MF1 - Codep 93

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MF1 – préparation Physique
Formation des plongeurs
1
Dominique ROMAND IR 07/81
MF1 – préparation Physique
Compétence 3 du MFT« Réalisation d’une séance pratique »
- Explique les techniques, donne des conseils de réalisation.
- Evalue les performances, régule l’apprentissage.
Compétence 6 du MFT« Sécuriser l’activité »
- Connaît les risques liés aux différentes pratiques et les
mesures de prévention associées.
- Surveiller l’activité et réaliser des actions de prévention.
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MF1 – préparation Physique
L’évidence c’est que la plongée est une activité
exercée en milieu naturel . La condition
physique devient un élément primordial pour
assurer ce loisir en toute sécurité.
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MF1 – préparation Physique
L’encadrant doit savoir:
- Adapter une préparation physique pour un
plongeur en préparation du plongeur N1 au
GPN4.
- Construire et appliquer un programme
d’entraînement et d’amélioration de la
condition physique.
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MF1 – préparation Physique
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MF1 – le système musculaire – les muscles
• Représentent près de 40% du poids.
• Près de 400 muscles différents.
• Sont en contact avec les os, peau et muqueuses.
• Reçoivent des ordres par les nerfs.
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MF1 – le système musculaire – la structure
• Formés d’un grand nombre de fibres.
• Subdivisé en faisceaux (primitif, secondaire, etc.)
• Le tout recouvert par une
membrane (épimysium).
• Celle-ci se prolonge aux
extrémités pour former les
tendons.
• Les fibres musculaires sont
constituées de cellules
capables de se contracter et de
s’allonger
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MF1 – deux types de muscles – muscles striés
• Ils n’entrent en action que sur
ordre.
• Ils se caractérisent par la
rapidité de leur contraction.
• Biceps, triceps, quadriceps, etc.
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MF1 – deux types de muscles – muscles lisses
• On les rencontre que dans les parois de divers
organes.
• Ils se contractent et s’allongent automatiquement.
• Les parois des vaisseaux sanguins, du tube
digestif, de la trompe d’Eustache sont des
muscles lisses.
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MF1 – muscles lisses de la trompe d’Eustache
Le péristaphylin externe : muscle tenseur du voile du palais : agit
par sa couche profonde sur la trompe d'Eustache en abaissant son
plancher.
Le péristaphylin interne : muscle élévateur du voile du palais ; sa
contraction ouvre la trompe.
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MF1 – les muscles - leur fonctionnement
De chaque muscle strié part une fibre sensible
informant le cerveau ou la moelle épinière de
son état.
En retour le muscle reçoit l’ordre de conserver sa
position ou non.
En revanche, les muscles lisses dépendent de
notre système nerveux autonome et sont
indépendants de notre volonté.
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MF1 – l’énergie musculaire
D’où provient l’énergie dont le muscle a besoin ?
Des aliments que nous ingérons.
Evidemment, pas directement utilisables au niveau
cellulaire.
Le but de la digestion est de les rendre plus assimilables
à l’organisme (sous forme de substrat) en stockant leur
énergie dans une molécule.
L’ Adénosine TriPhosphate (ATP)
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MF1 – l’énergie musculaire
L’ATP est donc l’énergie permettant l’activité
musculaire.
Mais elle est en très faible
quantité dans le muscle:
Marcher suffit à l’épuiser
en 2 minutes. Un effort
maximal en 2 secondes
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MF1 – l’énergie musculaire
Pour que le mouvement puisse se poursuivre et
selon le type d’effort consenti, l’organisme va
sélectionner, soit de manière quasi-exclusive ou
complémentaire :
3 mécanismes capables de re-fabriquer l’ATP au
fur et a mesure de sa dégradation.
On parle de filières : Aérobie, Anaérobie
Alactique (ou phosphagène) et Anaérobie
Lactique (ou glycolytique)
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MF1 – BASES PHYSIOLOGIQUES : LES 3 FILIERES
Elles sont caractérisées par :
- La CAPACITE (le stock d’énergie dispo)
- La PUISSANCE (quantité d’énergie/au temps)
- Le DELAI d’intervention. (délai pour que la filière
se mette en place)
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MF1 – les 3 filières énergétiques
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MF1 – FILIERE ANAEROBIE ALACTIQUE (PHOSPHAGENE)
N’utilise que les ressources présentes dans le
muscle.
- Pas d’oxygène : filière « anaérobie »
- Pas d’acide lactique : filière « alactique »
La filière anaérobie alactique sert de « starter »
au mouvement : mise en œuvre instantanée,
puissance maximale mais endurance très brève.
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MF1 – FILIERE ANAEROBIE LACTIQUE (GLYCOLYTIQUE)
Utilise le glycogène (stockage du glucose au
niveau du muscle et du foie).
- Pas d’oxygène : filière « anaérobie »
- Production d’acide lactique : filière « lactique »
La filière anaérobie lactique commence à
produire de l’énergie au bout de 15 à 20
secondes. Puissance importante, endurance
faible (2 à 3 mn) et produit de l’acide lactique,
bloquant petit à petit la contraction musculaire.
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MF1 – FILIERE AEROBIE
L’activité physique aérobie utilise l’oxygène comme
source principale de combustion des sucres
fournissant l’énergie à l’organisme.
Elle produit l’ATP avec la + grande efficacité et
dans des quantités + grandes.
Rendement maximal au bout de 2 à 4 minutes.
Puissance faible (30% de l’alactique).
Elle est la source de « l’endurance »
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MF1 – FILIERE AEROBIE
Le niveau d’activité doit être suffisamment faible
pour ne pas imposer de difficultés respiratoires ni
des douleurs musculaires.
Une intensité plus élevée ferait intervenir en
complément le système « anaérobie », c’est-à-dire
des processus induisant des déchets de l’effort
comme l’acide lactique (crampes)
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MF1 – FILIERE AEROBIE
Bienfaits apportés par les activités de type aérobie :
- Améliore le transport de l'oxygène
- Renforce le cœur
- Régularise la quantité de glucose dans le sang
- Rend les muscles plus efficaces
- Améliore le sommeil
- Contribue à la bonne humeur, etc.
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MF1 – PHYSIOLOGIE : notion de VO2 max
Quantité max d’O2 que les muscles peuvent utiliser
par minute.
Le vo2 max est une caractéristique individuelle, à savoir :
- La capacité de diffusion de l‘O2 dans le sang.
- La capacité de transport de l’O2 (débit cardiaque,
développement vasculaire, etc.).
- La capacité d'utilisation l’O2 par les cellules musculaires.
Le VO2 max peut évoluer et s'améliorer pour un même
individu en fonction de l'entraînement.
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MF1 – PHYSIOLOGIE : notion de seuil anaérobie
Passage entre la filière aérobie et anaérobie
lactique : seuil anaérobie avec apparition de
lactates.
Cette zone de transition peut être repoussée :
- Elle permet des efforts + importants et +
prolongés
- Elle est améliorée avec l’entraînement.
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MF1 – PHYSIOLOGIE : les efforts en plongée
Nage PMT et capelée : filière aérobie et seuil anaérobie (en fin de
parcours)
Remontée Tous Moyens :
• Impulsion, décollage et palmage au départ du fond (intensité
maxi, durée brève) : filière anaérobie alactique
• Tractage en surface : (intensité moindre, durée plus longue) filière
anaérobie lactique
Epreuve du mannequin :
• Nage : filière aérobie et seuil anaérobie (en fin de parcours)
• Apnée et tractage : filière anaérobie lactique
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MF1 – préparation physique du plongeurs
Les principes généraux :
•
•
•
•
•
Contrôle de l’intensité
Notion de charge d’entraînement
L’échauffement
La surcompensation
La fin de l’entraînement
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CONTRÔLE DE L’INTENSITE
Mesure du pouls :
• Fréquence cardiaque maxi (Fc max)
Fc max = 220 – âge
• Fréquence cardiaque de repos (Fc repos)
diminue avec l’entrainement
• Fréquence cardiaque de réserve (Fc réserve)
Fc réserve = Fc max – Fc repos
Sert de référence pour calculer la Fréquence de travail
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CONTRÔLE DE L’INTENSITE
Exemple :
Plongeur de 45 ans avec une FC de repos de 65 pul/mn
• Fréquence cardiaque maxi (Fc max)
Fc max = 220 – 45 = 175 pul/mn
• Fréquence cardiaque de réserve (Fc réserve)
Fc réserve = Fc max – Fc repos
= 175 – 65 = 110 pul/mn
• Effort à 70% de la Fc de réserve
• Fc travail = Fc de repos + % Fc de réserve
= 65 + (70% x110) = 142 pul/min
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NOTION de CHARGE D’ENTRAINEMENT
Volume horaire global : à augmenter progressivement.
Intensité de l’exercice :
• Dépend de la filière à développer et du secteur envisagé
(puissance ou capacité)
• Fréquence cardiaque de travail (individualisation)
Durée : complément de l’intensité, dépend de la filière à développer
Nombre de répétitions : fixe les limites de l’efficacité de l’exercice
• Si insuffisante : pas de progrès ni d’amélioration.
• Si trop : pas d’efficacité, changement de filière.
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NOTION de CHARGE D’ENTRAINEMENT
La récupération :
• Complète : retour à Fc repos
• Incomplète : conservation d’une Fc élevée avant de reprendre
• Passive : arrêt total
• Active : faible intensité
La progressivité :
• Augmentation de la charge de travail graduelle et adaptée
• On augmente d’abord le volume (durée)
• Puis on augmente l’intensité (puissance).
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L’ECHAUFFEMENT
(minimum 10 minutes)
• Evite douleurs et crampes.
• Adaptation progressive du système cardio-vasculaire et de la
ventilation.
• Doit être allongé avec l’âge.
• Mise en route progressive de la filière aérobie :
Nage à allure modérée puis augmentation progressive de la
vitesse (brasse puis crawl lent puis nage PMT)
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LA SURCOMPENSATION
Niveau de performance plus élevé que celui avant l’entraînement
mais cela est temporaire
L’intervalle entre 2 séances :
• s’il est trop long on sera revenu au niveau initial
• s’il est correct la séance suivante permettra d’élever encore le
niveau de performance
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LA SURCOMPENSATION
OPTIMISATION
SUR ENTRAINEMENT
Intervalle optimal :
• Faible intensité (endurance aérobie) 10 h à 15 h
• Intensité élevée (puissance aérobie et anaérobie lactique) : 48 h à 72 h
• 1 séance /semaine = entretien
• 2 à 3 séances /semaines= progression
• Séances trop rapprochées = fatigue : niveau diminue
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LA FIN de L’ENTRAINEMENT
Durée :
• Au minimum 10 minutes
Récupération active :
• Nage ou palmage lents (éventuellement sur le dos)
• Elimination de l’acide lactique du muscle
• Evite l’apparition des crampes
Etirements passifs :
• Evitent les tendinopathies
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L’ENTRAINEMENT dans les différentes filières
Développement de l’endurance aérobie.
Zone de transition aérobie anaérobie (seuil).
Développement de la puissance aérobie.
Développement de la filière anaérobie lactique.
Développement de la filière anaérobie alactique.
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Développement de l’endurance aérobie
C’est la plus sollicitée en plongée :
• Activité modérée prolongée.
Moyens :
• Intensité : 60 à 70% de la fréquence cardiaque de réserve.
• Pouls entre 130 et 150 pulsations par minute.
• Intensité maintenue au même niveau longtemps.
Le travail en continu :
• 15 à 30 minutes de travail continu.
• En cours de progression, on augmente progressivement la durée.
NAGE PMT : 400m à 2000m – durée 15 à 45 min
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Développement de l’endurance aérobie
Le Fartlek :
• Méthode de travail en continu mais avec variations de vitesse.
Exemple pour une série de nage en PMT :
25 m lent
50 m lent
100 m lent
25 m rapide
50 m rapide
100 m rapide
Le fractionné :
• Pouls entre 130 et 150 pulsations par minute.
• Alternance travail /récup (courte et incomplète)
• Effort fractionné sous forme de séries.
• Distance parcourue (50 m à 800 m)
• Récupération active ou passive (5 à 30 secondes)
• Un nombre de répétitions (2 à 10 fois)
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Zone de transition aérobie anaérobie
Plongée d’exploration :
• Retour bateau en capelé avec conditions de mer difficiles.
• Nage à contre-courant.
• Tractage d’un coéquipier.
Epreuves de nage du GP N4
Possible que si l’endurance aérobie a
été suffisamment développée
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Zone de transition aérobie anaérobie
Moyens :
• Intensité : 60 à 90% de la fréquence cardiaque de réserve.
• Augmentation progressive de l’intensité du travail et maintien
le + longtemps possible.
• Travail en continu ou fractionné.
• Si fractionné : diminuer la durée des séries et augmenter les
temps de récup. (Eviter l’acide lactique)
Distance en piscine
100 à 800 m
Temps mer
2 à 12 min
Répétitions
1à8
Récupération
30 s à 90 s
Intensité
De 60 à 90%
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Zone de transition aérobie anaérobie
Exemples de progression :
800 m PMT à 70% de Fc réserve
Puis 2 à 3 x 400 m à 70% de Fc réserve, récupération 1 min 30 s
Puis 4 à 6 x 200 m à 80% de Fc réserve, récupération 45 sec
Puis 6 à 8 x 100 m à 90% de Fc réserve, récupération 30 sec
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Développement de la puissance aérobie
Troisième étape du développement aérobie
• Développe la VO2 max
• Pour les candidats au GPN4
• Séances peu nombreuses car éprouvantes
• Récupération 72h entre 2 séances
Distance en piscine
50 à 100 m
Temps mer
45 s à 1 min 30
Répétitions
4à8
Récupération
30 sec à 1 min
Intensité
100% Fc de réserve
Exercices
• Nage complète
• Jambes seules
• Tractage
• Capelé
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Développement de la puissance aérobie
Exemples de progression
2 séries de 4 fois 50 m
• Récupération 30 sec entre chaque 50 m
• Récupération active entre 2 séries : 100 m PMT lent
Puis 1 série 8 fois 50 m
• Récupération de 30 sec entre chaque 50 m
Puis 1 série 4 fois 100 m
• Récupération de 1 min entre chaque 100 m
Puis 1 série 6 fois 100 m
• Récupération de 1 min entre chaque 100
La récupération est incomplète pour maintenir une fréquence cardiaque de
travail élevée entre 2 séries, mais elle doit être suffisamment
longue pour éviter la production d’acide lactique
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Développement de la filière anaérobie lactique
2 cas d’utilisations
• Début de l’effort
• Lors d’efforts d’une durée de 3 min max
Epreuves de mannequin:
• Tractage (initiateur et GPN4)
Remontée par tous les moyens
• Tractage en surface
Pas chez les enfants
Bonne préparation aérobie préalable
Séances éprouvantes
Distance en piscine
50 à 200 m
Temps mer
45 sec à 3 mn
Répétitions
2à4
Récupération
30 sec à 1 min 30
Intensité
90 à 95% Fc de
réserve
Exercices
Entre 2 séances
• Nage complète
• Jambes seules
• Tractage
• Capelé
72 heures
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Développement de la filière anaérobie lactique
Exemple
1ere série de 4 fois 50 m
• Récupération 25 sec entre chaque 50 m
• Récupération active 100 m PMT lent
2eme série de 4 fois 50 m
• Récupération 25 sec entre chaque 50 m
3eme série de 4 fois 100 m
• Récupération 1 min entre chaque 100 m
• Récupération active 100 m PMT lent
4eme série de 4 fois 50 m
• Récupération 25 sec entre chaque 50 m
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Développement de la filière anaérobie alactique
Filière rarement sollicitée en plongée :
• En surface : palmage de sustentation nécessaire pour remonter
sur un zodiac
• Récupération d’un plongeur ou d’un objet partant à la dérive
• En immersion : assistance à l’aide du SSG
• Premiers mètres du décollage de la remontée par tous les
moyens….GPN4, MF1
Distance en piscine
10 à 20 m
Temps mer
10 sec maxi
Répétitions
2à4
Récupération
1 min 30 (complète)
Intensité
Maxi (la Fc n’a pas le temps d’augmenter)
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Développement de la filière anaérobie alactique
Exemple
• 4 X 12,5 m en crawl rapide, récupération de 1 min à 1 min 30
entre chaque 12,50 m
• PMT : 4 x 20 m, même récupération
• en tractant un équipier : 4 X 10 m , même récupération
• en poussant l’ensemble gilet + bloc :
• 4 X 10 m , même récupération
• travail de décollage de la remontée par tous les moyens….
à 10 m de profondeur :
• impulsion et remontée sur quelques mètres
• 4 fois maxi
• sustentation avec ceinture lestée :
• 4 fois 10 sec avec 20 sec de récupération
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Objectifs de préparation physique par niveaux
Objectifs
généraux
De pratique
De préparation physique
Plongeur N1
Assurer sa propre sécurité entre
0 et 20 m
Améliorer l’endurance
aérobie
Plongeur N2
Assurer sa propre sécurité et
celle de son équipier entre 0 et
20 m.
Assurer sa propre sécurité entre
0 et 40 m.
Améliorer l’endurance
aérobie travailler dans la
zone de transition
aérobie-anaérobie
Assurer sa propre sécurité entre
0 et 60 m
Maintenir son niveau
d’endurance aérobie.
Travailler prioritairement
dans la zone de transition
aérobie-anaérobie
Plongeur N3
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Objectifs de préparation physique par niveaux
Objectifs
généraux
GP N4
De pratique
De préparation physique
Assurer sa propre sécurité et
celle des membres de sa
palanquée entre 0 et 60 m.
Maintenir son niveau
endurance aérobie.
Travailler la puissance
aérobie.
Travailler dans la zone de
transition aérobieanaérobie
Travailler la filière
anaérobie lactique
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La planification
Respecter le principe de la progression
• D’abord augmenter le volume d’entraînement
• Puis son intensité
• Prévoir 2 à 3 séances par semaine
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La planification
Le premier cycle (2 à 3 mois environ)
• Entraînement en aérobie
• Intensité de travail modérée mais allure constante
• Augmentation progressive des distances parcourues avec surveillance
de la technique de nage
Le second cycle (2 à 3 mois)
• Plus de travail fractionné
• Quelques exercices de courte durée et d’intensité
maximale
• Un peu de travail en anaérobie
Le troisième cycle (2 mois)
• Travail spécifique des épreuves d’examen
• Les distances diminuent
• L’intensité augmente
• En fonction du niveau :
• travail dans la zone de transition anaérobie
• travail anaérobie
• Récupération plus longue
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La gestion de l’entrainement
Les crampes :
• Fatigue musculaire
• Entraînement trop intense
• Matériel inadapté (palmes trop longues)
• Déshydratation par sudation
• Solutions :
• allonger durée avant intensité
• constituer des groupes homogènes
• faite boire de l’eau (sans soif)
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Vos tuteurs MF2 sont là pour vous
conseiller et vous aider.
N’hésitez pas à leur poser des
questions…
51
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