Commentaire de vidéo 2 : Dossier du jour du magazine Africa New Room (ANR). La forte croissance démographique de l’Afrique soulève aujourd’hui de nombreux problème, déjà que la pauvreté et la misère sont des caractéristiques de ce continent quand on voir le rythme au quel sa population augmente il est normale d’avoir des inquiétudes quand t’au devenir du continent. Mais ne faudrait quand même pas oublier, que cette forte démographie, qui pour beaucoup est un frein au développement africain pourrait rapidement devenir une très grande force si les politiques adéquate sont mise en place, pour une exploitation efficiente de toute la main d’œuvre dont il dispose. C’est sur cette problématique que porte le magazine de Africa New Room(ANR) dans sa rubrique dossier du jour ; que nous allons essayer plus bas d’analyser et d’y apporté des critiques sans oublier de notifier si possible les insuffisances ou quelques limites des pensés qui y sont développer, tout en donnant une opinion subjective et globale du sujet. De nombreux défit seront à relever pour le continent africain qui verra sa population doublée d’ici 30ans. Sa forte natalité sera-t-elle alors un fardeau ou une opportunité ? Divers cause sont à l’origine de cette forte croissance ; un fort taux de fécondité (en moyen 5 enfants par femme) qui peux s’expliqué par des facteurs culturels, et un taux de mortalité plus ou moins faible surtout la mortalité infantile dû à l’évolution du système sanitaire en Afrique. Aujourd’hui en Afrique la mortalité à baisser ce qui est vraiment une bonne chose, mais l’indice synthétique de fécondité na pas connue une baisse significative ; elle a tendance a stagné. Pour certain cette situation qui risque de doubler sa population n’est pas favorable pour l’Afrique, elle présente des défis que le continent n’est pas encore en mesure de relever vue sa gouvernance actuelle. Cette situation représente des charges sociales vraiment élevé aussi bien chez les ménages qu’au niveau de l’Etats. Il s’agit entre autre de l’approvisionnement en eau potable, en électricité, la disponibilité des denrées alimentaire…. Mais il y a quand même une grande marge de manœuvre pour éviter une catastrophe peu importe les scénarios ; ce qu’il faut savoir c’est que plusieurs leviers peuvent encore être actionné comme dans l’urbanisation, l’aménagement du territoire, pour changer les choses. La forte démographie ne constitue pas seulement un frein au développement. Une telle démographie est même une énorme chance pour l’Afrique, économiquement elle crée un grand marché intérieur, avec une main d’œuvre abondante et a moindre couts. Mais elle ne pourra contribuer à la croissance économique, que si des investissements approprier sont fait dans le capital humains (formation de qualité, accès à des soins de santé adéquat). Dans ce sens plusieurs défi sont à relever. Dans la santé à travers des mises en place de programmes de planification familial pour la réduction du taux de fécondité ; dans l’éducation, dans la bonne gouvernance (efficacité des dirigeants, bonne gestion des ressources) surtout ; pour pouvoir bénéficier d’un dividende démographique et tendre vers une émergence économique. Bien évidement si des politiques du genre ne sont pas mise en place il va falloir opter pour une réduction de la population en agissant sur l’ISF par des politiques bien efficace et propre au conteste africain ; pour éviter dans un future proche une catastrophe démographique. Nous disposons de tous les potentiels nécessaires pour un développement effectif axer sur une bonne gouvernance, une gestion efficace des ressources et une intelligence collective. L’explosion démographique en Afrique comme certain le disent est un couteau à double tranchant, d’une part elle est source de sous-développement, d’accroissement de la misère et de la pauvreté ; mais d’autre part elle est un facteur si elle est bien utilisée peux permettre de sortie l’Afrique de cet état de sous-développement qu’elle connais depuis toujours ; c’est une chose que souligne très bien ce magazine, avec des essai d’apport de solution pour vraiment jouir dans les années à venir d’un dividende démographique. Maintenant faudrait-il intervenir pour stopper cette forte croissance qui est aujourd’hui sujet à polémique ? Donner une réponse directe à cette question est un peu difficile ; mais moi je pense que non. En Afrique nous avions déjà essayer de mettre en place des politiques de réduction de naissance bien qu’elles n’ont pas drastiques et correctement élaboré, nous savons tous que leur efficacité reste à en dire. Pourquoi alors continuer à dépenser des milliards pour réduire cette forte natalité vue qu’à la place si on peut conserver la et travailler à ce qu’elle ne soit plus un handicap mais plutôt atout pour le développement. Pour cela beaucoup de travail reste encore à faire ; principalement et prioritairement dans le domaine de la bonne gouvernance. De tous les freins au développement de l’Afrique, la mauvaise gouvernance reste de loi la principale ; puisque comment comprendre que le continent le plus riches en ressource naturelle au monde soit le plus pauvre avec plus de 50% de sa population qui vivent sous le seuil de pauvreté. Ensuite viens l’éducation, la santé, l’alimentation, la création d’emplois… ; et bien d’autre domaine dans lesquelles des politiques suffisantes et efficaces doivent être mise en place pour bénéficier du dividende en Afrique.