
ELECTROTECHNIQUE
Dans ce cour, on se limite à l’étude du moteur à rotor à cage d’écureuil
Dans des encoches prévues dans les tôles prés de la surface extérieure du cylindre, sont logés des barres
conductrices (en cuivre ou en aluminium) qui sont mises en court – circuit à chaque extrémité par une
couronne métallique .L’ensemble a l’aspect d’une cage d’écureuil
Il n’y a aucun contact électrique entre le rotor et l’extérieur.
2. Glissement :
Le rotor tourne à une vitesse "Ω" plus petite que la vitesse de synchronisme "ΩS".
On dit que le rotor "glisse" par rapport au champ tournant. Ce glissement "g" va
dépendre de la charge :
; ΩS = 2nS (rad/s) et Ω = 2n (rad/s)
* nS : vitesse de rotation de synchronisme du champ tournant (en tr/s)
* n : vitesse de rotation du rotor (en tr/s)
Cas particulier :
* Lorsque le moteur fonctionne à vide (pas de charge) : nV nS
Svvv
vide
SS
n - n n - n
g = = = 0
nn
* Au démarrage : n = 0
S d S
d
SS
n - n n - 0
g = = = 1
nn
Application : Compléter le tableau suivant pour f = 50Hz.
3. Principe de fonctionnement:
Voir Manuel de cours page 247
4. Couplage d’un moteur asynchrone sur le réseau :
La plaque signalétique du moteur indique la tension que peut supporter chaque bobine.
Le problème consiste à adapter le bobinage du moteur à la nature du réseau
4.1- Couplage des enroulements du stator:
Les trois enroulements du moteur sont prévus pour être couplés
soit …………….(Y) soit .........................().
La plaque à bornes a toujours les entrées des enroulements
repérées U, V, W et les sorties correspondantes X, Y, Z
(Ou respectivement U1, V1, W1 et U2, V2, W2)
Le couplage est réalisé sur la plaque à bornes par des barrettes conductrices