La faculté respiratoire s’use d’elle-même
par la déchirure capillaire des canaux aériens et sanguins,
connue sous le nom d’emphysème du poumon.
Cette déchirure accompagne plus ou moins, mais
inévitablement, tous les grands efforts respiratoires ;
elle commence dès l’enfance, et augmente avec le progrès
des années, par la seule réitération des actes fonctionnels :
toutes les maladies, même passagères du poumon, hâtent
ce genre de destruction.