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Chapitre I : le règne animal
I. de l’inventaire à la classification
Aristote (IV
ème
av JC) : pose l’existence d’un lien entre les différentes formes animales qui
sous entend un ordre naturel.
Jussieu (18
ème
siècle) : principe de subordination des caractères.
Lamarck (1744-1829) : créer le terme de biologie et lance la théorie du transformisme.
Théorie critiquée par Cuvier (1817) : première classification naturelle des formes animales.
La nature est ordonnée. Première notion d’évolution approfondie ensuite par Darwin (1859).
Grassé (20
ème
siècle) : la chronologie explique le règne animal tout entier : les transformations
des êtres vivants sont des phénomènes historiques.
Les méthodes génétiques modernes précisent et bouleversent parfois les classifications.
II. les êtres unicellulaires : les protistes
A affinité végétale (protophyte)
A affinité animale (protozoaire)
Des organismes primitifs colonisant l’ensemble des milieux aquatiques (formes libres) et le
milieu biologique (forme commensale, parasite, symbiote).
Une seule cellule réalise de multiples fonctions vitales : différenciation d’organites
particuliers (cils, flagelle, vacuole pulsatile ou digestive, éléments squelettique).
III. les métazoaires
Une cellule œuf totipotente qui subit une segmentation. Des cellules nombreuses disposées en
feuillets. Des différenciations cellulaires liées à des fonctions particulières : constitution de
tissus, d’organes, d’appareils.
IV. les diploblastiques
Spongiaires : absence de symétrie
Cnidaires : symétrie axiale
Cténaires : apparition d’une symétrie bilatérale
V. les triploblastiques
Symétrie bilatérale
Apparition d’une zone céphalique dominante