VIE DES AîNéS - INFOGRAPHIQUE

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Vie des aînés
Créer un milieu de vie plus propre et plus sain
La situation... quelques faits...
Plus de 5 millions de personnes au Canada
65 ans et plus
Ce qui représente 14.9% de la population
29.8% d’ici 25 ans
SECOND PAYS DÉVELOPPÉ
H
C
Pratiques
durables
INFECTIONS
NOSOCOMIALES
1 PATIENT / 10
Économies
4,1 millions $
PLUS HAUTE PRÉVALENCE
Réduction des
émissions de gaz
à effet de serre
12 700 tonnes
métriques
Les points de contact critiques Ce qu’on y retrouve: SARM • ERV • C. difficile • Acinetobacter • Norovirus • Influenza
Chaises roulantes
Salles de bains
Téléphones
Des mesures proactives...
Poignées de portes
Interrupteurs
Boutons d’ascenseurs
Contrôle et validation de la propreté...
Détecter la présence
de saletés et
de microorganismes
Produits durables Formation et procédures
Désinfection
Audit et inspection
Test à l’ATP
Déterminer les zones
qui nécessitent
des améliorations
Lavage des mains
Contrôle d’odeurs
Dilution contrôlée
Glo Germ
Lampe UV
Les résultats et avantages d’un programme d’entretien durable...
C
Des
établissements
sains
pour
les résidents
et
le personnel
Une
gestion
efficace
de la
propagation
des infections
Conformité
aux normes
et aux
dispositions
réglementaires
Amélioration
de
la sécurité
et de
la productivité
Réduction
des
coûts
de
nettoyage
Réduction
du nombre
d’UGS
(unités
de gestion
des stocks)
De
meilleurs
résultats
de nettoyage
lors des
inspections
et des enquêtes
➟
119101220814
Pour savoir comment Avmor peut vous aider à créer un milieu
de vie plus propre et plus sain, veuillez nous contacter
au 1 800 387-8074 ou au [email protected] www.avmor.com
Vie des aînés
Créer un milieu de vie plus propre et plus sain
De plus amples explications
La situation... quelques faits...
Selon un recensement récent, les personnes âgées
représentent aujourd’hui le groupe d’âge qui croît le plus
rapidement au pays. Avec près de cinq millions de personnes âgées
de 65 ans et plus au Canada, une augmentation de 27% depuis 2001, marquant
une tendance qui continuera d’être à la hausse, Statistiques Canada estime que
le nombre d’aînés doublera au cours des 25 prochaines années, pour se chiffrer à plus de
10 millions en 20361, devenant plus nombreux que les enfants pour la première fois dans l’histoire.
Infections nosocomiales
Environ un patient sur dix admis dans un centre de soins
de santé au Canada contracte une infection nosocomiale et
entre 8 000 et 12 000 d’entre eux en meurent chaque année.
Un rapport de l’Organisation mondiale de la santé comparant
les données des infections au Canada à celles de 12 autres pays
industrialisés a démontré que le Canada est au deuxième rang
de la prévalence d’infection par contamination nosocomiale (11,6 %).
Les coûts directs des infections associées aux soins (IAS) au
Canada sont estimés à 1 milliard de dollars annuellement.2
Pratiques écoresponsables
Les établissements d’hébergement d’aînés qui ont
mis en place des éléments écoresponsables dans leurs
communautés ont épargné plus de 4,1 millions de dollars
collectivement, tout en éliminant la production de 12 700 tonnes
métriques de gaz à effet de serre, selon les résultats du
programme ENERGY STAR de l’EPA (obtenus via le Portfolio
Manager de l’EPA).3 Des exemples de ces mesures comprennent
l’installation de robinets à débit réduit, des produits chimiques
«verts», le recyclage, des appareils «verts» et beaucoup plus.
Points de contact critiques
Les infections les plus répandues sont les infections respiratoires, urinaires, de la peau et des tissus mous et les virus gastro-entérites. Les résidents des
centres d’hébergement sont à risque de colonisation et d’infection par des micro-organismes résistants aux médicaments, incluant:
• Le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) est une bactérie résistante à certains antibiotiques bêta-lactames. Ces antibiotiques
comprennent la méthicilline et d’autres antibiotiques communs tels que l’oxacilline, la pénicilline et l’amoxicilline. Dans la communauté la plupart des
infections au SARM sont des infections de la peau. Des infections au SARM plus sévères ou potentiellement mortelles surviennent le plus souvent
dans des établissements de soins de santé.
• Que sont les entérocoques résistants à la vancomycine (ERV)? Les entérocoques sont des bactéries que l’on trouve habituellement dans l’intestin, le
tractus génital féminin et que l’on retrouve fréquemment dans l’environnement. Ces bactéries peuvent parfois causer des infections. La plupart des
infections à l’ERV surviennent en milieu hospitalier. Parfois, elles peuvent causer des infections urinaires, des infections du sang, ou des infections des
plaies associées à des cathéters ou à des interventions chirurgicales. Les ERV sont souvent transmis de personne à personne par les mains
contaminées du personnel soignant.
• Les infections au Clostridium difficile. Les gens qui reçoivent des soins médicaux peuvent attraper des infections graves appelées infections associées
aux soins (IAS). Alors que la plupart des types d’IAS sont en déclin, celle qui est causée par le C. difficile reste à des niveaux historiquement élevés.
• Acinetobacter est un groupe de bactéries communément trouvées dans le sol et l’eau. Bien qu’il existe de nombreux types ou «espèces»
d’Acinetobacter et tous peuvent provoquer des maladies humaines, Acinetobacter baumannii représente 80% des infections signalées. Les éclosions
d’infections à Acinetobacter se produisent généralement dans les unités de soins intensifs et les établissements de soins abritant des patients très
malades. Les infections à Acinetobacter se produisent rarement en dehors des établissements de santé. Acinetobacter peut vivre sur la peau et peut
survivre dans l’environnement pendant plusieurs jours.
• Les norovirus sont un groupe de virus qui causent la gastroentérite. Les jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes souffrant d’autres maladies
sont les plus à risque d'infection plus sévère ou prolongée. Les infections à norovirus se propagent très rapidement. Les établissements de santé et autres
établissements (par exemple, les garderies, les écoles, etc.) sont particulièrement à risque d’éclosions en raison du nombre élevé de contacts de personne
à personne. Les symptômes reliés au norovirus sont habituellement les nausées, les vomissements, la diarrhée et des crampes d’estomac.4
Des mesures proactives...
Contrôle et validation de la propreté...
• Un programme d’entretien quotidien et régulier est essentiel pour contrôler la
propagation des maladies infectieuses. Les centres de soins prolongés ont des besoins
d’entretien très spécifiques. La meilleure façon de faire face aux défis des centres
d’hébergement est d’avoir un système — un processus concernant chacune de ces
différentes situations d’entretien ainsi que l’hygiène constante, la désinfection et les
problèmes environnementaux spécifiques à ces emplacements. L’une des premières
étapes consiste à éduquer les concierges sur le risque potentiel d’infection et à leur
procurer les techniques de désinfection appropriées pour les aires de soins aux patients.
• La priorité devrait être d’éliminer les sources de maladie. Il est possible d’y arriver en
nettoyant adéquatement les surfaces et en réduisant la probabilité d’infection via une
hygiène constante et le maintien d’un environnement propre. Une formation diligente et
appropriée combinée à l’utilisation des produits de nettoyage appropriés et d’un système
de dilution contrôlée sont impératifs pour aider à contrôler les efforts pour combattre les
risques d’infection.
• La défense la plus efficace contre la transmission des maladies reste le lavage régulier
des mains. Lavez vos mains dès qu’elles sont souillées de substances corporelles, avant
de préparer de la nourriture, avant de manger, après avoir utilisé la toilette, avant
d’effectuer une procédure invasive et lorsque les soins à un résident sont complétés.
• Effectuer des audits sur place pour évaluer votre
programme d’entretien actuel, l’équipement
disponible, les outils de formation, les exigences
de sécurité, la conformité aux normes
environnementales, le nombre de produits en
inventaire et les zones problématiques.
• Les établissements de soins de santé peuvent
utiliser des systèmes de gestion de désinfection à
l’ATP comme méthode pour détecter et mesurer
l’ATP présent sur les surfaces, assurant ainsi
l’efficacité des efforts de désinfection.
• La quantité et le lieu où l’ATP est détectée,
indiquent les régions problématiques ainsi que le
besoin possible d’amélioration. Les tests ATP
peuvent être une solution viable pour sensibiliser
les établissements de santé à vérifier si les régions,
surfaces ou items sont nettoyés adéquatement et
pour promouvoir le nettoyage quotidien.
Les résultats et avantages d’un programme d’entretien durable...
En général, les Canadiens vivent plus longtemps et sont en meilleure santé qu’auparavant. Un programme d’entretien et de désinfection approprié dans les
établissements de vie des aînés contribuera à réduire les maladies infectieuses et peut aider à attirer de nouveaux résidents. Un programme de nettoyage
écoresponsable créera un environnement plus propre et plus sain dans votre établissement et vous procurera des avantages significatifs à long terme.
Sources 1. http://www.oecd.org/els/health-systems/47884543.pdf
2. http://cupe.ca/health-care/health-care-associated-infections
3. http://www.alfa.org/News/3327/Going-Green-in-Senior-Living-Proves-Worthy-for-Residents-and-Bottom-Line
4. http://www.cdc.gov/HAI/organisms/organisms.html#a
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