inventaire
3
 Oui
 Non
4
 Oui
 Non
Enregistrement
 Courantes
de l’acquisition d’une
 D’inventaire
immobilisation
 Courantes
 D’inventaire
5
 Oui
 Non
 Courantes
 D’inventaire
6
 Oui
 Non
7
 Oui
 Non
Enregistrement d’une
Principe
 Courantes
facture d’achat à la bonne de la séparation
 D’inventaire
date
des exercices
 Courantes
Recherche d’information
 D’inventaire sans écriture comptable
8
 Oui
 Non
 Courantes
Recensement des stocks
 D’inventaire
9
 Oui
 Non
 Courantes
Demande de document
 D’inventaire
10
 Oui
 Non
 Courantes
Répartition sur les deux
 D’inventaire exercices concernés
11
 Oui
 Non
 Courantes
Document à affecter dans
 D’inventaire le fonds documentaire
12
 Oui
 Non
Valorisation
 Courantes
et comparaison valeur
 D’inventaire
initiale
Principe
de prudence
13
 Oui
 Non
 Courantes
Enregistrement
 D’inventaire du règlement
Principe d’image
fidèle et sincère de Mlle Dumantal
la réalité
14
 Oui
 Non
15
 Oui
 Non
Évaluation
 Courantes
Principe
et enregistrement des
de prudence
 D’inventaire
dépréciations éventuelles
Principe
 Courantes
Mise à jour dans
de la séparation
 D’inventaire les comptes
des exercices
Expert d’Info’Top
Principe du coût
historique
Mlle Dumantal
M. Hapreau
M. Hapreau
Principe
de la séparation
des exercices
Principe
de la séparation
des exercices
Principe
de la séparation
des exercices
Mlle Dumantal
M. Gentil
M. Hapreau et tout
le personnel
éventuellement
Mlle Dumantal
M. Conte
M. Conte
M. Conte
M. Conte
M. Conte
Remarque : pour les opérations 3 et 11, le professeur pourra rappeler qu’il s’agit d’écritures
classiques (étudiées dans le processus 1) ne relevant pas des travaux d’inventaire.
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Chapitre 1 – La veille réglementaire nécessaire à l’établissement des comptes
Processus 2
© Nathan
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