la lecture l`écriture le parler

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« La maîtrise du langage et de la langue française […] doit être, pour chaque
enseignant du cycle 3, la priorité des priorités et une préoccupation permanente. »
« Nature à lire » propose de construire les différents apprentissages sousjacents à cette priorité, en abordant systématiquement, pour chaque texte,
les trois dimensions que sont la lecture, l’écriture, le parler.
LA LECTURE
Les programmes officiels de 2002 insistent sur la nécessaire autonomie que les
élèves doivent acquérir dans ce domaine pour leur future réussite au collège.
La lecture peut être décrite comme une triple activité : une activité de décodage
(repérage des unités linguistiques : phonèmes, graphèmes, morphèmes),
une activité de compréhension littérale (lexique et compréhension d’une ou
deux phrases isolées) et une activité de compréhension inférentielle.
C’est ce dernier type de compréhension qu’il s’agit de privilégier au cycle 3 :
pour stocker en mémoire de multiples phrases, il faut à un moment donné
les résumer et faire appel à des connaissances extra-textuelles (connaissances
du rôle social d’un écrit, du projet personnel de lecture, des savoirs stockés
par le sujet dans la mémoire à long terme…).
Les auteurs ont donc privilégié deux axes en relation avec le domaine de
compétences attendues :
L’élève, pour pouvoir lire un texte, doit s’inscrire dans un projet personnel
précis. Il apprend à répondre aux questions : « Quel usage dois-je faire de
ce texte ? Quelles informations puis-je en retirer ? »
L’élève doit appréhender que lire c’est comprendre. Il est amené à répondre
aux questions : « À quoi sert ce texte et comment fonctionne-t-il ? »
en utilisant des indices linguistiques et textuels, par exemple les séquences
de texte qui sont en nombre limité et qui, par leurs combinaisons, constituent
les écrits (raconter, décrire, dialoguer…).
« Nature à lire » se propose donc d’organiser ces apprentissages qui permettent
l’accès à une bonne maîtrise au collège.
Quelques principes organisateurs ont été adoptés :
Premier principe : « Nature à lire », en conformité avec les nouveaux
programmes, offre un éventail structuré de textes fictionnels (récits,
poèmes…) qui permettent d’aborder un fonctionnement littéraire des textes.
Deuxième principe : « Nature à lire » apporte systématiquement un éclairage
sur l’organisation de ces écrits par les bandeaux de questions situés en bas
de pages. Le retour de cette structure d’un texte à l’autre favorise l’émergence d’habitudes de lecture chez les élèves.
Les récits ne sont jamais des morceaux choisis mais le début de l’histoire,
sa situation initiale. Il s’agit de construire des notions clés : le point de vue
du narrateur (qui raconte ?), l’identification et les caractéristiques des
personnages, le choix des temps…
L’élève est amené à explorer le péritexte (rubrique intitulée « Autour
du texte »). La compréhension du récit est guidée par un travail sur
les champs lexicaux et sémantiques.
Troisième principe : « Nature à lire » offre un regroupement unique et original
par groupement d’hommes. Pour le CE2, il s’agit d’organiser les lectures en
réseau ordonné autour des différents continents.
Ce groupement a pour but de rendre concrètes la dimension sociale et la
dimension culturelle des écrits, qui, sans cela, perdent une partie importante de leur sens, de leur usage et de la réalité de leur circulation.
L’ÉCRITURE
« Nature à lire » propose des activités d’écriture en privilégiant deux axes :
des activités spécifiques permettant d’approfondir la nécessaire maîtrise
des différentes séquences : narration, description, dialogue… S’appuyant
sur les textes lus ou recourant à des textes proposant les caractéristiques
à approfondir, il s’agit de préciser quelques points essentiels des structures
abordées : comment construire un dialogue, rôles et fonctions des personnages d’un récit, temps du réel et temps de la narration… ;
des activités de production pouvant être le point de départ d’un projet
d’écriture. Ces textes sont à produire à partir de l’observation de textes
proposés dans « Nature à lire » et d’outils construits, mis à la disposition des
élèves et mettant l’accent sur la macrostructure de l’écrit étudié. Ces outils
sont aussi à utiliser dans les activités de réécriture des textes qui restent
un moment fondamental de la production. Ils doivent permettre les réajustements nécessaires, les ajouts, les remplacements afin d’aller au plus précis
du texte à élaborer.
Les consignes sont rédigées de manière à établir des contrats didactiques
avec l’élève et à éclairer les procédures de travail efficaces, indispensables,
que chaque élève doit intégrer.
LE PARLER
« Nature à lire » intègre, dans les différentes activités proposées dans les bandeaux
de bas de pages, une troisième dimension de la maîtrise de la langue intitulée
« Du lire au dire ». Les situations sont ici centrées sur la pratique de l’oral
à partir de situations variées répondant aux divers aspects du langage oral :
dire des textes mémorisés, dire-redire des textes lus et relus, pratiquer la
lecture à haute voix devant un auditoire, participer à un débat sur la production orale, sur la compréhension qui en résulte, sur les émotions ressenties…
Parfois, lorsque le texte lu s’y prête, le travail régulier de diction s’accompagne
de projets plus ambitieux comme le jeu théâtral. Alors chacun utilise ses
ressources corporelles, l’interprétation du texte allant bien au-delà de la seule
mise en voix.
Texte à lire : c’est toujours
le début de l’histoire.
Il est présenté en deux
colonnes et posé
sur un fond jaune.
Titre du premier
chapitre du livre
ou titre de la nouvelle
ou titre du conte.
La Force du berger
Couverture du livre
dont on a tiré le texte.
Azouz Begag
1
Nom et présentation
de l’auteur.
Azouz Begag
Azouz Begag, auteur
franco-maghrébin,
est né à Lyon, en 1957.
Ses parents, immigrés
algériens, ont traversé la
mer Méditerranée en 1949.
Il est l’auteur de nombreux
livres dont Le gone
du Châaba, dans lequel
il raconte son enfance, et
qui a été adapté au cinéma.
Illustration : pour aider
à la compréhension
du texte.
10
20
30
40
Questions et exercices
proposés à l’élève :
à faire oralement
ou par écrit.
M
on père dit toujours que les Américains sont rien
que des menteurs. C’est pas qu’il a une grande
connaissance de ces gens et de leur pays, parce
qu’à la vérité, il n’a jamais mis les pieds sur ce territoire
où les gratte-ciel se perdent dans les nuages. À la vérité,
il ne connaît pas beaucoup d’endroits dans le monde.
La terre, dans sa tête, ce n’est qu’une poignée d’argile,
un champ labouré, une étendue de blé. C’est El Ouricia,
son petit village d’Afrique du Nord qu’il a dû laisser,
adolescent, pour aller à Lyon, vers les usines.
La terre. Entre El Ouricia et Lyon où nous vivons, il y a
une route en bitume gris-noir et une mer pleine de bleu
profond. La première fois qu’il a marché dessus tout
habillé, c’est quand il a pris le bateau. Le Kairouan,
il s’appelait. C’était pas une petite barque de pêcheurs
comme il croyait, mais un immense bâtiment qui pouvait
contenir des centaines de voyageurs et même des voitures
dans son ventre. Il était bien plus vaste que tout son
village réuni et son impressionnante carcasse métallique
l’avait beaucoup effrayé au début. Il comprenait mal
comment un poids aussi important était capable de flotter
sur l’eau, avancer sans risque sur des centaines de kilomètres, nuit et jour, au-dessus d’une profondeur sans fin.
Après son premier voyage, il en fit d’autres. Beaucoup
d’autres. Tous les mois d’août, quand il travaillait à Lyon,
il rentrait dans son village passer des vacances, retrouver
sa femme et ses enfants qui l’attendaient au pays. Il leur
apportait les économies faites pendant l’année, les cadeaux
de rêve.
Après deux ou trois traversées, il le connaissait bien
le Kairouan. Il l’avait apprivoisé comme un petit animal
domestique. Il n’avait plus peur de lui. Il savait maintenant
que d’énormes moteurs placés dans la salle des machines
le propulsaient avec assez de force pour pouvoir résister
aux plus violentes vagues de la mer.
À la rencontre du texte…
La mer, il la connaissait aussi maintenant, avec ses dégradés
de bleu et de gris, son écume* crémeuse, ses familles de
dauphins qui s’amusaient à défier à la course le Kairouan.
Quand il était berger à El Ouricia, il n’avait pas eu le temps
d’aller à l’école. Il n’a jamais appris la géographie de
la planète. Quand il était berger à El Ouricia, il savait
s’occuper de ses chèvres et de ses moutons et c’était une
bonne chose. Bien sûr, la mer il en avait entendu parler.
Il l’imaginait tumultueuse et bouillonnante, telle une
rivière qui prend son élan pour aller se fracasser et se
lancer derrière le mur de l’horizon, à l’endroit où l’œil
rouge du soleil va s’éteindre dans l’ombre de la nuit.
Quand il embarquait sur le Kairouan, il pensait qu’il traversait
la mer d’une rive à l’autre, d’El Ouricia à Lyon, et il était
rassuré de voir que le paquebot, grâce à ses moteurs,
ne se laissait pas emporter par les courants joueurs qui
conduisent à la cascade de l’horizon.
Il ne faut pas dire à mon père des choses contraires à la
géographie qu’il a tracée dans sa tête. Il devient nerveux.
Il dit que ce n’est pas parce qu’il n’est jamais allé à l’école
qu’il est ignorant. Il se méfie des Américains comme du
diable. Avec leur puissance, ils envoient dans le poste de
télévision des images où l’on voit des machines volantes
atterrir sur la Lune et des hommes fouler sa lumière
phosphorescente comme s’ils marchaient dans leur jardin.
Et tous les gens autour de lui croient en cette supercherie ;
il paraîtrait même que depuis la Lune, on voit très bien
que la Terre est ronde. Balivernes ! Ses propres enfants
seraient prêts à avaler cette salade au ketchup, s’il ne prenait
garde à leur éducation.
Il m’aime un tout petit peu plus que mes autres frères
et sœurs. Parce que je sais bien comment le prendre pour
le calmer quand il est rouge de colère, bleu de rage et vert
de fatigue. C’est simple. Je lui dessine d’immenses sourires
du fond de mes yeux ronds et il ne sait plus reconnaître
les couleurs. Tout se brouille dans sa tête, il se met
à sourire à son tour et toujours nous finissons par éclater
de rire tous les deux. Ça marche à chaque fois. (…)
La 4e de couverture
40
50
Il est des routes qui n’ont
pas de carrefour : celle
du père, ancien berger,
ignorant les découvertes
de l’humanité mais tourné
vers La Mecque, et celle
du fils qui a déjà rejoint
le savoir du monde moderne.
Comme le dit l’instituteur,
« le monde appartient
à ceux qui posent des
questions ».
* écume
Mousse blanchâtre
qui se forme à la surface
de la mer.
À la rencontre des mots…
Au fil du récit
Anagrammes
Relève ce que tu sais du livre dont est extrait
ce texte. Donne à chaque renseignement le nom
qui lui convient.
Combien de paragraphes comptes-tu dans ce texte ?
Pour chacun d’eux, relève le premier et le dernier
mot.
Ce texte est-il une histoire complète ou seulement
une partie ? Justifie ta réponse.
Qui raconte ce récit ?
Relève les éléments qui justifient ta réponse.
Relève tout ce que tu sais du berger.
« La géographie qu’il a tracée dans sa tête. » (l. 54)
Dessine sur une feuille blanche ce que le berger
connaît de la géographie du monde.
Pourquoi le berger se méfie-t-il des Américains ?
Recopie la définition de ce mot.
Cherche dans la page 40 les anagrammes de :
nier – rente – charme – sorti – sauter.
Cherche dans le dictionnaire le sens des mots :
apprivoisé (l. 31) – propulser (l. 34) – dégradés (l. 36) –
tumultueuse (l. 44) – supercherie (l. 61).
Utilise chacun d’eux dans une phrase.
Beaucoup d’enfants
et d’adultes ont déjà lu
ce texte et le livre dont
il est extrait : c’est leur avis,
ce qu’ils en ont pensé.
L’AVIS DE NAL :
Un livre à lire à tous
les âges ! Magnifique !
60
70
Éd. La joie de lire – Coll. « Récits » – Azoug Begag – La Force du berger
Autour du texte
Texte qui se trouve
au dos du livre dont
est extrait le texte à lire :
pour avoir une idée
de l’ensemble de l’histoire.
Du lire au dire…
Choisis un paragraphe du texte.
Présente-le à tes camarades.
Tu es le berger.
Tu dis à tes enfants ce que tu penses des Américains.
Débat :
Que penses-tu de ce berger ?
A-t-il raison de se méfier des Américains ?
Crois-tu que ceux-ci sont allés sur la Lune ?
Justifie ta réponse.
41
Nom de l’éditeur,
de la collection à laquelle
appartient ce livre, nom
de l’auteur et titre
du livre.
Des activités d’observation et de manipulation de textes
Faire parler les personnages
dans une pièce de théâtre
Titre de la séquence.
C’est le contenu
des exercices de la page.
1
2
Cherche le sens du mot réplique dans le dictionnaire.
Combien de répliques comptes-tu dans la pièce ?
3
Reproduis et complète le tableau suivant en utilisant le texte
de la page 13.
4
5
34
Pour écrire un conte
des origines
Combien de personnages prennent la parole dans la pièce
de théâtre « Les ânes de Nasreddin » pages 12 et 13 ?
Comment le sais-tu ?
EXEMPLE p. 12
Ensemble d’exercices
à réaliser sur le cahier
d’exercices.
Titre du texte qui
est utilisé dans un ou
plusieurs exercices
de cette page.
Des outils de production d’écrits
personnage
(qui parle ?)
parole
(ce qu’il dit)
Nasreddin
Cocotte ?
Où es-tu ?
Cocotte, viens
ici ! Petit petit
petit !
J’écris – Je réécris
1
Après l’écriture de ton texte, relis-le et complète le tableau suivant.
Lorsque tu réponds « oui », relève dans le texte ce qui justifie ta réponse.
Lorsque tu réponds « non », complète ton texte.
Oui, c’est…
Non
• J’ai débuté mon texte par une formule qui dit que
l’histoire racontée s’est déroulée il y a longtemps.
le geste
fort normal faible (ce qu’il fait)
+
=
–
• J’ai inventé un événement extraordinaire.
• J’ai raconté une suite d’actions et d’événements
qui sont arrivés à mes personnages.
Il cherche du
regard un âne.
• J’ai terminé mon texte par une formule telle que :
– C’est depuis ce temps-là que…
– C’est ainsi…
– Aujourd’hui…
Compare les dialogues du texte « Les ânes de Nasreddin »
(M. Piquemal) pages 12 et 13 et les dialogues du texte « L’autruche »
(J. Prévert) pages 16 à 19.
Relève ce qui est identique et ce qui est différent.
• J’ai utilisé de petits mots pour organiser la
suite des actions : puis, enfin, avant, après, et…
• J’ai utilisé une ponctuation correcte :
. ,.
• J’ai utilisé les majuscules quand il le fallait :
début de phrases, noms propres.
Transforme le texte suivant en saynète de théâtre.
Un homme est allongé, la bouche grande ouverte. Il attend sans bouger.
De loin un autre homme le regarde, un peu étonné. N’y tenant plus,
ce curieux s’approche.
• J’ai utilisé les verbes au passé.
Ce deuxième homme demande au premier ce qu’il fait là, couché sous
le figuier la bouche grande ouverte. Le premier homme lui répond qu’il
attend qu’une figue tombe, car il n’a pas le courage de tendre la main
vers l’arbre pour cueillir les fruits. L’autre réfléchit en se grattant le crâne
et lui répond qu’il n’a jamais rencontré quelqu’un d’aussi paresseux.
• J’ai utilisé la bonne orthographe :
– des mots,
– des accords.
Quand j’hésite, j’utilise le dictionnaire ou le livre
de grammaire.
Il décide alors de s’allonger auprès du premier personnage et tous les deux
attendent la bouche grande ouverte. Une figue tombe. Le premier personnage
demande de qui elle est le plus près. L’autre, sans bouger, lui répond que
la figue est tombée plus près du premier personnage.
Consigne d’utilisation
de la grille ci-dessous.
• J’ai donné un titre à mon texte.
le ton de sa voix
(comment il parle)
+
Titre de la séquence.
C’est le contenu
de l’activité
de production écrite.
• J’ai fait des phrases.
38
2
Grille de relecture
de la production écrite :
à utiliser dans sa totalité
ou en partie seulement.
Réécris ton texte en utilisant la fiche ci-dessus.
Consigne de réécriture.
Les ânes de Nasreddin
(p. 12 et 13)
OCÉANIE
EUROPE
Laissez passer les biquettes ! M. Piquemal ...................10-11
Les ânes de Nasreddin M. Piquemal ................................12-13
Michel Piquemal ou la passion d’écrire................14-15
L’autruche J. Prévert .........................................................16 à 19
Histoires naturelles J. Renard .........................................20-21
Les mangeurs de feu R. Delpeuch ...................................22-23
Un troll de pari...............................................................24-25
Gaston Lagaffe Franquin .................................................26-27
Les deux gredins Roald Dahl ...........................................28-29
Poésie T. Corbière • A. Rimbaud • C. Cros • P. Verlaine ........................30-31
PRODUCTION D’ÉCRITS
• Faire parler les personnages dans une BD.......................32
• Faire parler les personnages dans un texte.....................33
• Faire parler les personnages dans une pièce de théâtre.........34
• Pour écrire un conte des origines.............................35 à 38
Un garçon désagréable ............................................66-67
On l’appelait Tempête C. Thiele .................................68 à 73
Deux amis .....................................................................74 à 77
La création de Tahiti H. Gougaud ...................................78-79
PRODUCTION D’ÉCRITS
• Reconnaître le début et la fin d’un récit..........................80
• Éviter les répétitions .............................................................81
• Pour raconter une histoire...................................................82
• Pour écrire une histoire .................................................83-84
ASIE
Le concours de paresse.............................................86-87
Mon pays perdu H. Quang Nhuong ..................................88 à 91
Le champion Y-M. Clément ...............................................92 à 97
Sita et la rivière R. Bond .............................................98 à 101
Un tigre stupide .....................................................102 à 105
Le secret de Chang Lae......................................106 à 108
Poésie Beidao • He Zhizhang • T. Tunkashila .......................................109
PRODUCTION D’ÉCRITS
• L’ordre dans le récit.............................................................110
• Changer de narrateur...........................................................111
• Pour raconter une histoire..................................................112
• Pour écrire une histoire.................................................113-114
AFRIQUE
La Force du berger A. Begag ..........................................40-41
L’âne qui valait de l’or.............................................42 à 45
Elle pilait, pilait, pilait encore.................................46-47
Sacrées cuillers É. Gbeblewo .........................................48 à 50
Poésie T. Scotto • T. Ben Jelloun • N. Hikmet ...........................................51
Penalty à Ouagadougou Y. Pinguilly ..............................52-53
Armand sous les tropiques O. Mau ..........................54 à 57
PRODUCTION D’ÉCRITS
• Faire le portrait d’un personnage.................................58-59
• Pour écrire un conte....................................................60 à 64
AMÉRIQUE
Samani, l’Indien solitaire M. Piquemal ....................116 à 119
Poésie Crowfoot • A. Yupanqui • Tecumseh ..................................120-121
Enfant de la samba M. Cohen ..................................122 à 125
Le Céleri surveillant G. Anfousse ..............................126 à 129
Caraïbes sur Seine G. Pineau ........................................130-131
Rêves amers M. Condé ................................................132 à 135
La naissance des Amazones Y-M. Clément ............136 à 139
PRODUCTION D’ÉCRITS
• Pour jouer avec le langage poétique....................140 à 143
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