Chiffres clés
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« La corrélation évidente entre bien-être et performance nous a convaincus qu'il fallait passer à l'action.
Et, surtout, qu'il fallait convaincre les entreprise de passer à l'action », indique Thomas Perrin, DG
adjoint développement produits et services d'Apicil. Mené pour la troisième année consécutive, le
baromètre IBET mesure le climat et le risque socio-organisationnel au sein d'entreprises, toutes
clientes d'Apicil. Cette étude étant sectorielle, il en ressort qu'en 2013, les collaborateurs de certains
secteurs d'activité se révèlent mieux lotis que d'autres. En effet, les résultats démontrent que les
secteurs de l'énergie/environnement, des télécommunications et de la banque/assurance se distinguent
par leurs bonnes pratiques. Ces bonnes pratiques, quelles sont-elles ?
L'IBET, qu'es-aquo ?
« Il faut une stratégie claire et cohérente, que l'on a expliquée aux équipes. Il faut un leadership
exemplaire de la part du top management. Il faut donner du sens au travail (et aux enjeux
opérationnels). Enfin, il faut donner aux collaborateurs les moyens de faire leur travail », détaille
Victor Waknine, PDG de Mozart Consulting. En revanche, l'herbe paraît moins verte du côté des
services : dans les services aux entreprises, les services informatiques et dans les commerces non
alimentaires, les salariés exprimés fortement leur mal être au travail. « Le tertiaire génère davantage de
stress au travail que d'autres secteurs, notamment parce qu'on y est en prise directe avec le client (et
avec ses éventuels mécontentements) », analyse Victor Waknine.
Le mal-être des salariés coûte 13.500 euros par an et par salarié - Les ... http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/ressources...
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