Le Le Lucernaire et La etetLa Compagnie LesLes Feux Feux LeLucernaire Lucernaire LaCompagnie Compagnie Les Feux présentent présentent présentent ´´ Thelonius Thelonius et et et Lola Lola dd e eSe r g e r irbiib u S deeS S er rg geeK K Kr bu uSS Mise Mise en en scène et interprétation etetinterprétation : diane : :diane Calma Calma et Serge etetSerge Kribus Kribus Mise enscène scène interprétation diane Calma Serge Kribus Avec Avec lesles musiciens Philippe Philippe Lambrechts Lambrechts et garry etetgarry Nayah Nayah Avec lesmusiciens musiciens Philippe Lambrechts garry Nayah Un Un conte conte musical a´ apartir dede 7 7dents Un contemusical musical partir de 7 dents dents ´a´ partir Co-production Co-production : Théâtre : Théâtre 95, Cergy-Pontoise 95, Co-production : Théâtre 95,Cergy-Pontoise Cergy-Pontoise TexteTexte publié chezchez Actes Actes Sud –Sud Papiers – Papiers / Heyoka / Heyoka jeunesse jeunesse Textepublié publié chez Actes Sud – Papiers / Heyoka jeunesse Lucernaire Lucernaire Lucernaire hhhh 03 2515310 1251121hh 00300000 du mercredi 15 du avril 15 avril au du 15 avril au mercredi et samedi etau samedi mercredi et samedi 23 m 23 a3 im2m a0ia0i2 80 2 208 08 C e CnCe t ernent tr Nreea N t Niaoatnti o ai on l nadal ' ladrd' ta' arert tt edet 'tedsd' e s' ea s sis sa ai du i 9duoctobre 9 octobre au au du 9mardi octobre au du mardi du mardi au samedi auau samedi du samedi www.lucernaire.fr www.lucernaire.fr 01.45.44.57.34 01.45.44.57.34 53 rue53 Notre rue Notre Dame Dame des Champs des Champs 7500675006 Paris Paris www.lucernaire.fr 01.45.44.57.34 53 rue Notre Dame des Champs 75006 Paris 30 novembre 3030novembre 20132013 novembre 2013 et duetmardi au samedi auausamedi pendant pendant les vacances les scolaires scolaires etdudumardi mardi samedi pendant lesvacances vacances scolaires Thélonius et Lola Dossier Pédagogique Un conte musical À partir de 7 ans Au Théâtre du Lucernaire 53, rue Notre Dame des Champs - 75006 Paris du 9 octobre au 30 novembre mercredi et samedi 15h00 Et du mardi au samedi pendant les vacances scolaires. Co-producteur : Théâtre 95, Cergy-Pontoise, scène conventionnée des écritures contemporaines. Texte édité chez Actes Sud-Papiers/Heyoka jeunesse Nous remercions pour leur aide précieuse Théâtre Ouvert, le Théâtre de la Pépinière, le théâtre du Poche-­‐ Montparnasse, le Théâtre du Soleil, le Théâtre de la tempête, René Loyon, Pierre Cordier, Claude Eymerie, Simon Kribus, Silvia Mammano, et Jean Jérôme Raclot. Et pour leur collaboration artistique : Thierry Deroche, Aude Desigaux, André Diot, Ghislaine Ducerf, Boris Godot, Françoise Huguet, Max Lapiower, Charlène Loubette, et Maxence Scherf. Texte Serge Kribus Composition musicale Garry Nayah Arrangements Philippe Lambrechts Mise en scène et interprétation Diane Calma et Serge Kribus Philippe Lambrechts Clarinette, Clarinette basse, Saxophone Garry Nayah Guitare Lumières Serge Kribus avec la complicité amicale d’André Diot Scénographie et accessoires Thierry Deroche Costumes Ghislaine Ducerf et Aude Desigaux Administration Silvia Mammano 06 17 29 42 53 [email protected] Chargé de diffusion BORDS DE SCENES Edna Fainaru efainaru@bords-de-scènes.com 01 41 90 09 41 Diane Calma 06 16 17 90 35 [email protected] Serge Kribus 06 09 37 15 18 [email protected] Un conte sur l’amitié Au lieu de se rendre chez sa tante, Lola, une petite fille de onze ans et demi, se promène dans la rue, seule. Elle rencontre Thélonius, un chien chanteur et aide son nouvel ami à percer dans la chanson. Mais une loi vient d’être votée : les chiens sans colliers doivent être expulsés... THELONIUS Vous voyez bien que je suis un chien ! LOLA Et alors ? Ca n’a rien de mal d’être un chien ! Vous n’êtes pas content d’être un chien ? THELONIUS Je ne sais pas. Je ne me suis jamais posé la question. LOLA Alors qu’est-ce qui vous tracasse ? THELONIUS Je n’ai pas l’habitude que les petites filles me parlent. « L’un petit, l’autre grand, mais d’égale valeur » La cause des enfants, Françoise Dolto, éd. Robert Laffont, 1985 La pièce est une fable. Par le lien d’amitié qui rapproche Thélonius, le chien sans colliers et Lola, une petite fille qui fend la vie, la pièce aborde le thème de la différence entre les individus et traite de la question des sans-papiers. La pièce ne prétend pas apporter de réponses. Elle accompagne le personnage de Lola dans la découverte de la vérité et propose une histoire pour mettre quelques mots sur nos émotions. Le spectacle s’adresse au jeune public à partir des CM1- CM2, mais il s’adresse aussi aux plus âgés et il est déjà abordable par les CE1-CE2. Nourris, entre autres, par les écrits de Françoise Dolto, les œuvres de Roald Dahl, de William Steig, l’auteur du très bel « Amos et Boris », ou par le formidable travail de Gabrielle Vincent, nous désirions nous adresser aux enfants, à leur sensibilité, leur intelligence, les intéresser, les amuser, ne pas les assommer et ne pas les prendre pour des idiots. Convaincus que le silence est un abandon, nous désirions aussi nous adresser au jeune public et transmettre une parole qui témoigne d’un aspect brutal de la réalité. Nous voulions raconter une fable lisible, une histoire simple, drôle, ancrée dans le monde, avec comme précepte de ne pas épargner les enfants sur la véracité des faits sans pour autant les angoisser et les brutaliser. Mais au contraire, leur donner un espace, légitimer les questions, les étonnements, les émotions, la soif de vie, de justice et le droit au savoir. Raconter une histoire avec simplicité et humour permet de se confronter au réel et désamorcer l’angoisse que peut générer la brutalité, comme le silence. La musique, composée par Garry Nayah, arrangée par Philippe Lambrechts, et jouée sur scène pas les deux musiciens, accompagne l’histoire et nous donne à toucher les frémissements invisibles. Impressionné, comme tant de musiciens, par la fulgurance de Bach et celle de Coltrane, travaillé aussi par les apports audacieux des musiques traditionnelles, Garry Nayah a composé la musique avec l’ambition que la pièce pourrait s’entendre sans se voir. Par la fable, la simplicité du trait, la puissance onirique du théâtre, par la musique et les chansons qui accompagnent et fondent la pièce, bien évidemment par le traitement scénique, notre ambition est de donner à entendre la complexité par la simplicité. Et donner au public jeune et moins jeune un moment de théâtre, un moment vivant, fait d’émotion, de sens, d’humour et de réflexion. Diane Calma et Serge Kribus Dossier pédagogique Par l’intérêt et le plaisir qu’il suscite, le spectacle permet aux enfants et aux jeunes adolescents de reconnaître des situations, s’identifier aux deux personnages de la pièce, débattre et réfléchir aux situations qui y sont exposées. Il permet aussi de s’initier ou se familiariser avec le théâtre, le jeu, la musique et l’écriture. Diane Calma et Serge Kribus peuvent se déplacer ensemble ou séparément et venir rencontrer les classes, parler de la pièce, du théâtre, de l’écriture, de la mise en scène et du jeu. Ils peuvent aussi animer à la demande des ateliers d’écriture ou de jeu. Serge Kribus est chargé de cours à Paris 3 où il forme à la direction des ateliers d’écriture. Il est aussi titulaire d’une habilitation de l’académie de Paris. Garry Nayah peut diriger des ateliers de musique et d’éveil à la musique. THEMES Les thèmes abordés dans le spectacle peuvent être traités en classe et servir de support à de multiples questions et développements. Le racisme. Les fausses croyances ont longtemps attribué à l’homme des critères de race qui n’existent pas dans la réalité. Ces critères, totalement erronés, ont poussé des sociétés à établir des distinctions entre les races, les hiérarchiser et considérer les unes comme supérieures et les autres, comme inférieures. Ces croyances sont encore défendues par certains individus ou groupes d’individus de par le monde. Les ouvrages d’Albert Jacquard apportent des réponses concrètes, scientifiques et très abordables pour les plus jeunes. « La plus belle histoire des animaux », de Boris Cyrulnik permettra aussi d’établir des liens. Pour les adolescents, les professeurs pourront prendre appui, notamment, sur « Hommes et bêtes, entretiens sur le racisme », sous la direction de Léon Poliakoff, sur « Le racisme expliqué à ma fille » de Tahar Ben Jelloun, ou sur les ouvrages de Pierre-André Taguieff. Les politiques coloniales et la pensée raciste. - Le sujet est bien entendu très vaste et brasse l’histoire depuis l’esclavage dans l’antiquité jusqu’à l’esclavage moderne et l’exploitation de la misère en passant par l’histoire de l’esclavage des peuples Africains ou la longue émancipation des individus noirs aux EtatsUnis. Parmi les nombreux auteurs que l’on pourra consulter, James Baldwin, Howard Fast (Spartacus), Toni Morrison, Bernard Malamud, Martin Luther King, Yambo Ouologem, Frantz Fanon… - Conséquences actuelles sur la stigmatisation et la ghettoïsation. (Voir Abd al Malik, Luc Bronner, Nick Cohn …) - Les peurs ancestrales des êtres humains aboutissent au moyen-âge au procès des animaux. Les origines culturelles et leurs modes de vie. - Qu’est-ce que la culture ? - Les traditions. De quoi sont faites les traditions ? Comment les traditions évoluent-elles ? En quoi sont-elles liées aux changements structurels, économiques ? Comment les héritages évoluent ? Comment les différentes traditions peuvent cohabiter ? - A la question souvent posée : « Les traditions doivent-elles respecter les lois ? », ne pourraiton considérer les choses dans une autre perspective et poser une autre question ? « D’où viennent les lois, si ce n’est d’une évolution et d’un grand métissage des traditions ? » L’exil. - Définition. Les situations et les conséquences de l’exil. - L’exil choisi. L’exil contraint. Les droits. - La déclaration universelle des droits de l’homme. - La déclaration des droits de l’enfant. Les droits des personnes déplacées. - La notion de droit et de devoir. La différence - Le droit aux différences. Le respect des différences. - Les conséquences de la crise économique sur des politiques qui stigmatisent et accusent les minorités. - Conséquences dans l’histoire. Le théâtre musical L’histoire du soldat de Igor Strawinsky et Charles Ferdinand Ramuz Pierre et le loup de Sergeï Prokofiev Le vilain petit canard de Sergeï Prokofiev Babar de Jean de Brunhoff. Adaptation radiophonique et musicale de Maritie et Gilbert Carpentier. L’Opéra de quat’ sous de Bertolt Brecht et Kurt Weill Le Bal, pièce collective du Théâtre du Campagnol Les ateliers d’écriture Ces ateliers animés par Serge Kribus sont destinés à travailler une discipline artistique avec sincérité et exigence. Donner la possibilité aux enfants et aux adolescents de créer à partir de leur propre choix, qu’ils apprennent précisément par le travail, à reconnaitre, comprendre, et oser. Par le processus de la création, il s’agit de légitimer les individus dans leurs capacités, leurs choix, leurs tentatives et leurs expériences. Les aider à prendre confiance. A sentir, à penser par eux-mêmes, à reconnaitre l’importance de leur désir, de leur singularité, donc de leur propres rythmes, de leurs émotions et reconnaitre la valeur de leur propre position, sans doute de leur propre histoire. Il s’agit de déconstruire les stéréotypes qui enferment les individus, les stigmatisent ou les condamnent dans des fonctions qui ne leur correspondent, ni ne leur conviennent et sont sources d’exclusion, de souffrance, et de violence. Il s’agit, par le travail de création, de concevoir et fabriquer son autonomie. Si l’on démystifie l’idée parfois dogmatique ou élitiste du théâtre, si l’on engage le travail avec appétit, avec désir et plaisir, sans tabous, sans a priori, sans pression, sans honte, sans peur de l’échec, sans mépris pour les erreurs, (qui sont toujours en réalité le tremplin de l’étonnement et du questionnement) alors, sans rien perdre de ses pouvoirs de fascination, de ses mystères comme de sa complexité, le théâtre dans ses multiples dimensions se révèle un formidable outil d’émancipation. Et pas seulement. Écrire, jouer, mettre en scène sont des actions complexes, mais on peut appréhender chacune d’elles sans y avoir été préalablement formé. Et chacune de ces actions ouvre inévitablement sur des questions. Concevoir l’histoire, construire des personnages, réaliser des dialogues ou une trame narrative appellent une réflexion et une identification incontournable avec des questions essentielles et fondamentales à tout récit. Qui raconte, de quel endroit, de quelle position ? A qui s’adresse le discours ? Quelle est l’information qui doit être transmise ? Comment rendre compte de l’étonnement, la découverte ? Comment traduire la révélation du personnage et sa confrontation à une information ou un évènement, sa perception du monde et de lui-même dans le monde. Que faire de la confrontation des auteurs à celle de leurs personnages ? Concevoir, construire, élaborer un récit sans penser et sans analyser en amont les éléments constitutifs du récit permet précisément d’apprendre à les reconnaitre, les identifier et permet d’apprendre à se familiariser avec les questions. Le rythme, la compréhension, le détail, le regard, l’effet escompté, celui, étonnant, qui n’était pas attendu. La crédibilité, l’ellipse, l’enjeu, le commentaire inutile. Bref, des questions sur le fond, la forme, la technique et la nécessité. Toutes ces questions qui sont celles d’un métier, dont une des sources étymologiques nous relie aussi au mystère ! Or chacune de ces questions est le harpon d’une nouvelle interrogation qui travaille, aiguise et dévoile, petit à petit, le langage et la singularité de chacun. Dans ce sens, le travail d’écriture en milieu scolaire peut être envisagé comme un outil d’apprentissage, de méthodologie et d’autonomie. Et permet d’appréhender avec désir et plaisir des questions et des procédures qui sont au cœur de la pédagogie. Bio Diane Calma. Après des études de littérature, Diane Calma enseigne le Français pendant deux ans en classe de seconde et première. Parallèlement, elle suit une formation de comédienne au « Studio 34 » et à l’E.N.S.A.T.T, « Rue Blanche ». Au théâtre, elle a joué dans plus d’une vingtaine de pièces notamment sous la direction de David Ayala, Laurence Fevrier, Paul Golub, Yvan Morane, ou François Rancillac … A la télévision, elle tourne avec Franck Apprederis, Josée Dayan, Emmanuel Foladonsa , Roger Kahane, Fabien Otteniente et au cinéma, sous la direction de kim Massee, Gilles Mimouni, Tatiana Vialle-Nuytten . Diane Calma a également réalisé différentes adaptations théâtrales, dont « Platonov ou le fléau de l’absence de père» de Tchékhov dans une traduction de Serge Rezvani, mise en scène par Jacques Lassale à la Comédie-Française en 2003 et 2004. Elle a mis en scène une dizaine de spectacles dont « Rezvani, pluriindisciplinaires » de Serge Rezvani au petit Odéon en 2002, « Butterfly » de Joël Dragutin, Alain Grasset et Elsa Solal au Théâtre 95 en 2012 ou « Les Fables » au Théâtre de la Piscine en 2013. De 2006 à 20012, elle a conçu et dirigé cinq éditions de « Théâtre -documentaire » basés sur des entretiens réalisés avec des habitants, « Histoires courtes mais vraies ou presque » au Théâtre 95 et au Théâtre de la Piscine. Elle est également l’auteur de plusieurs textes de théâtre dont « La Vie avec Colette » représenté au théâtre du Chaudron à la cartoucherie et « Le caprice de Marise » représenté au Théâtre de la Roquette. Elle poursuit, par ailleurs, un travail pédagogique en mettant en scène des créations avec les jeunes de « l’espace d’insertion Cesame » à Eragny sur Oise et dirige également des ateliers avec les enfants et adolescents de la « Butte rouge » à Chatenay Malabry. Serge Kribus Né à Bruxelles en 1962, Serge Kribus est auteur, metteur en scène et comédien. Il a écrit près de vingt pièces dont Arloc créé au Théâtre de la Colline en 1996 dans une mise en scène de Jorge Lavelli, Le Murmonde écrit en 1999 à la demande de Jean-Claude Penchenat, et créé par le Théâtre du Campagnol, Le Grand Retour de Boris S. créé au Théâtre de l’Œuvre en 2000 dans une mise en scène de Marcel Bluwal avec Michel Aumont ou L’Amérique créé au studio des Champs-Elysées en 2006 dans une mise en scène de Bruno Abraham Kremer et créé à la demande d’Armand Delcampe en 2008 et 2009 à l’Atelier Jean Vilar et au Théâtre du Rideau de Bruxelles dans la mise en scène de l’auteur. Il a récemment traduit et adapté « Seminar », une pièce de l’auteure Américaine, Theresa Rebeck. Il est l’auteur d’une dizaine de scénarios, dont le dernier, en cours, pour Peter Kassovitz et écrit également pour la jeunesse. Il a reçu de nombreuses distinctions littéraires dont le prix de la Critique, le prix Beaumarchais, le prix de la SACD, le prix Lucien Barrière et plusieurs nominations aux Molières. Ses textes sont publiés aux éditions Actes Sud-Papiers. Ils sont traduits et joués à l’étranger. Comme comédien, Serge Kribus a joué dans une vingtaine de spectacles. Il a tourné sous la direction notamment de Tonie Marschall, Yves Boisset, Radu Mihaïleanu, Edouard Molinaro, Marcel Bluwal, Robert Guédiguian, Nina Companeez ou Pierre Salvadori. Il mène aussi depuis de nombreuses années un travail pédagogique et anime depuis vingt ans des ateliers d’écriture dans les écoles primaire, collèges, lycées, écoles techniques ou facultés. Garry Nayah Né en 1985, Garry Nayah est musicien professionnel. Autodidacte, il joue toutes les guitares et étudie le jazz et le jazz manouche. De 2008 à 2012, il a été AED et a animé des ateliers d’initiation à la musique dans les lycées professionnels Marie Laurencin et Edgar Quinet. Il joue dans deux quartets de jazz, les Chap’andco et « Ocatve et Anatole » ainsi qu’avec une grande formation, les Janovis. Il a joué pendant un an au François Félix et donne régulièrement des concerts dans diverses MJC, maisons de retraite, mariages. Philippe Lambrechts Philippe Lambrechts est professeur certifié en lettres modernes. Il découvre la musique très jeune et se forme à l’école intercommunale de Louragais. Pétri de Jazz, il écoute et étudie en autodidacte. C’est à Berlin, au cours d’un master de littérature comparée, qu’il se produit en scène et connaît ses premiers concerts. Il est actuellement en poste à Bondy et mène ses deux professions de front. Informations techniques Durée du spectacle : 1H Plateau : Dimensions minimales. Ouverture: 8 m- Profondeur: 6 m Pendrions : - Boite noire à l’allemande avec une ouverture au lointain Jardin et au lointain Cour. Implantation à l’italienne possible. Lumières et Son : - Frises selon le plan de feux. - Système d’amplification musicale autonome.