
FRÉQUENTATION DE LA ZONE
1 CULTUREL
2 CORPOREL
Botanique
«Bruxelles: la station Botanique, 
modèle de modernité» 
La station est inaugurée en 1974, après avoir été construite 
sous l’ancien jardin Botanique, celui-ci ayant été à sol 
ouvert durant deux ans.
417, 6 MILLIONS DE VOYAGES par ans pour la STIB, 
qui représente l’une des entreprises les plus majeures 
de Bruxelles fondée en 1954.
«Quand, au début des années 
60, un projet de métro 
à Bruxelles s’est concrétisé, 
les concepteurs ont imaginé 
ce nouveau réseau souterrain 
comme un milieu ouvert, 
vivant et original dont 
l’Art ne pouvait être absent.»
La Station Botanique, 
emplacement de choix 
multiplie les interventions;
5 d’entre eux signés des artistes:
Martin Guyaux, Julio Pomar,
Jean-Pierre Ghysel, Emile Souply,
Pierre Caille. La Stib aussi intervient 
au sein de la station 
en laissant un ash code d’écoute sur l’histoire personnelle 
de ses employés.
En un sens, Botanique ressence un ensemble d’articulations 
artistiques ou culturelles, sur notre zone d’intervention, 
3 d’entre elles:
Homenagen a Pessoa, The Last Migration, L’Odeur des gens.
Flash Code Stib Botanique
L’odeur des gens 
séquence d’écoute
renforce l’importance 
de l’individualité
unique de chacun
Julio Pomar - fernando Pessoa
Fernando António Nogueira Pessoa 
est un écrivain, critique, polémiste 
et poète portugais engagée durant 
une époque de guerre et de dictatures; 
inspiré du sensationnisme, ses vers 
mystiques et sa prose poétique ont été 
les principaux agents du surgissement 
du modernisme au Portugal. 
Pessoa a créé une œuvre poétique 
hétéronymes en sus de son propre nom  
est un artiste 
franco-portugais, 
créateur en 1956 
de l’atelier Gravura 
souvent producteur 
de protestation 
socio-politique. 
AMÉNAGER L’ESPACE
PROJET A0 ON
2
2
TEXTE INTRO EXPLICATION DU PROJET
En bref pour toi : à partir d’une oeuvre (les deux sculpture que tu vois) imaginer un projet in situ et présenter le sous forme de 
plan a0.
je sais pas quoi ni comment je vais expliquer, ce que je vais expliquer ... ça devrait commencer par : 
«le projet a0-on est .....» 
ce qui est expliqué dans sonorité.
Séquence d’écoute entre deux attentes de métro :
1 min. avant le passage du Métro 1 
Pics sonores
Air Machine
Air déplacé
Son Mouvements Concrets Observables
Calme
0
Découpage du Métro Rame de Droite Découpage du Métro Rame de Gauche
Séquençage de l’écoute du Passage des Deux Métros à l’arrêt Botanique
Sonorité Mouvante / Fixe 
Environ 1 min après le départ des deux métros le Métro suivant apparaît
0                    1
3 SONORE
arrivée M1 départ M1 départ M2arrivée M2
& ZONE FRÉQUENTÉE
ZONE DE CAPTATION 
DU DISPOSITIF VIDÉO
RETRANSMISSION SONORE 
DES DONNÉES CAPTÉES
RECOUVREMENT DE LA 
TRANSMISSION SONORE
bd de mise 
en situation
en cours de 
créa
brouillon
Puisque nous sommes 
arrivés à l’ère du cumulte 
culturel, quel serait 
le mirroir de tout ce bruit ?
 Un contre projet sonore
Le plus de détails possibles, permettrait 
de récolter un maximumd’informations
concernant l’individualité 
de chaque passant. 
Leur taille, leur morphologie, la chaleur 
qu’ils dégagent, leurs énergies peut-être, 
ce qui en somme tenterait de réunir 
leur émanation; serait idéalement 
l’origne du contenu à capter. 
L’idéal technique n’étant pas 
à notre disposition (bien qu’existant) 
nous capterons les données possibles 
à l’aide de caméras go pro dissimulées, 
de caméras de la Stib si projet accepté. 
À l’aide d’Isadora - logiciel donnant 
accès à la récupération d’un certain 
nombre de données visuelles - nous 
connecterons une enceinte 
directionnelle dirigée vers l’autre 
partie de la râme. 
Ainsi nous créons un espace 
interconnecté reliant les deux 
espaces d’attente par un espace 
sonore interactif direct
interagissant à l’opposé des rails 
du métro. 
L’idée est de créer un son à partir de la captation 
de la présence et du déplacement des usagers du métro (...) 
SONORITES RENCONTREES  ETUDES DE CAS
résumé d’un passage de métro d’avant 
son arrivée jusqu’après son départ
Image du logiciel Isadora 
projet color sound réalisé
avec Alicia Pineau. 
lien du site
J.P GHYSELS  THE LAST MIGRATION
«Deux Hauts-reliefs en cuivre 
de 4m de large 
se faisant face, 
en intération avec 
l’architecture du lieu. 
Les sculptures murales 
monumentales suggèrent 
le mouvement d’oiseaux 
en vol, symbole de liberté.
 
« Dans le monde non terrestre 
du métro, il n’y a plus trace d’air, 
de soleil, d’arbres ni de l’ensemble 
de l’environnement naturel 
de l’Homme. L’Homme ne pense plus 
qu’à se déplacer rapidement 
et à nourrir ses soucis. 
Pour tous ceux qui sont prisonniers 
de la misérable routine, 
j’ai essayé de créer un oiseau 
en plein vol comme symbole 
de la liberté »
, 
explique Jean-Pierre Ghysels. 
L’artiste a réalisé son projet 
dans un style tout à fait abstrait,
uide et purement sculptural.
Comme c’est souvent le cas dans 
son oeuvre, il utilise des formes douces 
et sobres, avec une alternance entre 
les éléments massifs et les vides, 
permettant à la lumière de jouer librement.»
Flash Code 
Rencontre
Entretien avec 
Mme Colette 
Ghysels au côté
de son mari 
J.-P. Ghysels
          LECTURE CRITIQUE DE L’OEUVRE 
DE JEANPIERRE GHYSELS
Le travail de Jean-Pierre Ghysels 
s’est longuement prolongé sur
sa technique de sculptures en 
taules courbées, soudées 
mains seules de son créateur. 
Ici, deux structures de volumes 
éclatées se font face à face 
au travers de la rame de métro.
Le travail de design public placé 
devant elles en demi-courbe active  
une sensation de sonorité comprise 
dans l’oeuvre de Jean-Pierre Ghysel. 
Ce sentiment de sphère dans l’univers 
du métro propose une halte confortable 
au voyageur/spectateur au lieu 
d’une attente impatiente; 
une bulle apésante dans le cadre 
sous-terrain du métro.
Image du logiciel Isadora 
projet color sound réalisé
avec Alicia Pineau. lien du site
ACTIVATION DU LIEU  IMAGINER UN ESPACE 
Je sais meme pas s’il est bien à cet emplacement ce titre là
du coup ici t’as les données 
techniques qu
logiciel de reconnaissance de facebook
Axée sur le thème de la culture 
portugaise,
 elle représente le poète Fernando 
Pessoa, l’oeuvre a été oerte 
par le Portugal
 à la Belgique.
: Alberto Caeiro, qui incarne 
la nature et la sagesse païenne; Ricardo 
Reis, l’épicurisme à la manière 
d’Horace; Alvaro de Campos, 
le « modernisme » et la désillusion;
Bernardo Soares, modeste employé 
Auteur du Livre de l’intranquillité, 
et d’au moins soixante-douze alias 
incluant pseudonymes 
et semi-hétéronymes.
Silence Bruit de base
Mouvement Machines
gens lointains
Métro
Usagers
entrées/sortie de la rame
Métro
Mouvement
Arrivée
Déplacement
population
Départ
Écoute de la station Botanique depuis le Quai Droit
Passage du métro 2/6 direction Elisabeth - Une minute découte
-> Un métro toutes les minutes 
-> période calme de journée -dans les environs de. 10h15- fréquentation peu auente
Flash Code vers Ligeti  Artikulation
Spaceline 
sonore
 de
notre                    
         Spaceline 
             sonore 
ctionnelle
évènements 
déclencheurs
     - son
     
     SE FAIRE HÉRITER D’UNE VOLONTÉ 
  LYRISME LIANT PESSOA, GHYSEL, LES GENS. 
    «Le théâtre de l’être» chez Pessoa est une conception symboliste, tragédie 
intime où le lecteur est metteur en scène du texte. Son spectateur se doit 
d’imaginer les monologues internes des protagonistes ainsi que le contexte 
à placer. «Un théatre, une pesonne, au lieu d’un théâtre, un acte.» . 
    Dans l’oeuvre de Pessoa, Alvaro de Campos dit  «et je rentre à la personnalité 
comme à une station terminus »
   Cette volonté lui permet de  démarrer un voyage allant chercher le «noyau» 
de l’Être, métaphore d’un humain-oignon à dévoiler. La traversée des différentes 
personnalités, des différents antonymes est la traversée qui lui fera dévelloper 
la poésie considérée comme  «L’art de feindre». 
   Sentiment de la perte d’identité, une multiplicité dans l’être, du à l’instant, 
au moment se fera liant d’âme, que cela soit en sa propre personne, en 
sa communauté de lecteurs, de son quotidien vivant ou plus simplement 
encore de la Nation portugaise.
   Joies lugubres de l’auteur, nous passons dans son Oeuvre du bonheur des 
autres au malheur réel.  
 
  Poème célèbre «Plutôt le vol de l’oiseau ...» nous parle de cette modernité 
mécanique aux nouveaux espaces, aux nouveaux passages de l’oiseau. Pessoa 
nous propose de lier les individualités entre elles en se questionnant sur 
les conditions quotidiennes. Ghysels, nous invte à questionner 
notre conditionnement 
  d’individus humains dans ses nouveaux espaces en offrant une échappatoire 
immaginaire.
Mise en scène d’un Espace comme d’une 
scène théatrale, ma volonté était 
de reprendre, d’amplier mon sentiment 
de «couveuse» dû au son spatial 
inaudible de cet emplacement;
et le connecter à son double d’en face. 
Le sentiment de confort déjà présent 
dans cette sphère lieu-temps, 
ma volonté était d’éveiller les gens 
aux autres, à ceux d’en face notamment, 
l’évènement, cumulte de l’arrivée 
et du départ de ux de référents 
dans un espace délimité par 
le sytème de captation. 
Mise en situation d’un système 
de contrôle également, ce projet 
n’a pas pour but de faciliter et 
d’activer l’utilisation des méthodes 
de contrôle mais plutôt d’utiliser 
l’action symbolique du passage 
des usagers pour créer une poétique 
d’Inversement du décor. Se faire 
entrechoqué les réels et les pensées 
dans une zone créatrice dorénavant 
d’intrigues publiques entendues.