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INTERACTIONS VERBALES
C’est une partie de la linguistique qui est assez importante, pour certains
spécialistes l’interaction est la réalité premre du langage.
Contrôle continu en groupe = transcription
Dans le dossier il y aura 2 étapes, 1/ la transcription + la convention de
transcription, 2/ analyse avec un plan type mais avec contenu à rédiger
collectivement à rendre 19 cembre.
Nom le dossier : DESMOTREUX Juliette HEUDEBOURG Justine
En format PDF + world
CT : Transcription avec un document vidéo avec 2 heures pour rédiger un plan
d’analyse un peu rédigé.
I Les 4 concepts introductifs aux interactions
Intro :
Sens néral, ce mot interaction est un mot à la mode, la première chose à
savoir c’est que le terme interaction vient des sciences et il était utilisé en
biologie et en physique, mais c’est un concept nomade qui a donc migré depuis
le domaine des sciences de la vie vers les sciences humaine et cela sest produit
vers le XXème siècle. Action réciproque qu’exerce entre eux des êtres, des
personnes, des groupes .
C. Kebrat Orecchioni « Tout au long d’un échange communicatif quelconque,
les différents participants que l’on appellera inter-actant, exercent les uns les
autres, un réseau d’influence mutuelle : parler c’est échanger, et c’est changer
en échangeant. Interagir, c’est échanger mutuellement : action conjointe (faire
avec) parler avec quelqu’un c’est sous entendre que lon fabrique la parole
ensemble. »
Robert Vion « le terme interaction signe toute action conjointe, conflictuelle
et/ou coopérative mettant en présence deux ou plusieurs acteurs. »
Les sciences humaines veulent désormais travailler avec un objet social et ne
travaille plus à partir d’un Objet
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Les 4 concepts d’interaction :
-Face à face : on ne peut pas parler pleinement d’interaction qu’en situation de
face à face qu’on appelle également la co-présence dans un même contexte
spatial et temporel. Cest le pôle d’un continuum et de l’autre coté la
communication différée. (Tout forme d’écrit en général) on a se continuum il y
a pleins d’autres états interdiaires.
-La multi-canalité : on communique par l’ensemble de sens donc la vue, l’ouïe,
le toucher, le kinésique (les gestes), la proxémique.
-La tro-action : c’est la simultanéi de lémission et de la réception, c’est que
tout émetteur est aussi récepteur en même temps. Cest essentiel selon ce que
le récepteur (qui est en nous lorsque l’on reçoit une interaction) va moduler ce
qu’il est en train de dire. On va surveiller les réactions des allocutaires
LOC+ALLOCUTAIRE > INTERLOCUTEURS
C’est important d’utiliser la rétro-action quand on est enseignant pour se
centrer une peur sur son allocutaire
-Le couple contenu et relation : toute énonciation présente deux aspect
linformation transmise c’est le contenu et d’autre part la relation qui est le
cadre des rapports entre les inter-actants donc la relation est une méta-
communication car elle englobe le premier aspect le contenu en indiquant la
manière dont lénoncé doit être reçu. (exemple : « ouvrez la fetre « = je suis
dans une relation ou c’est une interjection , un ordre , c’est donc dans une
relation hiérarchique, l’allocutaire n’est pas oblid’accepter la relation , si il
ouvre il accepte, il conteste la relation lorsqu’il refuse , dans toute énonciation
il y a du contenu et de la relation , et pour les enseignants il y a une chose
importante , si la relation n’est pas accepté par les deux partie et bien le
contenu ne passe pas parce que la relation est contes sans cesse, cela détruit
la possibilité de passer du contenu.
L’interaction objet d’analyse scientifique :
Le fait que la discipline analyse des interaction verbales dise que le hasard n’est
pas cela qui gère les diverses interactions, ces interactions suivent des règles
implicites qui sont comme les règles conversationnel mais ce sont des règles
préférentiel (ce ne sont pas des règles strictes) mais dans les interactions on
peut transgresser les règles et ça n’engendrent pas de changement brutal de
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nature. La place de l’énoncé dans linteraction veut qu’il soit un co-produit par
A et B (co-produit entre locuteur et allocutaire)
La parole est une activité sociale qui seffectue à plusieurs, ce n’est pas la
langue, c’est une activité car on est dans la co-production, on est aussi dans la
dimension collective de la production d’énoncés, un énoncé n’est pas la
propriété de son acteur, la parole peut être réalisé a plusieurs, par la bi-logue,
tri-logue
II La transcription des interactions
Le fait de transcrire consiste à transformer de loral ou audiovisuel en écrit.
Claire Blanche Benveniste est celle qui s’en est le plus intéresser.
1. Introduction
Lorsqu’il faut analyser une analyse, il est insuffisant de s’appuyer sur la
moire des participants ou observateur parce que la moire agit comme un
filtre qui ne va conserver et interpréter que ce qui ne correspond aux centres
d’intérêts de la personne.
Après un enregistrement, il faut procéder à la transcription.
Transcrire=établir et fixer le fait langagier. En conséquent tout ce qu’on ne note
pas, ou note mal, va dispartre et si on le note mal va créer des contres sens.
C’est pour ça qu’il faut être soigneux dans l’étape de transcription.
Il y a deux pole :
-La fidéli a ce qui était dit
-La lisibili de la transposition écrite
2.La transcription orthographique
On choisit la transcription orthographique et pas phonétique pour la lisibili,
sauf dans quelques cas. Par exemple, quand on n’arrive pas à reconnaitre le
mot ou ce qui a été prononcé donc là API pour signaler.
Cela va éliminer les ambiguïtés, par exemple lorsquils sont homophones entre
le singulier et le pluriel.
Cependant la transcription orthographique va poser des problèmes :
-Difficiles de noter les caractéristiques de la matières phoniques (ex quali de
la voix, ses modulations, l’intensité…).
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Les majuscules sont réservées à la transcription de l’intensité.
Ex. : « Il ne chante PLUS (prononcé plus fort) »
-Usages des signes de ponctuation à l’écrit, mais on ne doit pas les utiliser dans
une transcription ou alors avec une signification particulre. Ce sont des
conventions qui appartiennent à l’écrit.
-Les trucages ortho qui sont souvent utilisés dans la littérature.
Ex. : « peut-être », si « pt êt » on écrit « peut-être » sinon on le catégorise.
Ecrire « Je suis (prononcé /ʃ̤ɥi/) »
-On peut parfois faire des sur-écoutes, des sur-interprétations.
3. Les conventions de transcriptions
Quand on transcrit on va faire des choix qui sont en fonction de nos centres
d’intérêts du chercheur et de ses hypothèses de travail. Donc lorsque lon va
transcrire on va devoir présenter et justifier.
Présentations des conventions :
- / -> silence
// -> pause plus longue
/// -> pause encore plus longue
-= -> pas de pauses entre la fin d’une réplique et le début d’une autre
-: -> un allongement de syllabe
-:: -> allongement de syllabe plus important
-e -> sitation (euh)
- ou ‘ -> intonation montante
- ou , -> intonation descendante
On peut rajouter des choses, mais si on entend une liaison fautive, on appelle
ça des cuirs ou des velours.
Ex. : « Je ne sais pas T a qui est ce »
On doit désigner les participants en mettant ses initiales ou en mettant
L(ocuteur)1, L2On met soit le nom, soit la profession et il faut que ça soit
pareil pour tout le monde.
Une transcription doit être justifié.
Important de numéroter les informations, les tours de paroles
Intéressant de vérifier les transcriptions quand on travaille à plusieurs.
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La transcription n’est pas qu’un problème technique, mais c’est surtout aussi se
heurter à la possibilité ou à l’impossibilité de se heurter à certains
phénomènes.
Faire une synthèse :
Parler de tous les documents.
Fabriquer un plan qui reflètent les points communs et les différences.
Une rétroaction réussie :
-doit être proposé : la politesse est très présente dans la manière de proposer
lentretien.
-le non-verbal : sourire
-explication de l’objectif de la rencontre : important de toujours dire ce qu’on
va faire. C’est une modalité qui est appliqué à tous les employés.
-dans le cadre interculturel, important de savoir si le mode d’interaction qui va
avoir lieu est identifié.
-essayer de ne pas attaquer la face de l’autre : ne pas mettre dans une
position où l’employé est en échec, à tort…
-commencer par un feedback positif : il faut que ça soit justifié
feedback positif=renforcement d’une tâche bien faite.
feedback négatif=Correction d’un effort, d’une tâche qui est mal réalisé.
-connecteur temporel : adoucir le contenu quand on passe d’un feedback
positif à négatif « maintenant ».
-la formulation du problème : fait faire le récit par l’employé et commente ce
qui auraitêtre fait en dépersonnalisant.
-Vérifier que le message est bien reçu : le message est aussi bien reçu.
-na pas attaquer la personne, le résultat est bien meilleur que si on stigmatise,
si on attaque la personne.
-objectif : faire progresser la personne et ne pas se charger
émotionnellement.
-centrer sur les faits : pas sur la personne.
III La communication non-verbal
Le langage n’est pas le seul moyen de communication, ça peut même être un
vecteur secondaire. Dans certains types de communication, les mots sont
beaucoup moins intéressants que le non-verbal.
Dans la communication orale, le verbal et le visuel ont autant d’importance,
c’est un sysmeorganisé des éments de naturetérogène sont
corrélés de manière varié=multicanali.
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