Université Montpellier 2 - Master Sciences pour l`Environnement

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Université Montpellier 2 - Master Sciences pour l’Environnement
Mention : Biologie des Plantes, des Microorganismes, Bioingénieries, Bioprocédés
Spécialité : IMHE (Interactions Microorganismes, Hôtes, Environnements)
Renvoyer la proposition de sujet de stage à
[email protected] , [email protected]
Responsable des stages d’Initiation à la Recherche de M1 et de M2 :
Tatiana Vallaeys : [email protected] Tél : 04 67 14 40 11
Administration :
Patricia Quéméner : [email protected]
Sujet de stage : Stage de M1
Analyse in vivo de la tissu-spécificité de la transcription de virus d’insectes par hybridation
in situ
Responsable (s) de stage :
Marc RAVALLEC, IE INRA ([email protected])
Laboratoire d’Accueil et nom du Directeur :
UMR 1333 INRA/UM2 "Diversité, Génomes et Interactions Microorganismes-Insectes"
(DGIMI)
Case Courrier 101
Bâtiment 24, 4ème étage
Place Eugène Bataillon
34 095 Montpellier Cedex 5
Directeur : Anne-Nathalie VOLKOFF
Tel et Email du Responsable de stage et de l’encadrant :
04 67 14 41 17 [email protected]
Equipe d’Accueil :
Biologie Intégrative des Interactions Hôte-Parasitoïdes B2IHP
Voir site de l’unité pour la composition de l’équipe :
http://www6.montpellier.inra.fr/dgimi/Plateforme-experimentale-sur-insectes
Dans quel contexte s’insère le sujet de stage (démarrage d’un projet, travail partiel d’un sujet
de thèse …….) :
Question qui intéresse l’équipe dans le cadre de son projet de recherche.
Techniques qui seront principalement utilisées lors de ce stage :
Expérimentation sur insecte : infections et dissections d’insectes
Biologie moléculaire : préparation de sondes ARN ou ADN fluorescentes
Imagerie : préparation des échantillons (cellules prélevées sur insecte) et hybridation in situ,
observation avec microscope à fluorescence et/ou confocal
Description du stage : donner un résumé (contexte, problématique, matériels et méthodes).
Objectif :
Le stage portera sur l’étude d’une famille de virus, les polydnavirus, qui infectent des larves
de lépidoptère (chenilles). Ce sont des virus à génome multipartite d’ADN double brin de
grande taille (plus de 300 kb), toujours associés symbiotiquement à des micro-guêpes
parasites. Ils ne se répliquent que dans les ovaires de la micro-guêpe et sont injectés par la
femelle lors de la ponte dans une larve de lépidoptère. Ces virus ne se répliquent pas dans
l’insecte-hôte, mais celui ci subit cependant de profondes modifications physiologiques qui
permettent le développement de la guêpe parasite.
Lors de ce stage, il s’agira d’analyser par hybridation in situ, l’expression d’une protéine
virale dans un tissu d’importance de la physiologie de l’insecte, les cellules sanguines, ou
hémocytes, qui sont les principaux effecteurs de la réponse immunitaire cellulaire, et de
déterminer quels sont les types d’hémocytes préférentiellement pris pour cible.
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