Entre une pratique sans tête et une théorie sans jambes, il

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CLUB ECONOMETRES TUNISIENS DE LA FACULTÉ DES
SCIENCES ÉCONOMIQUE ET DE GESTION DE TUNIS.
Ò
Entre une pratique sans tête et
une théorie sans jambes, il
n'y aura jamais à choisir.
[Régis Debray]
Tel passer .. Tel présent et quel futur nous attends ?!!..
LA RÉVOLUTION TUNISIENNE
ET L’ÉTUDIANT
LA RÉVOLUTION ..???
Qu’est ce qu’une révolution?
Si elle s’agit d’une rupture complète avec le
passer; quel présent nous vivons et quel futur
nous construirons ??
Ò
LE CADRE SOCIALE :
Pauvreté, misère et désespoir.
La population tunisienne compte 10673,8 M dont
3.7 M sont actives avec un taux de chômage qui
s’élève à 14%.
LE CADRE ÉCONOMIQUE:
PIB : 44 Mds$
Ò PIB/hab : 4171 $
Ò Taux de croissance : 3,7%
Ò Taux d’inflation : 3,4%
Ò Solde budgétaire : 2,5 %
Ò Dette publique : 39,8% du PIB
Ò Déficit commercial : 10,3% du PIB
Ò Dette extérieure : 36,9% du PIB
Ò
L’ÉTUDIANT ET LA RÉVOLUTION..??
La révolution du jasmin => des jeunes => des
étudiants => puissance productive directe…
Mais est ce que nous sommes à la hotteur de
cette héritage..?
Qu’est ce qu’on peut donner pour devenir un
facteur de réussite ?
Est-ce que on peut prend la relève ?
Qu’elles sont nos demandes et nos attentes de
l’assemblé constituante tunisienne.
Qu’il est notre rôle pour garantir la continuité du
courant démocrate après l’élection de la
constituante tunisienne?.
L’ÉTUDIANT ÉCONOMÈTRE
Ò
Autant qu’un économètres qu’elles sont tes
demandes et tes attentes de l’assemblé
constituante tunisienne…??
Qui nous sommes et à quoi sert l’économétrie?
Ò Qu’est ce que vous entend d’une information
économétrique et la liberté de sa diffusion?
Ò Que connaissez vous du plan jasmin??
Ò
UN DÉBAT QUI FAIT RAGE « PLAN JASMIN »:
Un débat qui fait rage, actuellement entre les déférentes
patrimoines de l’image du territoire tunisien (pré-politiques;
gouvernement; économistes…) sur la reforme du système
économique et notamment sur les ressources de
financement du prochain plan.
Si la première privilégie l’endettement extérieure la seconde
refuse cette solution et plaide pour le compte sur soi.
C’est ainsi qu’il faut mentionner que le gouvernement tunisien
avait demandé au groupe G-8 un enveloppe de 25M(usd)
pour confier son plan de développement dont le cout total a
été estimé à 125 M (usd) dans le même temps où les
défenseurs de la révolution ont considéré cette action
comme la continuation avec le réforme de Ben Ali.
En outre, certains économistes tunisiens suintent
cette initiative puisque, selon eux, elle s’agit d’une
dette raisonable grâce à l »adoption d’un système
d’ajustement structurel.
De son côté, Mustapha Nabli, gouverneur de la
Banque centrale, relève que «la problématique
réside dans l’incapacité de l’économie tunisienne à
réduire, à court terme et de manière significative,
le chômage des diplômés du supérieur dont le
nombre va augmenter, dans les prochaines
semaines, avec l’arrivée sur le marché de
nouveaux promus des universités tunisiennes.
Ò
Invité, à Tunis, pour se prononcer sur cette
problématique, Jean Ziegler, penseur suisse et membre
du Comité consultatif du Conseil des droits de l’homme
des Nations unies pense que «tout recours à un nouvel
endettement risque de compromettre la réalisation des
objectifs pour lesquels la révolution tunisienne a été
faite et de soumette, encore une fois, la Tunisie au
diktat de l’ultralibéralisme du marché financier
international et de ce qu’il appelle «des organisations
mercenaires mondiales (allusion au FMI, à la Banque
mondiale et à l’organisation mondiale du commerce)»
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