Rév. 000 Dossier no 2.01 E-Docs no 3484175 APPROUVÉ POUR UTILISATION INTERNE PROCÉDURES D’EXAMEN POUR LE PERSONNEL : Énoncé des incidences environnementales (EIE) présenté par un promoteur au sujet d’une nouvelle centrale nucléaire SRP-2.01-EIS-11NNNN-011.3 Version 000 Effets hors site du projet sur la santé et la sécurité des personnes lors de l’exploitation normale Direction de l’amélioration de la réglementation et de la gestion des projets majeurs Division de l’autorisation des nouvelles installations nucléaires majeures Page 1 de 11 Préface La Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) a élaboré les procédures d’examen pour le personnel, sous forme de documents de travail internes, afin de l’aider à procéder à l’examen réglementaire de l’énoncé des incidences environnementales (EIE) présenté par des titulaires de permis potentiels (promoteurs). L’EIE fait partie de la demande de permis et du processus d’évaluation environnementale pour les projets de nouvelle centrale nucléaire au Canada. Ces procédures d’examen s’inscrivent dans le contexte du cadre de gestion de projets de la CCSN. Il ne s’agit pas de documents d’application de la réglementation, bien que leur sujet d’évaluation et leurs critères respectifs soient liés aux règlements pris en vertu de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale et de la Loi sur la sûreté et la réglementation nucléaires. L’élaboration des procédures d’examen pour le personnel est une initiative entreprise dans le but d’assurer une application uniforme des processus internes d’examen d’un EIE pour une nouvelle centrale nucléaire et d’améliorer l’efficacité et l’efficience de ces examens. Le personnel de la CCSN considère les procédures d’examen comme des documents en évolution qui seront modifiés en fonction de l’expérience acquise au fil des examens des EIE. Contexte On procède à des évaluations environnementales (EE) afin de satisfaire aux exigences de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale (LCEE). Les EE servent à déterminer si un projet particulier est susceptible d’entraîner des effets importants sur l’environnement et s’il est possible de les atténuer. En ce qui a trait aux nouvelles centrales nucléaires, la CCSN entame le processus d’évaluation environnementale lorsqu’un promoteur demande un permis de préparation de l’emplacement, aux termes du paragraphe 24(2) de la Loi sur la sûreté et la réglementation nucléaires (LSRN), et qu’il soumet une description de projet complète (conformément à l’article 5 de la LCEE). Avant de prendre une décision de permis, une évaluation environnementale doit être effectuée. Dans le cadre du processus d’EE, le promoteur prépare un énoncé des incidences environnementales (EIE) et le soumet à la CCSN, conformément à la LCEE, dans le but d’appuyer la préparation de l’emplacement, la construction, l’exploitation, le déclassement et l’abandon d’une nouvelle centrale nucléaire. L’EIE est examiné en fonction des procédures d’examen rédigées à ce sujet. Les procédures expliquent les attentes de la CCSN et fournissent des directives concernant l’évaluation de l’EIE. Ils ont pour but de rehausser et de soutenir les recommandations sur l’EE formulées par le personnel de la CCSN à l’intention du tribunal de la Commission. Page 2 de 11 Entrée en vigueur Description des révisions faites au document Rév. n o Section Modifications apportées 2008-10-24 000 Toutes Nouveau document publié sous le Dossier de modifications (DM) 3309338 2009-03-26 001 Toutes Révision et modification finales avant la publication. Toutes les modifications non techniques conformément au DM 3354527 et à la DMD 3335520 Page 3 de 11 1. Sujet de l’examen La présente procédure traite de l’examen des documents soumis par le promoteur au sujet des effets hors site potentiels du projet sur la santé et la sécurité des personnes lors de l’exploitation normale. Cet examen porte sur l’évaluation, faite par le promoteur, des doses de rayonnement potentielles et des expositions aux substances dangereuses pour les personnes situées à l’extérieur du site, pendant l’exploitation normale de toutes les phases d’un projet de nouvelle centrale nucléaire, notamment la préparation de l’emplacement, la construction, l’exploitation, le déclassement et l’abandon. Les éléments clés du processus d’évaluation comprennent l’identification de ce qui suit : • les interactions potentielles entre le projet et les humains; • les composants radiologiques et dangereux potentiellement préoccupants; • les récepteurs humains et les critères d’évaluation. L’objectif consiste à s’assurer que les risques pour la santé des personnes hors site, pendant l’exploitation normale de toutes les phases d’une nouvelle centrale nucléaire, ont fait l’objet d’une évaluation systématique et approfondie et que, dans la mesure du possible, ces risques sont pris en compte de manière réaliste dans l’Énoncé des incidences environnementales (EIE). La procédure a donc pour but d’aider l’examinateur à conclure si l’EIE fournit des prévisions défendables et vérifiables au sujet des effets négatifs sur la santé, de leur probabilité et de leur importance. 2. Critères et objectifs 2.1. Information et données L’information que le promoteur doit fournir dans l’EIE est décrite dans les lignes directrices pour la préparation de l’EIE spécifique au projet. Le degré de détail devrait être modifié en fonction de l’importance attendue des impacts potentiels. Afin de respecter la finalité des lignes directrices, l’EIE devrait comprendre l’information ou les données suivantes : • L’EIE devrait préciser les incertitudes et types d’incertitudes (p. ex., caractère aléatoire naturel, connaissances insuffisantes, erreurs lors de l’échantillonnage ou de la prise des mesures), les hypothèses, les limites et les lacunes dans la qualité de la prévision des effets spécifiés; il devrait aussi en tenir compte. L’incertitude devrait être prise en compte dans les estimations du risque et des effets (p. ex., divers scénarios pour différentes hypothèses). Elle devrait être identifiée dans les cas où elle est la plus problématique pour les résultats de l’évaluation. Page 4 de 11 • L’EIE devrait fournir une explication lorsque de nouvelles données ou une extrapolation à partir des données prélevées pour d’autres endroits ont été utilisées pour combler les lacunes de données ou pour réduire les incertitudes. 2.2. Critères d’évaluation Risques radiologiques • • Conformément au Règlement sur la radioprotection (CCSN 2000 – réf. 5), les critères pour déterminer si l’exploitation normale de la centrale nucléaire a eu des effets négatifs importants sur les membres du public sont indiqués ci-dessous pour chaque phase du cycle de vie de la centrale : o La dose efficace annuelle et engagée dépasse 1 mSv. o La dose équivalente annuelle reçue par le cristallin de l’œil dépasse 15 mSv. o La dose équivalente annuelle reçue par la peau dépasse 50 mSv. o La dose équivalente annuelle reçue par les mains et les pieds dépasse 50 mSv. Le maintien des doses au niveau le plus bas qu’il soit raisonnablement possible d’atteindre (principe ALARA) est une exigence réglementaire (CCSN 2000). L’EIE devrait inclure les données sur les doses aux personnes hors site pour les installations existantes qui utilisent les meilleurs moyens techniques disponibles. Le promoteur devrait ensuite se servir de ces données pour établir une base de calcul qui vise à ne pas dépasser ces doses, voire à les réduire. Substances dangereuses Au moment de déterminer les critères et objectifs pour évaluer les risques pour la santé posés par les substances dangereuses, la CCSN tient compte des lignes directrices fédérales, comme L’évaluation du risque à la santé humaine des substances d’intérêt prioritaire et les Directives de Santé Canada sur l’évaluation du risque à la santé au Canada associé aux lieux fédéraux contaminés publiées par Santé Canada (1994 et 2004 - réf. 8 et 9), le Protocole d’élaboration des recommandations pour la qualité des sols en fonction de l’environnement et de la santé humaine (réf. 15), les Recommandations canadiennes pour la qualité des sols visant la protection de l’environnement et de la santé humaine (réf. 16) et les Recommandations canadiennes pour la qualité de l’environnement, tous trois publiés par le Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME) (1996 a, b – réf. 1 et 2; 1999 – réf. 3; 1998-2003 – réf. 4), et s’il y a lieu, des directives et des normes provinciales. Parmi les autres directives et normes prises en compte, on trouve le Framework for Metals Risk Assessment (réf. 13) et le Superfund Environmental Indicators Guidance for Human Exposure Revisions (2007, 2008 - réf. 14) publiés par l’Environmental Protection Agency (EPA) des États- Page 5 de 11 Unis, ainsi que des documents d’orientation publiés par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). 3. Procédure d’examen 3.1 Procédures d’examen communes pour les substances dangereuses et les risques radiologique L’examen de l’EIE, la documentation des résultats de l’examen et l’approbation du rapport se feront conformément au plan d’évaluation spécifique au projet. Les résultats de l’examen seront présentés suivant le modèle du rapport d’examen fourni dans le plan d’évaluation. Le rapport doit être approuvé par les signataires autorisés appropriés. On attribuera au rapport approuvé un numéro E-DOCS sous le dossier 2.01 pour l’installation concernée. Le responsable de l’examen, tel qu’identifié dans le plan d’évaluation spécifique au projet, vérifiera que les critères d’information énumérés à la section 2 ont été satisfaits et que l’information présentée est crédible. L’examinateur devrait suivre les étapes suivantes : 1. Vérifier que le document soumis est conforme à la section 2, que les critères ont été appliqués et que l’information nécessaire a été présentée. Tout écart devrait être indiqué et expliqué. L’examen devrait permettre de répondre aux questions suivantes : a) L’information nécessaire a-t-elle été soumise? b) Les données sont-elles fiables et quelles sources ont été utilisées? c) Les assertions formulées par le promoteur sont-elles crédibles? 2. Rédiger un résumé sur le fondement probant pour la conclusion du document, y compris dans quelle mesure le document fournit des prévisions compréhensibles, défendables et vérifiables sur les effets négatifs, leur probabilité et leur importance. 3. Remettre le document à un autre spécialiste de la CCSN afin qu’il vérifie la justesse, l’exactitude et l’exhaustivité des effets prévus et des mesures d’atténuation. Au moment d’analyser l’évaluation, faite par le promoteur, des risques radiologiques et toxicologiques associés à l’exploitation normale auxquels les membres du public hors site sont exposés, l’examinateur devrait suivre les étapes suivantes : • Vérifier que les récepteurs humains appropriés ont été cernés et caractérisés. Plus particulièrement, lorsque des caractéristiques d’exposition des récepteurs sont utilisées (p. ex., inhalation, taux d’ingestion, etc.), vérifier si elles sont tirées de sources canadiennes acceptées (p. ex., Santé Canada, le Compendium des facteurs d’exposition humaine pour l’évaluation du risque au Canada (Richardson, 1997- réf. 10), le CCME, etc.). Dans le cas des expositions au rayonnement, vérifier si les caractéristiques sont tirées de publications récentes de la Commission internationale de protection Page 6 de 11 radiologique (CIPR). Si les caractéristiques des récepteurs sont tirées d’une autre source (p. ex., EPA 1997 - réf. 11, Commission européenne 2002 - réf. 7), vérifier si la raison de ce choix est expliquée, si la source ou citation est clairement documentée et si les hypothèses sont justifiées. • Vérifier si le processus de sélection des composants potentiellement préoccupants, qui tient compte des caractéristiques des récepteurs humains lesquelles sont représentatives des données démographiques et de l’utilisation des terres locales, a été documenté. • Confirmer que les quantités et les caractéristiques de toutes les sources d’exposition aux substances radioactives et dangereuses pour les personnes hors, lors de l’exploitation normale de chaque phase du cycle de vie de la centrale nucléaire, ont été documentées. • Confirmer que les voies d’exposition pour les récepteurs humains et les groupes critiques ont été identifiées et que le fondement de leur sélection est clairement documenté. • Confirmer que les récepteurs humains hors site sont identifiés et caractérisés. Tous les groupes d’âge récepteurs pertinents devraient être identifiés (ou le groupe d’âge le plus sensible). De plus, tous les groupes de population récepteurs potentiellement sensibles (groupes critiques) devraient être identifiés. 3.2 Risques radiologiques En plus des éléments d’examen ci-dessus, l’examinateur devrait suivre les étapes suivantes lorsqu’il analyse l’évaluation, faite par le promoteur, des risques radiologiques pour les membres du public hors site lors de l’exploitation normale. • Confirmer que la méthode employée pour convertir en dose les expositions aux radionucléides et les incorporations de radionucléides par les divers récepteurs humains en fonction des diverses voies d’exposition (p. ex., facteurs de conversion, facteurs d’exposition et leur fondement ouréférences), y compris tous les paramètres et leurs fondements, est décrite. • Vérifier la méthode employée pour estimer la dose efficace et la dose engagée. La méthode devrait s’appuyer sur l’exposition aux radionucléides et les incorporations de radionucléides par les récepteurs humains identifiés (p. ex., facteurs de conversion, facteurs d’exposition et leur fondement ou références). Plus particulièrement, l’examinateur doit s’assurer que les fondements des hypothèses relativement à la durée et à la fréquence des expositions sont documentés. Il faut aussi confirmer que les doses calculées pour les personnes hors site peuvent être rattachées aux données d’entrée (p. ex. les caractéristiques d’exposition des récepteurs et les données radiologiques pertinentes). Vérifier que des échantillons de calculs de dose sont inclus. Confirmer les calculs de dose en les calculant à partir de données d’entrée acceptables, au moins pour ce qui est des scénarios dosimétriques les plus importants. Page 7 de 11 • Vérifier si les mesures d’atténuation, réalisables sur les plans techniques et économiques, ont été prises en compte dans l’EIE. Plus particulièrement, confirmer que les contrôles techniques à appliquer pour réduire l’ampleur de chaque source et que les objectifs de conception radiologique pour les contrôles techniques (rayonnement maximal pour chaque source) ont été identifiés. • Vérifier si l’importance des effets découlant du projet tient compte de la mise en œuvre des mesures d’atténuation proposées. Les résultats de l’évaluation devraient démontrer si la dose efficace annuelle prévue, y compris la dose engagée associée aux incorporations annuelles de radionucléides, reçue par les personnes hors site pendant l’exploitation normale de toutes les phases de la nouvelle centrale nucléaire dépassera les limites de dose établies dans le Règlement sur la radioprotection, telles que stipulées à la section 2 de la présente procédure. 3.3 Substances dangereuses En plus des éléments d’examen présentés à la section 3.1, l’examinateur devrait suivre les étapes suivantes lorsqu’il analyse l’évaluation, faite par le promoteur, de l’exposition des membres du public hors site aux substances dangereuses. • Vérifier si les méthodes employées pour estimer l’exposition (p. ex., incorporation quotidienne), au moyen des diverses voies d’exposition, des divers récepteurs humains aux substances dangereuses sont décrites; • Vérifier si des mesures d’atténuation, réalisables sur les plans technique et économique, ont été prises en compte dans l’EIE. Plus particulièrement, s’assurer que les contrôles techniques à appliquer pour réduire l’ampleur de chaque source ont été identifiés; • Vérifier si l’importance des effets découlant du projet tient compte de la mise en œuvre des mesures d’atténuation proposées. Les résultats de l’évaluation devraient permettre de démontrer que l’estimation de l’exposition des personnes hors site aux substances dangereuses, pendant l’exploitation normale de toutes les phases de la nouvelle centrale nucléaire, ne dépassera pas les limites applicables pour la protection de la santé. 4. Conclusions et recommandations découlant de l’évaluation À la fin de la procédure d’examen, l’examinateur doit en arriver à l’une des conclusions et recommandations suivantes : L’EIE : a) présente des renseignements insuffisants et non corroborés sur les effets ou les effets cumulatifs du projet pour appuyer une conclusion sur l’importance des effets négatifs sur l’environnement; Page 8 de 11 b) décrit des mesures d’atténuation que l’examinateur juge insuffisantes et qui ne seront probablement pas efficaces; c) utilise des critères inappropriés pour décrire l’importance des effets résiduels négatifs sur l’environnement; ou d) omet de présenter un programme de suivi visant à confirmer l’exactitude de l’évaluation environnementale à cet égard, dans le cas où l’examinateur a déterminé qu’un tel programme est nécessaire. L’examinateur devrait clairement préciser l’information supplémentaire à soumettre dans le cadre de l’EIE, avec des renvois aux lignes directrices pour la préparation de l’EIE spécifique au site; ou, L’information fournie dans l’EIE est suffisante pour déterminer la possibilité d’effets négatifs, leur importance et leur probabilité d’occurrence et pour appuyer la décision, aux termes de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale, selon laquelle le projet n’est pas susceptible d’entraîner des effets négatifs importants sur l’environnement, compte tenu des effets cumulatifs d’autres projets raisonnablement prévisibles, de la mise en œuvre de mesures d’atténuation réalisables et, le cas échéant, de la mise en place d’un programme de suivi. Page 9 de 11 5. Bibliographie 1. Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), 1996a, Protocole d’élaboration de recommandations pour la qualité des sols en fonction de l’environnement et de la santé humaine, CCME Winnipeg. 2. Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), 1996b, Document d’orientation sur l’établissement d’objectifs particuliers à un terrain en vue d’améliorer la qualité du sol des lieux contaminés au Canada, CCME Winnipeg. 3. Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), 1999, Recommandations canadiennes pour la qualité des sols visant la protection de l’environnement et de la santé humaine, CCME Winnipeg. 4. Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), 1998-2003 Recommandations canadiennes pour la qualité de l’environnement (série 1998-2003), CCME Winnipeg. 5. Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) 2000, Règlement sur la radioprotection, Gazette du Canada, partie II, vol. 134, nº 13, DORS/2000-203. 6. Environnement Canada et ministère de l’Environnement de l’Ontario, Cadre décisionnel pour Canada-Ontario concernant l’évaluation des sédiments contaminés des Grands Lacs, préparé au nom d’Environnement Canada et du ministère de l’Environnement de l’Ontario par Peter Chapman (Golder Associates Ltée.) avec le Groupe de travail sur les sédiments de l’ACO, juin 2007. 7. Commission européenne, 2002, Guidance on the Realistic Assessment of Radiation Doses to Members of the Public due to the Operation of Nuclear Installations Under Normal Conditions, Radioprotection 129. 8. Santé Canada, 1994, L’évaluation du risque à la santé humaine des substances d’intérêt prioritaire, [Loi canadienne sur la protection de l’environnement] ISBN 0-662-99878-2. 9. Santé Canada, 2004, Directives de Santé Canada sur l’évaluation du risque à la santé humaine au Canada associés aux lieux fédéraux contaminés [parties I, II, III, IV]. 10. M. Richardson, 1997, Compendium of Canadian Human Exposure Factors for Risk Assessment, O’Connor Environmental Associated, Inc. 11. EPA des États-Unis, 1997, Exposure Factors Handbook, National Centre for Environmental Assessment, Office of Research and Development. 12. EPA des États-Unis, 2006, Causal Analysis/Diagnosis Decision Information System (CADDIS), [http://cfpub.epa.gov/caddis]. Page 10 de 11 13. EPA des États-Unis, 2007, Framework for metals risk assessment, US EPA Office of the Science Advisor, mars 2007. 14. EPA des États-Unis, 2008, Superfund environmental indicators guidance – human exposure revisions, US EPA Office of Superfund Remediation and Technology Innovation, mars 2008. 15. Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), 2006, Protocole d’élaboration de recommandations pour la qualité des sols en fonction de l’environnement et de la santé humaine. 16. Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), Recommandations canadiennes pour la qualité des sols. Page 11 de 11