Vaccins: protection ou illusion?vaccins ou rappels, de quoi bousiller

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VACCINS: PROTECTION OU ILLUSION?
par Marjolaine Jolicoeur, Ahimsa
Ce dossier regroupe différents textes parus au cours des
dernières années dans le bulletin de l'organisme AHIMSA,
sur les dangers des vaccins et de son lien avec
l'expérimentation
animale.
Tous
les
vaccins
sont
potentiellement dangereux, contenant virus, métaux
lourds et substances chimiques. Ils sont tous testés sur
des animaux, en particulier les primates. Soyons informés
sur les effets secondaires des vaccins pour nous, nos
enfants ou nos animaux. Il ne faut pas céder à la peur et
au chantage émotif des autorités gouvernementales,
médicales et des laboratoires pharmaceutiques!
La médecine officielle est obsédée par la vaccination. Cette vaccinomanie est, pour elle,
la solution incontournable pour prévenir les maladies, une protection contre presque tous
les maux.
Cette course effrénée pour trouver un vaccin contre toutes les calamités pesant sur
l'humanité nous apportera peut-être un vaccin contre les accidents d'autos...
Refuser de faire vacciner nos enfants ou nous-mêmes nous taxe le plus souvent
d'irresponsables, de mal renseignés ou d'un manque de civisme (un médecin a déjà dit à
l'auteure de ces lignes que son fils non vacciné était une menace pour les autres
enfants). Les parents des nouveau-nés subissent eux aussi une pression médicale et
sociale. On prophétise à intervalles réguliers une épidémie de rougeole ou de méningite
et les écoles se transforment en "piqueries"
Avant de partir pour l'étranger, les cliniques de vaccination conseillent parfois plus de dix
vaccins ou rappels, de quoi bousiller complètement le système immunitaire avant même
de partir en vacances.
Parler de vaccination avec un médecin c'est comme parler de végétarisme avec un
boucher. Le mythe de la protection par le vaccin est bien ancré dans notre société et ce
depuis fort longtemps. Mais depuis fort longtemps aussi, certains humains ont vu
l'illusion de cette pratique absurde.
Au début des années 70, le Dr. Paul-Emile Chevrefils, fut radié des cadres de sa
profession par le Collège des médecins suite è son opposition aux vaccins. Il n'hésitait
pas à déclarer, en 1965: "Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et
propagent la mort. La preuve scientifique qu'une provocation artificielle d'une maladie
empêche l'apparition d'une maladie naturelle n'a jamais été établie. Comme médecin, je
m'élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur".
Depuis 1885, année où on appliqua à l'humain le premier vaccin vivant atténué contre la
rage, nombre de médecins et de chercheurs s'opposèrent à cette pratique. A la fin du
XIXe siècle, la "Ligue universelle des antivaccineurs" dénonça avec force les théories de
Pasteur, pour qui les microbes (germes, virus, etc) sont entièrement responsable de la
presque majorité des affections de l'humain et des animaux.
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Le monopole de la médecine officielle les fit taire et encore de nos jours, le silence est
imposé aux infidèles, des thérapeutes de médecines douces, mais aussi de nombreux
médecins, pédiatres, biologistes et chercheurs scientifiques.
Depuis les cent dernières années, cette médecine, avec l'aide des multinationales
pharmaceutiques, ignore les thérapies naturelles, écologiques ou holistiques pour faire la
"guerre" aux maladies par le biais des vaccins. Les analogies pour se "battre" contre les
microbes et les virus sont nombreuses dans le vocabulaire médical: l'agent, l'ennemi,
l'identification de l'agent, sa neutralisation ou sa destruction, offensive, contre-offensive.
Notre corps est un immense champ de bataille.
Avec sa vision mécaniste de l'humain, la médecine guerrière a provoqué une
augmentation alarmante de maladies auto-immunes, telles que le Sida, les otites,
l'asthme, l'herpès, les tumeurs, etc. Les infections bactériennes résistent de plus en plus
aux antibiotiques et les scientifiques, depuis les vingt dernières années, ont été confronté
à un nombre grandissant de maladies inconnues. De nouvelles formes d'hépatite ainsi
que des virus entraînant la leucémie et d'autres virus hémorragiques du type Ebola ont
font leur apparition.
René Dubos dans son livre Mirage of Health remarque à juste titre: " Le monde est
obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d'infortunées victimes chaque année. Mais
ce qu'il y a d'extraordinaire c'est que des millions et des millions de jeunes enfants sont
infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladies. Les virus et les
bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s'agit d'autre chose."
On peut refuser les vaccins pour d'évidentes raisons de santé mais aussi pour des raisons
philosophiques, religieuses ou pour ses liens étroits avec la cruauté de l'expérimentation
animale.
Nous avons tous la capacité et la responsabilité de nous poser des questions sur
les vaccins. Nous n'avons pas à remettre à d'autres notre pouvoir. Il nous faut
prendre position. La santé de notre corps et celle de nos enfants nous
appartient, totalement.
IMMUNITÉ ARTIFICIELLE: RÉALITÉ OU ILLUSION?
La vaccination (ou l'immunisation, selon les termes de la médecine officielle) est basée
sur le concept que l'inoculation de bactéries, fragments de capsules bactériennes, toxines
bactériennes, virus ou fragments de virus, permet de procurer au corps humain les
moyens pour se défendre contre une agression biologique avant qu'elle ne survienne. Il
s'agit de stimuler le système immunitaire et de provoquer une réponse par un antigène
(le vaccin) qui s'exprime par la production d'anticorps (une protéine) spécifiques.
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Cette vaccination=immunisation, donc protection. Cette formule ignore la variation des
réactions biologiques, variations dans les réponses immunitaires. Personne ne se donne
la peine de contrôler les effets immunitaires après la vaccination, pas d'examens après
les vaccins pour trouver les titrages d'anticorps. Pour pallier ces variations immunitaires,
on fera des rappels, on revaccinera une deuxième fois comme ce fut le cas pour la
rougeole au Québec, au printemps 1996.
Avant la vaccination, on ne s'informe pas vraiment pour savoir si elle sera bien supportée
par le vacciné. Mais même si celui-ci est apparemment en bonne santé, des problèmes
peuvent survenir:" Un enfant peut être en bonne santé et cependant, un dérèglement
récent ou ancien, discret ou évident, souvent même non apparent, de ses systèmes
neurovégétatif et hormonal est susceptible de déclencher des accidents de gravité
variable" (Dr. Kalmar)
Dès que quelques cas de rougeole ou de méningite pourraient faire croire à une menace
d'épidémie, on vaccine massivement sans contrôle préalable sur la santé du vacciné.
Chaque automne, au Canada, 4 millions d'individus se font vacciner contre la grippe, en
très grande majorité des personnes âgées, parfois de peu de résistance.
Après la vaccination, si on détectait la présence d'anticorps, cela indiquerait-il vraiment
une protection contre la maladie? Dans un article de l'Australian Journal of Medical
Technology, le virologue B. Allen rapporte le cas d'un groupe de soldats vaccinés contre
la rubéole qui, malgré qu'ils démontraient une production d'anticorps, contractèrent tout
de même la maladie, dans une proportion de 80%.
Notre système immunitaire a-t-il vraiment besoin d'agents extérieurs, d'une
immunisation artificielle pour bien fonctionner? Cette immunisation artificielle
renforce-t-elle notre système immunitaire? Des substances associées à la
maladie et à la mort peuvent-elles vraiment apporter la santé?
Les virus ou protéines étrangères des vaccins ne sont pas filtrés par le système digestif
ou le foie, mais directement injectés dans le sang et le système lymphatique, leur
donnant un accès direct immédiat aux organes. Les vaccins court-circuitent donc
totalement nos systèmes naturels de défense.
Pour la médecine, c'est parce que le système immunitaire du bébé est immature qu'il doit
être vacciné. Mais ce bébé n'est-il pas plus vulnérable aux effets toxiques et allergènes
des vaccins justement parce que son système immunitaire est en formation? H. Buttram
et J. Hoffman, à la fois médecin et chercheur en biologie moléculaire affirme: " Les
vaccination en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le
système immunitaire de l'enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu'il ne
peut plus protéger l'enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d'autres maladies suite à une
dysfonction immunitaire"
Même son de cloche chez le professeur Pariente: "Stimuler sans cesse l'immunité n'est
pas sans danger".
Introduire dans un organisme des protéines étrangères à son code génétique viole
l'intégrité biologique et amène l'épuisement du système immunitaire et non l'immunité. Il
s'ensuit un déséquilibre écologique. Nous avons tous en nous des millions de germes
microbiens plus ou moins actifs et de virus à l'état latent qui sont en équilibre entre eux
et le système immunitaire. Modifier cet équilibre peut avoir des conséquences graves:
des microbes jusqu'à là non pathogènes peuvent alors devenir redoutables.
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De plus, les virus des vaccins ont des propriétés tout à fait particulières de résistance et
des pouvoirs de mutation. Deux virus peuvent se combiner et donner naissance à un
hybride bien plus dangereux. Ces virus peuvent rester à l'état latent dans l'organisme
pendant des années et ne devenir pathogènes qu'en présence d'un autre virus, d'un
agent physique ou chimique ou tout simplement d'une déficience des défenses
immunitaires.
En 1969, la revue suisse "Médecine et Hygiène" constatait que depuis la généralisation
de la vaccination contre la poliomyélite, certains virus qui jusque là ne provoquaient que
des "infections asymptomatiques" devenaient de plus en plus souvent pathogènes. En
1974,le professeur Bastin déclarait que le vaccin contre la rougeole exalte le pouvoir
pathogène des adénovirus.
POUR METTRE EN MARCHE CES MÉTHODES DE PROTECTION CONTRE LA
NATURE, ON FAIT APPEL À QUOI AU JUSTE?
Les vaccins, tel que vu précédemment, sont composés de virus ou de bactéries. Par
exemple, celui pour la coqueluche provenait à l'origine, du mucus de la gorge d'enfants
atteints et celui de la typhoïde, de matière fécale décomposée de patients malades. On
retrouve aussi dans les vaccins différents produits chimiques, des antibiotiques, des
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stabilisateurs et des agents de conservation. D'autres additifs: de la gélatine hydrolysée
è titre d'agent stabilisant, du phosphate d'aluminium, du phénol, du sorbitol, du formalin
et du thimerosal. Tous des ingrédients toxiques, cancérigènes et allergènes.
Le thimerosal, un dérivé mercuriel est utilisé comme préservateur. (En 2001, on retrouve
du mercure dans les vaccins contre la méningite, l'hépatite B et la grippe ). S'élimine
difficilement de l'organisme. Dans un étude publiée en 1979, dans le British Medical
Journal, 26 patients reçurent un sérum d'immunoglobulines contenant du thimerosal. 19
d'entre eux (soit 73%) virent leur taux de mercure augmenter, fait prouvé par des
analyses d'urines. (Le mercure, un métal toxique, s'accumule dans le cerveau et peut
causer des dommages importants au système nerveux. Il traverse le placenta pour
atteindre le cerveau du foetus et contamine les nourrissons par le lait maternel).
L'aluminium se retrouve dans la majorité des vaccins.
Le formalin (solution contenant 37% de formaldéhyde) inactive le virus dans les vaccins
antipoliomyélitique, de la fièvre jaune et de la grippe. Il se retrouve aussi dans ceux de la
diphtérie, du tétanos et du DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos)
La toxicité du formaldéhyde, du thimerosal et de l'aluminium est reconnue et dûment
prouvée par nombre d'études scientifiques.
Les fabricants de vaccins argumenteront que ces produits chimiques se retrouvent en
petites quantités dans les vaccins et que leur innocuité fut testée sur des animaux de
laboratoire, ce qui n'est pas pour nous rassurer. Leurs effets toxiques, cumulatifs, leurs
interactions entre eux et les virus ou microbes forment un imprévisible cocktail pour un
bébé de petite taille ou même pour un adulte.
En outre, on peut se demander si ces produits chimiques réussissent vraiment à atténuer
le pouvoir pathogène des virus et des bactéries ou à les tuer.
FINIES LES ÉPIDÉMIES GRÂCE AUX VACCINS?
Pour justifier les vaccinations massives, certains membres de la médecine scientifique
tentent de démontrer que la baisse de l'incidence des maladies est due à l'introduction
des vaccins qui firent disparaître, entre autre, la variole. La peste, qui faisait des millions
de morts autrefois n'existe presque plus et ce, sans qu'un vaccin n'y soit pour quelque
chose.
La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne
vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse.
Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant
les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse.
Nombre de graphiques démontrent à l'évidence que le nombre de décès causés par les
maladies infectieuses avait déjà commencé à diminuer avant que les vaccinations ne
deviennent disponibles.
Quand elles ont été implantées, le niveau était déjà rendu très bas grâce à une
alimentation plus saine, des logements plus salubres, une meilleure hygiène, un statut
social plus valorisant, etc.
Certains médecins préfèrent ignorer ces solutions du gros bon sens pour mettre de
l'avant les vaccinations de masse. Ils affirmeront, par exemple, qu'au Mali, là où les
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vaccins sont pratiquement inexistants, un nouveau-né à seulement une chance sur cinq
de se rendre à cinq ans. En Afrique, la rougeole tue deux enfants sur cinq au même âge.
Mais ces enfants ne meurent-ils pas plutôt a cause des conditions de vie difficiles que les
vaccins ne peuvent améliorer ?
Dans les années 80, l'objectif conjoint de l'Unicef et de l'Organisation Mondiale de la
Santé (OMS) était qu'en 1990, tous les enfants du monde soient vaccinés contre ces 6
maladies: rougeole, poliomyélite, diphtérie, tétanos, coqueluche et tuberculose. Pourtant,
des enfants affamés ou mal nourris supportent mal les vaccinations . L'objectif de ces
organismes devrait plutôt être de l'eau potable et une alimentation équilibrée pour tous
les enfants. Voilà un objectif plus humanitaire pour sauver ces 15 millions d'enfants de
moins de cinq ans qui meurent chaque année sur notre planète. Notons que 4 millions
d'entre eux meurent à cause de la diarrhée. Il est vrai que ces mesures ne rapporteraient
pas grand profit aux compagnies pharmaceutiques.
D'AUTRES MALADIES EN VUE?
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La vaccination ne protège pas et, fait encore plus terrible, elle donne la maladie qu'elle
est supposée enrayer.
En Angleterre, en mai 1871, les autorités médicales affirmaient que 87.5% de toute la
population avait été vaccinée. L'année suivante, le pays expérimenta la pire épidémie de
variole de toute son histoire, ce qui tua 44,840 personnes. En Ecosse, entre 1855-1875,
plus de 9,000 enfants de moins de cinq ans moururent de la variole en dépit du fait que
le pays était à cette époque l'un des plus vaccinés du monde. En Allemagne, dans les
années 1870-71, 100,000 personnes eurent la variole, dont 120, 000 succombèrent à la
maladie. 96% d'entre elles avaient été vaccinées.
En fait, la variole sembla cinq fois plus fatale parmi ceux qui étaient vaccinés que parmi
ceux qui ne l'étaient pas. Dans on livre The Vaccination Superstition, le Dr. J.W. Hodge
note: "Après une soigneuse considération de l'histoire de la vaccination ramassée à
même une étude impartiale et compréhensible de statistiques vivantes et de données
pertinentes provenant de source sûre, et à la suite d'une expérience à partir du fait
d'avoir vacciné 3 000 sujets, je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être
montrée comme ayant quelque relation loigque avec la diminution des cas de variole. La
plupart des personnes sont mortes de la variole qu'ils contractèrent après avoir été
vaccinées."
Le professeur George Dic, en 1973, abonde dans le même sens en disant que lors des
décennies précédentes en Grande-Bretagne, 75% de ceux ayant contracté la variole
avait été vaccinés.
Des cas de poliomyélite se déclarèrent au Gabon, au Brésil et à Taiwan dans des
populations à grande majorité vaccinées. En 1987, à l'Université d'Alberta, une épidémie
d'oreillons ravagea le campus malgré un taux de vaccination de 98%.
Entre janvier et mai 1989, au Québec, sur 1 600 cas de rougeole, plus de 58% des
enfants avaient été vaccinés.
D.M. Johnson dans le Journal of the American Medical Association (1969) rapporte des
cas de mort par tétanos chez des individus dûment vaccinés. En 1941, la majorité des
enfants de France étaient vaccinés contre la diphtérie, ce qui n'empêcha pas les cas de
diphtérie de tripler en 1943.
Les docteur Dettman et Kalokerinos trouvèrent dans les annales du Ministère de la Santé
de l'Ecosse le fait que, durant la période allant de 1941 à 1944, 23 000 cas de diphtérie
furent déclarés sur des enfants déjà vaccinés, entraînant la mort de 180 d'entre eux.
Dans un essai majeur réalisé en Inde auprès de 260 000 personnes, le BCG s'avéra plus
qu'inefficace: il est survenu plus de cas de tuberculose chez les vaccinés que dans le
groupe placebo.
DES EFFETS SECONDAIRES ?
A court et à long terme, tous les vaccins présentent des effets secondaires, effets
rapportés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et décrits dans nombre de revues
médicales. Convulsions, fièevre, urticaire, gonflement des ganglions, oedèmes, troubles
gastro-intertinaux, apparaissent suite à l'injection du vaccin.
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Les médecins conscients de ces effets
secondaires ne les réfuteront pas mais
concluront que "de deux maux, nous devons
choisir le moindre mal". Les vaccins, vraiment
le moindre mal?
Chez
plusieurs
enfants
vaccinés
(particulièrement avec le DCT- diphtérie,
coqueluche, tétanos) , on dénote des atteintes
au système nerveux central, des cas de
paralysie et d'inflammation du cerveau.
Selon une étude de Allan Hinman et Jeffrey
Copelan publiée en 1984 dans le Journal of the
American Medical Association, sur les 3,3 millions d'enfants vaccinés annuellement aux
Etats-Unis avec le DCT, 16,038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants
- ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l'indication d'une irritation du
système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions; 8 484 furent en état de choc
dans les 48 heures suivant l'injection du DCT.
(Notons que des séquelles neurologiques peuvent survenir
après la vaccination même en l'absence de réactions extrêmes)
A long terme, les vaccins, en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent
la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes.
G. Dettman dans l'Australian Nurses Journal (1977) rapporte que "certaines souches de
vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l'arthrite
rhumatoîde, la leucémie, le diabètew et la sclérose en plaques"
Un article dans le British Medical Journal (1967) par Miller abonde dans le même
sens:"Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les
vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose".
R. Maskowitz, médecin et gradué de Harvard, est convaincu que les vaccins peuvent, à
long terme, mener à une déficience du sytème immunitaire et causer: "des maladies
considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus
profondes, plus d'organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber
spontanément".
LIÉS À L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE?
Les vaccins découlent directement de l'expérimentation animale , puisqu'en plus de
contenir des sous-produits de l'abattoir, ils sont par la suite systématiquement tester sur
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des animaux. Des milliers de singes , par exemple, souffrent pour l'élaboration des
vaccins contre le Sida et l'hépatite.
Les vaccins de la rougeole, de la fièvre jaune et des oreillons se cultivent sur des
embryons de poulets. Celui contre l'encéphalite japonaise dans des cerveaux de souris ;
ceux contre la polio, la rage, la varicelle et l'hépatite A baignent dans le serum bovin.
Un virus a besoin de matière vivante pour se multiplier. L'embryon de poulet semble pour
les multinationales de vaccins un foyer de culture idéal. Après onze jours d'incubation
sous une température constante, un technicien injecte un virus dans l'embryon. On laisse
le virus se multiplier à l'intérieur de l'oeuf embryonnaire pendant deux ou trois jours. Le
liquide dans lequel baigne l'embryon ou l'embryon lui-même est traité vec différents
produits chimiques. Cette macé.ration permet selon les fabricants de "digérer l'embryon".
La dernière étape consiste à filtrer le liquide, opértion permettant de ne conserver que le
virus.
Les embryons de poulet se forment entièrement après 35 heures d'incubation et on peut
voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Ces futurs poussins proviennent de
poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. De l'élevage intensif
dans toute son horreur. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe,
la compagnie pharmaceutique Bio-Vac consomme 160 000 oeufs par semaines.
Les vaccins cultivés sur des cellules animales peuvent contenir des contaminants non
décelés par les fabricants. Aucun laboratoire ne peut garantir l'asepsie des cellules
animales servant à la culture vaccinale. Le virus de la leucose aviaire contamina la
plupart des vaccins contre la fièvre jaune et la rougeole jusqu'à 1962.
Dans la revue américaine Science (1972) le dr. Leonar Hayflick, professeur de
microbiologie à l'Université de Stanford en Californie, déclarait: " Un nombre important
de reins de singes (25 à 80&) traités pour la fabrication des vaccins, doivent être écartés
à cause d'une contamination étendue par un ou plusieurs de 20 virus connus. Il y a au
moins plusieurs centaines de milliers de personnes aux Etats-Unis qui ont été inoculées
avec les virus vivants SV-40 qu'on a trouvés dans des vaccins antipolio produits sur des
cellules de reins de singes. Ce virus SV-40 provoque des tumeurs chez les hamsters et
convertit in vitro les cellules humaines normales en cellules cancéreuses".
Le 11 mai 1987 le London Times rapportait des informations
concernant un représentant de l'OMS. Ce dernier affirmait avoir
des preuves démontrant que l'origine et la prolifération du virus
du Sida provenait du vaccin antivariolique administré pendant
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les 13 années dans les pays du Tiers-Monde par l'OSM. Pour Jeremy Rifking du groupe
environnemental The Fondation of Economics Trands: " Il est possible que certaines
contaminations de virus animaux dans les vaccins, comme celui de la variole, ont joué un
rôle dans l'émergence du sida et d'autres maladies"
Cette fondation croit que le vaccin de la variole et d'autres vaccins contenant du sérum
de boeuf/vache peuvent être l'hôte du " virus bovin de déficience immunitaire" et se
transmettre à l'humain. Ce virus est semblable au VIH humain. Un virus voisin, le "virus
bovin de la leucémie" (VBL) se retrouve aussi chez les bovins et ressemble à un virus
humain, le HTLV-I qui cause une forme rare de leucémie. (Le département américain de
l'Agriculture a décelé le VBL dans plus de 60% du bétail américain)
L'antagonisme biologique entre les espèces est si puissant que les virus d'une espèce,
inoffensif pour elle (par exemple, le SV-40 est inoffensif pour les singes) peuvent devenir
dangereux lorsque transférés è une espèce différente, comme l'espèce humaine, au point
de devenir cancérigènes. Le Dr. Leonard Hayflick, déjà cité, fait la remarque suivante:
"Les virus animaux cancérigènes les plus importants - ceux qui peuvent être isolés chez
les primates, le SV-40 et les adénovirus cancérigènes - ne sont cancérigènes que quand
ils passent à une autre espèce. Aucun virus cancérigène de primate ne produit des
tumeurs dans l'espèce animale dont le virus est originaire, mais de tels virus peuvent
produire des tumeurs dans des espèces animales hétérogènes".
Bien sûr, il s'agit ici de virus connus mais il en existe une multitude qui non décelés
peuvent contaminer les vaccins.
En 1966, sept chercheurs allemands du laboratoire Behring trouvèrent la mort en
travaillant sur des singes utilisés pour la fabrication des vaccins contre la poliomyélite et
le typhus. Trente autres chercheurs été malades sans qu'on puisse identifier le virus
responsable.
RAISONS PHILOSOPHIQUES? RELIGIEUSES? ÉCOLOGIQUES?
Comme nous venons de le voir, les vaccins ne semblent pas un signe évident de
protection contre les maladies. Par delà le côté strictement de santé, certains évoquent
pour les refuser des raisons philosophiques ou religieuses.
Dans les années 80, des groupes opposés è l'avortement voulaient mettre fin à l'usage
d'un vaccin contre la rougeole provenant des tissus prélevés sur un foetus obtenu lors
d'un avortement. Le vaccin, nommé WI-38, avait été fabriqué en 1962, à partir de tissus
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de poumon prélevés sur un foetus suédois. Les tissus originaux furent congelés pour
servir à produire le vaccin partout dans le monde par culture cellulaire, Des porte-paroles
de ces divers groupes trouvèrent l'usage de ce vaccin offensant et répugnant, du point de
vue moral. En 1984, ils affirmaient qu'au Canada, c'était le seul vaccin contre la rougeole
disponible depuis 1979.
En Inde, on vaccine massivement des disciples de l'hindouisme ou du jaïnisme avec des
vaccins provenant de reins de singes ou contenant du sérum bovin. Cette population
ayant une révérence religieuse pour ces animaux, ignorent probablement le fait et se
soumettent à la technologie de l'Occident, une autre forme de colonialisme.
Les vaccins perturbent l'écologie de notre corps, de ceux qui nous entourent et de la
planète. Les laboratoires rejettent nombre de produits chimiques servant à l'élaboration
des vaccins. En outre, le virus vivant de la poliomyélite, par exemple, en se répliquant
dans l'intestin du sujet vacciné, est ensuite excrété en grande quantité dans le milieu
extérieur. Les virus deviennent source de pollution.
Tout vacciné est potentiellement capable de contaminer son entourage. La menace ne
vient pas des non vaccinés mais des vaccinés!!
Il peut aussi y avoir le danger qu'un virus s'échappe du lors des recherches. En 1978,
une femme travaillant dans un laboratoire de l'Université de Birmingham est morte après
la "fuite" d'un virus porteur de la variole.
Le respect de maladies le plus souvent bénignes doit être envisagé. Les maladies et les
dites épidémies apparaissent par cycles et disparaissent d'elles-mêmes.
Nous devons fortifier notre système immunitaire - par une alimentation végétarienne et
biologique, une bonne hygiène de vie, etc. - et non l'agresser avec des produits
chimiques, des virus d'animaux malades, des substances toxiques et des débris
d'abattoir.
En matière de microbiologie, il arrive que ce qu'on croit mort soit vivant. Même
constitués de microbes ou de virus atténués ou tués, ces éléments que l'on tient pour
inactifs peuvent se réactiver.
Les vitamines A et C se révèlent très utiles contre les maladies infectieuses. Plusieurs
chercheurs démontrèrent que la vitamine C par exemple, inactive le virus le l'herpès, de
la poliomyélite et de la rage. En 1937, le Canadian Medical Association Journal, décrivait
cette expérience: on administra 1 gramme de vitamine C pendant plusieurs jours à 29
patients souffrant de coqueluche. Les chercheurs trouvèrent que le "traitement abaissa
l'intensité, le nombre et la durée des symptômes".
On retrouve dans la littérature médicale d'autres études semblables sur la vitamine C et
ses effets thérapeutiques contre la lèpre, la fièvre thypoïde et la dysentrie.
DES VACCINS INUTILES ET DANGEREUX.
En Suède, la diphtérie a disparu sans aucune vaccination de masse. Dans les années 50,
aux Etats-Unis, après une année de vaccination massive contre la poliomyélite , les cas
de cette maladie augmentèrent de 300 % dans les états qui vaccinaient. Les cas de
poliomyélite en Angleterre entre 1923 et 1953 diminuèrent de 53% avant même
l'introduction des vaccinations de masse.
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En 1992, en Grande-Bretagne, deux vaccins contre la rougeole (Pluserix, Immravax)
furent bannis après avoir causé chez de nombreux enfants vaccinés la méningite, la
surdité, la paralysie et des troubles de la vision.
En 1995, selon une étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet, la
vaccination contre la rougeole pourait jouer un rôle dans la survenue de maladies
inflammatoires des intestins comme la maladie de Crohn. Le risque de maladie de Crohn
est 3 fois supérieur parmi les vaccinés et 2 fois supérieur pour la rectocolite
hémorragique, selon un groupe témoin. Le New England Journal of Medecine (1987) dans
un article de Tracy Gustafson, écrit qu'entre 1983 et 1990, des épidémies de rougeole se
déclarèrent aux Etats-Unis chez des enfants et de jeunes adultes vaccinés et ayant
démontré des anticorps contre la maladie.
"Pendant 23 ans, j'ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et
plus robustes que les enfants vaccinés. Allergies, asthme et perturbations
comportementales étaient clairement plus fréquentes chez mes jeunes patients
vaccinés. D'autre part, les premiers n'ont pas souffert plus souvent ou plus
sévèrement de maladies infectieuses que les autres" Philip Incao - médecin
Philip Incao, médecinDans une épidémie de rougeole à Corpus Christie, Texas (EtatsUnis) en 1985, 99% des enfants atteints avaient été vaccinés; 12% d'entre eux avaient
même reçu un 2e rappel.
Le Dr. Aubrey Tingle, pédiatre et immunologiste à l'Hôpital de Vancouver a découvert que
30% des adultes ayant été exposés au vaccin contre la rubéole, souffrirent d'arthrite
allant de jointures endolories jusqu'à un handicap sévère, deux ou quatre semaines
suivant la vaccination . En 197l, à Casper, Wyoming (Etats-Unis) une épidémie de
rubéole éclata un an après que 83% des enfants en âge scolaire de la ville aient été
vaccinés contre la maladie.
A Birmingham , en Grande-Bretagne, 600 personnes âgées et vaccinées contre la grippe
démontrèrent le double de problèmes respiratoires qu'un groupe similaire non vacciné.
Pour diagnostiquer la tuberculose, on a recours au "test cutané à la tuberculine" (cutiréaction) . Selon le Dr. J. Pilette, ce test peut déclencher des réactions allergiques, de
l'asthme, des atteintes oculaires, de la cécité et même le décès, ainsi que des
tuberculoses nouvelles ou réactives (surtout en période de croissance ou en cas de tests
répétés) .
12
Un nombre impressionnant d'articles publiés dans des revues scientifiques font état de
sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre
l'hépatite B: nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations
cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré, névrite
optique, conjonctivite, troubles de la vison, sclérose en plaques, diabète. Aussi des cas
d'arthrite, de rhumatisme, de problèmes de foie, d'asthme et même des décès.
Le vaccin contre le méningocoque groupe A,CY et W-113 (méningite) combinés comporte
des effets secondaires tels que céphalées, malaises, frissons et fièvre. Celui de
l'Haemophilus influenzae (type B/Hib) peut induire des crises convulsives, douleurs au
point d'injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée
et infection des voies respiratoires supérieures. Une étude réalisée au Minnesota (EtatsUnis) démontre le que le H.I.B augmente les risques de développer une méningite.
LES VACCINS UNE BOMBE DE L'ERE MÉDICALE
Robert mendelsohn, médecin
L'auteur, maintenant décédé, a pratiqué la pédiatrie pendant plus de 30 ans. Il a écrit de
nombreux livres, a été directeur national du projet Head Start's Medical Consultation
Service, président du comité d'accréditation médicale pour l'État de l'Illinois, professeur
associé de médecine préventive et de santé communautaire à l'École de Médecine de
l'Université de l'Illinois, États-Unis.
Bien que j'aie moi-même utilisé les vaccins dans les premières années de ma pratique, je
suis devenu un opposant farouche des vaccinations de masse à cause des nombreux
dangers qu'elles représentent. Le sujet est si vaste et complexe qu'il mériterait tout un
livre. Je ne peux donc ici que donner un résumé de mes réticences au zèle fanatique avec
lequel les pédiatres injectent aveuglément des protéines étrangères dans le corps de
votre enfant, sans savoir quelles conséquences néfastes peuvent en résulter.
VOICI L'ESSENTIEL DES MES ARGUMENTS:
Il n'existe aucune évidence scientifique convaincante prouvant que ce sont les
vaccinations qui ont éliminé les maladies d'enfance. Il est vrai que certaines maladies
d'enfance qui étaient autrefois fréquentes ont diminué ou disparu depuis que les
vaccinations ont été introduites ; personne ne sait réellement pourquoi, bien que l'on
pense que c'est l'amélioration des conditions de vie qui en est la cause.
Car si les vaccinations étaient responsables de la diminution ou de la disparition
de ces maladies aux États-Unis, pourquoi donc ont-elles disparu d'Europe où les
vaccinations de masse n'ont pas été appliquées ?
On pense habituellement que c'est grâce au vaccin SALK que l'épidémie de poliomyélite
qui frappa les enfants américains dans les années 1940 et 1950 a pris fin. Si c'est vrai,
pourquoi est-ce que les épidémies ont aussi cessé en Europe où le vaccin POLIO n'était
pas utilisé de manière aussi généralisée ? Et pour prendre un sujet d'intérêt plus récent,
pourquoi est-ce que le vaccin SABIN est encore administré à des enfants, alors que le Dr
Salk affirme que c'est ce vaccin qui cause actuellement la plupart des cas de poliomyélite
?
13
Continuer à administrer ce vaccin est un comportement médical irrationnel qui ne fait
que confirmer mon opinion que les médecins répètent constamment leurs fautes. Nous
assistons là à une répétition du scénario où l'on voyait la difficulté du corps médical à
abandonner la vaccination contre la variole. Ce vaccin resta la seule cause de mort due à
la variole pendant trente ans après que la maladie ait disparu. Pensez-y, pendant trente
ans, les enfants mouraient après des vaccinations antivarioliques, alors que la maladie
elle-même ne comportait plus un risque réel !
Tout vaccin comporte des risques et des contre-indications ; cependant, les médecins les
administrent de routine et par habitude, sans avertir les parents des dangers possibles et
sans rechercher si tel vaccin serait contre-indiqué pour votre enfant. Aucun enfant ne
devrait être vacciné sans qu'on réfléchisse à cela, et pourtant des queues d'enfants sont
alignées chaque jour dans les cliniques pour recevoir un vaccin, sans qu'aucune question
ne puisse être posée par leurs parents.
On pense de plus en plus que ces vaccins contre les maladies d'enfance relativement
bénignes peuvent être responsables de l'augmentation intense des maladies autoimmunes dans notre population. Ce sont des maladies graves comme le cancer, la
leucémie, les rhumatismes, la sclérose en plaques, le lupus érythémateux disséminé et le
syndrome de Guillain-Barré. Dans les maladies auto-immunes, les mécanismes de
défense de l'organisme ne savent plus faire la distinction entre les protéines étrangères
et les tissus du corps lui-même, en conséquence l'organisme commence à se détruire luimême. Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ?
"C'est une grande insulte faite au système immunitaire d'un enfant que
d'introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont
sont composés les vaccins d'aujourd'hui" Dr. Moskowitz
VACCINATION, AGRESSION ET DÉSINFORMATION
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En Angleterre, Jerry Friedman poursuit son employeur suite à son
congédiement, parce qu'il ne veut pas se faire vacciner contre la rougeole. Le
végétarien évoque la discrimination religieuse pour refuser le vaccin car il est
préparé sur des embryons de poulets.
En effet, le vaccin contre la rougeole est cultivé sur des embryons de poulets, tout
comme celui de l'influenza (grippe) , de la fièvre jaune et les oreillons, Ces embryons se
forment entièrement après 35 heures d'incubation. On peut voir leur coeur battre dès le
cinquième jour. Les oiseaux proviennent d'immenses poulaillers contenant plus de l0 000
poules et près de 700 coqs. Pendant la période de production de ses vaccins contre la
grippe, une compagnie pharmaceutique consomme l60 000 oeufs par semaine.
Celui contre l'encéphalite japonaise est pour sa part cultivé dans des cerveaux de souris
et des sous-produits de l'abattoir se retrouvent dans plusieurs étapes de fabrication des
vaccins. En plus d'être cultivés sur des cellules animales ou humaines de foetus avortés,
les vaccins baignent dans du formaldehyde, du phenoxyethanol, du mercure, de
l'aluminium, de la gélatine , du serum bovin ou foetal de veau ,de l'albumine provenant
de sang humain, de l'aspartame et des antibiotiques. Rien d'étonnant à ce que ces
cocktails vaccinaux aient de multiples effets secondaires :douleur au point d'injection,
fièvre, courbatures, douleurs articulaires, crises d'asthme ou d'eczéma,allergies, choc
anaphylactique, risque de mort subite du nourrison,autisme,méningite, convulsions
,encéphalite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose en plaque, diabète, lupus, polyarthrite
rhumatoïde et cancers divers. L'utilisation de vaccins multiples potentialise les risques
d'effets secondaires de chaque vaccin et leurs interactions est une mot interdit à
retardement.
Ces sous-produits animaux dans les vaccins comportent un grand risque de
contamination virale . Aucun laboratoire ne peut garantir l'asepsie des cellules animales
servant à la culture vaccinale. Celui contre la grippe, par exemple, en plus d'être préparé
dans un embryon animal peut contenir un virus de la leucémie propre au poulet ( leucose
aviaire) et être transmis à l'humain vacciné . Il possède de plus des éléments provenant
du cochon car une enzyme tirée de l'estomac de l'animal sépare les cellules en
laboratoire. Une découverte par des chercheurs suisses et rapportée dans le Washington
Post (9 décembre 1995) fait état d'une enzyme, la "transcriptase renversée ", qui a
contaminé des vaccins de la rougeole et des oreillons . Cette enzyme vient des embryons
de poulet entrant dans la fabrication des vaccins. Elle a aussi contaminé des vaccins
contre la grippe et la fièvre jaune. Cette enzyme est associée avec la présence de
rétrovirus, une classe de virus qui peut modifier de façon permanente les gènes.
MERCURE
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Le thimérosol, un sel composé d'éthylmercure et de thiosalicylate est un agent de
conservation , un additif pour prévenir la contamination bactérienne et fongique (contient
49.6% de mercure ). Il fut introduit dans les vaccins dans les années 30 mais , suite à de
nombreuses études sur ses effets secondaires graves, on tend à fabriquer des vaccins
n'en contenant plus . Cependant, au Canada, le thimérosol se retrouve encore dans
nombre de vaccins dont ceux contre l'hépatite B, la méningite et l'influenza. Ce dérivé
mercuriel dans les vaccins est excessivement allergène, cancérigène et toxique car
injecté directement dans le sang .Il s'accumule dans le cerveau et affaiblit le système
respiratoire, digestif, nerveux et immunitaire. Selon Hugh Fudenberg md , un
immunogénéticien de renommée mondiale, un individu ayant recu 5 vaccins consécutifs
contre la grippe, a l0 fois plus de chance d'avoir la maladie d'Alzheimer's qu'un individu
non vacciné. Ce phénomène s'explique par le fait,entre autre, que le vaccin contient du
mercure ainsi que de l'aluminium et que son accumulation atteint les fonctions cognitives
du cerveau. Les chercheurs Markesbery's et Ehmanns ont démontré, par des autopsies
sur des patients souffrant de la maladie d'Alzeimer's, que le cerveau de ces derniers
contenait un taux plus élevé de mercure que ceux ne souffrant pas de la maladie. Cette
accumulation de mercure dans les vaccins s'ajoute à celle contenue ailleurs, notamment
dans les amalgames dentaires , l'alimentation et certains produits biologiques comme les
gouttes ophtalmiques, nasales, les solutions pour lentilles ophtalmiques ou les
immunoglobulines.
ALUMINIUM
Selon le concept vaccinal, l'aluminium sert d'adjuvant de l'immunité, en créant une
réaction inflammatoire qui augmente la réaction antigène-anticorps. Il entre dans la
composition de la majorité des vaccins. On estime qu'un enfant , par les vaccins, reçoit
jusqu'à 3.75 mg d'aluminium durant les premiers six mois de sa vie. La forte toxicité de
l'aluminium est bien connue : troubles neurologiques et immunitaires. Sa présence dans
les vaccins est de plus en plus souvent mise en relation avec l'augmentation des allergies
dans le monde. Plusieurs médicaments renferment de l'aluminium. L'aspirine enrobée a
44 mg d'aluminium tout comme certains antiacides ;des médicaments contre la diarrhée
ont plus de 600 mg d'aluminium par comprimé.
GÉLATINE
Dans un grand nombre de vaccins la gélatine a une fonction de stabilisateur . C'est un
produit fabriqué à partir de débris d'abattoir tels que les cartilages, la peau et les os
d'animaux . Prélevé sur des bovins ou des cochons mais aussi sur des moutons (en
Australie ). En Europe, la contamination de la gélatine par l'encéphalopathie spongiforme
bovine (ESB) est évoquée et l'utilisation d'os en provenance de pays où un grand nombre
de cas d'ESB a été signalé - comme le Royaume Uni et le Portugal - fut récemment
interdite. La gélatine dans les vaccins est fortement allergène.
SERUM BOVIN
En octobre 2000, le Département de la Santé de Grande-Bretagne retirait du marché un
vaccin polio oral cultivé sur du serum foetal de veau suspecté d'être infecté par le prion
de la maladie ESB ou maladie de la vache folle . Le vaccin donné à 11.5 millions
d'enfants et d'adultes durant les deux dernières décennies a été préparé avec du serum
provenant de vaches anglaises peut-être contaminées. Au Canada , du serum bovin est
présent dans le vaccin antipoliomyélitique, ainsi que dans celui contre la rage, la varicelle
et l'hépatite A.
Lié à l'élevage intensif et à l'horreur des abattoirs, le sérum bovin peut lui aussi être
l'hôte de virus qui, lorsqu'ils entrent dans l'organisme humain ,deviennent mutagènes. Le
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virus de la leucémie bovine (VLB) existe de façon endémique dans les troupeaux
américains tout comme un virus génétiquement proche du H.I.V impliqué dans le Sida
humain . Ces virus peuvent se transmettent aux humains et provoquer des leucémies .
Le dr. Ryo Harasawa de l'Université de Tokyo au Japon,le dr. Massimo Giangaspero de
l'Université de Milan en Italie ainsi que nombre de leurs collègues d'Allemagne et de
Belgique ont détecté le virus de la diarrhée bovine dans plusieurs vaccins - rubéole,
influenza, rougeole, oreillons - produits en Europe, aux Etats-Unis et au Japon. Le sérum
bovin est utilisé dans plusieurs étapes de la culture cellulaire en laboratoire. Dans le
vaccin BCG , le bacille tuberculeux provient du bovin.
MALADIES ET VACCINS
Les effets secondaires graves à court et à long terme des vaccins existent mais
demeurent délibérément occultés puisque la désinformation est bien orchestrée . Tous
les vaccins, sans exception, ont des effets secondaires négatifs et les monographies
fournit par les laboratoires pharmaceutiques les décrivent très bien. Cependant, après
leur description, les fabricants émettent souvent la directive : "aucun lien de causalité n'a
pu cependant être établie entre ces réactions et la vaccination".
Le vaccin pour la grippe , répété chaque année et donné massivement aux personnes
âgées, peut entraîner des réactions de type allergique comme l'urticaire, l'angio-odeme,
l'asthme allergique , des maladies neurologiques notamment la paralysie faciale,
l'encéphalite, l'encéphalopathie,des troubles de démyélination, la labyrinthite et le
syndrome de Guillain-Barré.
Le vaccin de l'hépatite B pourrait être à l'origine, chez l'adulte, d'une augmentation de
troubles neurologiques conduisant à la sclérose en plaques, une maladie grave et
invalidante . En France, plus de 300 cas de démyélinisations aiguës imputables au vaccin
ont été recensés , parmi eux un petit nombre d'adolescents. (Le vaccin lèse la myéline, la
gaine des nerfs et cette dégénérescence est le premier symptôme de la sclérose en
plaques) Un nombre impressionnant d'articles publiés dans des revues scientifiques font
état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination
contre l'hépatite B: nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie,
palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré,
névrite optique, conjonctivite, troubles de la vision . Aussi des cas d'arthrite , de
rhumatisme, de problèmes de foie, d'asthme et même des décès. Le Pr. Barthelow
Classen, connu pour ses travaux sur le diabète de type l, croit qu'il existe un lien entre la
vaccination, paticulièrement celui de l' hépatite B et le diabète insulino-dépendant. Dans
le New Zealand Medical Journal (mai 1996) il constatait une augmentation de 60% de
diabète juvénile après une campagne de vaccination massive contre l'hépatite B entre
1988 et 1991 . Le vaccin de l'hépatite B n'est pas le seul en cause dans cette relation
diabète - vaccination. Classen a aussi découvert que l'incidence du diabète en Finlande
était stable chez les enfants en bas de 4 ans jusqu'à ce que le gouvernement fasse des
changements dans le calendrier vaccinal des enfants.En 1974, 130 000 enfants de 3 mois
à 4 ans furent vaccinés contre l'hépatite B et la méningite (de type C). Puis on leur
injecta le vaccin contre la coqueluche . Dans les années qui suivirent, il y eut une
augmentation de 64% de cas de diabète de type 1 chez les enfants vaccinés.
17
Le vaccin contre la coqueluche /acellulaire (donné en même temps que ceux de la
diphtérie et du tétanos aux enfants) aurait aussi un lien avec le diabète. Ce vaccin
contient une toxine sécrétée par un microbe le Bordetella pertussis , une toxine décrite
par certains comme un "poison virulent" et ayant un effet désastreux sur le pancréas. Il
peut mener aussi à l'hypoglycémie: deux chercheurs allemands, Hennessen et Quast
trouvèrent ,en 1979, que sur 149 enfants ayant eu ce vaccin, 59 d'entre eux avaient
développé des symptômes de l'hypoglycémie. Des cas de diabète juvénile sont survenus
aussi après des vaccinations contre les oreillons et la rubéole.
Le DCaT(diphtérie, coqueluche/acellulaire et tétanos) et sa relation avec l'autisme
s'affirme. Après la généralisation de ce vaccin et aussi de ceux contre la rougeole et
l'hépatite B, on note une augmentation de l'autisme chez les enfants . Une étude menée
par Ray Gallup constate une augmentation de plus de 300% de cas d'autisme entre 1992
et 1997 dans vingt-cinq états américains. De nombreux spécialistes croient de plus en
plus que l'affaiblissement du système immunitaire constitue réellement un syndrome
chez les personnes autistes, un trouble neuro-immunologique. Plus d'un tiers des enfants
atteints présente un nombre réduit de lymphocyte T CD4 et T CD8 , empêchant peut-être
leur organisme de fabriquer les anticorps nécessaires pour combattre les virus provenant
des vaccins. Le DCaT peut déclencher des crises d'épilepsie , des méningites et créer des
encéphalites allergiques induisant à leur tour de l'autisme et autres troubles du
comportement. "Les parents d'enfants autistes rapportent couramment des désordres
immédiatement après l'inoculation avec le RRO (rougeole, rubéole et oreillons) et le
DCaT" a déclaré le Dr. Vijendra Singh, professeur d'immunologie.Ce dernier a publié dans
le Clinical Immunology and Immunopathology (1998) une étude sur des enfants autistes
qui mettait en évidence qu'une exposition au virus de la rougeole pouvait déclencher une
réponse auto-immune interférant avec le développement de la myéline. On note la
présence persistante du virus de la rougeole dans l'intestin des personnes autistes. Le
Dr. Andrew Wakefield, directeur d'un groupe de recherche au Royal Free Hospital de
l'Ecole de médecine de Londres a publié dans le Lancet (février 1998) une étude sur huit
enfants qui furent atteints de graves affections intestinales puis devinrent autistes tout
de suite après la vaccination RRO.
Le vaccin contre la rubéole peut mener à l'arthrite rhumatoïde. Des recherches indiquent
que 41% des femmes vaccinées ont développé des douleurs articulaires, 9% une arthrite
transitoire et 5% une arthrite chronique. "J'appelle ça de la vaccinomanie. Nous sommes
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arrivés à un point qui n'est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de
nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps
les fonctions du système immunitaire frise la criminalité" Nicholas Regush, journaliste
médical
"La présence d'un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent très peu de
temps après une vaccination contre l'hépatite B est inquiétante... Les enfants en bas de
14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir
reçu le vaccin de l'hépatite B que d'attraper la maladie" Jane Orient, médecin, directrice
de L'Association des Médecins américains et des chirurgiens
"Les parents d'enfants autistes rapportent couramment des désordres neurologiques
immédiatement après l'inoculation avec le RRO (Rougeole, rubéole, oreillons) et le DCaT
(Diphtérie, Coqueluche1acellulaire et tétanos) Dr. Vijendra Singh, professeur
d'immunologie
"Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe
est beaucoup plus grand que la grippe elle-même". Dr William Frosehaver
MÉNINGITE
La méningite bactérienne est provoquée, selon la médecine scientifique, par 3 germes:
les méningocoques, les pneumocoques ( surtout responsables des pneumonies) et les H.
Influenzae (type B/ Hib). Récemment au Québec, de nombreux cas de méningites ont fait
leur apparition. L'affaiblissement du système immunitaire des enfants qui reçoivent des
doses répétés de vaccins depuis leur naissance n'est sûrement pas étrangère à ce fait.
Le vaccin contre le méningocoque groupes A,C Y et W-l13 combinés comporte des effets
secondaires tels que céphalées, malaises ,frissons et fièvre. Le vaccin pneumococcique
peut provoquer un érythème et une induration au point d'injection, de la fièvre, des
céphalées, un malaise général, des réactions de type allergique comme
l'urticaire,l'odème angioneurotique ou une anaphylaxie ainsi que vasculite , éruption
19
cutanée généralisée, arthrite, myalgie et divers troubles neurologiques y compris le
syndrome de Guillain -Barré. Celui de l'Haemophilus influenzae (type B/Hib) donné aux
bébés de deux mois peut induire des crises convulsives, douleurs au point d'injection,
irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des
voies respiratoires supérieures.
En septembre 2000, le journal Observer de Londres, suite à la découverte de documents
secrets, faisait état de la mort de 11 personnes suite à une récente vaccination massive
contre la méningite de type C. Le vaccin causa l6 500 réactions négatives et quand on
sait que seulement de l0 à l5% de ces réactions sont rapportées au Ministère de la
Santé,le nombre d'effets secondaires et de morts est fatalement beaucoup plus élevé.
Deux des morts déclarés succombèrent à une "septicémie méningoccal", une infection du
sang liée à la méningite. Le vaccin au lieu de protéger, leur donna plutôt la méningite.
Plus de l3 millions de bébés, d'enfants et d'adultes ont reçu le vaccin, en Angleterre,
durant l'année 1999/2000. On soupçonne même le fabricant du vaccin d'avoir
délibérément caché les effets secondaires au grand public et ce avec la complicité de
fonctionnaires gouvernementaux responsables de la campagne de vaccination. Deux de
ces fonctionnaires faisaient partie du conseil d'administration du laboratoire
pharmaceutique fabricant le vaccin.
DÉSINFORMATION
Il y a quelques mois une session d'information pour les parents sur le thème "Pourquoi
faire vacciner vos enfants?" se tenait à l'hôpital Sainte-Justine de Montréal . Elle était
présidée par deux pédiatres dont le Dr. Jean-Francois Chicoine et commanditée par la
compagnie pharmaceutique Merck Frosst, fabricant de vaccins. Histoire de culpabiliser au
maximum les parents , le pédiatre Chicoine déclarait "c'est une grosse responsabilité
sociale. On va aussi se faire vacciner pour les autres" . Pourtant, si la vaccination de
masse protège et est aussi efficace contre les maladies, comme on veut nous le faire
croire, pourquoi avoir peur des non-vaccinés ? Les vaccinés transportant les virus restent
bien plus une menace pour les non-vaccinés - comme c'est le cas pour le vaccin contre la
polio - que le contraire. Malgré d'innombrables études scientifiques de spécialistes en
allergie, en immunologie, en neurologie ainsi qu'en biochimie sur les dangers des
vaccins, des pédiatres continuent d'affirmer que la vaccination n'affaiblit pas le système
immunitaire, que les risques demeurent mineurs et que la malnutrition ou l'hygiène n'ont
rien à voir avec la prévention des maladies.
S'agit-il de mauvaise foi chronique ou d'une triste connivence avec les laboratoires
pharmaceutiques ? Heureusement, de plus en plus de médecins intelligents dénoncent ce
dogme vaccinal et osent le remettre en question. Nombreux à nous dire que toutes ces
maladies contre lesquelles les enfants sont vaccinés étaient déjà en voie de disparition
avant l'administration des vaccins. Plus grave encore, malgré qu'ils aient été entièrement
immunisés, des enfants souffrent tout de même de la maladie. Et que tous les vaccins
affectent gravement notre système immunitaire , qu'ils possèdent une dangerosité
certaine ouvrant la porte à diverses maladies .
Au Japon par exemple, l'incidence de la mort subite du nourrisson a chuté de façon
drastique dès qu'on a cessé de donner des vaccins aux enfants de moins de deux ans.
La Suède, en 1979, a banni le vaccin contre la coqueluche (pertussis) après la
découverte que la maladie frappait des enfants vaccinés et qu'il provoquait des désordres
neurologiques. Malgré le fait que les enfants suédois ne soient plus vaccinés contre la
coqueluche, le taux de mortalité par coqueluche n'est pas plus grand en Suède que dans
les populations vaccinées de d'autres pays.
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Aux Etats-Unis, selon Susan Ellenberg PhD, directrice de la "Division of Biostatictics and
Epidimiology of FDA",en 1997, 43 enfants en bas de 2 ans succombèrent à l'hépatite B. ,
suite à la vaccination.
IMMUNITÉ NATURELLE
Les enfants québécois reçoivent dès l'âge de 2 mois toute une série de vaccins et de
rappels échelonnés sur quelques mois, plus d'une douzaine de bouillies chimiques. On
vaccine systématiquement contre des maladies rares comme le tétanos, la diphtérie ou
l'hépatite B des bébés qui ont autant de chances de les attraper que de gagner à la
loterie. Si l'on part à l'étranger, on nous recommande les vaccins de la méningite, de la
rage, de l'encéphalite japonaise, de la fièvre jaune, du tétanos, de la typhoïde, trois
rappels d'hépatite A , B et un petit dépistage de la tuberculose. De quoi vous rendre
malade avant même de mettre le gros orteil dans l'avion.
Sept complications sévères, dont six décès, rapportées après la vaccination contre la
fièvre jaune dans la revue médicale britannique The Lancet - juillet 2001 - soulèvent des
questions sur la sécurité du vaccin. Au Brésil, une fillette de 5 ans frappée d'une fièvre,
de maux de tête, de malaises et de vomissements 3 jours après avoir reçu le vaccin antifièvre jaune et le vaccin combiné rougeole,oreillons,rubéole est morte cinq jours après
l'innoculation. Le Dr. Michael Martin et ses collègues du Centre américain de contrôle des
maladies (CDC, Atlanta) rapportent des complicaitons post-vaccinales ayant affecté
quatre touristes américains qui ont entraîné trois décès en 1996 et 1998. Ils suggèrent
une relation causale possible avec le vaccin et conseillent de vérifier si les voyageurs se
rendent vraiment en zone infestée et de prendre des précautions avant de recommander
le vaccin.
Continuer à vacciner des bébés avec des substances hautement cancérigènes,
mutagènes et allergènes et dont le système immunitaire n'est pas encore vraiment
développé est consternant. Le système immunitaire ne devient à peu près mature que
vers 6-7 ans, continuant d'évoluer jusqu'à l'âge adulte. La complexité de nos
mécanismes naturels de défense ridiculise toutes les théories sur la vaccination et elles
font partie d'une conception dépassée et erronée de la santé. Notre système immunitaire
n'a absolument pas besoin de produits artificiels et chimiques pour se bâtir une
immunité.
Comment peut-on faire croire à la population qu'un mélange de cadavre
d'animal malade, de virus, de substances toxiques, augmente son immunité
contre les maladies, que cette terrible agression de son intégrité lui donnera la
santé?
Une alimentation saine, une bonne hygiène, entretiennent nos défenses naturelles. Par
prévention ou lors de maladies infectieuses de multiples alternatives peuvent être
envisagées - comme l'homéopathie, l'acupuncture, les plantes médicinales, des
cataplasmes d'argile, des apports de vitamines C, A , de zinc, le repos, les messages , les
bains tièdes contre la fièvre, une bonne hydratation , le jeûne, etc. Ces thérapies
pourront aussi drainer de notre organisme les toxines et poisons de ces trop nombreux
vaccins que nous avons reçu depuis l'enfance. Autre fait important, les enfants nonvaccinés, ayant un meilleur système immunitaire, traverseront l'enfance sans parfois
jamais souffrir d'aucune maladie infectieuse. (Selon l'expérience personnelle de l'auteure
de ces lignes, mon fils maintenant âgé de 24 ans, n'a reçu aucun vaccin et n'a jamais
contracté aucune maladie infectieuse de l'enfance, que ce soit la rougeole, la rubéole, la
coqueluche ou autre; nous avons fait aussi plusieurs voyages en Inde et au Népal, sans
vaccins et sans maladies) .
21
Pour être vraiment en santé, il faut avant tout ne pas céder à la peur. Même en n'ayant
aucune formation scientifique, nous serons, en tant que parents, voyageurs ou suite aux
pressions des médecins et du lobby des multinationales pharmaceutiques, de plus en
plus confrontés à nous interroger sur les vaccins. Car pour certains scientifiques, l'avenir
appartient aux vaccins. Plus de 200 nouveaux vaccins sont actuellement expérimentés:
cocktail de vaccins pris d'une seule dose, vaccin inoculé par voie intranasale ou d'autres
génétiquement incorporés dans les fruits et les légumes.
Notre capital santé nous appartient et ne passe pas nécessairement par la dictature des
laboratoires pharmaceutiques .
Les fabricants de vaccins ont surtout à coeur leurs profits, pas vraiment notre santé. Et
puis, sur des bases éthiques, les vaccins demeurent le symbole sanglant de l'exploitation
animale, de la souffrance des bovins, souris, poulets et singes sacrifiés sur l'autel de la
vivisection. Leurs cadavres souillent à jamais les vaccins.
En 1992, une étude publiée dans The
American Journal of Epidemiology a
démontré qu'un enfant a 8 fois plus de
chance de mourir, trois jours après avoir
reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche
et tétanos) qu'un enfant non vacciné.
Une étude préliminaire du Center for
Disease Control, Etats-Unis, sur le vaccin
HIB(Haemophilus influenzae type b/hip)
indique qu'un enfant vacciné peut 5 fois
plus contracter la maladie qu'un enfant
n'ayant pas reçu le vaccin.
Le New England Journal of Medecine
(juillet 1994) a publié une recherche
concluant que 80% des enfants en bas de
5 ans qui avaient contracté la coqueluche
étaient pourtant vaccinés contre la
maladie.
Au Japon, après l'introduction en 1994
d'un vaccin RRO (rougeole, rubéole,
oreillons) on a vu s'accroître dans les
mois suivants, une augmentation
dramatique de cas de méningites chez les
enfants vaccinés. Le même phénomène
s'est répété en France et en Grande
Bretagne. Le vaccin en cause serait celui
de la rougeole.
"Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent
dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu'ils veulent justement
prévenir; les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire
des effets secondaires, tel l'encéphalite... Le vaccin viral vivant contre la polio est
maintenant la principale cause de la polio aux Etats-Unis et dans d'autres pays...
Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la
polio, l'évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans
risque de produire la paralysie... Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même
22
le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts".
Dr. Salk (introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)
"Les vaccins peuvent causer l'arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaque, le lupus
systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer." Professeur R. Simpson, de
l'American Cancer Society
"Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l'introduction de l'anatoxine
dans la population" Medical Journal of Australia (1978)
"L'évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont
approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré
que celles qui n'ont pas été vaccinées" Center for Control Diseases (1977)
"C'est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu'il n'existe aucun lien
entre l'autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont
blessés par les vaccinations". Dr. Bernard Rimland, directeur et fondateur du Autism
Research Inst. Of San Diego
"Il n'y a pas de raison de croire que le vaccin de l'influenza (grippe) soit capable de
prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu'il ne sert à
rien mais ils continuent à le vendre tout de même." Dr. Anthony Morris - anciennement
chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis.
"Le vaccin modifie le terrain du vacciné, le rendant alcalin et oxydé, c'est-à-dire le terrain
du cancer. Ce fait ne peut plus être ignoré." Revue de pathologie et de physiologie
Clinique, France
VACCINS ET ALUMINIUM
Au Québec, la majorité de la population âgée de 2 à 20 ans - l,7 millions
d'individus - fut vaccinée contre la méningite de type C avec le Menjugate (MC).
Ce nouveau vaccin contient, entre autres , de l'aluminium. Depuis l936 , on
dénombre plus d'un million de références scientifiques reconnaissant la toxicité
de l'aluminium . Pourtant on continue tout de même de l'incorporer dans les
vaccins.
Jack Doubleday, président de "Natural Woman/Natural Man Inc " a offert il y a quelques
mois, 20,000$US à quiconque, médecin ou représentant de compagnie pharmaceutique ,
osera boire publiquement une mixture des ingrédients que l'on retrouve dans les vaccins.
Afin d'en prouver l'innocuité, le drink se composera de thimerosol (dérivé mercuriel) de
formaldehyde , de benzethonium chloride, de phenol , d' ethynol et d'aluminium. Le tout
devra être préparé par trois médecins choisis par Doubleday et par trois autres désignés
par le participant. Jusqu'à présent , personne n'a répondu à l'appel pour déguster ce
pétillant cocktail de produits chimiques et de métaux lourds.
L' hydroxyde d'aluminium , le sulfate d'aluminium ainsi que le phosphate d'aluminium
servent dans les vaccins en tant qu'adjuvants à l'immunité, c'est -à-dire qu'ils créent une
réaction inflammatoire augmentant ainsi la réaction des anticorps. Nombre de vaccins
administrés au Canada renferment de l'aluminium dont: anticoquelucheux acellulaire
adsorbé, anatoxines tétanique et diphtérique adsorbées , Hépatite B, Hépatite A, BCG
(tuberculose), Haemophilus influenzae /type B/Hib et celui contre la méningite de type C.
Se faire vacciner, par exemple, contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et l'Hépatite
B représente une accumulation de 8 mg d'hydroxyde d'aluminium . Dans les vaccins,
l'aluminium est utilisé depuis l926 et les scientifiques eux-mêmes avouent qu'il n'a pas
23
fait l'objet d'une étude scientifique sérieuse au début du siècle. Il a été démontré, depuis,
que l'aluminium reste dans les cellules et continue de stimuler artificiellement le système
immunitaire entraînant ainsi l'épuisement de l'organisme. Il a un effet nocif sur le
système nerveux et pénètre dans les tissus en se combinant à la ferritine du sang, au
lieu et à la place du fer. L'aluminium absorbé est en général rapidement excrété par les
reins mais lorsque son taux dans le sang est élevé, les os semblent agir comme un
réservoir, le fixant et le libérant lentement. Le cerveau est sensible à l'aluminium. On le
relie aussi aux troubles nerveux, à des désordres aux parathyroïdes, au psoriasis, aux
allergies, aux insuffisances hepato-rénales chroniques, à l'anémie, à l' osteomalacie (os
cassants ou mous) , aux arrêts cardiaques et à certaines maladies graves du système
nerveux comme la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (maladie de
Lou Gehrig) et l'Alzeihmer.
Le rôle possible de l'aluminium dans le développement de la maladie d'Alzeihmer a
commencé à être suspecté lorsqu'on a observé des troubles neurologiques chez les
dialysés exposés aux fortes teneurs en aluminium des médicaments et des solutions de
dialyse. Ces personnes souffrant de maladies de reins développaient une encéphalopathie
des dialysés, forme progressive de démence caractérisée par des troubles de la parole et
du comportement, des tremblements, des convulsions et une forme de psychose. La
plupart des experts s'entendent pour attribuer au taux élevé d'aluminium la
responsabilité de cette forme de démence et pour affirmer que sa réduction abaisse
considérablement l'incidence de la maladie.
24
Dans la maladie d'Alzeihmer, il a pu être démontré que les personnes atteintes ont
tendance a présenter des concentrations élevées d'aluminium dans certaines parties du
cerveau , 10 à 30 fois plus que la normale. Par ailleurs, une récente étude comparative
portant sur l'alimentation par perfusion de prématurés a révélé des altérations du
développement mental chez les nourrissons âgés de l8 mois dont les perfusions
contenaient de l'aluminium.
Pour l'immunogénéticien de renommée mondiale, Hugh Fudenberg m.d. , dont les
articles ont été publiés dans nombre de publications scientifiques, un individu ayant reçu
5 vaccins consécutifs contre la grippe a dix fois plus de chance d'avoir la maladie
d'Alzheimer, a cause , entre autres, de l'aluminium mais aussi du mercure contenue dans
les vaccins. "L'accumulation graduelle de l'aluminium et du mercure dans le cerveau
entrainent l'altération des fonctions cognitives" " affirme-t-il.
Malgré des années de recherches dénonçant la toxicité de l'aluminium, on trouve encore
cet adjuvant vaccinal dans des vaccins administrés presque dès la naissance .
L'aluminium est éliminé par les reins, mais les nourrissons par exemple, ont une fonction
rénale réduite et ne peuvent excréter l'aluminium en surplus . Leurs fonctions rénales
n'atteignent un niveau optimale que vers l'âge de 2 ans. L'aluminium se concentre donc
dans le cerveau et le squelette du bébé .
NOUVELLE MALADIE RELIÉE À L'ALUMINIUM
L'apparition d'une nouvelle maladie musculaire , la myofasciite à macrophages (MFM) a
conduit progressivement les chercheurs sur la piste des vaccins. Cette maladie se
caractérise par des douleurs musculaires et articulaires intenses, touchant
particulièrement les membres inférieurs, accompagnées dans de nombreux cas d'un
fatigue persistante et éventuellement de fièvre ou d'autres symptômes. Sur le plan
biologique , les analyses ont démontré une stimulation chronique du système
immunitaire et la présence de divers anticorps circulants. Lors d'une biopsie des cellules
musculaires, on a découvert la présence d'une concentration anormale de macrophages
dans l'enveloppe musculaire A la suite d'analyses plus poussées la présence d'inclusions
cristallines se révélèrent être des cristaux d'hydroxyde d'aluminium .
Plus de l50 cas ont été identifiés officiellement en France seulement - dont 30% chez du
personnel paramédical - chez des adultes d'âge moyen. Cette découverte d'aluminium au
point d'injection parfois jusqu'à huit ans après l'administration d'un vaccin, s'accompagne
très souvent d'une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques ( l/3
des patients).
Une équipe scientifique composée de spécialistes français des myopathies a confirmé le
lien entre cette maladie et l'hydroxyde d'aluminium des vaccins. Dans la revue Brain de
septembre 2001, elle a publié un article mettant en accusation l'adjuvant vaccinal: "Les
lésions de myofasciite à macrophages (MMF) témoignent de la persistance dans le muscle
d'hydroxyde d'aluminium provenant des vaccins". Dans cette étude , les chercheurs
affirment que dans tous les cas, des inclusions ont été détectées et "correspondaient à de
l'hydroxyde d'aluminium, un immunostimulant fréquemment utilisé comme adjuvant
vaccinal. 50 patients sur 50 avaient reçu des vaccins contre : l'hépatite B (86%)
l'hépatite A (l9%) ou le tétanos (58%) de 3 à 96 mois - avec une moyenne de 36 mois avant la biopsie. Nous concluons que la lésion de MMF est un effet secondaire de
l'injection intramusculaire de vaccins contenant de l'hydroxyde d'aluminium contenu dans
les vaccins, qu'elle démontre à la fois la persistance à long terme de l'hydroxyde
d'aluminium et une réaction immunitaire locale évolutive et qu'elle est détectée chez des
patients ayant des signes généraux apparaissant à la suite de la vaccination". (Gherardi
et all.)
25
Les agences de sécurité sanitaire française et américaine ainsi que le Comité Consultatif
sur la sécurité des vaccins de l 'Organisation Mondiale de la Santé ont conclu elles aussi
"à un lien de causalité très probable entre l'administration d'un vaccin contenant de
l'hydroxyde d'aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la
myofasciite à macrophage" et conseillaient d'entreprendre des recherches afin d'évaluer
tous les aspects de cette pathologie. Ces recherches ne semblent pas vraiment démarrer
en partie à cause du lobbying des laboratoires pharmaceutiques qui n'ont pas intérêt à ce
que la toxicité de l'hydroxyde d'aluminium soit officiellement reconnue. Une interdiction
signifierait des milliards en pertes pour les grandes firmes pharmaceutiques obligées de
trouver un nouvel adjuvant vaccinal et de faire face à des poursuites judiciaires de la part
des vacciné/es.
Chez les animaux domestiques, on a aussi observé une fréquence croissante des cancers,
en général au point d'injection des vaccins faisant appel à l'hydroxyde d'aluminium. Les
tumeurs décrites dans plus de quarante publications scientifiques sont des sarcomes
félins , sarcomes dus aux vaccins, ou sarcomes à l'emplacement de la vaccination. Par la
suite , l'augmentation de la fréquence des néoplasies a été démontrée aux points
d'injection vaccinale ainsi qu'une relation épidémiologique entre les dates de vaccination,
les points d'injection , l'occurrence des tumeurs et la présence de granulations
comportant de l'aluminium.
«Voulez-vous essayer ceci?
Il n'a eu aucun effet secondaire sur les souris les moustiques et les tigres»
PSYCHOSE DE LA MÉNINGITE
Au Québec, dans une récente psychose de la méningite où des parents apeurés et mal
informés réclamaient au gouvernement des doses de poisons pour inoculer leurs enfants
contre la maladie, une vaste campagne de vaccination s'est mise en branle pour l,7
millions de personnes âgées entre 2 et 20 ans. Pourtant, ce vaccin ( le Menjugate contre
les méningocoques du groupe C, incluant la méningite) causa en Angleterre des milliers
de réactions négatives dûment rapportées par le fabriquant Chiron: rougeur au point
d'injection, fièvre, irritabilité, maux de tête, pleurs, anorexie, diarrhée, vomissements,
myalgie . On le relia même à quelques morts. De plus, il contient de l'hydroxyde
d'aluminium.
Notons qu'au Québec, entre l940 et l990, il n'y eut pratiquement aucun cas de méningite
et ce même sans vaccination.
La fabrication des premiers vaccins date de presqu'un siècle, une époque où la
complexité du système immunitaire était inconnu. Toute la théorie vaccinale est basée
26
sur la production d'anticorps. Mais le fait qu'un vaccin produise des anticorps ne prouve
nullement son efficacité. Dans de nombreux cas , des vaccins ont produit des anticorps
mais les vaccinés ont tout de même contracté la maladie. Par exemple, un important
groupe de soldats en Australie fut vaccinés dans les années 70 contre la rubéole . Tous
produisirent des anticorps, pourtant plus de 80% des vaccinés eurent la maladie (cité
dans Australian Journal of Medical Technology par le virologiste B. Allan ) . L'immunité ne
se résume donc pas à une production forcée d'anticorps.
Ces cocktails de virus, de produits chimiques et de métaux lourds injectées pour stimuler
artificiellement l'immunité font partie d'une vision de la santé et des maladies devenue
obsolète. D'innombrables études scientifiques de spécialistes en allergie, en
immunologie, en neurologie démontrent sans équivoque que les substances des vaccins
affaiblissent le système immunitaire et provoquent des effets secondaires imprévisibles .
Il n'est peut-être pas étonnant de constater que les enfants ayant le système
immunitaire bombardé dès la naissance par des dizaines de vaccins fabriqués avec des
substances toxiques contractent à l'adolescence des maladies virulentes comme la
méningite . Et que les allergies, l'asthme, le diabète, l'autisme et les troubles de
comportement les assaillent de plus en plus.
En 1950, avant les vaccinations massives, les États-Unis étaient en troisième position
mondiale concernant la mortalité infantile. En 2001, le pays a reculé jusqu'en 24e
position. Et ce, même si les enfants américains sont les plus vaccinés du monde et que
les États-Unis est le plus grand utilisateur d'animaux de laboratoire de la planète. En
effet, pour nous assurer l'efficacité des vaccins les fabricants les testent sur des singes,
des rats, des lapins et toute une panoplie d'animaux. Cette pratique jugée indispensable
pour garantir l'innocuité des vaccins n'empêchent pas ces derniers d'être dangereux. Là
encore, tout comme dans d'autres domaines de la recherche utilisant des animaux, il
apparaît évident que l'organisme d'un rat diffère grandement de celui d'un humain. Ces
expériences barbares et archaïques sur les animaux ne peuvent garantir en aucun cas la
sécurité d'un vaccin destiné aux humains.
Pour stimuler les défenses immunitaires,
apports de vitamine A et E. Prendre de la
vitamine C , 2 à 3 grammes par jour, pendant
quelques jours. ( On peut aussi donner aux
chiens ces doses de vitamine C.) Des médecins
tels que Claus Junbeblut, Boissevain, Spilane,
Archie Kalokerinos et Frederic Klenner ont traité
des cas de polyomyélite, de tétanos, de
diphtérie, d'hépatite, de méningite , de grippe ou
d'asthme par des doses massives de vitamine
C. L'extrait de pépin de pamplemousse, 30
gouttes dans de l'eau , 3 fois par jour pendant 2
à 3 jours stimule les défenses immunitaires.
Drainer les organes où s'accumulent les
poisons par des plantes comme le pissenlit,
l'artichaut ou la bardane. Se nettoyer aussi par
des jeûnes de quelques jours au jus de fruits, de
légumes ou à l'eau; par une alimentation
végétalienne crue.
Le chardon-marie régénère les cellules du foie
27
et prévient les réactions inflammatoires.
Encourager l'allaitement maternel qui protège et
construit un bon système immunitaire aux
bébés.
L'efficacité du chlorure de magnésium a été
prouvé dans le traitement de la diphtérie, de la
poliomyélite, du tétanos et de la méningite. Il
possède des vertus curatives et préventives.
Mettre 20 g de chlorure de magnésium dans un
litre d'eau et en boire un verre à l'heure pour les
adultes , pour les enfants demi-dose, pour les
bébés l/4 de la dose. Diminuer progressivement.
Peut aussi être utilisé avec succès lors de
grippes et affections respiratoires, pleurésies,
bronchites, coqueluche, asthme, bronchite
chronique, emphysème et rhume des foins.
VACCIN DE LA VARIOLE, UN MAL NÉCESSAIRE?
Dans l'hypothèse d'un acte de bioterrorisme utilisant la dissémination du virus de la
variole comme arme, les États-Unis achetèrent (en 2003) des millions de doses de
vaccins contre la variole. Tout comme la France et la Grande-Bretagne. Le Canada a, lui
aussi, acheté des millions de doses du vaccin.
En janvier 2003, plus de 450,000 personnes travaillant dans le domaine médical furent
vaccinées contre la variole, tout comme un demi-million de soldats ou personnel
militaire. Coût pour vacciner l'ensemble de la population américaine: 2 milliards $US. La
France a aussi commencé à vacciner quelques centaines de personnes en février 2003,
ainsi que la Grande-Bretagne.
Outre les États-Unis, l'Autriche, l'Allemagne, la France, la Suède, la Grèce, Singapour,
l'Australie et des pays du Golfe ont passé des commandes aux laboratoires
pharmaceutiques pour des stocks de vaccin antivariolique.
UN AUTRE VACCIN DANGEREUX?
Présentement, il n'y a pas assez de doses pour fournir le plus rapidement possible les
pays demandeurs. Plusieurs multinationales pharmaceutiques travaillent pour
homologuer de nouveaux vaccins contre la variole : Avantis Pasteur, Acambis/Baxter,
Merck et Wyeth Laboratories.
28
Les stocks du vaccin antivariolique de la " première génération" fabriqué par Wyeth
Laboratories, ne suffissent pas à la demande. Mais on a découvert qu'en les diluant au
l/5 et même au l\10 , on pouvait augmenter les doses. La France, qui ne disposait
initialement qu'un d'un stock de "première génération" d'origine militaire et conservé
depuis 20 ans a, grâce à ce procédé, augmenté de l7 millions ses 55 millions de doses du
vaccin. Le Canada prévoit l'achat de la compagnie Aventis Pasteur, de l0 millions de
vaccins pouvant être dilués afin de doubler les doses , pour un coût total de 40 millions $
canadiens .
Wyeth Laboratories a donc lui aussi augmenté ses doses en les diluant. Son Dryvax
antivariolique contient un virus vivant non atténué, un proche parent du virus pathogène
de la variole, mais différent - la vaccine. La semence de cette vaccine est dérivée de la
souche du New York City Board of Health, vieille de plus de 30 ans. Pour l'obtenir, on a
infecté un veau d'environ 3 mois . Sur l'abdomen de l'animal, on a fait de trente à
cinquante scarifications, de longues incisions. La vaccine de la variole et de la glycérine
ont ensuite été frottées sur les incisions. Après cette procédure, l'animal fut attaché afin
de l'empêcher de se lécher. Dans les heures et les jours qui suivirent , le veau est
devenu très malade, avec de la fièvre, Sur sa peau apparurent des pustules . Au bout de
six jours ,elles se remplirent de liquide, de pus. Puis, l'animal fut tué, afin de gratter ses
pustules. La pulpe ainsi obtenue par grattage a été additionnée de phénol ,en
concentration permettant de tuer les bactéries, mais sans inactiver le virus de la vaccine.
Le vaccin fut ensuite lyophilisé puis placé dans des ampoules. Le Dryvax renferme donc
de la glycérine (50%) mais aussi des traces de plusieurs antibiotiques. La glycérine est
très allergène. Le phénol est un poison; quand il est ingéré ou absorbé par la peau, il
peut causer des coliques, de la faiblesse, des évanouissements et des irritations
cutanées. Les doses du vaccin antivariolique que possèdent Avantis furent fabriquées de
cette façon, à partir de la lymphe de veau. La vaccine de la souche Lister , employée en
Europe, au Japon ou en Russie , provient quant à elle de scarifications faites sur le
mouton.
Il y a quelques mois, la compagnie pharmaceutique fabriquant Dryvax constata que les
tubes dans lesquels les cristaux de son vaccin étaient gardés, se détérioraient
dangereusement. Malgré tout, elle dilua ses stocks de vaccin (l5 millions de doses dilués
peuvent donner 75 millions de doses). Puis, le vaccin fut donné à des centaines de
volontaires de plusieurs universités américaines dont le St-Louis University et l'University
of Rochester of Medecine and Baylor College of Medecine, afin de vérifier son efficacité.
C'est ce même Dryvax qu'on donne au personnel du milieu médical et aux militaires
américains. Cette multiplication du nombre des vaccins de la "première génération" a
permis aux groupes pharmaceutiques de se donner du temps pour la production d'un
vaccin de la "deuxième génération".
Des vaccins dits de la "deuxième génération" sont maintenant en phase d'homologation .
On a cultivé différentes souches de la vaccine sur des embryons de poulets ou des
cellules humaines de foetus avortés (et ce, même si le gouvernement de Bush est
totalement opposé à l'avortement!). L'ACAM2000, de la compagnie américaine
Acambis/Baxter Pharmaceuticals, est un vaccin produit sur des cellules Vero, des cellules
29
hépatiques de singes verts africains. Certains vaccins se cultivent dans du sérum bovin.
On donnera massivement ces vaccins de la "deuxième génération" aux populations, sans
en connaître véritablement les effets à long terme et sur la seul foi d'expérimentations
sur le singe, ce qui n'est en aucun cas une garantie de leur innocuité.
Lors des dernières décennies , des chercheurs ont expérimenté des vaccins avec une
multitude de souches de virus de la vaccine génétiquement modifiées ou recombinées
avec d'autres virus . Ces virus mutants entrent dans la fabrication de vaccins contre
l'herpès, l'hépatite B, le sida ou la malaria. Il existe des centaines de souches de virus de
la vaccine, avec divers degrés de virulence pour les humains mais aussi pour les
animaux. Un vaccin expérimental contre le sida, se composant d'une recombinaison du
virus de la vaccine, avec différentes autres souches de virus, fait présentement l'objet
d'essais cliniques sur des volontaires humains, en Haïti.
Des immunoglobulines peuvent aussi être administrées lors de complications liées à la
variole, au vaccin antivariolique ou aux enfants et aux personnes à risques ne pouvant
recevoir le vaccin. Cette immunoglobuline vaccinale est tirée du sang de plusieurs
donneurs humains ayant reçu le vaccin antivariolique. Elle contient aussi de la glycérine,
du thimérosol/mercure et du chlorure de sodium. Dans la plupart des pays, on ne dispose
pas d'une quantité importante d'immunoglobulines . Des travaux sont en cours pour la
création d' animaux transgéniques capables de donner une immunoglobuline
"humanisée".
Des antiviraux actifs sur le virus de la variole ont aussi été identifiés. Le cidofovir
(Vistide), un médicament antiviral prescrit lors de certaines complications du sida, au
niveau de la peau ou des yeux, peut être donné l à 2 jours après l'exposition à la variole.
Cidofovir est vendu au Canada par Pharmacia (cette compagnie a fusionné en l999 avec
Mosanto et Upjohn; le groupe a été racheté en 2002 par Pfizer pour 60 milliards $US) .
Cidofovir peut induire de multiples effets secondaires: insuffisance rénale grave, maux de
tête, fatigue, nausée, vomissements, fièvre et éruption cutanée. Il est déconseillé aux
femmes enceintes. Même à de très faibles doses, le cidofovir est cancérigène lors de
tests sur les animaux. Voilà encore une autre absurdité de l'expérimentation animale:
même si le médicament provoque le cancer chez les animaux, on le donne tout de même
aux humains. À quoi servent les tests, si on passe outre les résultats ? Les laboratoires
pharmaceutiques travaillent sur une vingtaine d'autres antiviraux pour contrer la variole.
VOUS ÊTES PRÊTS POUR VOTRE VACCINATION?
Trois jours après l'injection du vaccin antivariolique de la "première génération" , une
papule rouge, une lésion de la peau , apparaît au site vaccinal. Elle devient vite
vésiculaire, formant un bouton. Une semaine plus tard,elle se transforme en papule
blanchâtre, contenant une sérosité, un liquide trouble, entourée d'une zone
érythémateuse (rougeur). La pustule - une petite tumeur inflammatoire - sèche ensuite
progressivement, laissant une croûte noirâtre qui tombe en trois semaines.
Tous les vaccins demeurent potentiellement dangereux mais celui de la
variole est probablement celui ayant le plus d'effets négatifs. Il donne une
forme mutante de la variole .
Les effets secondaires de ce vaccin sont donc nombreux et certains
peuvent entraîner la mort.
Quelques complications liées au vaccin antivariolique:
30
Encéphalite postvaccinale: inflammation du cerveau, pouvant se développer 2 à 25 jours
après la vaccination. De nombreux cas de mortalité recensés. Fièvre, céphalées,
vomissements, vertiges, signes méningitiques, coma, convulsions, confusion, amnésie. Si
le patient s'en remet, il reste avec des séquelles, des dommages au cerveau et de la
paralysie.
Vaccine progressive: la lésion vaccinale se développe sans interruption vers la peau
adjacente entraînant une nécrose tissulaire et diffusant vers d'autres régions cutanées,
aux os, aux viscères. L'évolution est souvent mortelle. (On donne des immunoglobulines)
Eczéma vaccinal: survient chez des sujets porteurs d'eczéma. Les lésions vaccinales
s'étendent aux régions cutanées où se développe habituellement l'eczéma. (On donne
des immunoglobulines)
Vaccine généralisée: dissémination par voie sanguine du virus vaccinal. Les lésions
apparaissent 6 à 9 jours après la vaccination en nombre variable .
Inoculation accidentelle: auto-inoculation à d'autres sites, visage, paupières, bouche,
organes génitaux. L'inoculation aux yeux provoque la cécité.
Dans une récente étude regroupant 680 adultes ayant reçu le vaccin antivariolique, la
majorité d'entre eux ressentirent à divers degrés , de la fatigue, des maux de tête, des
muscles endoloris, des frissons, de la nausée, de la fièvre et de la douleur au point de
vaccination. (National Center for Infections Disease, Etats-Unis).
Selon le New York Times ( mars 2003), les Centers for Disease Control and Prevention,
déconseillent la vaccination antivariolique pour les personnes ayant un problème
cardiaque. Des vacciné(es) ont développé de sérieux problèmes cardiaques 5 à l7 jours
après leur vaccination. Certains eurent une attaque cardiaque, de l'angine ou une
inflammation du coeur. On dénombre trois morts. Les diabétiques ne devraient pas non
plus recevoir le vaccin, par peur de complications cardiaques. Tout comme les personnes
faisant de l'hypertension, un taux élevé de cholestérol ou qui fument la cigarette.
Vaccin antivariolique et leucémie: "Des rapports déjà publiés, ainsi que nos propres
observations, indiquent que la vaccination antivariolique provoque parfois l'apparition
d'un cadre leucémique. Chez cinq enfants et deux adultes observés dans les cliniques de
Cracovie, la vaccination antivariolique a été suivie par de violentes réactions locales et
générales et par la leucémie".( Professeurs J. Aleksandrowicz et B. Halileokowski,
Académie des Sciences de Cracovie, cité dans The Lancet - 6 mai l967)
Comme le vaccin antivariolique contient un virus vivant, le vacciné peut transmettre la
maladie à des personnes proches. Il est contagieux jusqu'à 21 jours après la vaccination
.
< GROUPES À RISQUES
La liste s'allonge de personnes ne pouvant recevoir ce vaccin,
particulièrement dangereux et toxique. Les femmes enceintes ou
voulant le devenir dans les 28 jours après la vaccination, qui
allaitent , les enfants et jeunes adultes en bas de l8 ans, les
personnes âgées de plus de 65 ans, les personnes allergiques aux
antibiotiques, les porteurs du VIH/sida , les patients porteurs de
leucémie, les patients présentant un eczéma ou tout autre
pathologie cutanée telles que la varicelle, le zona, le psoriasis,
31
l'herpès, l'acné sévère , le lupus ou l'impétigo.
Ces personnes à risques ne doivent pas non plus entrer en contact avec des personnes
ayant été récemment vaccinées. Aux États-Unis seulement, plus de 60 millions de
personnes ne pourraient recevoir le vaccin antivariolique.
L'American Nurses Association , qui représente 2.6 millions d'infirmières américaines,
s'inquiète (United Press International, novembre 28, 2002) qu'une vaccination de masse
de ses membres pourrait permettre la contamination des patients qu'elles soignent ,
avant que le pustule de leur vaccin ne soit complètement guéri.
Un nombre grandissant de membres du personnel hospitalier et médical, refusent à
présent de se faire vacciner, par peur des effets secondaires du vaccin antivariolique.
Philip Russel, professeur au John Hopkins University School of Public Health a affirmé
(Washington Post, octobre 2, 2001) qu'une vaccination de masse de la population des
États-Unis , pourrait donner " des dizaines de milliers de morts".
L' American Society for Microbiology (USA Today, Septembre 9,2002)
confirme que de graves complications du vaccin antivariolique seraient
beaucoup plus fréquentes de nos jours . Comparé à il y a trente ans, un
plus grand nombre de personnes souffrent d'allergies , ont des défenses
immunitaires amoindries. Depuis les dernières décennies, il y a aussi une
augmentation phénoménale des cas d'asthme et de diabète.
LA VARIOLE DISPARUE GRÂCE À LA VACCINATION?
L'éradication de la variole, sur toute la planète, fait suite aux vaccinations massives.
Malheureusement, voilà un mythe tenace véhiculé par les compagnies pharmaceutiques ,
un mythe qui ne tient pas la route face à l'histoire. De nos jours, il est évident que la
vaccination contre la variole a causé plus de cas de variole que les épidémies ellesmêmes, favorisant même la tuberculose. Alors que la maladie était en constante
régression , les vaccinations de masse ont permis de créer des épidémies, semant la
mort parmi les populations vaccinées souvent de force, contre leur gré.
En Angleterre, en l867, une loi sur une vaccination de masse a forcé la population entre 2
et 50 ans à se faire vacciner. Au mois de mai l871, le gouvernement annonçait que
97.5% de la population avait été vaccinée. Dans l'année qui suivit, l'Angleterre connut sa
pire épidémie de variole avec 44,840 morts.
En Allemagne, dans les années l870-71, au-delà d'un million de personnes eurent la
variole, desquels 120,000 moururent. 96% d'entre eux avaient été vaccinés.
Aux Philippines , en l919, plus de l0 millions de personnes furent vaccinés à plusieurs
reprises , contre leur gré, par les États-Unis , qui gouvernait alors le pays. Le taux de
vaccination antivariolique atteignit 95%. Pourtant, la pire épidémie de variole de l'histoire
des Philippines fit son apparition , avec un taux de mortalité de 65%. Le plus haut
pourcentage se situa dans la capitale Manille, l'endroit le plus vacciné. Le plus bas
pourcentage apparut à Mindanao, l'endroit le moins vacciné à cause des croyances
religieuses.
En l929, dans le British Medical Journal, le Dr. L. Parry notait "Comment se fait-il que
80% des cas admis dans les hôpitaux pour la variole ont été vaccinés contre seulement
20% qui n'ont pas été vaccinés"?
32
Plus récemment, en l999, un article du Journal of the American Medical Association
affirmait qu'il n'y avait pas de preuves que le vaccin antivariolique prévenait la maladie
de la variole. Les campagnes de vaccination contre la variole furent stoppées tout
simplement parce qu'elles ne fonctionnaient pas. Dans certains villages de l'Inde, par
exemple, même si la population était vaccinée à plus de 88%, de nombreux cas de
variole faisaient des ravages.
Les épidémies de variole ont disparu, non pas à cause de la vaccination, mais grâce à
l'hygiène, à une meilleure alimentation, à des mesures sanitaires . Il faut donner de l'eau
potable, de la nourriture aux peuples décimés par les maladies, pas affaiblir
mortellement leur système immunitaire par des injections de virus, de microbes, de
mercure ou d'aluminium.
En octobre 2001, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) réitérait sa recommandation
contre la vaccination antivariolique massive de la population. Cette recommandation
reposait principalement sur le nombre et la gravité des réactions défavorables lors d'une
campagne de vaccination de masse: "L'immunisation contre la variole est plus
problématique que la maladie elle-même" a déclaré le professor Ari Zuckerman de l'
OMS.
Le gouvernement Bush a passé outre les directives des spécialistes de la variole. Il a
commencé malgré tout son programme de vaccination. La menace bioterroriste du virus
de la variole est-elle à ce point réelle?
PAS DE PANIQUE!
Selon plusieurs experts, un terroriste marchant dans les rues pour propager la variole en
touchant les gens, est fortement improbable. Le fait que le virus puisse être libéré par
aérosol à l'aide de bombes ou de missiles balistiques pour dissémination dans l'air
semble venir tout droit d'un mauvais scénario hollywoodien.
Le virus de la variole est fragile, perd rapidement de sa virulence lorsqu'il est exposé à
l'air et reste difficile à manipuler par des terroristes. De plus, la variole n'est pas une
maladie qu'on attrape facilement. Et on n'en meurt pas nécessairement.
Le dr. Kuritsky, qui a travaillé de nombreuses années en Inde et au Bangladesh sur des
projets pour enrayer la variole, affirme : " la contamination se fait par un contact
prolongé, un contact face à face, pendant plus de 7 jours avec un malade qui a de la
fièvre et des démangeaisons ". Le dr. Urenstein est du même avis quand il confirme que
92% de tous les cas en Afrique proviennent d'une association prolongée avec le malade.
( Smallpox pandemic planned are you ready? Amy Worthington, 2002)
Si une personne a été en contact avec la variole, la première chose à
faire est de l'isoler. Donc, isolement des cas à la maison , retrait des
enfants de l'école. Port de masques. Renforcer son système
immunitaire par une alimentation végétalienne, sans sucre, avec
beaucoup d'aliments crus (une recommandation toujours d'actualité
même sans menace terroriste!). Prendre des doses massives de
vitamine C, un anti-viral reconnu. Éviter d' entrer en contact avec une
personne ayant été vaccinée. Surtout ne pas céder à la peur.
Si un grand nombre d'experts s'entendent pour dire que le vaccin
antivariolique comporte de très graves effets secondaires, que la
33
maladie de la variole ne s'attrape pas si facilement et qu'elle n'est pas nécessairement
mortelle, pourquoi le gouvernement américain a-t-il commencé à vacciner, même en
l'absence d'un seul cas de variole?
COMPLICITÉ DES GROUPES PHARMACEUTIQUES
Selon le New York Times, depuis novembre 2001, une "force d'intervention" composée de
représentants de compagnies pharmaceutiques a rencontré à plusieurs reprises
l'administration Bush, afin de mettre en place différentes stratégies pour contrer le
bioterrorisme.
Cette Pharmaceutical Research & Manufacturers of American Emergency Preparedness
Task Force est dirigé par Richard Markham d'Avantis. Il regroupe des membres de l0
autres compagnies pharmaceutiques: Pfizer, Pharmacia, GlaxoSmithKline, Merck,
American Home Products, Johnson & Johnson, Bristol-Myers Squibb, Bayer, Eli Lilly et
Abbott Laboratories. Les recommandations du groupe, gardées secrètes, vont à
l'encontre de l'obligation légale de les divulguer au Congrès américain ou au public. Elles
touchent plusieurs départements, agences de la santé, les Centers for Disease Control
and Prevention, etc.
Sont-elles basées sur le bien-être des populations, sur une menace réelle d'attentats
terroristes ou sur les intérêts financiers des compagnies?
Plusieurs anciens employés de compagnies pharmaceutiques détiennent des postes-clés
dans l'administration Bush. Mitch Daniels, ancien vice-président d' Eli Lilly et détenteur
d'actions de Merck, est maintenant directeur du budget de la Maison Blanche. Tommy G.
Thompson, du Health and Human Service était lié, avant son élection, à Merck et Abbott
Laboratories. Donald Rumsfel, secrétaire d'État à la défense , détient des actions dans
différents groupes pharmaceutiques; de l997 à 2001, il a été directeur de la
pharmaceutique Gilead Sciences. Ann Veneman, du département de l'Agriculture , a des
liens avec la compagnie Pharmacia et Monsanto. L'ancien président George Bush a été
directeur d' Eli Lilly.
Des 46 membres de l'équipe de transition du Health and Human Services de
l'administration Bush, 31 d'entre eux étaient des lobbyistes ou des représentants
d'organismes regroupant des hôpitaux, travaillant pour Merck, Eli Lilly ou la
Pharmaceutical Research and Manufacturers of America (PhRMA) .
Ces regroupements du domaine médical ou pharmaceutique ont offert d'énormes
sommes d'argent pour faire élire le présent gouvernement américain. La PhRMA a donné
35 millions $US. Eli Lilly, 6.5 millions $US en 2001. Bayer a versé au Parti Républicain
plus de 95,000 $US. Pour financer les réceptions entourant l'investiture de Bush, le
PhRMA a contribué pour l00,000 $US. En l999, Merck et PhRMA dépensèrent en frais de
lobbying auprès du gouvernement, plus de 5 millions $US. Il y a six lobbyistes
embauchés
par
des
compagnies
pharmaceutiques
pour
un
sénateur.(
www.healthlaw.org/electfiles/PressKit/BushTransition.)
Un représentant de la PhRMA . Wayne Pisano déclarait, il y a quelques années: "Le
commerce des vaccins est un remarquable "success story" dans ce pays mais, pour un
succès encore plus grand, nous devons avoir un partenariat étroit avec le gouvernement
et tous les éléments liés à la vaccination de cette nation" .
BIG BROTHER VEUT VOTRE BIEN
34
En novembre 2002, le président Bush a signé le Homeland Security Act (HSA) voté par le
Sénat américain. Ce texte de 500 pages intronise un nouveau ministère de la Sécurité
intérieure, le Department of Homeland Security. Le HSA tend à procéder à une
réorganisation des agences fédérales, centralisant sous son unique direction tout ce qui
concerne la sécurité du territoire américain. Ce bureau central est sous la gouverne de
nombreux militaires ainsi que de représentants de compagnies chimiques et
pharmaceutiques. Sidney Taurel , président d' Eli Lilly depuis l986, fait partie, entre
autres, de ce "département de la défense".
La section 304 du HSA concerne particulièrement les compagnies pharmaceutiques.
Depuis janvier 2003, en cas de menace terroriste, lors de vaccinations de masse, les
compagnies pharmaceutiques ne peuvent être tenues responsables ou poursuivies pour
les effets secondaires de leurs produits. Que ce soit des vaccins antivarioliques, un vaccin
contre l'anthrax, des immunoglobulines, du Cidefovir ou de tout autre produit pouvant
être administré lors d'attaques terroristes. Le HSA couvre aussi les hôpitaux et les
membres du personnel médical. C'est le gouvernement américain qui s'occupera de
régler les poursuites.
Certaines dispositions du HSA sont rétroactives. Par exemple, les compagnies
pharmaceutiques dont les vaccins contiennent du thimerosol, bénéficient d'une clause
limitant leur responsabilité, en cas de poursuites. Eli Lilly fabrique le thimerosol. Les
compagnies Pfizer, GlaxoSmithKline et Merck ont elles aussi des vaccins contenant cet
additif vaccinal dérivé du mercure. Il est soupçonné d'être à l'origine de nombreux cas
d'autisme, une maladie ayant augmenté de 300% dans certains états américains.
Le Homeland Security Act autorise de plus le ministère américain de la Santé à déclarer
l'état d'urgence, afin d'obliger chaque citoyen à se faire vacciner , à prendre des
immunoglobulines, du Cidofovir ou tout autre médicament. Un refus équivaudrait à un
crime, entraînant la quarantaine. Un seul cas de variole peut mettre en branle le
processus. Toutes les personnes ayant été exposées à la variole, même si elles entrent
dans la catégorie des groupes à risques , pourraient être dans l'obligation de se faire
vacciner . Dans les dix jours suivant cette déclaration d'état d'urgence en santé publique,
1 million de personnes recevraient de force le vaccin antivariolique, dans chaque état
américain. Afin de contrôler l'urgence, les autorités s'accordent aussi le droit de saisir
propriétés, nourriture, médicamentsou l'essence. Ainsi que de suspendre n'importe quelle
loi d'état, règle ou réglementation que l'on croira interférer à la maintenance de l'état
d'urgence déclaré.
CONTRÔLE ET RÉPRESSION
Tout au long des années 80, l'administration de George Bush et les Centers for Disease
Control and Prevention ont vendu à leur ami Saddam Hussein des stocks de souches
d'anthrax, du virus du Nil et autres agents bactériologiques pouvant servir au
bioterrorisme. La société qui a le monopole aux États-Unis de la production de vaccins
contre l'anthrax est BioPort Corp. , une propriété de Carlyle Group. Elle compte parmi ses
actionnaires les familles Bush et Ben Laden. Le pouvoir de l'argent ne s'embarrasse
jamais de considérations éthiques, même en faisant affaire avec des dictateurs ou des
terroristes.
Le scénario a maintenant changé et l 'hystérie autour des risques de contamination par le
virus de la variole - ou de l'anthrax - fait le bonheur du cartel pharmaceutique mondial .
Plusieurs entreprises qui fabriquent des vaccins ou des antibiotiques ont vu leurs actions
grimper à la Bourse. Il n'est pas surprenant de constater que les deux secteurs financiers
faisant le plus de profits, aux États-Unis comme au Canada, demeurent les banques et
les multinationales pharmaceutiques.
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"La dictature exercée présentement par les multinationales chimiques et
pharmaceutiques qui ont confisqué nos droits à la santé doit cesser. Il y va de
notre survie et de celle des générations futures. Toutes les révolutions ont
trouvé leur origine dans l'éducation des masses populaires. Sans leur
intervention, aucun régime démocratique n'aurait jamais vu le jour! C'est la
raison pour laquelle il faut agir sans désemparer, agir sans cesse en tentant de
convaincre le plus grand nombre qu'ils sont dans l'erreur, qu'ils sont man
VACCINS POUR LA GRIPPE|INFLUENZA
Le vaccin pour la grippe distribué au Québec et au Canada est fabriqué par AventisPasteur (Fluzone) mais surtout par ID Biomedical (Flurival) qui contribue pour 75% des
doses au pays. Le virus du vaccin contre la grippe est cultivé dans des embryons
de poulets.
Les vaccins contre l'influenza contiennent du Triton X-100, un puissant détergent, du
formaldéhyde, des traces de l'antibiotique neomycine, du sucrose et du mercure. Tous
les vaccins contre l'influenza - même ceux administrés aux jeunes enfants - contiennent
du thimerosal, un composé organomercuriel se retrouvant en tant qu'agent de
conservation. On a retiré le thimerosal des vaccins pour enfants par "précaution" car il
pouvait être à l'origine de troubles neurodéveloppementaux graves. Mais les vaccins
antigrippaux en contiennent toujours et ils sont administrés aux jeunes enfants.
Le thimerosal se dissocie en éthylmercure et en thiosalicylate. Il renferme 49,6% de
mercure en poids. A cause de leur masse corporelle plus petite, les nourrissons
présentent des concentrations plus élevées d'éthylmecure que les autres enfants ou les
adultes, une fois le thimérosal métabolisé. Puisque le développement neurologique des
nourrissons n'est pas terminé, il est possible que les effets éventuels du mercure soient
plus grands. On a avancé l'hypothèse que l'utilisation du thimérosal dans les vaccins
pourrait être à l'origine de certains troubles neurologiques, comme l'autisme et
l'hyperactivité avec déficit de l'attention. La pharmacienne Julie Magno Zito a publié dans
le New England Journal of Medecine de l'année 2000 une étude américaine sur la
dépression et les troubles psychiatriques sur les enfants pré-scolaires. En 1995, l50,000
enfants étaient sous médication, alors qu'ils n'étaient que l00,000 quatre ans avant; 10%
d'entre eux étaient âgés de 2 ans. Près de 11 millions d'enfants américains de moins de
17 ans reçoivent chaque année une prescription d'antidépressifs.
L'exposition à de faibles doses de thimérosal a aussi été associée à des réactions
d'hypersensibilité tout comme à l'urticaire, l'eczéma et l'asthme. Le mercure s'accumule
dans l'organisme et il peut imprégner l'hypophyse, la thyroïde, le pancréas, les
surrénales, le thymus, le système nerveux central et le cerveau.
Le fait de donner un vaccin contre l'infuenza contenant du mercure et ce
systématiquement tous les ans à des personnes âgées, pourrait être relié au
développement de la maladie d'Alzheimer. Pour la femme enceinte, le vaccin pour
l'influenza s'avère problématique et même dangereux. Le mercure dans les vaccins vient
s'ajouter à celui que l'on retrouve dans de très nombreux autres produits d'usage
courant. Pour les fabricants du vaccin, le virus qu'il contient est inactivé et ne peut
donner la grippe. On peut se questionner sur le fait que si le virus est inactif pourquoi
l'incorporer au vaccin? De plus, les effets secondaires du vaccins ressemblent
étrangement aux symptômes de la grippe. Santé Canada a répertorié - en 2001 - 2 450
cas de réactions secondaires reliées au vaccin contre l'infuenza. Des symptômes oculaires
ou respiratoires qui correspondent maintenant à la définition du nouveau "syndrome
oculo-respiratoire" (SOR). On croyait que le processus de fabrication du vaccin était la
cause de ce syndrome. La cause a été corrigée mais le phénomène persiste et ce avec
36
tous les vaccins utilisés. Le SOR est maintenant considéré comme une réaction possible
et attendue avec les vaccins contre l'influenza. Ses symptômes: rougeur oculaire
bilatérale, toux, mal de gorge, bronchospasme, oppression thoracique, douleur
thoracique, constriction grave de la gorge, oedème facial, oedème des paupières, de la
langue/bouche/lèvres. Pour quelques cas, l'hospitalisation a été nécessaire. Et il y a un
risque de récidive, lors d'une revaccination.
En plus des symptômes majeures du SOR, le vaccin contre l'influenza peut induire de la
fièvre, des myalgies, des frissons, des problèmes gastro-intestinaux comme la diarrhée
et les vomissements, des douleurs abdominales, des céphalées et une fatigue intense. Le
vaccin contre l'influenza ne "protège" pas contre la maladie, ni ne fait en sorte que le
vacciné souffre moins lors d'un épisode de la grippe.
"Les vaccins et sérums sont également dangereux car ils ne font pas disparaître les
causes profondes des troubles ; ils attentent à la spécificité humorale de l'espèce
humaine ; ils sont la cause de réveils d'affections latentes et de maladies de
dégénérescence très graves". André Passebecq
"Vacciner c'est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle". Simone
Delarue
"Afin de tromper l'opinion publique, les fabricants de vaccins et le corps médical font
paraître des graphiques dans lesquels ils ne montrent que la courbe décroissante après
l'introduction du vaccin, évitant de faire connaître ainsi l'ensemble de la courbe sur une
longue période de temps, ce qui démontrerait que la maladie infectieuse était déjà en
forte diminution avant les vaccinations, également comment l'introduction du vaccin a
perturbé la courbe décroissante, faisant éclater les épidémies de la maladie contre
laquelle le vaccin était censé immuniser". Dr. Louis de Brouwer
DES VACCINS NON VÉGÉTARIENS : Du sang animal dans les vaccins et les
cultures de cellules
Un lien, très souvent ignoré, existe entre l'industrie de la viande et les vaccins. Pour les
cultures de cellules, les laboratoires ont recours à des déchets d'abattoirs ainsi qu'aux
peptones, des protéines de viande de cochon ou de boeuf.
Les domaines de la virologie, microbiologie, biotechnologie, les expériences in vitro et la
culture de cellules emploient très largement le sang et la chair animale. Les ingrédients
nécessaires à la croissance des bactéries ou des cellules animales sont le plus souvent du
sérum animal et des peptones de source bovine ou porcine. Toute modification
biologique ou génétique nécessite une culture de cellules afin de la stabiliser et d'assurer
37
sa reproduction. La fabrication des vaccins fait donc appel a des techniques de culture
cellulaire ou de fermentation bactérienne dont la multiplication exige de gros apports
nutritifs de croissance. Or, ces apports s'avèrent très concentrés dans différents tissus ou
fluides animaux. Qu'ils soient cultivés dans des cellules animales ou humaines, les virus
doivent être nourris avec des substances de source animale puisqu'ils ne peuvent se
multiplier que dans des cellules vivantes. On a alors recours a des déchets d'abattoirs,
sang, sérum et albumine, de provenance bovine mais aussi tirés du chien, singe, lapin,
mouton, cheval et cochon. Le grand favori demeure le sérum de foetus de veau. Il se
retrouve dans bon nombre de vaccins: dans le Pentacel - diphtérie, coqueluche, tétanos,
poliomyélite et Haemophilus Influenza B, donné aux nourrissons dès l'âge de 2 mois -, le
Varivax pour la varicelle, le Pneumonvas 12 et le BCG pour la tuberculose. Le sérum
bovin n'apparaît pas systématiquement sur la liste des ingrédients des vaccins mais son
utilisation est généralisée dans les cultures de cellules tout comme les peptones ou
hydrolysat de protéines. Le DPT - diphtérie, coqueluche et tétanos -, renferme de
l'hydrolysat pancréatique de porc.
SÉRUM FOETAL BOVIN
Afin de fournir les 500 000 litres de sérum
bovin achetés par les laboratoires mondiaux
chaque année, plus d'un million de foetus
de veau doivent être sacrifiés. Les
laboratoires s'approvisionnent en NouvelleZélande, au Brésil, au Mexique, aux ÉtatsUnis, en Australie, au Canada , dans
différents pays d'Europe, de l'Est et
d'Afrique. Les vaches proviennent d'élevages
intensifs, d'autres sont parfois mises
enceintes
spécifiquement
pour
la
récolte de leur foetus, comme en Hongrie
ou en Slovaquie. La technique pour
récupérer le sang du veau peut varier et être différente dans chaque pays, pour chaque
abattoir. Elle consiste, dans certains cas, à retirer le sang du cordon ombilical ou
à faire une ponction de la veine jugulaire du foetus. La technique la plus
largement répandue fait appel à une ponction cardiaque. Une vache enceinte est
tuée. Dans un laps de temps variant de cinq à trente minutes selon les procédures en
vigueur dans le pays concerné, le foetus est retiré de l'utérus de sa mère.
http://www.viva.org.uk
Le cordon ombilical du veau, qui peut être âgé entre trois et neuf mois, est
coupé. Une longue aiguille est insérée directement dans son coeur encore
battant. Le sang est récolté par aspiration et mis dans un sac stérile. Le veau
est ensuite détruit. Plusieurs pays et laboratoires se défendent de prendre le sang d'un
38
coeur d'un veau encore vivant. Mais selon un ancien inspecteur du département
américain de l'Agriculture: "Pour des raisons pratiques, le coeur du veau doit encore
battre afin de recueillir une quantité suffisante de sang". Un producteur chilien du A. Cox
Commercial and Industrial Aprex Ltd. est du même avis: "L'animal est vivant quand il
saigne. Le sang doit être pris par une ponction cardiaque sur un foetus vivant. Quand
l'animal meurt, le sang se coagule immédiatement. Le coeur doit encore pomper afin de
transporter le sang liquide hors du corps". Par définition le veau est toujours vivant
mais ne reçoit aucune anesthésie durant cette opération douloureuse. Il peut
donc ressentir une grande souffrance.
DU SANG CONTAMINÉ
Outre les considérations éthiques sur l'exploitation de l'animal vu comme un produit
d'expérience et une marchandise, la contamination des vaccins et des milieux de cultures
par du sérum bovin est réelle et fort inquiétante. Y a-t-il un risque dans le cas le
l'encéphalopathie spongiforme bovine ou "maladie de la vache folle" ? Il a été reconnu
que la mère peut transmettre la maladie à sa descendance in-utero, et que par
conséquent les tissus foetaux sont susceptibles de véhiculer la contamination. Les pays
producteurs de sérum foetal bovin affirment que leurs techniques de filtration évitent
tout risque. Cependant, il est impossible de l'affirmer dans le cas du prion. Les
marchands de sérum bovin ne peuvent jamais certifier a 100 % la pureté de leurs
produits et sa non-contamination par des agents viraux ou infectieux.
Il existe des virus spécifiques au sérum bovin: virus de la diarrhée bovine, herpèsvirus1,
parinfluenza3, réovirus, adénovirus bovin, polyomavirus, virus de la leucémie, etc. Selon
plusieurs études scientifiques ces virus bovins ont contaminé des cultures cellulaires et
des vaccins provoquant, entre autres, des cas de gastroentérites, en particulier chez de
jeunes enfants. Le virus de la diarrhée bovine fut détecté dans approximativement 30 %
d'une population humaine étudiée même si cette dernière n'avait eu aucun contact
physique avec des animaux infectés. Selon les travaux du chercheur R. Harasawa
(1995), plus de 75 % des lignées de cellules qu'il a examiné étaient souillés avec
différents virus bovins; des lignées de cellules provenant de primates se révélaient elles
aussi contaminées avec des souches de virus bovins. Il est reconnu que ces virus, en
passant la barrière des espèces, peuvent muter, se recombiner entre eux ou réactiver
des virus latents. De nouvelles souches de virus ont été isolées dans des cellules
humaines et elles démontraient des ressemblances avec des souches bovines. Certains
de ces virus ont une très longue période d'incubation, des décennies peuvent s'écouler
avant qu'elles ne déclenchent des maladies chez les humains.
Plusieurs produits biomédicaux, dont les vaccins, sont maintenant produits sur des
lignées de cellules dites "immortelles parce qu'elles ont été cancérisées artificiellement et
peuvent se diviser indéfiniment lorsqu'elles reçoivent un nutriment comme du sang
animal. En comparaison, presque toutes les cellules d'un mammifère en culture se
divisent pendant 20 à 50 générations, après quoi les cellules vieillissent et meurent. Ces
lignées de cellules immortelles et contaminées peuvent-elles être potentiellement
dangereuses pour les humains? Plusieurs scientifiques s'inquiètent du fait qu'elles
pourraient induire du matériel provoquant le cancer.
NANOBACTÉRIES ET CALCIFICATION
Il y a une dizaine d'années, les microbiologistes finlandais Olavi Kajander et Neva
Ciftcioglu de la Scripps Institute of California, tentaient de déterminer les causes d'une
contamination qui tuaient les cellules dans la préparation de certains vaccins. Les
chercheurs ont alors réussi à isoler et à photographier une nouvelle forme de bactérie
sanguine, la nanobactérie, nommée ainsi à cause de sa petite taille; elle est dix fois plus
39
petite que les bactéries courantes, ce qui en fait la plus petite bactérie connue. Très
envahissante, elle peut causer la mort des cellules. Si on la compare aux autres
bactéries, la nanobactérie se développe très lentement et se reproduit tous les 3 jours
alors que les bactéries régulières le font en quelques minutes ou heures. Elle ne peut se
développer dans des cultures ordinaires, seulement dans le sérum ou le sang humain ou
animal. En raison de sa taille extrêmement petite et de son taux de croissance lent, la
nanobactérie n'a pu être détectée par les chercheurs scientifiques que tout récemment
car elle exige de puissants microscopes. Selon les chercheurs, il y aurait un lien entre la
présence de nanobactéries puis l'apparition d'une calcification de l'organisme chez
l'humain. Cette pathologie de calcification serait impliquée dans le processus d'une foule
de maladies: pierres aux reins et dans les glandes salivaires, épaississement des artères,
bursite, tendinite, cancer des os, du cerveau et de la prostate, psoriasis, désordres du
système nerveux, syndrome de Parkinson, etc. Dans presque tous les cas de cancers du
sein on dénombre la présence de dépôts calcaires. Les nanobactéries bâtissent autour
d'elles une coquille riche en calcium, constituant ainsi ces fameuses calcifications. Les
scientifiques ont trouvé la bactérie dans chacune des 30 pierres rénales analysées. Elle a
également été identifiée dans le sang de 5,7 % des 1000 sujets humains étudiés et chez
80 % des milliers de vaches testées. "Une personne peut l'avoir sans s'en douter et ne
développer des problèmes que bien plus tard. Environ 20 % de toutes les maladies
affectant les êtres humains présentent des phénomènes de calcification", pense Neva
Çiftçioglu.
Comment la nanobactérie s'infiltre dans l'organisme humain?
Plusieurs hypothèses sur cette bactérie propre aux mammifères ont été avancées. Elle
pourrait se retrouver lors des transfusions sanguines, dans le lait de vache, la viande
crue ou être assimilée par les voies digestives des humains. Plus certainement elle
pourrait venir de la contamination des vaccins et des cultures de cellules effectuées dans
du sérum animal, sur des tissus animaux et humains puisque la nanobactérie échappe
aux processus de filtration. En 2001, une étude scientifique a démontré que 100% du
sérum provenant d'un troupeau de la Caroline du Nord contenait des nanobactéries. Une
autre étude, européenne cette fois-ci, concluait pour sa part que 80% des lots de sérum
bovin commercialisés étaient contaminés aux nanobactéries. Lors de la 101e réunion
générale de la Société Américaine pour la Microbiologie en 2001, cette contamination des
vaccins et des cultures de cellules a été confirmée: la nanobactérie est un contaminant
dans des produits médicaux supposés stériles. Sur 3 lots de vaccins pour la poliomyélite,
2 étaient contaminés par des nanobactéries venant d'un sérum bovin utilisé dans les
vaccins et les cultures de cellules.
Une tendance actuelle se dessine pour l'élimination du sérum et de tous les produits
d'origine animale du milieu de culture de cellules destinées à produire des vaccins ou
autres produits biomédicaux. Plusieurs milieux de culture sans sérum sont déjà
commercialisés mais rien n'est encore disponible pour certaines cultures spécifiques de
cellules. Pour le moment, tout demeure à un stade expérimental.
D'AUTRES CONTAMINATIONS DES VACCINS
Les vaccins ont besoin de sérum bovin pour nourrir leurs virus tout comme un milieu
vivant pour les cultiver. C'est ici qu'entre en jeu les cellules animales du singe, chien,
souris ou embryon de poulet. Les cellules humaines, comme dans vaccin de la rougeole,
rubéole, rage ou varicelle proviennent de tissus foetal humain d'avortements. Pendant la
"purification" du vaccin, a l'aide de produits hautement toxiques comme du
formaldéhyde, les compagnies pharmaceutiques affirment que la totalité du sérum bovin
et des cellules, animales ou humaines, sont retirées. Elles ne nient pas cependant que
des traces de protéines en provenance de ces cellules peuvent demeurer dans le vaccin.
40
Assez curieusement, inoculer et ingérer des vaccins contenant des tissus humains ne
revient-il pas, dans un certains sens, à une forme de cannibalisme, une pratique pourtant
défendue et tabou dans nos sociétés modernes?
La mise au point de différents vaccins antirotavirus illustre bien cette manipulation
problématique des virus et des tissus animaux. Le rotavirus est la cause la plus fréquente
de maladie diarrhéique grave chez le nourrisson et le jeune enfant partout dans le
monde, surtout dans les pays en développement. Plusieurs groupes de rotavirus peuvent
être pathogènes. En août 1998, un vaccin antirotavirus, comportant à la fois 1 rotavirus
de singe rhésus, 3 virus rhésus humain, des cellules diploides de rhésus foetal et du
sérum foetal de boeuf a été autorisé sur le marché aux États-Unis. Après inclusion de
cette mixture virulente dans le calendrier vaccinal des nourrissons américains et la
vaccination de près d'un million de sujets, plusieurs cas graves d'invagination intestinale
postvaccinale ont été signalés. Les 3 à 10 jours qui ont suivi la première des trois doses
orales semblaient être ceux où le risque d'invagination devenait maximal. Le fabricant du
RotaShield, les laboratoires Wyeth-Ayerst, a retiré le vaccin du marché des États-Unis 9
mois après son introduction mais dispose toujours de son autorisation de mise en
marché. En Chine, un vaccin avec un rotavirus ovin est autorisé sur le marché. Un vaccin
ayant une souche bovine de rotavirus et comportant les gènes communs aux rotavirus
humains est à l'essai tout comme plusieurs autres vaccins expérimentaux: l'un d'eux
utilise une souche humaine de rotavirus et deux autres sont réassortis humains-bovins.
VACCINS POLYOMYÉLITES
Une multitude d'animaux payent de leur sang et de leur chair pour cette folie vaccinale.
Sur l'autel de la vivisection des millions de singes meurent pour l'élaboration, le contrôle
et la mise en marché des vaccins. Ils sont les cobayes les plus recherchés pour tester la
phase finale des vaccins, ce qui ne garanti en rien l'innocuité d'un vaccin lorsqu'il est
injecté dans l'organisme d'un nourrisson humain.
Le vaccin pour la poliomyélite est un exemple tragique, parmi tant d'autres, de cette
histoire de la vaccination jonchée de souffrance animale, humaine, d'augmentation de
maladies, de manipulations et de contaminations mortelles. 1934: les expérimentateurs
développent un vaccin provenant de la moelle épinière infectée de singes. 20 000 enfants
sont vaccinés, six en meurt; douze autres demeurent gravement paralysés. Le vaccin
doit être retiré. 1954-1963: on produit un vaccin pour la polio à partir de cultures de
cellules de reins de singes ou cellules Vero; des dizaines de millions de cobayes-humains,
aux États-Unis, en Union Soviétique, en Europe et au Canada reçoivent ce vaccin polio.
Cela prendra des années à la communauté scientifique pour admettre que le vaccin était
bel et bien contaminé par un virus provenant du singe, le SV40. Plus de 60 récentes
études ont découvert sa présence dans des cas de cancers du cerveau et des os, de
tumeurs intracrâniennes chez l'enfant et de leucémie. 1999: le Journal of National Cancer
Institute confirme l'implication du SV40 dans un certain type de cancer du poumon.
2002: une équipe de chercheurs publie dans le Lancet une étude portant sur le lien entre
des cas de lymphomes non Hodgkinien et le SV40; ce virus a été détecté dans 42 % des
cas étudiés. Les lymphomes non Hodgkinien sont un groupe de cancers prenant
naissance dans les cellules du système lymphatique et qu'on retrouve souvent chez les
malades infectés par le virus du Sida VIH. Des théories, fort controversées, indiquent
qu'il est possible que le VIH ait été transmis des singes aux humains à la suite des
vaccinations de masse pour la polio menées en Afrique entre 1957 et 1959 avec des
vaccins obtenus à partir de cellules Vero et contaminés par un virus du sida du singe
similaire au VIH.
Des théories, fort controversées, indiquent qu'il est possible que le VIH ait été transmis
des singes aux humains à la suite des vaccinations de masse pour la polio menées en
Afrique entre 1957 et 1959 avec des vaccins obtenus à partir de cellules Vero et
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contaminés par un virus du sida du singe similaire au VIH. Rappelons qu'en Afrique, le
Sida touche 24,5 millions de personnes ou 71 % de toutes les victimes connues.
L'industrie pharmaceutique et les autorités médicales prétendent que les vaccins pour la
polio disponibles au Canada et aux États-Unis et obtenus à partir de cellules de reins de
singes, sont exempts de virus de singes. Pourtant, les primates hébergent un nombre
considérable de rétrovirus, d'herpèsvirus et autres agents infectieux. Jusqu'à ce jour,
seulement 2 % de tous les virus de singes ont été identifiés. Il est toujours possible que
des virus de singes inconnus soient transmis aux humains par les vaccins. Le transfert
d'un virus simien à l'humain peut en modifier la virulence et avoir des conséquences
pathologiques et catastrophiques infinis. La recherche se continue tout de même
aveuglement et une panoplie de vaccins se font toujours avec des cellules de singes:
variole, diphtérie, rage, grippe, SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), Sida, etc.,
etc.
POUR EN FINIR AVEC LE MYTHE DE LA VACCINATION
Pour valider le bien-fondé de l'expérimentation animale, les partisans de la vivisection
parleront immédiatement des "miracles" des vaccins. Pourtant, en faisant un peu de
recherches, en fouillant la littérature scientifique, une montagne de preuves s'accumule
contre cet argument absurde. Sans grande difficulté, il devient évident que les vaccins
présentent d'énormes risques pour la santé, qu'ils sont tous, sans exception,
potentiellement contaminés et dangereux. Le "risque zéro", à court et à long terme, n'est
jamais garanti en matière de vaccination.
Marjolaine Jolicoeur - AHIMSA - 2005
CITATION:
Au Québec, AUCUN vaccin n'est obligatoire. Tout individu peut refuser un vaccin
et l'obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l'article 1 de la Charte
québécoise et à l'article 7 de la Charte canadienne. Lors d'un jugement rendu en
mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d'une "épidémie" de rougeole, le
parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les
retirer de l'école jusqu'à ce que se résorbe la dite "épidémie". Aucun vaccin
n'est obligatoire pour voyager à l'étranger, excepté celui de la fièvre jaune que
certains pays (d'Afrique ou d'Amérique du sud) peuvent demander si vous
venez d'une zone d'endémie.
Sources:
-Illustrations: "Vaccination: La grande Illusion - Bickel, France "The Use,
trade and harvest of livestock sera" par C.E.A. Jochems, Report, 1997, Ultrech University and Wageningen Agricultural
University, The Netherlands.
- www.nca-nl.org|English|Docs|fessum.html. "What is Coming through that needles: The problem of pathogenic
vaccine comtamination" Benjamin McRearden.
- www.vaclib.org " Qu'est-ce qu'une nanobactérie"? NanobacLabs - "Association between simian virus 40 and nonHodgkin lymphoma"
- Charles R Madden, Claudia A Kozinetz, Steven J Halvorson - Lancet 2002
- Ingrédients dans les vaccins :www.canv.ch/nature_sante/vaccination/ vaccinations2_composition.htm www.users.pandora.be/vaccine. Damage.prevention/constituants1 "Vaccination: What your need to know"
- Susan Fletcher - www.vran.org "Vaccination, erreur médicale du siècle"
- Dr. Louis de Brouwer m.d. - Louise Courteau Editrice "Universal Childhood Imjunization - Raymond Obomsawin.
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Canadian Intl. Dev. Agency, May 1992 "What every should know aboud childhood immunization" Jamie Murphy, Earth
Healing Products,1993
Website : http://www.ass-ahimsa.net/vaccins.html
Date : 09. 06. 2009
Compilation et mise en page par :
Alliance Pierres Vivantes – APV
M. J-P. Trachsel
CH-1678 Siviriez – Suisse
Date : 12. 06. 2009
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