Séance 1 : Dans les pays pauvres peu de scolarisation L`accès à l

Séance 1 : Dans les pays pauvres peu de scolarisation
L’accès à l’éducation pour les enfants est un droit reconnu par la
convention internationale des droits de l’enfant signée par 192 pays en
1989.
Dans le monde, les familles les plus pauvres ont des difficultés à
envoyer les enfants à l’école.
L’alphabétisation est faible, la scolarisation des enfants est
insuffisante dans les pays pauvres surtout dans les campagnes.
Les femmes sont moins scolarisées que les hommes.
A Notre Dame des Missions, des O.N.G. travaillent à la scolarisation
des enfants dans le monde.
Les « frères de la Sainte Croix » (organisme de cotutelle de Notre
Dame des Missions) ont créé l’association Tet kole en Haïti.
(Voir le diaporama sur le site)
Les sœurs de Notre Dame des Missions (Sœur Marie Danielle) ont créé
pour les enfants du Vietnam « l’Association France- Vietnam ».
Pour aider les familles les plus pauvres à envoyer les enfants à l’école
l’association France- Vietnam organise des PARRAINAGES d’enfants.
Les « parrains » versent une somme mensuelle qui permet aux sœurs
de donner à manger aux enfants, elles achètent du matériel scolaire et
donnent un peu d’argent aux familles à la condition que les enfants
aillent à l’école et ne soient pas obligés d’aller travailler.
Dans les pays pauvres très souvent les enfants font de petits métiers :
vente d’objets dans la rue : cartes postales, bibelots… ou ventes de
fruits…
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Séance 2 : Alphabétisation et développement.
2-1 : les problèmes de scolarisation dans les pays pauvres.
Etudes de documents sur le Mali (livre pages 240-241)
Dans les pays pauvres peu d’enfants vont à l’école. Les parents ont
besoin des enfants à la maison : les filles vont aider aux travaux
ménagers, s’occuper des jeunes enfants car les familles sont
nombreuses, chercher de l’eau ou du bois …
Les enfants rapportent un peu d’argent à la maison en réalisant de petits
travaux (mais ils sont en danger lorsqu’ils restent dans les rues)
Les filles sont moins nombreuses que les garçons à se rendre à l’école
de plus elles arrêtent leurs études très tôt (12 à 15 ans au Mali) pour se
marier (problème de mariage précoce)
Dans les pays pauvres les conditions de travail pour les élèves sont très
mauvaises :
Les classes sont surchargées car ces pays n’ont pas les moyens de
payer des enseignants, de construire des écoles, l’équipement des
classes est rudimentaire ou inexistant.( Les élèves manquent de livres,
de cahiers)
2-2 : Les conditions de scolarisation dans les pays riches.
Etudes de documents sur l’école au Japon et en Finlande.
Au Japon : Le taux de scolarisation des enfants au primaire et au collège
est proche de 100%. L’accès aux études supérieures est de 55%.
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L’informatique est très présente, les redoublements n’existent pas on
accueille les handicapés, les enfants cultivent des légumes, élèvent des
animaux…
En Finlande : Les effectifs des classes ne dépassent pas 15 élèves, les
élèves sont « accompagnés », peu redoublent, les école, les collèges,
les Lycées sont gratuits (et même les universités)
Dans les pays riches la quasi-totalité des enfants fréquentent l’école
primaire et le Collège, beaucoup d’entre eux vont au Lycée, à
l’Université.
Le taux d’alphabétisation des femmes est comparable à celui des
hommes.
Les écoles sont nombreuses, les enseignants utilisent des moyens
modernes (ordinateurs, internet…) l’école propose même souvent des
activités : sport, culture, musique, jardinage…
Cependant les pays riches n’arrivent pas à faire disparaître l’illettrisme
d’une minorité de la population.
Séance 3 : Les progrès de la scolarisation aident au développement
des pays.
Lorsque la population d’un pays est alphabétisée, instruite, ce pays
connait des progrès scientifiques, techniques. Les entreprises y
sont plus performantes.
L’éducation des femmes est très importante pour sortir un pays du
sous développement.
-Les femmes ont moins d’enfants (mariage plus tardif, utilisation de
moyens de contraception…) La croissance démographique recule.
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-Les femmes s’occupent mieux des enfants :de leur santé (médecins,
hygiène…) de leur alimentation. La mortalité infantile recule,
l’espérance de vie augmente.
-Les femmes envoient leurs enfants à l’école donc le taux
d’alphabétisation et de scolarisation s’améliorent.
Bilan :
L’analphabétisme recule dans le monde grâce à l’action des O.N.G
(organisations non gouvernementales) et aussi grâce à l’action de
l’O.N.U avec des organismes comme l’UNICEF ou l’UNESCO
(Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science, la
culture. )
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