Les mystères du Graal
Arcadie est considérée comme la "terre promise" du Graal ; soit comme l'endroit où se
trouveraient les sources du Graal, soit comme le pays où il s'est transporté, ce qui en fait le
lieu de sa quête... Le Saint Graal, trésor présumé des Cathares et gardé par les vigilants
chevaliers, sera conté et chanté par les troubadours à la cour des Comtes de Champagne.
Les gnomes et les elfes auraient caché le Graal dans une montagne du pays Cathare, ce qui
permettrait aux esprits de la nature de pouvoir voyager librement entre la terre et les étoiles...
Les Druides vous diront que ces légendes ne sont pas des superstitions, ni des contes pour
enfants, mais les chroniques d'un âge ancien, un souvenir des "hautes terres", placées sous
l'autorité des Rois de l'âge d'or. Car ces esprits étaient visibles et on rencontrait des elfes,
sous les plafonds d'arbres, dans leurs habits brillants, se livrant à d'incroyables dialogues.
C'est dans ce monde enchanté que pris source l'histoire du Graal. Dans le roman de la table
ronde, le Graal est devenu une coupe sacrée contenant le
sang rédempteur du Christ.
La nature de cet objet légendaire a connu de nombreuses
évolutions : pierre, coupe, etc. Sa forme de coupe
résulterait initialement d'une évolution de la figure du
chaudron du Dagda de la mythologie celtique. Ce
chaudron, plein de sang bouillant, servait à conserver la
« lance vengeresse », une arme capable de dévaster à elle
seule, des armées entières. Ce n'est qu'au début
du XIIIe siècle que le récipient évoqué par Chrétien de
Troyes se christianise : Robert de Boron l'assimile au Saint
Calice des Évangiles (la coupe utilisée par le Christ lors de
la Cène), donnant ainsi naissance au « Saint Graal ». Ancré
dans la culture populaire, le Graal inspirera pléthore
d'œuvres. La lance vengeresse, elle aussi christianisée, est
devenue la lance de Longin, le soldat qui a percé le flanc
du Christ.
Par contre d'après les théories du Da Vinci Code, roman