032 BERTOLETTI fiche analyse manuels 1984

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Manuels
et
matériels
scolaires
pour
l'apprentissage
du
F.L.E.
Ébauche
d'une
grille
d'analyse
L'utilité
du
manuel scolaire ne semble plus
guère
contestée
aujourd'hui
1.
Les
polémiques
ont
atteint leur
sommet
pendant
bJ
première moitié des années «
70»
:
condamnés quelquefois
sans
appe~
les
llJBI1uels
a.m.ient
rendu à être
remplaœs
par
des supports
autonomes:
quotidiens, Terues ou matériels conçus
par
les ensei·
gDJJuts eux-mêmes.
Si
ce
mouvement
a sans doute contribué à
un
renouvel-
lement, tant didactique qu'éditorial,
il
s'est pourtant
assez
l'ite essoulIIé, renvoyant les enseignants à 'lB
nécessité de compléter
ces
supports
par
le choix
d'un
«
hon»
llJBI1u.l.
Or
bJ
sélection
d'un
tel
manu.l
est
aujourd'hui une
tâche
difliciIe, en
fraI1f8ÎS
langue
étrangère particulièrement, compte
t.nu
de
bJ
proliféra·
tion
des
méthodes «nouvelles» (certaines n'étant
d'ailleurs
que
de simples mises à
jour
hBtlyes)
et
de
bJ
complexité des anslyses à entreprendre
pour
en appré-
cier
bJ
fiabilité. Une telle
aulyse
requiert,
.n
effet, des
compétences variées, aussi bien au pbJn linguistique
(linguistIque générale, psycho-
.t
sociolinguistiqu •••• )
que méthodologique (des théories pédagogiques sur
bJ
l.
Cette utilité est manifestement reconnue, entre autres par la
plupart des professeurs de LE, interrogés au cours d'une enquête sur
la
situation actuelle de l'enseignement des LE dans
la
province de Pavie,
en Italie
du
Nord:
sur
un
échantillon de
277
enseignants, 5 %
seulement estiment que
le
manuel n'est «jamais nécessaire»
(M. C. Bertoletti, Il libro di
resw
dans l'ouvrage collectif
LA
lingua
straniera ne/fa scuola secondiare, Provincie
di
Pavia, mars 1983).
Maria Cecilia Bertoletti
Bergame (Italie)
avec la collaboration
de Patrick Dahlet (BELC)
didactique des bJngues étrangères
(LE)
BuX
modalités de
l'exécution des exercices proposés). Devant les implica-
tions, déterminantes
pour
le fonctionnement du cours,
du choix
d'un
manuel, les enseignants sont souvent plus
ou
moins
démunis:
on constate,
en
eUet, une cerfBme
pénurie de
travaux
portant
sur
l'sIJBlyse des méthodes
LE
et
un
manque
d.
suggestions
d'anslyse systématl-
ques et récentes. C'est cette délkieIlCe relative
qui
a
conduit à l'ébJhoration de la
grjlJe
ici présentée.
Une
grille
d'analyse:
ses
caracté-
ristiques
Bien qu'elle prenne
en
charge certaines instances
théoriques fondamentales et leurs paramètres pragma-
tiques correspondants, cette grille
se
veut surtout un
outil de travail suffisamment clair et complet pour
informer de l'ensemble des problèmes qu'une analyse
précise des matériaux didactiques peut être amenée à
aborder.
En
ce sens elle s'articule selon une double
démarche: d' analyse factuelle, fondée sur le repérage
de critères de distinction, aussi objectifs que possible,
entre les méthodes, et d'évaluation de leurs modalités
de réalisation. Pour des raisons de facilité de lecture,
on
trouvera nos propositions regroupées à l'intérieur
de cinq grilles d'analyse partielles, portant successive-
ment sur les aspects suivants:
55
BERTOLETTI Maria Cecilia, « Manuels et matériels scolaires pour l'apprentissage du F.L.E.
Ébauche d'une grille d'analyse ». Le Français dans le Monde n° 186, juillet 1984, pp. 55-63.
56
A. Présentation matérielle
B.
Supports et documents d'apprentissage
C. Contenus linguistiques
D. Contenus notionnels/thématiques
E. Tests
et
évaluations
On
a ainsi fait en sorte que chacune des grilles
visualise simultanément analyse
factuelle
et évaluation
pour chacun des cinq champs de référence.
En
outre, la
logique d'une grille d'ensemble devrait pouvoir être
rétablie à partir de ces cinq grilles particulières: elles
suivent en effet une ordonnance qui va du global au
spécifique: du survol d'une configuration matérielle en
A à des éléments progressivement plus précis
et
détaillés du contenu dans les quatre grilles suivantes.
Une
démarche
fonctionnelle
Il
est enfin évident qu'une analyse·évaluation de
matériels didactiques ne peut rester un phénomène
isolé. Elle constitue seulement l'une des étapes de cette
démarche que
S.
Moirand a qualifiée
de
«fonction-
nelle
~>
2 et qui attribue, en définitive, à l'enseignant
une fonction de concepteur à part entière
de
matériel
spécifique pour la classe; partant de l'inventaire des
besoins des apprenants,
il
lui revient d'insérer
le
choix
d'un manuel à l'intérieur de ses propres conceptions
pédagogiques et
de
le
travailler, pour l'ajuster à ses
visées par une série d'opérations successives: de la
détermination des objectifs d'apprentissage, à l'analyse
pré-pêdagogique des matériaux, à leur choix et gradua-
tion ... pour aboutir aux activités concrètes de
la
classe
de LE.
C'est donc dans cette optique globalisante et relativi-
sante que cette grille d'analyse prend place. D'une
part,
il
va
de soi qu'elle n'est pas à considérer comme
un tout achevé
et
fermé:
les
rubriques peuvent consti-
tuer autant d'entrées séparées et autonomes, en fonc-
tion des besoins de chacun;
les
sections factuelles
peuvent
en
être parcourues indépendamment des sec-
tions évaluatives. D'autre part, c'est bien aux opéra-
tions en «
amont»
(inventaire des besoins des usagers
et définition des finalités de l'apprentissage) qu'elle
renvoie
en
permanence
J.
2.
Cf.
Moirand (1980) et Galisson (1980) pp.
84-85.
3.
C'est à cette perspective fonctionnelle que
se
ramènent les
approches de J'oral et de l'écrit. C'est pourquoi
la
grille ne
les
aborde
pas
en tant qu'aspects spécifiques.
A.
PRÉSENTATION MATÉRIELLE
Description factuelle
1. FICHE SIGNALÉTIQUE
1.1. titre
1.2. auteur(,)
1.3. éditeur(s)
1.4. date de la
1'"
édition
1.5. nombre de volumes
1.6. nombre de pages
1.7. prix
1. MATÉRIEL COMPLÉMENTAIRE
Présence de
2.1. livret méthodologique
2.2. Carnetllivre du professeur
2.3. matériel pour l'élève (livre de l'élève, cahier d'exercices
d'images,
de
tests, etc.)
2.4. matériel audiovisuel (bandes magnétiques, disques, cas-
settes, films fixes, diapos, tableau de feutre, tableaux
muraux, transparents, cassettes vidéo, etc.)
3. PRÉFACE DU MANUEL OU LIVRE
DU
PROFESSEUR
Indications
sur
3.1. le public visé
3.2. son âge
Évaluation
1,
PRÉSENTATION
1.1. accroche commerciale du ( des) titre( s)
connotations suggérées
1.2. qualité, degré de séduction
de
la façon:
-format
~
mise
en
page
{
graphisme
typographie
iconographie
l,
APPRÉCIATION D'ENSEMBLE
2.1. adéquation des divers supports
a) les uns aux autres
b) aux objectifs d'apprentissage préalablement
fXlsés
2.2. praticabilité, degré d'adaptation aux contraintes institu-
tionnelles (périodicité des cours, existence des équipe-
ments audiovisuels, effectifs des classes, programmes
et
examens officiels)
2.3. maniabilité, facilité d'utilisation (ex. livre édité
en
fiches)
2.4. disponibilité: la méthode est-elle commercialisée, dès
sa
parution, avec tous les matériaux complémentaires
annoncés?
3.3. son niveau de connaissance
en
LE
3.4. la durée du cours
et
sa fréquence hebdomadaire
3.5. les objectifs
a) généraux
b) linguistiques
c) culturels
3.6. les prises de position méthodologiques
3.7. la référence aux programmes officiels d'enseignement de
LE
il
en
existe.
4. STRUCTURE
DU
MANUEL
4.1. Présence de :
a) ensembles d'unités didactiques
b)
unités de révision (paliers)
c) ensemble
multi~médias
4.2. a) nombre des unités (ou chapitres)
et
des ensembles
d'unités
b)
nombre d'unités dans chaque ensemble
c) durée d'exploitation prévue pour chaque unité.
4.3. Présence de
a)
index thématique 1 lexical,
notionnel/fonctionnel,
phonétique, autre
b)
glossaire
c) tableaux de grammaire
d)
tableaux de notions
et
fonctions
ENSEMBLES MULTIMÉDIAS
Tandis que dans un cours audiovisuel chaque support
technique intervient
«à
un moment précis de l'unité
didactique, pour une tâche déterminée» (exemple:
film
fixe
et bandes pour la présentation du dialogue,
laboratoire pour
la
fixation de fonnes nouvelles), dans
un cours structuré
en
ensembles multimédias, ceux-ci
visent
le
même objectif, admettent des « combinaisons
diverses et fonctionnent collectivement ou
individuelle~
ment, en successivité ou en simultanéité ou en complé-
mentarité, etc. » (Galisson,
1980,
p.95).
INDEX
notionnel: inventaire des notions générales
et
spécifi-
ques (p.
ex.
lieu, temps, moment, durée, quantité ... )
fonctionnel (ou des actes de parole) : un exemple entre
autres en est fourni par
la
section «Communication»
du
guide d'utilisation de «Cartes sur table ».
TABLEAUX
Les
tableaux
de
grammaire peuvent prendre
la
forme
de tables de conceptualisation lorsqu'ils visent à «
faci-
liter l'autostructuration des connaissances de
l'appre~
nant»
en l'amenant à découvrir
lui~même
les règles de
fonctionnement
de
la
langue (Galisson
1980,
p.
89).
3. PRÉFACE
DU
MANUEL
OU
LIVRE
DU
PROFESSEUR
richesse
opportunité
clarté
efficacité
créativité { a) des consignes
b) des suggestions
c) des explications
3.1.
3.2.
3.3.
3.4.
3.5.
3.6. correspondance entre les déclarations de principe
(inten~
tions affichées concernant le public, la méthodologie,
etc.
et
le contenu effectif du matériel).
4. STRUCTURE
4.1. l'organisation est plutôt
a) grammaticale 1 structurale
b) notionnelle / fonctionnelle
c) thématique
d)
situationnelle
e) éclectique
4.2.
la
progression est plutôt
a) linéaire
b)
en
échos, en boucles /
en
spirales
c) monolithique et contraignante
d)
modulaire
4.3.
le
projet éducatif est plutôt centré
sur:
a) la méthode
b) l'apprenant.
Les
tableaux
de
notions et
de
fonctions réunissent
les
différentes formes linguistiques présentées tout au long
du
manuel et renvoyant à une même fonction ou acte
de parole.
PROGRESSION
Galisson
(1970)
soulignait l'exigence de reprises systé-
matiques et dynamiques ou
«échos»;
Pit Corder
(1973) mentionne une progression
«en
spirale» ou
« cyclique» les mêmes éléments reviendraient
cycli-
quement dans des contextes différents et s'
enrichi~
raient chaque
fois.
NOTIONS ET FONCTIONS
On
se
reportera
aux
répertoires de « Un Niveau Seuil »
(1976) et du «Threshold Level» (1975), ainsi qu'à
leurs adaptations pour des contextes scolaires. Ces
inventaires, précédés et marqués par les recherches
de
Wilkins, présentent toutefois des différence.s importan-
tes entre eux.
«U
fi
Niveau
Seuil~)
comporte une
catégorisation plus étendue des publics, l'utilisation de
la
notion d'acte de parole, plus fine que celle de
fonction, et un essai de systématisation d'une gram-
maire sémantique. Pour une table des correspondances
terminologiques et une analyse comparative cf. Besse,
Galisson (1980, chap.7 et 8). 57
58
Ces aute\lrs soulignent également la polysémie du
terme
fvncrionnel,
employé dans les acceptions de : a)
enseignement des langues spécialisées (sous-codes
ou
microlangues) ;
h)
contenu commandé par les objec-
tifs communicatifs des apprenants, mais n'impliquant
aucune .démarche pédagogique particulière ; c) projet
méthodologique fondé sur une analyse du public, de
ses besoins, à partir desquels
il
cerne les stratégies
d'enseignement et les instruments pédagogiques à
utiliser; d) ce qui est relatif aux fonctions du langage
dans leur acception pragmatique (ce
qu'on
fait avec le
langage du
IX>int
de vue de l'intentionnalité autant que
de l'effet produit). Ces co-occurences ne se confondent
évidemment pas avec la linguistique fonctionnelle de
Martinet
ni
avec la grammaire fonctionnelle
de
Halli-
day ; cf. à ce sujet l'utile mise
au
point de Coste (1980).
B.
SUPPORTS ET DOCUMENTS
Description
factuelle
Évaluatiou
TYPOLOGIE
PRÉSENTATION
ORIGINE
a)
bandes
dessi-
chromatisme
Documents
nées
a)
noir
et
blanc
a)
authentiques
b)
vignettes
b)
couleur
b)
remaniés
1
c) photos
Grain
filtrés
ct)
dessins
a)
mat
c)
fabriqués
e)
montages
photo/dessin
b)
brillant
i
f)
images
publicitaires
c
g)
autres
0
-
dialogués
n
interviews
i
conversations
-
non
dialogués
Dimension
q
u
récits
a)
long
e
lettres
b)
moyen
commentaires
a)
texte
s
descriptions
intégral
0
b)
extraits
n
a)
textes
littéraires
Oral
0
r
-
contes
a)
transcrit
b)
non
transcrit
e
-
romans
-
théâtre
Écrit
é
-
poèmes
a)
enregistré
c
b)
chansons
b)
non
enregistré
r
c)
articles
de
presse
i
d)
lettres
t
e)
messages
publici-
taires
f)
formulaires
g)
prospectus
h)
autres
AUTHJi;NTlQUE
« Authentique
»,
soulignent Galisson, Cosle (1976,
p. 59)
.•
'oppoSé à «fabriqué pour la classe
»,
mais ne
signifie
pas
néce.ssairement nlItnrel
ou
spontané:
les
textes
dits authentiques sont, eux aussi, fabriqués dans
des buts d'information, de suggestion
ou
autres.
Fonction
Variété
des
codes: importance
de
l'iconique,
a)
registres relative
de
l'image -
formel
a) de l'humour
a)
sémantique
-informel b) du ludisme
(de
transco-
-
argotique
c) de l'aventure,
d'gel
b)
discqurs
de
du suspense
b)
situationnalisante
ct)
de l'insolite
c)
ethnographique
et
référence
Adéquations des
culturelle
-
journalistique
variétés de codes
~
politique
d)
auxiliaire
d'évalua-
et de discours
tion/auto-évaluation
-littéraire
~
religieux
a)
aux compo-
e)
décorative
~
scientifique santes
de
l'inter-
Qualité
d'enregistre-
~
technique action
ment
~
commercial communicative
~
épistolaire (rapports inter-
a)
débit
b)
prononciation
-autres personnels, carac-
c)
intonation
c) aires géogra- téri.sation SOC10-
culturelle des
d)
redondance
phiques de réfé-
e)
bruitage
renees et varia- actants
et
du
tions régionales contexte)
Correlation.
iconique
b) aux objectifs
oral!
écrit
d'apprentissage
a)
étroite
b)
irrégulière
c)
lointaine
artificielle
d)
nulle
C'est,
en
somme, un terme ambigu que Coste (1972)
suspectait d'être trop valorisant pour être honnête.
C'est pourquoi Galisson (1980) remplacerait
le
binôme
authentique vs fabriqué par celui des documents
sociaux
vs
scolaires.
Sur les multiples dénotations d'authentique
on
peut
consulter
la
mise
au
point de Besse (1980).
ICONIQUE
Le contenu iconique a une fonction sémantique (a)
lorsqu'il sert de médiation, de facilitation sémantique
dans le transcodage du contenu linguistique et renvoie
donc à la dimension référentielle. Les autres fonctions
du contenu iconique (b-c) renvoient plutôt à une
dimension fantasmatique, provocatrice: les images
visent
dans
ces cas à impliquer l'apprenant, à stimuler
chez lui, par exemple, la production verbale_ Elles se
doivent, par conséquent,
de
présenter la plus grande
richesse connotalive possible
et
d'être.
de
préférence
authentiques (cf. Gallsson, 1980, pp. 97-101). Comme
auxiliaire d'évaluation, l'iconique permet de créer des
« situations-problèmes» simulant la réalité (ibid. J
p.99).
ENREGISTREMENT
Les critères d'évaluation
de
la qualité de l'enregistre-
ment sont particulièrement pertinents dans le cas de
documents fabriqués.
il
importe alors
de
vérifier
ta
présence de reprises, ellipses, interruptions, hésita-
tions, phrases tronquées, bruitages typiques de la
situation
de
communication orale.
REGISTRES
Gatisson (1980, p. 25)
SOUligne
que la détermination
des registres demeure arbitraire. A preuve: certains
en
distinguent deux (non surveillé 1 surveillé), d'autres
trois (relâché 1 neutre 1 surveillé), d'autres cinq (relâ-
ché 1 familier 1 neutre 1 soigné 1 guindé) (ibid). La
gril1e
utilise tes termes formel
et
informel parce que moins
connotés
et
renvoyant aux contraintes situationnelles
plutôt qu'à
un
jU!l!'ment de valeur absolu.
C.
CONTENUS LINGUISTIQUES
Description factuelle
1.
LEXIQUE
1.1. estimation du nombre de nouveaux lexèmes introduits
dans chaque unité
1.2. ce nombre est-il constant par ensemble
d'unités?
2. PHONÉTIQUE
2.1. Etude de :
a)
phonèmes
b)
phénomènes prosodiques
(rythme, accent, intonation)
2.2. Présence
a) d'explications
b)
de
transcriptions phonétiques
2.3. Présentation
~
isolés
{ -contextualisés
a) intégrée (
b)
non intégrée à l'unité didactique
3.
GRAMMAIRE
3.1. Présence de :
a) schémas
b) tables de structures
c) autres procédés de présentation
3.2. Explications:
a) en langue maternelle
b)
en
langue étrangère
3.3. Type
de
présentation
a) contrastive (langue maternelle / langue étrangère)
Évaluation
1. LEXIQUE
1.1. Critères de sélection des lexèmes
a)
fréquence
b) répartition
c)
disponibilité
d) rentabilité
e) complexité oontrastive
f) utilité fonctionnelle
1.
2.
Modalités de décodage des lexèmes
a) traduction en langue maternelle
b) paraphrase en langue étr,angère
c)
recours à un support iconique
d) recours au contexte
e) synonymie/paronymie
f) catégorisations formelles
(dérivation, suffixation, etc.)
1.3. Adéquation de l'inventaire lexical aux objectifs
d'apprentissage
2.
PHONÉTIQUE
2,1. Adéquation
a) du contenu {
b) du type de présentation
c)
de la progression objectifs d'apprentissage
3. GRAMMAIRE
3.1. Appréciation
a) du degré d'exhaustivité du répertoire des structures 59
1 / 9 100%

032 BERTOLETTI fiche analyse manuels 1984

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