s1 2. optique geomet..

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OPTIQUE GÉOMETRIQUE
1. Généralités sur la lumière.
Qu’est ce que la lumière ?
Qu’est ce que la lumière ?
Ce qui permet de voir
La lumière provient de sources lumineuses
La lumière provient de sources lumineuses
La lumière provient de sources lumineuses
La lumière provient de sources lumineuses
La lumière provient de sources lumineuses
La lumière provient de sources lumineuses
Corps portés à haute température
À la lumière est associé un transfert d’énergie
Pour émettre de la lumière, la matière doit recevoir de l’énergie.
Pour émettre de la lumière, la matière doit recevoir de l’énergie.
Pour émettre de la lumière, la matière doit recevoir de l’énergie.
 de l’énergie nucléaire.
Pour émettre de la lumière, la matière doit recevoir de l’énergie.
 de l’énergie nucléaire.
 de l’énergie thermique.
Pour émettre de la lumière, la matière doit recevoir de l’énergie.
 de l’énergie nucléaire.
 de l’énergie thermique.
 de l’énergie électrique.
Pour émettre de la lumière, la matière doit recevoir de l’énergie.
 de l’énergie nucléaire.
 de l’énergie thermique.
 de l’énergie électrique.
 de l’énergie chimique.
La lumière peut donc aussi être pensée
comme un mode de transfert d’énergie.
2. Propagation rectiligne de la lumière.
2. Propagation rectiligne de la lumière.
2.1. Généralités.
2. Propagation rectiligne de la lumière.
2.1. Généralités.
L’observation des phénomènes lumineux conduit à penser
que la lumière va en ligne droite.
Forme des ombres
 dans certaines conditions on ne peut plus considérer que la
lumière va en ligne droite : théorie ondulatoire.
Dans ce chapitre on ne prend en compte que la propagation
rectiligne : c’est l’optique géométrique,
2.2. Le modèle du rayon lumineux.
La lumière va en ligne droite.
On va représenter le parcours de la lumière par des droites.
Ces droites sont appelées rayons lumineux.
On va représenter le parcours de la lumière par des droites.
Ces droites sont appelées rayons lumineux.
Deux rayons lumineux définissent un faisceau lumineux.
Deux rayons lumineux définissent un faisceau lumineux.
Le faisceau contient une infinité de rayons lumineux.
Le faisceau contient une infinité de rayons lumineux.
Le faisceau contient une infinité de rayons lumineux.
2.3 Angle apparent
 Notion utilisée pour caractériser les objets petits ou lointains.
h

d
h
tan 
d
h
tan 
d
En général petits angles : tan
~.
h

d
h

d
Vrai seulement avec des angles
exprimés en radian.
3. Les lois de Snell-Descartes.
3. Les lois de Snell-Descartes.
3.1. Nature des phénomènes étudiés.
Réflexion
Réfraction
Réfraction
Réfraction
 Réflexion : se produit sur une surface lisse.
 Réflexion : se produit sur une surface lisse.
 Réfraction : se produit lorsque la lumière passe d’un
milieu transparent à un autre.
 Réflexion : se produit sur une surface lisse.
 Réfraction : se produit lorsque la lumière passe d’un
milieu transparent à un autre.
 En général, coexistence des deux phénomènes.
Un milieu transparent est caractérisé par son indice.
Indice d’un milieu matériel :
c
n
v
c : célérité de la lumière dans le vide
v : célérité de la lumière dans le milieu transparent.
 Célérité c = 299 792 458 m.s-1 ~ 3.108 m.s-1
Matériau
Indice
Air
1,000293
Eau
1,33
Verre ordinaire
1,5
Diamant
2,43
3. Les lois de Snell-Descartes.
3.1. Nature des phénomènes étudiés.
3.2. Énoncé des lois.
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Dioptre
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Rayon incident
Dioptre
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Normale
Dioptre
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Plan d’incidence
Normale
Dioptre
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Rayon réfléchi.
Normale
Dioptre
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Normale
Dioptre
Milieu d’indice n2
Rayon réfracté
Milieu d’indice n1
Angle d’incidence
i1
Dioptre
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Angle de réflexion
i’1
Dioptre
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Dioptre
Angle de réfraction
Milieu d’indice n2
i2
Lois de Snell-Descartes pour la réflexion :
Lois de Snell-Descartes pour la réflexion :
 Le rayon réfléchi est dans le plan d’incidence.
Lois de Snell-Descartes pour la réflexion :
 Le rayon réfléchi est dans le plan d’incidence.
 L’angle de réflexion est égal à l’angle d’incidence : i’1 =i1.
Lois de Snell-Descartes pour la réflexion :
 Le rayon réfléchi est dans le plan d’incidence.
 L’angle de réflexion est égal à l’angle d’incidence : i’1 =i1.
Lois de Snell-Descartes pour la réfraction :
Lois de Snell-Descartes pour la réflexion :
 Le rayon réfléchi est dans le plan d’incidence.
 L’angle de réflexion est égal à l’angle d’incidence : i’1 =i1.
Lois de Snell-Descartes pour la réfraction :
 Le rayon réfracté est dans le plan d’incidence.
Lois de Snell-Descartes pour la réflexion :
 Le rayon réfléchi est dans le plan d’incidence.
 L’angle de réflexion est égal à l’angle d’incidence : i’1 =i1.
Lois de Snell-Descartes pour la réfraction :
 Le rayon réfracté est dans le plan d’incidence.
 n1.sini1 = n2.sini2
Réfraction
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Rayon incident
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Normale
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Si n2 > n1 : le rayon se rapproche de la normale
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Si n2 < n1, le rayon s’éloigne de la normale
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
3.3. Réfraction limite – réflexion totale.
Réfraction limite : se produit quand n2 > n1
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
On a alors i2 < i1
i1
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
i2
Quand on augmente i1 , i2 augmente mais lui reste inférieur
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Quand on augmente i1 , i2 augmente mais lui reste inférieur
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
i1 a une valeur maximale, 90°, à laquelle correspond la valeur
maximale de i2 , il.
90°
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
il
Pas de lumière dans la zone i2 > il.
90°
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
il
Réflexion totale : le phénomène se produit quand n2 < n1 : on a
alors i2 > i1.
i1
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
i2
Quand i1 augmente, i2 augmente plus rapidement…
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
On arrive finalement à l’angle d’incidence il pour lequel
l’angle de réfraction correspondant est i2 = 90°.
il
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Que se passe-t-il pour un rayon avec un angle d’incidence i1 > il ?
il
Milieu d’indice n1
?
Milieu d’indice n2
Il ne peut exister de rayon réfracté : la lumière est alors réfléchie sur la
surface du dioptre
il
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
Pour i1 > il, toute la lumière est réfléchie : c’est la réflexion totale.
il
Milieu d’indice n1
Milieu d’indice n2
4. Formation des images.
4. Formation des images.
4.1. Notion d’objet et d’image.
Le point objet est le point d’où partent les rayons lumineux.
A
A’
Système optique
Le point image est le point où se croisent les rayons lumineux
émergeant du système
A
A’
Système optique
4.2. Stigmatisme.
3.2. Stigmatisme.
Le stigmatisme est la propriété des système optiques
formant des images de bonne qualité.
Le système est stigmatique si tous les rayons issus de A passent par
son image A’.
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
Système stigmatique.
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
A
A’
Système non stigmatique.
Seul système optique parfaitement stigmatique : le miroir plan.
Seul système optique parfaitement stigmatique : le miroir plan.
En pratique on se contente des conditions de stigmatisme approché.
Seul système optique parfaitement stigmatique : le miroir plan.
En pratique on se contente des conditions de stigmatisme
approché.
Stigmatisme approché : les rayons lumineux ne passe « pas
trop loin » de A’.
Le stigmatisme approché est réalisé dans les conditions de Gauss :
Le stigmatisme approché est réalisé dans les conditions de Gauss :
 Les rayons lumineux sont faiblement inclinés par rapport à l’axe
du système optique.
Le stigmatisme approché est réalisé dans les conditions de Gauss :
 Les rayons lumineux sont faiblement inclinés par rapport à l’axe
du système optique.
 Les rayons lumineux sont proches du centre des systèmes
optiques.
Réalisation des conditions de Gauss par l’utilisation de
diaphragmes.
4.3. Réel et virtuel.
Il existe plusieurs configurations objet - image
Système optique
Objet réel
A
Système optique
Objet réel – image réelle
A
A’
Système optique
Objet réel
A
Système optique
Objet réel – image virtuelle
A
Système optique
Objet réel – image virtuelle
A
A’
Système optique
Objet virtuel
A
Système optique
Objet virtuel – image réelle
A
Système optique
A’
Objet virtuel
A’
A
Système optique
 Objet / image réel : la lumière passe par le point considéré.
 Objet / image réel : la lumière passe par le point considéré.
Si on y place un détecteur on mesure la présence de lumière.
 Objet / image réel : la lumière passe par le point considéré.
Si on y place un détecteur on mesure la présence de lumière.
 Objet / image virtuel : la lumière semble passer par le
point considéré.
 Objet / image réel : la lumière passe par le point considéré.
Si on y place un détecteur on mesure la présence de lumière.
 Objet / image virtuel : la lumière semble passer par le
point considéré.
Si on y place un détecteur on constate l’absence de
lumière.
4.4. Relation de conjugaison.
4.4. Relation de conjugaison.
On appelle relation de conjugaison une relation entre la position de
l’image et celle de l’objet.
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